JULIO Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 Bonjour je suis un petit nouveau je suis pas géologue mais je travail dans une carrière (amphibolite) recemment nous avons remarquer une pierre étrange noir polissable qui d'après ce que j'ai lu et vu pourrait être de la dolérite.J'aurais aimé savoir comment l'identifié exactement et comment je peux connaître l'étendue du filon. MERCI Citer
SimonA1107331 Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 HAAA ! je comptait le faire se sujet ! a plusulien on trouve de la dolérite ! cette pierre a été utilisé au moyen âge pour des haches on en trouve un peu partout en france tous de plusulien ! Citer
cactus Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 bonjour, les haches en pierre, c' est plutôt à la préhistoire, il me semble! Pour connaitre l' étendue du filon, je ne vois que des sondages. Citer
plusketroipiésoutair Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 Ben tu peux toujours mesurer la puissance de filon (épaisseur) et voir s'il traverse tout le front de taille, sur quelle longueur, ou s'il se termine. Citer
phénacite2 Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 "les haches en pierre, c' est plutôt à la préhistoire, il me semble!" Non aujourd'hui encore il existe des passionnés qui en fabriquent !!! mais sans problème, effectivement matériel très résistant !! A+ Citer
Kayou Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 Roche magmatique (entre gabbro et basalte) avec plagioclases clairs en baguettes, englobés par des pyroxènes sombres. Aspect verdâtre. Photos: échantillons de Turquie, zone des nappes d'Antalya/Taurus. Une dolérite/diabase polie. surface brute Citer
SimonA1107331 Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 "les haches en pierre, c' est plutôt à la préhistoire, il me semble!" Non aujourd'hui encore il existe des passionnés qui en fabriquent !!! mais sans problème, effectivement matériel très résistant !! A+ entierrement de ton avis !C'est d'un passioné de la préhistoire que je connais çà et il en à fait une en dolérite en ...+20H et sans tricher (sans machines ... ) Citer
3frangin Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 Bonjour, haches en dolérite de Plussuliens 22 à plus ............... Citer
trenen23 Posté(e) 5 novembre 2010 Signaler Posté(e) 5 novembre 2010 Par contre, les haches en dolérite ne proviennent pas toutes de bretagne, certaines limousines ont été fabriquées à partir de dolérites limousines Serge Citer
phénacite2 Posté(e) 15 novembre 2010 Signaler Posté(e) 15 novembre 2010 Absolument Serge ! certaines du massif Central proviennent même d'un gisement des Alpes italiennes !! sacré commerce !! Citer
Next50MY Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Bonjour Augustin, tu as deja fait de l'acquisition WL dans les dolerites, ou dans du critallin d'une maniere generale ? et question generale : comment fait on pour distinguer les haches polies anciennes des "actuelles" ? Citer
Augustin Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Oui déjà croisé de la dolerite dans un contexte sédimentaire (sous forme de dykes plus ou moins épais), affectant les alternances de grès et argiles. Le contraste, vis a vis des mesures mise en œuvre, était assez important lorsqu'un puits en contenait. Suite en MP si tu veux en savoir plus... Citer
Next50MY Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 pour l'anecdote j'en ai foré sous les gres du Karoo Botswanais lors de la campagne d'alimentation AEP de Gaborone en 1990. je ne me souviens plus de la reponse diagraphique (importance du rat hole ??), mais je sais qu'il y a probablement eu des articles sortis sur le sujet... si quelqu'un retrouve ? ca rappelera de bons souvenirs. Dans ce secteur localisé au coeur du Kalahari a mi chemin esntre les R. metamorphiques du Waterberg au Sud et les Stornberg lavas au Nord, le "socle Doleritique" constitue une importante discontinuité sous les gres Permo Trias aquiferes, peut etre de l'intrusif en sill ??? Sur les dolerites Bretonnes, quelques sites web, dont Geoforum et l'universite de Bretagne Ouest + association partenaire: