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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

icarealcyon

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Tout ce qui a été posté par icarealcyon

  1. Bonjour à tous les amateurs de minéraux uranifères. J'ai bien lu les interventions précédentes au sujet des précautions de base en ce qui concerne ces minéraux un peu spéciaux. Voici mon sujet de préoccupation: j'ai un certain nombre de pièces de quartz, d'orthose, tourmaline et autres provenant du massif de l'Erongo (Namibie) porteuses, parfois en grande quantité, d'enduits noirs pas déterminés et d'opale hyalite hautement fluorescente en vert fluo. J'ai lu çà et là que cette fluorescence de l'opale est due à des uranifères. Quelqu'un saurait-t-il la radioactivité potentiellement dégagée par de tels échantillons ?Je n'ai jamais eu l'occasion de la mesurer, je m'inquiète un peu quand même. Il y a pour quelques centaines de grammes tout au plus, moins d'un kilo, de substances minérales potentiellement concernées dans cet ensemble namibien. Juste de l'opale hyalite fluo et ces enduits noirs (qui sont peut être tout simplement des wads, ce qui serait OK). Mais ils sont conservés dans une vitrine dans ma chambre...
  2. Intéressant ! Je vais essayer de repérer de telles structures sur le terrain, sur des exemplaires décortiqués.
  3. C'est une Paroniceras sternale, si le ventre est bien arrondi, sans tendance vers une section ogivale. Sinon, c'est une oxyparoniceras suevicum.
  4. Bonsoir Kloklo81, un seul, mais c'est un beau ! Pour quelque raison bien mystérieuse, dès qu'ils atteignent une taille supérieure à 2 cm, ils sont la plupart du temps très abîmés: trous, nodules de marne indurée, écrasement, corrosion avancée...Et en plus, les Paroniceras et Oxyparoniceras ne sont pas fréquents. J'habite sur place, et les individus présentés ci-dessus représentent mon "very best of", constitué à partir de 2003. Le jour où je trouverai une paro ou une oxy de plus de 3 cm impeccablement conservée sur les deux faces, j'arrose ça !
  5. L'histoire de cette étrange et fascinante famille est donc plutôt complexe ! Voici mes meilleurs spécimens d'Oxyparoniceras, Paroniceras et Onychoceras, auxquels s'ajoute un unique exemplaire de Frechiella récolté (non en place) dans la zone inférieure à bifrons: On commence par les Oxyparoniceras. D'après l'étude citée par Jjnom: -les oxyparoniceras les plus aplatis à carène tranchante sont O. buckmani -Un peu plus renflés à diamètre identique mais encore avec carène aigüe: O. telemachi -Encore plus renflés mais sans carène, tours ogivaux: O. suevicum. En récap, vue d'ensemble du profil de tout ce petit monde Oxyparoniceras: Les paroniceras (rangée du bas) récoltés quasiment tous dans la z. à variabilis sont assez similaires entre eux: P. sternale. le profil ventral est large et arrondi. Les onychoceras (ou des neoparoniceras ? là je suis un peu perdue du coup ) Je penche quand même pour Onychoceras: ils sont tous de la z. à variabilis, pas du supérieur. Pour finir, une pièce unique. Identifiée grâce à l'article ci-dessus, merci Jjnom : c'est une Frechiella, trouvée au même endroit qu'un individu lozérien figuré dans l'article. Pour l'espèce je passe mon tour
  6. Comme souvent pour les poissons de cette origine, il a été sévèrement abrasé sur le contour, ce qui efface les indices de nageoires dorsale, anale, pectorales. La partie antérieure du crâne manque. Difficile de se prononcer sur son identité, donc. Je ne penche pas pour Brannerion, le corps du spécimen est trop effilé pour ce genre. Je pense plutôt à un petit Notelops, sur la base de la forme et disposition des os de la région arrière du crâne, la petitesse des écailles et la structure de la caudale.
  7. Merci Jjnom pour cette documentation riche et récente ! De quoi lire ce soir
  8. Bonjour Gryph, super les paroniceras et oxyparoniceras. Ce qui m'impressionne chez ces deux genres, en plus de leur profil unique, c'est la régression observable de la suture. J'aurais toutefois un petit doute sur les spécimens 7, 8, 9 et 10. Ils sont très juvéniles donc je peux me tromper, mais un exemplaire au moins possède sa chambre d'habitation: le 10, et pour moi, il appartient au genre voisin nain onychoceras (forme differens-tenue). Ces minuscules ammonites sont effectivement difficiles à distinguer des jeunes paroniceras (souvent déjà un peu plus renflés à ce stade de croissance) et elles se rencontrent dans les mêmes niveaux. A la différence des paroniceras, ils présentent souvent la chambre d'habitation et surtout possèdent des côtes plus ou moins émoussées. Pour oxyparoniceras, deux espèces sont reconnues actuellement: O. telemachi à carène marquée, tranchante, et O. suevicum où elle est plus émoussée, contribuant à un aspect plus globuleux. Demain, je vais faire une planche illustrant les différences qui peuvent être rencontrées, visibles surtout sur la tranche. Le pseudo-test est parfois présent sur certains individus de paroniceras et oxyparoniceras: on voit qu'il est couvert de fines stries serrées, qui rappellent un peu l'ornementation du test des phylloceras.
