Pas certain que le nom de R. rivelensis soit encore valide.
La révision des Rhynchonelles jurassiques de 1993 ne mentionne pas cette espèce mais Enay utilise encore cette dénomination en 2004 (feuille Nantua)... de même qu'il parle ailleurs de Rhynchonella varians un nom fourre-tout s'il en est...
Pas certain qu'on puisse faire confiance à ces notices pour étiqueter une Rhynchonelle.
En outre, voici ce qu'écrit Loriol en 1904:Rhynch. rivelensis nov. sp. est très voisine de Rh. triplicosa
Qu., mais a une forme plus arrondie, un sinus frontal à peine indiqué et des côtes plus nombreuses.
Ici, le sinus frontal a l'air bien marqué.
Autres infos trouvées sur la notice de la feuille Nantua:
À ce niveau est associé un excellent niveau repère, la « Lumachelle à térébratules bleues »
(Enay, 1966a), dominée par une espèce de grande taille, Dorsoplicathyris
proliféra Boullier (Boullier, 1976), connue en dehors du faciès à bivalves,
dans la partie sud de la feuille (Colliard, col du Berthiand) et jusque sur la
feuille Saint-Rambert-en-Bugey (Enay, 1982). L'espèce dominante est
accompagnée de Gallienithyris elliptoides (Moesch) et G. berlieri Rollet,
dans le faciès à bivalves où cette dernière espèce est abondante.