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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

trenen23

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Tout ce qui a été posté par trenen23

  1. En plus le premier trilobite est tellement courant que ça vaut pas vraiment la peine de faire des moulages. Serge
  2. Si si sans problème c'est une spécialité locale ! Serge Super reportage ! Si tu savais Chantal, dans les années 83-84, à Puy St Gulmier, je laissais les cubes aztéques ou du moins je n'en ai pas ramassé beaucoup.... ce que je vouais c’était les bleus !!!! et j'en ai qu'une pièce, méga pignée de déblais.... Amitiés à tous, Serge
  3. Il n'y aurait pas du plomb ou du cuivre avec l'uranium ? Serge
  4. Et ben figure toi que j'étais samedi dans la sablière classée de Chanay sur Lathan dans les faluns et qu'ils ont laissé une zone libre à la gratouille, en demandant de respecter quelques règles et Ô surprise ! les ayatollahs de la réserve des Vaches Noires seraient surpris, pas de pillage ! aucun endroit touché en dehors de la zone ! je parle d'une couche où on a pu trouver des quenottes de mégalodons même si elles sont très rares. Comme quoi, pas besoin d'interdire tout, on peut réglementer. Serge
  5. Il me semble que la pseudomalachite est présente à Najac, par contre j'amais jamais vu l'olivénite, si je retrouve mes cailloux des années 80, faudra que je regarde. Serge
  6. La raison en est très simple, compte tenu des interdictions déjà existantes portant sur l'extraction que ce soit en falaise ou en estran, la question du pillage sur ce site ne se pose pas. En l'état actuel, seul peut se pratiquer le "glanage" des fossiles déjà dégagés par la marée. Pour connaître d'autres sites côtiers que sont la Pointe du Chay à La Rochelle et l’Île d'Oléron, aucun signe de pillage, et pourtant en sortent régulièrement des oursins entiers, des lys de mer entiers, des étoiles de mer plus rarement, mais les ceusses qui savent les trouver font très peu de travaux, ils observent attentivement et dégagent à partir d'indices et toujours à distance de la falaise. Serge
  7. Pour être membre d'une Commission Régionale du Patrimoine Géologique, les fonds dont on dispose pour la mise en valeur sont plus que restreints. Même au niveau de la Réserve Géologique de Rochechouart, ça ne financerait pas une équipe de recherche telle que ce qui serait nécessaire sur un site de ce type. Sur l'Ile d'Oléron, si personne n'avait regardé les fossiles de Chassiron, DinOléron n'aurait jamais existé et n'aurait jamais fouillé l'estran. Au fait, une équipe de recherche ? dois-je traduire par "des gens plus ou moins locaux bien introduits qui pourront préserver leur pré carré" ? Mais quand même, pour passer outre sans sourciller l'avis argumenté d'E. Buffetaud, de R. Allain et de quelques autres du même niveau, faut se traîner un putain de melon ? Serge
  8. Tu sais ce qu'ils te disent les Limousins ?...... Ben heuhh, Coucou ? Serge
  9. Bon c'est vieux, mais stibine avèze, ça peut aussi être la mine de la Dore, rive gauche de la Dordogne, plus près d'Avèze. Serge Jamesonite aurifère, d'habitude c'est plutôt Pontvieux. Serge Effectivement, c'est ce que j'avais vu quand j'y étais passé il y a fort fort longtemps. Serge
  10. Vu comme ça, je comprend pas mal de choses J'ai eu le même problème avec un bois fossile de Chassiron sur l'Ile d'Oléron, un mien copain m'avait conseillé de faire ce qu'il faisait avec ses fossiles de l'albien du Blanc Nez, séchage très progressif en atmosphère humide à la cave, quelques semaines après, un tas d'esquille .... Serge
  11. Bah tu sais une goethite, c'est une goethite ..... Serge
  12. Tu ne crois pas qu'on est un peu dans l’excès ? je ne vois nulle part d'analyses pouvant justifier un danger au broyage de roche du bajocien bathonien pour cause de teneur en thallium (à part des minerais, mais les gisement à teneur en thallium significative ne sont pas très courants). Sur l'exemple normand je ne vois pas d'analyse du thallium en roche ? Serge
  13. Sur le thallium du bajocien bathonien, voilà ce que j'ai trouvé, il semble que ces taux de thallium soient spécifiques à la Normandie. "La présence de thallium dans les eaux souterraines ne concerne pas uniquement l’aquifère du Bajo- bathonien mais s’observe également dans les aquifères du Trias et dans une vingtaine de forages captant les aquifères de socle du massif armoricain (cf. Illustration 4). Les trois départements de la région sont ainsi concernés. Les concentrations les plus élevées s’observent néanmoins principalement dans l’aquifère « multicouches » du Bajo-bathonien, dans le Calvados et l’Orne. Il est possible d’émettre plusieurs hypothèses sur l’origine du thallium présent dans les eaux souterraines de la région. Le thallium pourrait provenir soit (i) de l’aquifère lui-même, c’est-à-dire qu’il serait porté par des minéraux présents dans l’aquifère et qu’il serait mobilisé in situ via des processus physico-chimiques ; soit (ii) il est apporté par des fluides venant d’un aquifère ou aquitard voisin. Le thallium étant préférentiellement associé aux sulfures, l’hypothèse la plus probable serait d’envisager une remobilisation de cet élément par oxydation des sulfures présents dans les aquifères (associés aux pyrites par exemple), oxydation amorcée par apport d’agents oxydants (nitrates, O2 dissous…). Le relargage de thallium peut également se produire lors de la dissolution des oxy-hydroxydes de fer dans l’hypothèse où ces minéraux fixent le thallium en solution" Les données disponibles ne permettent pas d’identifier avec certitude l’origine primaire du thallium, même si l’hypothèse la plus probable serait le « socle briovérien ». La présence de thallium associé aux sulfures au sein des formations carbonatées pourrait expliquer la présence de thallium observé dans les forages quand les conditions d’oxydo-réduction permettent sa remobilisation. Les mécanismes ayant permis le « transfert » du thallium du socle vers les réservoirs carbonatés restent à définir (circulations post-paleozoïques de fluides minéralisés comme le laissent supposer la répartition des indices à barytine ?)"
  14. Ca m'évoque pas du tout de la goethite, on dirai des carbonates pris dans une faille et chargées en trucs noirs comme des mules. Tu as essayé un coup d'acide pour voir ? Serge
  15. On peut avoir des trucs bizarres: A la MCO des Fouilloux en Limousin (mine d'or) on avait des petites boules qu'on pensait être des carbonates, un copain a fait de la microchimie..... zéolite ?!, du coup on a fait un DRX....... talc ! Bon....
  16. trenen23

    Dépôt noir

    Le plus classique serait une fissure remplie d'oxyde de fer, plutôt goethite-limonite vu la trace. Serge
  17. C'est le plus fréquent ? Après pechblende ou coffinite, ce serait jouable ? Serge
  18. Ça dépend, du côté St Jean Pied de Port, c'est trapu et râblé..... Serge
  19. Ah oui c'est pas tout petit quand même ! Serge Ca part en plan incliné sur les premières photos ? Serge
  20. Ca vous ennuie si je supprime les gypses d'Angervilliers (qui n'est pas dans le secteur de La Union ou je dois réviser toute ma géographie...) de ce sujet ? Serge
  21. A l'aspect je pense que c'est une roche du socle (Gneiss ou quelque chose d'approchant) qui a été vitrifiée (donc action humaine) Pour l'acide chlorhydrique, si ça bullen c'est qu'il y a des carbonates. Serge
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