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icarealcyon

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Tout ce qui a été posté par icarealcyon

  1. C'est une probabilité raisonnable. Carène creuse >phlyséogrammoceras. Mais toujours difficile de se prononcer sur de très jeunes spécimens. Les podagrosites ont également une carène relativement élevée (cf 2è spécimen sur la rangée du bas de ma planche), par contre chez ces derniers elle semble pleine. Mais elle n'est presque jamais conservée sauf partiellement. Voici un très juvénile podagrosites, à peine plus grand que le n° 1 de Gryph, qui a conservé quelques irisations et sa carène intacte
  2. J'ai tiré le portrait de mes podagrosites tout frais traités , certains attendaient depuis 2007 et j'ai eu de la casse. Pas beaucoup, mais des beaux. Enfin.... voici une sélection de bien classiques, "latescens" pour tous à priori, sauf peut être celui du milieu ( cf. podagrosum) et aussi peut-être les deux plus grands du rang du haut, qui pourraient se révéler être en fait des Pseudogrammoceras subquadratum ou des Phlyséogrammoceras rouvillei car le sillon tend nettement à se combler vers la fin du dernier tour. sinon, de flanc, la similitude est parfaite, non ?
  3. Il y a de grandes chances que l'on ait là un spécimen de P. podagrosum ! La nuance entre section subquadratique et section subtrapézoïdale m'échappe un peu pour départir les spécimens de ce très beau genre entre bodei, latescens, pseudogrunowi, mais la forme podagrosum se distingue par ses côtes fortes, espacées, légèrement irrégulières. Cela me parait bien être le cas pour cet individu. Ce que je remarque (à titre tout à fait perso) c'est la relative convergence morphologique de ces podagrosites avec les pleuroceras du sommet du Domérien. 7 et 8 sont des très jeunes individus. L' ébauche de sillons péricarénaux est bien nette. Présence de côtes fourchues mais ça ne veut trop rien dire, le polymorphisme peut être marqué chez des juvéniles. La section du tour est par contre on ne peut plus ovale. Mystère... Y'aurait-il des hybrides avec grammoceras chez ce petit monde ?? Sinon, il existe une espèce de phlyséogrammoceras qui présente un méplat le long de la carène, c'est Ph. rouvillei (Monestier) qui peut être difficile à distinguer de Pseudogrammoceras subquadratum, sinon que chez ce dernier, ce sont de simples bandes plates. Entre bande plate, méplat et sillon plus ou moins net....Encore une fois, le diable est dans les détails
  4. 31 janvier à l'aube, dans le Valdonnez en Lozère. C'est le grand blanc !
  5. Bonjour Gryph, là je pense qu'on a affaire à un des plus grands nomades de la nomenclature toarcienne, Osperlioceras reynesi, ex-pseudogrammoceras et ex-pseudolioceras et c'est peut-être (sûrement) pas fini.... Il était marqueur d'horizon chez Monestier, zone 4 du supérieur, au-dessus de l'horizon à dispansum. C'était un bon choix, car il est bien reconnaissable, souvent très joliment conservé. Je me souviens d'en avoir trouvé des rouges dans un gisement près des Rives, dans l'Hérault. En Lozère, j'ai également trouvé des individus arborant cette belle conservation en pyrite à patine rouge.
