Très intéressant.
Dans l'hypothèse d'un fluide qui aurait attaqué les béryls, est il possible qu'il est attaqué ces derniers (c'est quand même costaud a dissoudre) sans dissoudre les autres silicates (en se basant sur l'aspect des autres minéraux dans les poches hors topaze) ? Ou alors on a corrosion avant l'arrivée des autres minéraux ?
Et dans le cas de croissance compétitive, si on extrapole en considérant la paragénèse classique a béryls dans les pegs on a, par ordre chronologique, béryl, puis feldspaths et quartz tardifs. Dans l'hypothèse où le béryl aurait crû au seins de l'argile, comment ce fait il qu'on ait pas d'inclusions argileuses dans les quartz et feldspaths, ni de figures de croissance compétitive ?
L'hypothèse type mont d'Ambazac est elle envisageable (gros béryls a partions gemmes qui résistent mieux à l'altération et qui finissent libres dans l'argile résiduelle de l'altération) ? Ça pourrait bien expliquer figures de dissolution. Ça me paraît également bien expliquer le fait qu'il n'y ait jamais de gangue suit ces héliodores.
Je m'en vais de ce pas lire le papier cité par phoscorite.