http://www.geoforum.fr/uploads/monthly_08_2008/post-4411-1219803655_thumb.jpg&imgrefurl=http://www.geoforum.fr/topic/6663-origine-des-filons-de-dolerite-en-bretagne/&usg=__YqP3H4_YNf-HxWRv90oUll6qAeE=&h=465&w=310&sz=34&hl=fr&start=11&zoom=1&tbnid=pdsQQbVb2-DaIM:&tbnh=128&tbnw=85&ei=eR5FTe-uNcW1tAaT643nDQ&prev=/images%3Fq%3DDolerite%2Bfilon%2Bcarriere%26hl%3Dfr%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1&itbs=1 http://sgmb.univ-rennes1.fr/sortie07.10.06/volcanscrozon/raguenez.jpg&imgrefurl=http://sgmb.univ-rennes1.fr/DOSSIERS/activites/textes/CRCROZONVOLC.htm&usg=__yDENvd37It2yZQQ7pBTfJZKepmQ=&h=823&w=1082&sz=243&hl=fr&start=9&zoom=1&tbnid=7sbbOsowkfNvPM:&tbnh=114&tbnw=150&ei=3glFTcLRAoOEswbb_IXbDQ&prev=/images%3Fq%3DDolerite%2Bfilon%2Bcarriere%26hl%3Dfr%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1&itbs=1 http://sgmb.univ-rennes1.fr/sortie07.10.06/volcanscrozon/raguenez.jpg&imgrefurl=http://sgmb.univ-rennes1.fr/DOSSIERS/activites/textes/CRCROZONVOLC.htm&usg=__yDENvd37It2yZQQ7pBTfJZKepmQ=&h=823&w=1082&sz=243&hl=fr&start=9&zoom=1&tbnid=7sbbOsowkfNvPM:&tbnh=114&tbnw=150&ei=3glFTcLRAoOEswbb_IXbDQ&prev=/images%3Fq%3DDolerite%2Bfilon%2Bcarriere%26hl%3Dfr%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1&itbs=1 http://sgmb.univ-rennes1.fr/sortie07.10.06/volcanscrozon/raguenez.jpg&imgrefurl=http://sgmb.univ-rennes1.fr/DOSSIERS/activites/textes/CRCROZONVOLC.htm&usg=__yDENvd37It2yZQQ7pBTfJZKepmQ=&h=823&w=1082&sz=243&hl=fr&start=9&zoom=1&tbnid=7sbbOsowkfNvPM:&tbnh=114&tbnw=150&ei=3glFTcLRAoOEswbb_IXbDQ&prev=/images%3Fq%3DDolerite%2Bfilon%2Bcarriere%26hl%3Dfr%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1&itbs=1 Citer
Augustin Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Par rapport aux autres formations, chute quasi totale du GR, augmentation significative de la résistivité (fonction toutefois du degré de fracturation), augmentation de la densité (proche de 3) et baisse de la porosité (là encore fonction de la fracturation) entre des grès a 25-30% et des argiles avec une porosité surévaluée par leur minéralogie. Peut être le même contexte que toi, il me semble que le sédimentaire est daté de la même période, avec remontées sous forme de dykes et de sils effectivement. Les rares puits qui ont atteint le socle ont montré plutôt un socle granitique. Bassin côte ouest de Madagascar, pour la localisation. Citer
Augustin Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Après pour la dolerite en contexte cristallin, je pense que les contrastes seraient moins évident sur les résultats. Si tu as des infos dans ce sens, je suis preneur. Dur de trouver des publications sur les diagraphies en cas pratique... Citer
Next50MY Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Merci pour l'info, ca parait logique avec des Hornblendes en pagaille et l'absence de K, sauf que les dolerites Botwanaises etaient ultra chloritisees avec des evidences d'alteration supergenes, ce qui doit influencer la reponse densite Neutron et en particulier oui la porosite Maintenant pour avoir des precisions faut rechercher en anglais. A l'epoque j'avais le temps d'ecouter des conf de la Botswana Geoscientists Assoc et il y avait des calibres en minier. Ils ont du sortir des papiers sur le sujets. mais c'est resté a tirage limité restreint aux membres... prospecter sur le web, dans les dolerites il y a des terres rares si me souvenirs sont bons... quelques personnes connaissent le sujet dans le secteur ! Si tu as des entrees chez De Beers ou chez les soc auriferes, etc .... beaucoup de WL chez eux a mon avis. En plus tous les moyens etaient bons pour certains d'acquerir des data a l'epoque !!! Citer
Cedrick Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Plus economique que les sondages pour connaitre l'etendue de ce filon: les methodes geophysique de sub-surface comme la resistivite. Pas evident que les contrastes entre amphibolite et dolerite soient ici tres forts. Mais si il y a un petit profil d'alteration ca peut faire ressortir les epontes du dyke sur la tomographie electrique. Contrairement aux petroliers les miniers utilisent tres peu le WL (sauf cas particuliers comme l'uranium et la potasse). Citer
Augustin Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Une situation que je verrai bien changer... Citer
