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icarealcyon

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Tout ce qui a été posté par icarealcyon

  1. Et des milieux littoraux densément végétalisés comme les actuelles mangroves, ça existait peut-être déjà, à l'Albien-Cénomanien ?
  2. Bonjour Gryph, le dos, ça va encore mais le problème rampant cette année, si je puis dire, c'est surtout une prolifération incroyable de chenilles processionnaires du pin. Il y en a absolument partout: dans les marnes, sur les abords, les taillis et les prairies, ou bien noyées en masses dans les fonds des ravines lors d'orages. Vivantes ou mortes, elles restent urticantes au contact, tout comme leurs nids. Il faut faire très attention où l'on se pose. Les enfants, les chiens et les chats sont les premières victimes de ces bestioles, parfois gravement en cas d'allergie. Censée se produire selon un cycle décennal, cette prolifération dure maintenant depuis plusieurs années en s'intensifiant et en progressant vers le nord. La limite est actuellement la bordure sud de la Margeride, vers 1000 m. Des millions de pins sont morts ou mourants sur les Grands Causses, entre Millau et Mende. Changement climatique, et plus assez de mésanges pour réguler ces chenilles ? Ce sont les seuls oiseaux insensibles à leur poils urticants et qui peuvent les consommer. Pour ma part, malgré ma vigilance, je récolte quand même à chaque sortie quelques piqûres, mais j'ai la chance de ne pas être allergique. Je suis retournée cette semaine sur la seconde lumachelle trouvée (L2), dans la partie moyenne de la zone à variabilis. Voici de nouveaux exemplaires, parmi les plus marquants: Du côté des requins hybodontes: dent à couronne basse-allongée montrant la face occlusale: Une autre présentée de côté, racine présente. Ces deux spécimens mesurent environ 2,5 mm de long: Dents multicuspides, 2.5 mm environ de hauteur: Ce type de dent est le plus fréquemment rencontré, mais l'exemplaire est relativement grand (3 mm) : Deux dents de raies primitives: 1.5 mm de long environ: Poisson osseux- c'est le type de dent le plus fréquemment observé: 1.5 mm environ Et pour finir, deux dents très étranges, au point que je les avais prises d'abord pour de grands ossicules dermiques, avant dégagement (2 mm)
  3. Bonjour à tous, voici un exemplaire de cérusite issu d'une découverte réalisée à M'Fouati (Congo-Brazzaville) vers 1977-1978. Les cristaux découverts étaient remarquablement et systématiquement maclés en "flocon de neige" (hauteur de la macle centrale: 24 mm). Plus aplaties que celles de la mine de Nakhlak (Iran), ces macles arborent une couleur ivoire similaire, et un éclat adamantin.
  4. Merci Kloklo, je confirme que c'est bien cette orchidée. Ce qui est étonnant pour le petit groupe observé, c'est la couleur entre violet intense et magenta des fleurs, quasiment unie.
  5. Oups, autant pour moi...il y en a déjà quelques-unes de fleuries, des orchidées. Sans doute un ensoleillement qui bat des records (comme le vent...) J'ai rencontré une petite colonie de celle-ci sur du terrain marno-calcaire. Hélas ma photo est mauvaise au niveau des fleurs (plein soleil : portable pas pratique) mais par contre on voit bien les taches violettes sur les feuilles de cette jolie espèce, d'une quinzaine de centimètres de hauteur.
  6. Magnifiques photos et vos connaissances botaniques sont impressionnantes ! En Lozère dans mon secteur et altitude (800m) les toutes premières orchidées ne sont pas encore écloses. Il faut attendre généralement la fin mai- début juin.
  7. Fantastique découverte, une de plus, dans cet ambre crétacé. A quand une ammonite avec les parties molles conservées?
  8. Merci beaucoup pour cette possibilité Nico, mais il y a déjà tellement de pain sur la planche aux alentours immédiats de chez moi, sans doute au moins pour une ou deux années de recherches dédiées ! Actuellement, je me maintiens dans l'unité de lieu, si je puis dire. Je ne me suis pas même encore rendue sur le côté nord du Causse de Mende, ni dans les secteurs à marnes toarciennes entre Mende et Marvejols. Par contre, il peut être bien sûr intéressant de faire quelques prélèvements dans ce spot aveyronnais et comparer la microfaune avec les spécimens de ce post, où j'essaie de présenter les objets les plus caractérisés que je trouve. Localement par exemple, la zone à bifrons présente plus de variété dans ce domaine que la zone à variabilis, qui, elle, donne plus de lumachelles et plus de dents.
