OK, ce je crois comprendre, c'est que l'on voudrait, idéalement, que toutes les propriétés mesurables du terrain traversé présentent simultanément une discontinuité assez nette à l'interface sol / sous sol. Je ne vois aucune raison pour qu'un systeme pédogénétique se plie a cette règle un peu militaire, qui voudrait qu'une variation dans l'activité organique, perceptible par exemple via la pression partielle de CO2, coïncide miraculeusement avec une variation des propriétés mécaniques, perceptible a travers la vitesse du son, ou a un niveau piézométrique particulier. Bref, la définition opérationnelle du sol en termes d’épaisseur va dépendre de ce que vous mesurez.
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