Next50MY Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 on peut souhaiter a Augustin d'obtenir des contrats dans le minier, a Madagascar par ex! paradis des mineralos Au Botswana, j'avais visité un workshop avec des carottes exposees pour la BGA, me souviens plus pour le WL mais c'est surprenant qu'ils n'en fassent pas... et en effet je me souviens avoir vu de la geophy aeroportee (aero mag ?) au dessus du Kalahari... Mais Cedrik a raison de signaler que c'est pas un logging qui va resoudre la question de depart a faible cout (sauf ristourne speciale d'Augustin ?) : En revanche moins cher = un geologue, une carte et une boussole pourraient deja apporté des elements de reponse sur l'orientation. As-tu une photo de la carriere ? et une localisation du site ? Citer
Augustin Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Effectivement le mag aéroporté reste un outil précieux! De bons géologues derrière et c'est parti. Citer
Next50MY Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 La chasse au dyke est ouverte Augustin, Cedrik faut se faire un plan ULM au dessus de chez Julio je verrais bien F....ot comme pilote chasseur de dolerite avec ses cubes cristallo en bois. ------------------------ sur le net on trouve tout maintenant : revoici le Botswana, son Waterberg et ses vieux dykes cartographiés en aero mag, dommage qu'on n'ait pas la carte en ligne Emermana S.H. - 1991 - Correlation of a dyke swarn in southeastern Botswana with the Pilanesberg dyke swarm, South Africa a Transonic Systems, 34 Dutch Mill Road, Ithaca, New York 14850, U.S.A. An aeromagnetically mapped, buried, dyke swarm in southeastern Botswana is collinear with the Pilanesberg Dyke Swarm of South Africa. Further correlation of the two swarms is established by their common magnetic signature of double-peaked reversed anomalies with subsidiary highs to the south. The double-peaked anomalies are explained in terms of a two-stage emplacement process. The Pilanesberg Dykes have been dated at 1310±60 million years. They intrude the arenaceous strata of the Waterberg Group in Botswana, thus setting an upper age limit for the Waterberg. Quantitative modelling of the entire magnetic profile showed that it is not possible to explain all of the anomalies in terms of reversely magnetized dykes alone. A normally magnetized dyke swarm occupies the same zone of weakness and may be contemporaneous with the East-Rand Dykes, dated at 1120±45 million years. Citer
Cedrick Posté(e) 30 janvier 2011 Signaler Posté(e) 30 janvier 2011 Effectivement je n'ai pas parle de l'aeromag pour cause du prix eleve. Meme si ce sont des donnees publiques dans de nombreux pays, il y aura surement un probleme d'echelle. En Afrique de l'Ouest par exemple, ou les dykes basiques datant de l'ouverture de l'Atlantique resortent tres bien sur ces images. Sur certains des projets sur lesquels j'ai pu travailler c'est d'ailleurs l'outil de base pour detecter les dykes et sills invisibles a l'affleurement. Bien souvent ils reprenent des accidents d'age birrimien. D'ou la relation indirecte de ces dykes et sills avec les mineralisations auriferes qui pourtant les precedent. A l'echelle d'une carriere ce n'est pas non plus tres evident. Le dyke est il regional (dans ce cas il sera deja visible sur la carte geol du coin)? Il me semble plutot tres localise (decouvert pendant l'activite de la carriere). Citer
EricT Posté(e) 31 janvier 2011 Signaler Posté(e) 31 janvier 2011 Bonjour, En Bretagne, les haches polies, entre autres à partir de dolérites, ont été façonnées localement jusqu'aux périodes pré-révolutionnaires : elles peuvent donc très bien être sans problème de facture moyen-ageuse. La cartographie des champs doléritiques bretons a fait l'objet de nombreuses publications depuis les travaux de Barrois (entre 1880 et 1900 et notamment 1896 pour les dolérites - diabases) pour l'établissement des cartes au 1/80 000 et au 1/50.000 (pour les plus récentes : Velde, 1970; Bellon et al., 1985 et 1987; Lahaye, 1991, Lahaye et al., 1995, Le Gall, 1999, Egal et al., 1996, Egal et al., 2004). Certaines, dans l'ouest du Finistère (champ Kerforne) ont été datées aux alentours de 