  6. La 15, P subquadratum sans problème. Vue de flanc, cette très belle espèce ressemble aux podagrosites, mais la carène n'a pas de sillons, juste une bande lisse. Pour la série 16 à 22, il y a des P. pseudostruckmanni juvéniles mais peut-être aussi s'y sont glissées des physeogrammoceras dispansum juvéniles. Tout est dans la subtilité: pseudostruckmanni a des côtes fasciculées et flexueuses, tandis que dispansum des côtes polyfurquées et falciformes
  7. La 13: difficile de se prononcer, je n'ai pas d'équivalent parmi mes bêtes. D'après les descriptions de cette espèce dans mes bouquins, je pencherais plutôt pour P. bingmanni, à cause de l'ombilic relativement ouvert pour un pseudogrammoceras, son épaisseur marquée, et pas de tendance à la fasciculation. La paroi ombilicale est plus fortement inclinée que chez les P.fallasiosum. C'est une forme beaucoup plus rare. Pour la 14, j'ai des formes comparables locales. Selon moi il s'agirait plutôt de P. pseudostruckmanni: côtes fortes, avec tendance à la fasciculation créant de légères ondulations des flancs près de l'ombilic. Les flancs sont relativement bombés, et l'épaisseur plus marquée que chez P. fallaciosum. Ah là là la magie de ces terres noires ....J'y ai déjà rencontré un loup, je pourrais y rencontrer aussi un citoyen du Soleil Levant En plus ils font de superbes planches ! J'adore le petit dispositif pour pouvoir présenter la zone ventrale des ammonites. Genre agrafe serre-document ?
  8. Je suis d'accord avec cette identification. Parfois, certains spécimens sont conservés avec leur carène intacte, et celle-ci est une véritable lame ! Je ferai des photos demain. Voici deux Physeogrammoceras dispansum avec la carène bien conservée ! J'allais les oublier celles-là . Second marqueur de zone du Toarcien supérieur, succède à la z. à thouarsense.
  9. D'après moi oui, ce serait bien un Pseudogrammoceras doerntense, typique comme tous ses copains sur cette planche, à part éventuellement le n°3 (sur la ligne du haut à partir de la gauche) qui se détache un peu des autres, tout en ayant la même origine stratigraphique: entre 1 à 3 m au-dessus du deuxième banc discontinu marquant le début du Toarcien supérieur. Tous les autres répondent à ces 2 critères de doerntense: tendance à la fasciculation, côtes plus ou moins élevées alternant avec des intercalaires. Ce type d'ornementation s'accompagne systématiquement d'une épaisseur légèrement plus sensible que les grammoceras qui leur succèdent, les thouarsense-striatulum. Ces formes plus anciennes cohabitent, à leur sommet, avec les tout premiers thouarsense-striatulum. C'est un peu plus longtemps le cas pour les petites formes de ma planche 3, certes peu épaisses, mais pas à flancs plats pour autant, autrefois rapportées à G. comptum et qui sont maintenant rattachées à G. thouarsense... Dans les faits, j'en trouve effectivement avec ces derniers, le plus souvent à la base, mais plus souvent plus bas, avec les doerntense quand il n'y en a pas encore de thouarsense ss.
  10. Dans les mêmes niveaux que G. thouaresense, je trouve également ces pseudolillia (?) locales, plus fines et plates que les podagrosites. Un type est bien déterminé, typiquement avec des tours jeunes épais lisses, puis des côtes relativement droites, parfois groupées par 2, section du tour rectangulaire, carène bordée de deux sillons. Un autre type pourrait presque passer pour un grammoceras ou un pseudogrammoceras à la seule vue du flanc, s'il n'y avait pas cette carène bordée de sillons bien nets.
  11. Je vous présente des grammoceras récoltés chez moi. Sur ces trois premières planches, les plus bas dans la série. Ce ne sont pas encore tout-à-fait des thouarsense ou striatulum; plus grands en moyenne que ceux-ci et légèrement plus épais, aux tours bien ovales; la costulation admet une relative variété. Il existe également de plus petites formes chez ces grammocéras du début. Voici maintenant des grammoceras qui peuvent entrer dans la série G. thouarsense-striatulum, admettant tous les intermédiaires, au point que composer cette planche a été difficile, le but souhaité était de présenter: -des G. thouarsense bien nets dans la ligne du haut (flancs plats, tour élevé, côtes saillantes) -des G. striatulum nets également (flancs plus arrondis, tour ovales, associés à une ornementation plus fine - ou plus "fondue") sur la ligne du milieu, -des grammoceras à caractères intermédiaires sur la ligne du bas: flancs arrondis avec costulation plus forte, flancs plats avec costulation atténuée, etc.. Détail d'un individu particulièrement finement conservé: plutôt G. striatulum ?
