Cedrick

Comment se passe le métier de géologue tous les jours? Quelques pistes: http://www.pangeaminerals.org/2009/04/09/metier-geologue-minier/ Je connais assez peu de métiers qui n’empiètent pas sur la vie privée. Mis a part le métier de fonctionnaire (et encore ça c’était avant...) ou d'ouvrier non-qualifié qui fait ses heures sur des taches ingrates en regardant la montre. En exploration minière par exemple, lorsqu'on est en mission de terrain, durant plusieurs semaines on a peu de moments a soi - voire aucuns...

Le secteur de l'exploration/exploitation minière est surement le seul qui te permettra de toucher a la minéralogie de manière quasi quotidienne. Pas de travail de labo mais plutôt du terrain.

Ou bien willemite. Il faudrait zoomer sur la partie cassée des groupes afin de voir la forme des cristaux eventuellement hexagonaux.

Ou pas! tout dépend de l'orientation du sondage vis à vis de celle du filon... ;-)

Surement dans le coin d'Ihosy (sud de Fianarantsoa).

Oui c'est le même filon, bien visible en face, à Cornus. La colonne riche en cuivre est malheureusement située uniquement à Falgayrolles.

Pour cette période relativement récente, la source la plus fiable (car pas interprétative), mais pas forcement la plus pratique a visualiser, est la base de données des photos aeriennes IGN. https://remonterletemps.ign.fr/

Oui certainement l'ancienne carriere de la Fage - le facies colle bien. A moins que ce ne soit celle encore visible au Sud de Monteils, dans un meandre de l'Aveyron.

Les calcaires de Caussade n’étant pas réputés pour ce genre de minéralogie, ce Monteils, c'est même l'Aveyron...

Pour le F la partie qui réagit a l'aimant est surement un chlorito schiste avec de la magnetite (microscopique).

Marrant ce débat sur la métallurgie des sulfures avec une mauvaise orthographe du soufre...

Le 47 pour Villeneuve!

vérifie tes MPs

Le point epingle ne correspond pas du tout a la localisation... Longer la riviere en rive sud tout simplement.

Le rapport d'Ad Boisse reproduit plus haut fut un des docs de base pour l'Inventaire de Pierrot et Pulou. Je suppose qu'ils ont fouille tout cela, car en tres grande majorite ils sont repris dans l'inventaire. Ceux qui ne le sont pas sont pour la plupart trop difficile a retrouver.

La Baume ou bien la Maladrerie ou bien encore d'autres petits filons autour de Villefranche. Difficile a dire.

Le format dependra de ceux qui deblaterent (ou pas) sur les forums. En gros la somme des bonnes volontes.

La nouveauté c'est de faire la pub de ces idées ambitieuses dans la presse. Ce qui est très maladroit... Un des principes de base du prospecteur est d’être actif mais discret. Grossière erreur des stagiaires et de leur maître de stage (a moins que ce soit juste pour faire du buzz autour de l'ecole en question).

De quel coin cela provient-il? Certainement une peridotite serpentinisee avec magnetite. Meme si les gros cristaux ne sont pas de la magnetite, la serpentine est generalement riche en microcristaux de magnetite, d'ou le magnetisme.

La tschermigite semble s'être vaporisée...

Enduits de garniérite au sens large sur breche de serpentine avec ciment siliceux (quartz microcristallin). Provenance Nouvelle-Calédonie très très probable.

Superbes documents. Plans et photos de la laverie établie à Gazeau, rive gauche du Lot, en aval de St Martin de Bouillac, mines de la Vidale. http://www.pangeaminerals.org/2016/07/29/la-mine-de-la-vidale-aveyron/

Rare documents en effet. Merci de les partager.

Ah Ah! Je n'ai pas tout lu, mais un tel debat sur la petro de galets.... Une fois que vous serez tombes d'accord, il ne restera plus qu'a retrouver un affleurement pour remettre tout ca dans le contexte. Bref, amusez vous bien!

A Buzeins, les rutiles sont decrits en detail car sous forme de paleoplacer dans un niveau des gres autunien, il sont la source potentielle de l'antimoine sur ce gisement atypique de stibine (Parent et Roger, 1968). Mais pas de cristaux interessants pour le collectionneur - ce sont des grains. D'apres Parent et Roger, la stibine est tres souvent pseudomorphosee en stibiconite, plus rarement en valentinite et senarmontite. Fuchs (1964) signale la cervantite, Vincienne et Durand (1939) la kermesite.