  9. A propos de la variété de la fluorescence, j'ai trouvé ceci...https://www.fluomin.org/uk/fiche.php?id=29
  10. Merci pour cette identification bien étayée Jojo38 ! La personne (anonyme) qui a constitué cette collection entre les années 50 et 80 a dû aller collecter au Mexique, par elle-même ou en achetant des spécimens aux mineurs, ça parait de plus en plus évident au vu du nombre de pièces comparables. Le nettoyage d'origine de ces pièces était resté très sommaire, pas des spécimens de bourse minéralogique ! L'aspect de certains minéraux annexes (le quartz, la calcite) et la même argile plastique donnent quand même l'impression d'une parenté du gros bloc incolore (qui devient plus jaune à la lumière artificielle comme je l'ai constaté hier soir) avec la petite bleue. Peut-être un autre filon aux cristaux moins typés dans la mine de Naica, ou un autre site mexicain à la géologie comparable. Je vais chercher en ce sens. La couleur de fluorescence intense du bloc est vraiment peu ordinaire, cela pourrait éventuellement constituer une piste. J'en étais encore, il y a peu, au stade où pour moi une fluorine était fluorescente en bleu ou sinon, non... Les 2 El Tule identifiées plus haut sont rouge magenta, et cette dernière est blanc-jaune vif
  11. Bonjour Gryph, Non, ce sont bien tous, d'après moi, des Polyplectus discoïdes. Ils admettent une petite marge individuelle dans le renflement de la coquille, dans la densité de costulation (qui reste toujours très nombreuse et très serrée). On peut observer à l'occasion une légère tendance à la fasciculation de la base des côtes autour de l'ombilic, une vague ondulation des flancs (1,2,3,et surtout 9 sur ta planche). Tous ceux trouvés dans le Toarcien supérieur sont groupés dans P. discoïdes, pour une fois c'est simple comme bonjour ! Mais...(évidemment il y a un "mais" !) de rarissimes formes ont été rencontrées dans le Toarcien moyen des Grands Causses. L'aspect de ces polyplectus de la z. à bifrons et variabilis est décrit dans le tome 2 du Club Millavois de Géologie: ils sont relativement plus épais, avec des côtes plus larges et moins nombreuses que le P. discoïde classique; la forme trouvée dans la z. à variabilis présente une tendance à la fasciculation des côtes/flancs légèrement ondulés. L'ennui, c'est que des formes correspondant exactement à ces critères se trouvent également dans le Toarcien supérieur. Comme le rappelle le Club Millavois de Géologie, tous les intermédiaires s'y trouvent aussi (en Lozère, on en trouve de la sous-zone et horizon à thouarsense (obs personnelle) jusqu'au sommet de la Z. à aalensis (d'après R. JATTIOT et V. TRINCAL (2015). Dans les années 80, Jean GUEX avait mentionné l'existence de formes "T. moyen" de polyplectus dans la province méditerranéenne (Tyrol, Maroc, Portugal) rapportés à Polyplectus pluricostatus. Mais plus récemment, d'autres auteurs (JIMENEZ et RIVAS (1992) et KMENT (1998) considèrent que pluricostatus n'est qu'un variant de P. discoïdes, qui aurait donc connu une assez grande "longévité" (pour le Toarcien ) En résumé, ce sont des P. discoïdes aussi, facile pour la carte d'identité ! Donc, si les spécimens de polyplectus sont découverts dans un fond de ravine, tout en bas, dans un gisement couvrant tout le Toarcien, le doute sur leur niveau d'origine peut avoir un sens, à défaut de leur identité. Pour ma part, depuis 1986 et mes débuts dans les Terres Noires aveyronnaises, je n'en ai jamais trouvé en place dans le Toarcien moyen. Ce sont vraiment, on peut l'affirmer, des individus rares.