  12. Les clefs de différentiation entre G. striatulum-penestriatulum et thouarsense sont essentiellement: l'épaisseur, relativement plus forte chez G. striatulum, et la paroi ombilicale qui est plus faiblement inclinée chez G. thouarsense; d'où une section plus haute et plus comprimée. De nombreuses formes de passage existent entre ces deux "pôles", ce qui rend l'affectation de certains individus difficile. Grammoceras comptum se distingue plus nettement, ainsi que G. doerntense, (mais ce dernier serait en fait un pseudogrammoceras, on se demande bien pourquoi ??) en plus de la position stratigraphique de ces deux derniers, plus bas que G. striatulum et thouarsense.
  13. Bonjour, une photo rapprochée genre macro-photo bien nette aide à mieux caractériser les détails une pierre, et donc elle aide à l'identification. 1/ pyrite, 2/cornaline ou agate teintée orange, 3/ pierre-de-soleil ( "héliolite", oligoclase ) 4/pyrite. Dans ce cas, leur valeur ne peut être qu'affective .
  14. Dans ce cas, on devrait logiquement en rencontrer dans ces niveaux, des grands germaini. Je n'ai jamais rencontré cette forme-là , même à l'état de fragment, telle que rapportée dans la doc de Gryph, dans les niveaux où l'on peut trouver A. coarctatum. Le seul lyto de grande taille que j'y ai rencontré est du type Lytoceras jurense: section du tour bien ovale sinon elliptique, très moyennement évolute (ou mieux dit : tendance à l'involution marquée), vagues dépressions par endroits sur les flancs qui ne méritent pas le terme de constructions, de 15 à 20 cm de diamètre. Je regrette de ne pas avoir actuellement de spécimen adulte à vous présenter. J'en avais trouvé un excellent, à la fin des années 90, mais je l'ai donné à ma commune et il a été détruit à cause de conditions de conservation non appropriées . J'en ai trouvé d'autres depuis, mais toujours très corrodés, moins fins dans les détails et j'ai dû les remettre dans la nature pour ne pas contaminer les autres spécimens. Par contre, je pense disposer d'au moins 2 bons spécimens juvéniles de L. jurense.
  15. Encore une piste possible pour ces petites bêtes 11 et 12 : Ici, le Toarcien marneux a une épaisseur de l'ordre d'une centaine de mètres. Il présente toute la série: 6 zones, 15 sous-zones et 26 horizons. Comme Gryph, je me contente de ramassage de surface, donc les fossiles trouvés ne sont généralement pas en place. Après de fortes pluies, un bon épisode cévenol, il arrive que la marne "dure" affleure, et dans ce cas ils le sont. On peut constater alors que le déplacement subi est généralement faible sur ces pentes. Je trouve toujours les mêmes bestioles aux mêmes niveaux, à force j'ai fini par bien savoir à quoi m'attendre à tel endroit. Il n'y a a que celles qui ont été emportées par le ruissellement dans les ravines qui sont vraiment déplacées et mélangées. Mais du coup, à 99 % je sais d'où elles viennent ! Je suis d'accord avec cette identification. Parfois, certains spécimens sont conservés avec leur carène intacte, et celle-ci est une véritable lame ! Je ferai des photos demain.
