icarealcyon

Ces abeilles adorent les possibilités offertes par la menuiserie moderne semble-t-il, j'ai les mêmes chez moi. Une rencontre dans les Terres Noires, où il faut faire attention où on met les pieds, avis aux phacochères estivaux. Un Ascalaphe soufré

+1 avec Elasmo !

Il ne vous reste plus qu'à faire le tour des calcaires dolomitiques ou des dolomies de Corse

Il est quasiment impossible d'identifier le genre et à plus forte raison l'espèce sur ces cuspides isolées. Tout au plus, on peut dire que c'est du néosélacien (émailloïde lisse), pas de l'hybodonte, pour lequel l'émailloïde est nettement plissé.

Une Phylloceras. Pour l'espèce je passe mon tour.

On dirait bien une Procheloniceras, de l'Aptien inférieur. Belle bête. Il sera intéressant de remonter la contre-empreinte aussi. http://crioceratites.free.fr/descript_procheloniceras.htm Possible Colombiceras pour la dernière photo

Bonjour, c'est un Pectenidae, un bivalve nageur.

Ce n'est pas du dégagement, Fred, c'est de l'abrasion poussée !

Sur le spécimen de spdx, il y a une crête ventrale bien distincte sur la fin du tour.

Le nombre de côtes latérales connait une certaine variation, à diamètre identique, pour une "espèce" donnée, chez les Mucrodactylites. Pour en avoir récolté des dizaines de spécimens complets ou presque, je peux en témoigner. Le rapport épaisseur/diamètre est un critère davantage parlant. Beaucoup de ces "espèces" n'ont aucune réalité biologique, avec une infinité de types intermédiaires, c'est juste ce que j'appellerai une commodité de description . Par contre, les mucrodactylites à côtes simples, non bifurquées constituent de vraies raretés. Des mutants, ou peut-être une pathologie ?

Si les côtes bifurquaient, cela pourrait être des individus à rapprocher de ces espèces. Mais sur nos 2 spécimens, elles ne bifurquent pas, elles restent simples. Un peu comme celle des Aveyroniceras.

+1 pour moules internes

Bravo pour ces trouvailles Amédé, tu transformes l'idée qu'on peut se faire la Creuse ...

Bonjour, rhyolite de l'Estérel pour les roches rouges

La couronne de la dent, bien que rayée par endroits, n'est pas suspecte, c'est la racine qui est enduite de quelque chose ou carrément recréée. +1 avec Squalicorax Pour la netteté des photos: c'est perfectible, votre main est parfaitement nette, la dent, non. Il faut revoir la mise au point...

J'en ai récolté des strictement identiques ( couleur des fossiles, qualité de conservation, aspect du schiste-carton) dans les schistes-cartons défoncés par la construction d'un lotissement à Lanuéjols, Lozère, et dans le secteur de St Paul-des-Fonts en Aveyron. Mais les spécimens de la région de Holzmaden-Ohmden, qui sont contemporains de ceux des Causses, sont effectivement très comparables, et difficiles à distinguer; peut-être plus répandus sur le marché.

Oui, encore un qui est parti en vrille...

La partie non plane ne semble pas "taillée". Elle montre la surface classique aux verres lybiques. .

Probable simple concretion calcaire ou siliceuse si ce n'est pas un galet. Test dureté et HCL souhaitable. Pas un coprolithe en tout cas. Des tests préalables pour vos différentes demandes seraient un plus. Ainsi que le recadrage des photos.

Bonjour, votre ambre ressemble beaucoup à du silex ou une roche siliceuse type chaille. Quel est sa dureté ?

Bonjour, c'est un fragment de coquille d'un très gros Phylloceras, occasionnel et souvent fragmentaire dans les schistes- cartons des Grands Causses. Les grands Lytocetas de ces terrains ont une structure de surface plus "frisée", les fines côtes sont plus ondulées. Origine probable Aveyron ou Lozère pour votre pièce.

Plutôt fluorine violette, l'antozonite étant violet très foncé en transparence.

Bonjour, la couronne de la dent a l'air authentique, mais la racine ne ressemble pas du tout à de l'os, c'est une résine grossièrement modelée.

Les dents de poissons osseux ont le plus souvent un aspect ressemblant à ceci: attention ces exemples sont toarciens

C'est une possibilité, pas de certitude. L'identification des microrestes de vertébrés est bien plus épineuse que celle des ammonites. Il y a énormément de difficultés, sinon impossibilité, à les identifier au niveau du genre, quand elle ne sont pas complètes (convergence morphologique des cuspides), et presque autant quand elle sont complètes (parce que beaucoup de ces requins basaux se ressemblent fortement pour -certaines seulement parmi- leur dents, mais pas leur morphologie globale) Je rêve d'un document qui montrerait toutes les ratiches d'un requin infra-jurassique donné, ça faciliterait la vie. Si ça existe... Palidiplospinax: nouveau genre, dans lequel J KRIWET range Synechodus enniskilleni entre autres, sur la base de l'examen de spécimens complets...La bête entière quoi. On n'en a pas fini d'errer dans la nomenclature avec ces fichues ratiches. C'est très difficile de distinguer une dent de Synechodus d'une dent de Paraorthacodus quand elle sont complètes... Moi je renonce, pour peu que j'aurai essayé. Me reste le plaisir de les chercher, les trouver, les observer et les laisser à d'autres pour l'identification La taille de cette dent est dans la norme. Il y en a beaucoup qui sont encore plus petites. Quant aux ossicules dermiques, qu'il te sera également possible de rencontrer, les dimensions vont du tiers de millimètre, au millimètre pour les plus blindés.