  12. Bonjour à tous, l'enquête sur la (les) provenance(s) de ces vieilles fluorines orphelines progresse: pour certaines, elle parait même bouclée . Pour le spécimen 1, j'ai poussé ma vieille bino russe et mon éclairage dans leurs derniers retranchements Excellent exercice, riche d'enseignement ! Je croyais qu'il n'y avait pas grand'chose... finalement il y a beaucoup de monde au revers de cette petite fluo bleue, tout est question d'échelle ! Je n'ai pas su mettre en évidence de la blende telle que je la reconnais d'habitude visuellement. Je me base sur le fait que le minéral métallique noir présent en grains ne montre pas de réflexions internes sur de très fins éclats détachés, ils restent complètement opaques. Ces éclats ont une cassure quelconque, pas de clivage. On dirait la cassure de la pyrite. De même, je ne suis pas arrivée à mettre en évidence de la galène de manière certaine. A un endroit peut-être, profondément corrodée, noyée dans des produits à éclat vitreux... Par contre, il existe des petites cavités, tapissées de cristaux gris/crème (cérusite/ anglésite ?) qui pourraient éventuellement correspondre à des cristaux de galène disparus. Mais surtout, j'ai observé au moins un cristal tétraédrique net très allongé, dégagé sur toutes ses faces, et du coup je me suis rendu compte que ce que je décrivais plus haut comme: est en fait la même chose, et ce n'est pas tant gris-noir que bronze plus ou moins foncé. Une autre fluo polysynthétique présente beaucoup de points communs avec cette petite bleue, et je pense donc qu'elles proviennent du même gisement. Même éclat vif de surface des cristaux, même argile plastique ocre extrêmement tenace ou indurée sur certains cubes, présence de calcite en enduit partiel, même cristaux de quartz hyalin en prismes allongés couchés. Je ne l'ai reçue qu'hier. La couleur réelle est plutôt incolore, pas jaune comme sur ma photo (la faute à mon APN, au soleil oblique, ou sa fluorescence ). Présence de cristaux systématiquement en briquets, incolores, posés partout sur la masse polysynthétique (plus de 3 kgs...et entièrement flottante) Il existe des nuages de toutes petites taches violet-bleu incluses, presque en surface, d'un côté de la pièce. A la bino: inclusions fluides allongées, chacune avec bulle, en profondeur dans la fluo ; très rares inclusions de sulfures en grains arrondis. Il n'y a pas de telles inclusions dans la fluo bleue, qui est gemme à part quelques rares voiles. En surface, certaines plages de cristaux en prismes allongés incolores ne sont pas du quartz, mais seraient gypse ou célestite. Au-dessous du bloc, une très petite cavité (5 mm) est tapissée de barytine lamellaire blanche, avec minéral noir en grains brillants en enduit partiel. Et là où j'éprouve ma plus grosse surprise, c'est sa réaction aux UV: un blanc-jaune très fort, bien rendu sur mes photos ! Je suis perplexe ! La pièce 1 présente pour sa part une forte fluorescence bleue indigo.
  13. Merci pour cette belle synthèse Elasmo !
  14. Mon p'tit Noël : une pièce malgache, Mandronarivo, province de Toliara. A la lumière solaire, la surface et surtout les arêtes des cubes présentent une fluorescence bleue qui magnifie le vert émeraude profond. En vrai, elle est plus intense que sur ma photo. De même, comme pour beaucoup de fluo, je n'arrive pas à rendre sa couleur de fond réelle avec mon Canon.
  15. Certains gastéropodes recouvrant leur coquille avec leur manteau quand ils sont actifs n'ont pas de périostracum mais une couche de nacre à la surface du test (pas irisée et aragoniteuse, c'est vrai) les Cypraeidés, les Ovulidae, les Olividae...
  16. pyb vainqueur de la course à l'identification d'un phylloceratidae bien peu ordinaire
  17. Il me manque la taille des spécimens pour être tout à fait sûre de mon avis, mais s'ils sont égaux ou supérieurs à 4 cm de diamètre, alors d'accord avec votre typologie, à 100%. C'est du très très rare ! Merci pour le lien !
  18. + 1 pour les inclusions de fines baguettes de schorl. Peut-être d'autres surprises à venir, pas encore visibles sur ces magnifiques quartz. Merci Antakari de nous faire superbement partager cette aventure al Sur !