  16. Ces précisions cernent le champ des possibles. La "prolifération" de lytocéras à constrictions sur le site des individus 1 à 9 ressemble tout à fait à ce que l'on constate au niveau que j'ai décrit pour mes spécimens: donc ce serait A. trautscholdi, très probable pour eux tous; La 10 est un juvénile de L. cornucopiae, bien typique de la z. à bifrons; la 11 et la 12 viennent d'un niveau élevé du Toarcien supérieur: d'après le contexte, tu te situes là clairement dans la z. à dispansum, sous-zone à H. insigne. A.trautscholdi possible aussi pour elles: c'est d'ailleurs leur niveau de référence d'après la doc ! Après, il faut passer en revue tout ce qu'il y a de possible en matière d'alocolytoceras dans les horizons à cappucinum, pachu et gruneri Alors, c'est quand même un souci: les nombreux individus qui accompagnent les premiers grammoceras beaucoup plus bas sont-ils vraiment des A. trautscholdi si la zone de référence de cette espèce est celle à dispansum ? On s'y trouve bien au tout début du T. supérieur, juste au-dessus des 2 bancs calcaires, où il n'existe plus aucun dactylioceratidae. J'ai du mal à comprendre que la remarquable densité d'individus dans ce niveau ait échappé aux chercheurs au point que personne ne la signale.
  17. Lytoceras sublinéatum, comme quoi on y perd son latin
  18. Je viens de retrouver ce pauvre Osperlioceras sp, difficile d'attribuer un nom d'espèce à ce spécimen tellement il est affecté par ses traumatismes. Il a été trouvé vers 1988 dans le Toarcien moyen de Cornus, Aveyron.
  19. Pas encore fait toutes les boites... Et en recherchant certaines, j'en retrouve d'autres ! Mais comme Gryph avec ses spécimens, je considérais les nombreux petits spécimens ocre à constrictions de la base du Toarcien supérieur comme A. dorcadis, sur la base de la description qui en est faite dans le tome 1 du Club Millavois de Géologie (hélas, le niveau n'est pas indiqué). Or, de tels spécimens sont décrits comme A. trautscholdi dans le "guide des ammonites pyriteuses" de R. JATTIOT et V. TRINCAL (2015), les A. dorcadis étant cantonnées au Toarcien moyen. J'ai trouvé des Lyto à constrictions (peu de spécimens et petits) dans les z. à bifrons et variabilis, il me faut juste remettre la main dessus ... . Sur le topic "Vos plus beaux fossiles pathologiques" , la re-découverte du jour ! un spécimen trouvé en Aveyron (secteur de Cornus) à la fin des années 1980, qui vaut le détour !
  20. C'est de l'entraide ! Et toutes ces bêtes te disent merci, ainsi qu'aux autres contributeurs. J'ai longtemps et fort injustement un peu négligé cet ensemble parce que je me suis davantage consacrée au Toarcien basal... et personne avec qui discuter de tous ces magnifiques fossiles ! C'est en train d'être réparé: nettoyage, traitement, classement, etc... de 15 années de trouvailles souvent réalisées sur le pouce. Pour moi, une sortie aux ammonites est possible avec 2 heures de libre, elles ne sont qu'à quelques centaines de mètres à vol d'oiseau... Mais de ce fait, il existe un biais dans ma collection: la sous-représentation de spécimens de la z. à dispansum et au-delà, car pour atteindre ces horizons je dois passer par tous les précédents, et donc je n'y arrive quasiment jamais, faute de temps !!! Grâce à ce fil, je (re)découvre des petits trésors dans mes boites. Je me rend compte aussi de spécificités locales. J'adore les Lytoceras ! Trouver un joli spécimen me met toujours en joie. C'est ainsi que dans la z. à variabilis, avec Mucrodactylites mucronatus, Osperlioceras bicarinatum et consorts, avec un peu de chance, on trouve parfois ces lyto épais, à tours surbaissés, Lytoceras subinéatum: voici deux petits exemplaires, et une (grosse) beauté, magnifique surprise lors d'une de ces sorties-éclair, après les pluies du printemps 2017, à croire qu'elle m'appelait au secours !