200Ma (Permo-Trias) et sont rapportées à l'ouverture de l'Atlantique Nord. D'autres, dans le département des Cotes d'Armor et dans le nord d'Ile et Vilaine sont considérées comme varisques s.l (aux alentours de 330MA - méthode K/Ar sur roche totale). en Bretagne, et quel que soit le contexte, elles sont toujours observées et dykes, jamais en sills; les analyses géochimiques les rapprochent de tholeïtes continentales dans la région de St-Brieuc et elles ont des signatures de basaltes dans la région de Pontrieux et plus à l'Ouest. En Bretagne, leur cartographie ne pose pas de problème de reconnaissance : ce sont des roches bien particulières, souvent sombres et très résistantes (on les reconnait très bien sur les estrans) où s'observent quasiment ubiquistement les lattes de plagioclases qui donnent la structure doléritique. Les filons se suivent généralement sur des distances hectométriques car ces roches ont généralement la particularité d'être moins facilement altérées que leur encaissant, ce qui les laisse en léger relief positif. Dans les premiers temps (feuilles 1/80.000), ces filons ont été dessinés avec des continuités cartographiques pluri-kilométriques : aujourd'hui, on a plus tendance à les segmenter et ne représenter les filons qu'aux endroits où on les reconnait réellement, et qu'aux endroits où leur puissance est pluri-métrique (il y a une quantité de filons non reportés sur les cartes 1/50.000 du fait de leur extension et puissances limitées). Dans la région du Cap Fréhel, il est interressant de constater qu'une cartographie des espèces végétales (INRA) permet de mettre en évidence ces filons (espèces calciphylles notamment)... EricT Citer
SimonA1107331 Posté(e) 31 janvier 2011 Signaler Posté(e) 31 janvier 2011 Bonjour, En Bretagne, les haches polies, entre autres à partir de dolérites, ont été façonnées localement jusqu'aux périodes pré-révolutionnaires : elles peuvent donc très bien être sans problème de facture moyen-ageuse. La cartographie des champs doléritiques bretons a fait l'objet de nombreuses publications depuis les travaux de Barrois (entre 1880 et 1900 et notamment 1896 pour les dolérites - diabases) pour l'établissement des cartes au 1/80 000 et au 1/50.000 (pour les plus récentes : Velde, 1970; Bellon et al., 1985 et 1987; Lahaye, 1991, Lahaye et al., 1995, Le Gall, 1999, Egal et al., 1996, Egal et al., 2004). Certaines, dans l'ouest du Finistère (champ Kerforne) ont été datées aux alentours de 200Ma (Permo-Trias) et sont rapportées à l'ouverture de l'Atlantique Nord. D'autres, dans le département des Cotes d'Armor et dans le nord d'Ile et Vilaine sont considérées comme varisques s.l (aux alentours de 330MA - méthode K/Ar sur roche totale). en Bretagne, et quel que soit le contexte, elles sont toujours observées et dykes, jamais en sills; les analyses géochimiques les rapprochent de tholeïtes continentales dans la région de St-Brieuc et elles ont des signatures de basaltes dans la région de Pontrieux et plus à l'Ouest. En Bretagne, leur cartographie ne pose pas de problème de reconnaissance : ce sont des roches bien particulières, souvent sombres et très résistantes (on les reconnait très bien sur les estrans) où s'observent quasiment ubiquistement les lattes de plagioclases qui donnent la structure doléritique. Les filons se suivent généralement sur des distances hectométriques car ces roches ont généralement la particularité d'être moins facilement altérées que leur encaissant, ce qui les laisse en léger relief positif. Dans les premiers temps (feuilles 1/80.000), ces filons ont été dessinés avec des continuités cartographiques pluri-kilométriques : aujourd'hui, on a plus tendance à les segmenter et ne représenter les filons qu'aux endroits où on les reconnait réellement, et qu'aux endroits où leur puissance est pluri-métrique (il y a une quantité de filons non reportés sur les cartes 1/50.000 du fait de leur extension et puissances limitées). Dans la région du Cap Fréhel, il est interressant de constater qu'une cartographie des espèces végétales (INRA) permet de mettre en évidence ces filons (espèces calciphylles notamment)... EricT ok Citer
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