  19. Je n'en sais fichtre rien. Il y a substance ionisante et substance ionisée, ok. Mais ce que je sais, c'est que la DCCRF a enquêté sur le cas de ces topazes bombardées à la fin des années 90. Apparemment la radioactivité" résiduelle" (sic ) constatée sur certaines pierres serait liée au mode d'irradiation, cf tableau suivant https://www.gems-plus.com/articles/topaze-traitements.html
  20. Pour les besoins de ce topic, j'ai trié mes phylloceratidae (je ne saurais assez vous remercier, vous tous contributeurs, pour m'avoir donné l'impulsion nécessaire à ce classement/rangement de ouf Voici donc mes meilleurs spécimens de phylloceras heterophyllum. Ils proviennent, pour les plus grands individus, des deux zones les plus susceptibles d'offrir plus de spécimens: zone à bifrons, et zone à thouarsense (horizons doerntense à fallaciosum et sûrement également au-delà, Jjnom), sans que je puisse détecter de notable différence morphologique. J'ai recherché sur ces individus les caractères présentés par Gryph sur un de ses spécimens, conduisant à faire le rapprochement avec C. thevenini (sillons très effacés sensibles surtout sur le pourtour ombilical) Je n'ai pas d'équivalent. Deux spécimens présentent de vagues sillons ou dépressions sensibles surtout vers l'extérieur du tour: le quatrième de la ligne du haut en partant de la gauche, et le premier à gauche de la ligne d'en dessous, mais ça n'en fait pas des calliphylloceras. Un zoom sur un petit individu présentant une belle épigénisation de la coquille Mes calliphylloceras présentent une certaine variation individuelle dans la profondeur du sillon et le renflement de la coquille, sans que ce soit lié à une évolution dans le temps. Conservatrices ces bestioles...Mais avec elles, j'ai retrouvé une drôle de bébête que j'avais un peu oubliée. D'après mes souvenirs, elle est du Toarcien moyen, sommet z. à bifrons/base de la z. à variabilis. Je vous la présente, si quelqu'un a une idée...
  21. Rien n'est simple ici ! c'est pourquoi j'ai présenté d'abord un hildoceras "fin de race" du sommet de la z. à bifrons, et ensuite des bien classiques de la zone moyenne, la différence ressortant davantage aux yeux. Entre ces deux horizons, la faune de bifrons présente de nombreux individus couvrant tout le spectre entre quadrata et angustisiphonata, avant de passer à semipolitum, la tendance "dominante" allant vers moins de formes évolutes et puissamment sculptées, et plus de formes plates, tendant à l'involution et au déplacement du sillon du tiers interne vers le milieu du flanc...Mais tout ce petit monde coexiste un bon moment dans sa diversité, surtout sensible chez les juvéniles. Il n'y a pas très longtemps, j'ai vu un grand individu hélas déjà trop corrodé, présentant cette magnifique morphologie quadrata dans un niveau élevé, où il n'y avait pratiquement plus que des formes plates et involutes. Je me suis dit, "Comme quoi, ils existaient encore !" Oui mais c'était la fin, et pour les autres elle approchait aussi .
  22. Voici maintenant une planche de juvéniles récoltés dans la zone moyenne à bifrons pour les trois rangées du bas, illustrant leur polymorphisme, et l'individu isolé en haut a été récolté dans l'horizon à semipolitum .
  23. L'individu 3 présente une ornementation forte, presque palmée, dans ses tours intérieurs. Il pourrait être rapproché du morphe quadrata, ainsi qu'un autre de dimensions et proportions comparables, même si légèrement moins évolute, qui correspondrait à un macroconque de diamètre équivalent au premier individu de ma planche ci-dessus (environ 10 cm).
  24. Voici maintenant des Hildoceras bifrons ss lozériens, tous issus du même niveau (sur 2-3 m d'épaisseur): zone, sous-zone et horizon à bifrons. Macroconques sur la ligne du haut, microconques sur celle du bas. La chambre d'habitation fait approximativement les trois quarts du dernier tour des deux plus grands individus, elle débute sur les deux derniers centimètres du tour du troisième individu. Les 3 microconques , avec un diamètre autour de 45 mm, sont très typiques. Bien que récoltés dans le même horizon, ils présentent tous les trois un degré d'involution légèrement différent.
  25. Voici un spécimen trouvé au sommet de la z. à bifrons/ base de la z. à variabilis, correspondant certainement à l'horizon à semipolitum. Il est tout à fait typique des ultimes hildoceras. D'après mon expérience, il remplirait assez bien les critères de semipolitum. La chambre d'habitation est présente mais est écrasée comme souvent pour les hildoceras de ce niveau (diamètre: 40 mm à la dernière suture). On remarque bien la minceur, l'atténuation de la costulation et même du sillon. Quant au degré d'involution, il est bien perceptible sur la zone cloisonnée, toutefois la chambre d'habitation présente une légère tendance évolute, mais tout en conservant couverte la zone extérieure au sillon du tour précédent.
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