  21. Quelle magnifique torbernite !
  22. C'est bien ce qui me chiffonne: ce niveau à dispansum. Ici, sur "mes" 3 gisements habituels comportant du Toarcien supérieur, les A trautscholdi sont particulièrement bien délimités, dans un étroit niveau situé 1 à 2 m au-dessus du second petit banc calcaire discontinu qui marque ici le début du Toarcien supérieur. Il y a une (relative) profusion de petits individus, bien conservés, d'une manière homogène, curieuse, typiquement ocre. Ils côtoient les tout premiers grammoceras (de type doerntense). Dans deux sites, ils sont associés à des restes d'encrines. Cette abondance est d'autant plus frappante que les lytoceras en général sont loin d'être fréquents partout ailleurs. Chez mes A. trautscholdi, la section du tour est toujours elliptique et cela admet une certaine marge, dans laquelle je pourrais inclure le spécimen 12 de Gryph sans problème. Le nombre de constrictions est variable, de 1 à 6 chez mes individus. Voici une photo de ce groupe : Au-dessus (sous-zone à thouarsense), on trouve ces formes, au tour nettement plus circulaire, moins elliptique, et à l'aspect très boudiné: forme transitionnelle, et Alocolytoceras coarctatum. Elles sont rares. Dans les mêmes couches, on trouve parfois un grand lytoceras à section elliptique, flancs plats sans constructions: Lytoceras jurense. J'avais autrefois un grand individu bien conservé d'une quinzaine de cm de diamètre. La situation se complique nettement pour les formes trouvées dans le toarcien moyen. Dans la z. à bifrons et la z à variabilis, je trouve des grands spécimens de Lytoceras cornucopiae quasiment systématiquement écrasés, d'un diamètre entre 15 et 30 cm. Des petits et moyens individus pouvant représenter des juvéniles de L. cornucopiae. Et puis, il y a ces petites formes, manifestement des microconches, porteuses de côtes annulaires plus ou moins développées, voire tranchantes chez certains spécimens. Genre derolytoceras ou trachylytoceras... Je n'en sais pas plus en l'état de ma doc...Voici ces petites bêtes :
  23. +1 avec Jjnom Pour Gryph: tes spécimens collent bien avec Alocolytoceras trautscholdi. En Lozère, des petits individus montrent une relative abondance, mais sont extrêmement localisés dans les horizons à bingmanni et doerntense, au tout début du Toarcien supérieur. Ils dépassent très rarement les 25 mm -30 mm de diamètre. A. coarctatum semble prendre le relais ensuite, tout en restant une forme rare. Il peut devenir un peu plus grand (35 mm)
  24. Bonjour à tous ! A l'exception du spécimen 10 de Gryph, tous les Lyto présentés ci-dessus sont typiques de la base du Toarcien supérieur ! Le spécimen 10 est un petit L. cornucopiae probable (Z à bifrons pour celui-là !)
  25. Bonjour à tous les amateurs de minéraux uranifères. J'ai bien lu les interventions précédentes au sujet des précautions de base en ce qui concerne ces minéraux un peu spéciaux. Voici mon sujet de préoccupation: j'ai un certain nombre de pièces de quartz, d'orthose, tourmaline et autres provenant du massif de l'Erongo (Namibie) porteuses, parfois en grande quantité, d'enduits noirs pas déterminés et d'opale hyalite hautement fluorescente en vert fluo. J'ai lu çà et là que cette fluorescence de l'opale est due à des uranifères. Quelqu'un saurait-t-il la radioactivité potentiellement dégagée par de tels échantillons ?Je n'ai jamais eu l'occasion de la mesurer, je m'inquiète un peu quand même. Il y a pour quelques centaines de grammes tout au plus, moins d'un kilo, de substances minérales potentiellement concernées dans cet ensemble namibien. Juste de l'opale hyalite fluo et ces enduits noirs (qui sont peut être tout simplement des wads, ce qui serait OK). Mais ils sont conservés dans une vitrine dans ma chambre...
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