  9. Merci Elasmo ! le genre Sphenodus admet donc des espèces déjà assez différenciées au Toarcien. Cette dent en "delta" (tout comme sa soeur jumelle) est remarquable par son contour d'émail quasiment transparent, effilé comme un rasoir. Et est-ce que j'ai juste pour les dents attribuées ci-dessus à des hybodontes ? En me basant sur les critères suivants: couronne à cuspides multiples, plus ou moins élevées mais toujours trapues et épaisses, à émail plissé plus ou moins fortement, plus ou moins haut sur la couronne. Voici encore un exemple (qu'on pourrait qualifier d'extrême) de ce que j'aurais tendance à classer "hybodonte": En contraste avec celle-ci, et trouvée dans la même lumachelle (la n°15): couronne élevée, élancée, émail plus lisse, cuspides latérales basses et tranchantes: du néosélacien, Orthacodonte ? Je n'ai trouvé des dents semblables à cette dernière que dans les 3 lumachelles actuellement répertoriées dans la zone à bifrons . Aucune de semblable dans la zone à variabilis (qui constitue le gros de la troupe), ni au-delà. Si on considère que chaque horizon du Toarcien au sens de J. GABILLY représente une durée moyenne de 200 000 ans, il y a eu le temps de se passer bien des choses entre l'horizon à bifrons et celui à thouarsense, entre lesquels se situent toutes mes découvertes à ce jour . Et justement, la lumachelle n°17 a été découverte ce jeudi dans la partie moyenne de la zone à thouarsense. Assez peu consolidée, elle est essentiellement formée d'articles de pentacrines, avec quelques bélemnites et fragments de bivalves, comme dans deux autres occurrences: l'une juste en dessous de la transition T. moyen-T. supérieur (la n°11), l'autre au sommet de l'horizon à thouarsense (la n°10). Aspect de la n°17 sur le terrain: Les dents y sont peu nombreuses, mais il y en a. En voici une ( Sphénodus), 4 mm de hauteur. Le fragment était exposé en surface depuis sans doute de nombreuses années dans un secteur stabilisé, couvert de micro-champignons. On remarque la corrosion subie par les articles de pentacrines, tandis que l'émail de la dent est demeuré intact. Mes expéditions sur le terrain se réalisent en fonction du temps disponible et la météo, dans un rayon de 5 km, sur des affleurements ne nécessitant pas un trop long délai d'approche. Je n'ai pas encore pu dégager assez de temps pour aller explorer dans ce but précis des affleurements plus difficiles d'accès. Il faut littéralement coller le nez au sol, au point que j'ai été survolée de manière répétée, avec attention et à quelques mètres à peine par une douzaine de vautours fauves ce jeudi ! L'ordre chronologique des découvertes, retenu pour coder les lumachelles, ne suit pas la stratigraphie, mais chacune est dûment répertoriée et classée après examen. Je vise par là à constituer un matériel d'étude aussi complet que possible. Bien évidemment, je suis preneuse de toute doc relative aux élasmobranches toarciens, et je vous remercie tous par avance pour cette aide, qui serait bienvenue !
  10. Voici d'autres exemplaires de ces dents à émail profondément plissé. Leur hauteur tourne en général autour de 2 mm, la plus grande trouvée mesurant 5 mm (n°3 dans la série ci-dessous) 3 dents du requin Sphénodus approchant le centimètre de hauteur de couronne: Possiblement: dents de requins hybodontes de formes différentes, selon leur place sur la mâchoire de l'animal: Et pour finir cette série, une jolie dent de requin trapue et coupante, inconnue dont j'ai trouvé deux exemplaires (2mm)
  11. Bonjour à tous, toujours ma box en vrac (au moins jusqu'au 17 mai mais dépannée provisoirement par une clé 3G qu'il a fallu aller chercher à Millau, à 90 kms ), voici une petite suite à nos aventures sous-marines en compagnie des riches faunes de l'étage toarcien. J'en suis actuellement à la reconnaissance de 16 lumachelles différentes, dont 3 dans la zone moyenne à Bifrons, horizon à bifrons. Nous avons abordé plus haut l'étonnant sujet des gastrolithes. J'en ai retrouvé à ce jour dans 6 lumachelles sur les 16, réparties dans la hauteur de la série. Particulièrement abondantes dans la L1 et la L12, elles sont toujours constituées de quartz plus ou moins pur. Seul varie le calibre (assez peu quand même) et le degré de brillant du polissage. Voici quelques exemplaires bien caractéristiques. Avec environ 300 spécimens, il m'est désormais possible de classer les dents de poissons en types bien distincts, ce qui pourra aider à leur identification... qui reste à réaliser. On peut y reconnaître des raies, des hybodontes et le requin moderne Sphénodus, ce dernier fournissant à lui seul toutes les plus grandes dents découvertes. Les poissons osseux sont plus difficiles encore. Pour certaines dents, très effilées, acérées et avec un émail très plissé, je ne sais pas si elles appartiennent à un poisson osseux ou cartilagineux. Voici des exemples de cette dernière énigme.
  12. Bonjour à tous, voici mes deux derniers bébés, acquis en salles des ventes à Marseille le mois dernier. C'est la première fois que je m'y risquais. Cette vente à thème "Voyages" réunissait des objets d'art, antiquités et minéraux d'Afrique centrale et ouest. Le résultat, c'est que, contre toute attente, j'ai pu réaliser deux rêves de gosse à un prix plus que satisfaisant: une dioptase de Renéville, Congo-Brazza et une rhodochrosite de Moanda, Gabon. Les deux - probablement anciennes, années 1970 ou avant- sont dans un état magnifique, aussi parfait qu'il peut être pour des pièces de ces dimensions: 16 X 12 cm pour la diop et 17 X 11cm pour la rhodo. De la couleur et de la lumière dans ce printemps gris !
  13. Bonjour à tous, en panne d'internet, téléphone, etc... depuis 5 jours et un FAI pas plus pressé que ça de réparer ma ligne, et la première boutique susceptible de me fournir une clé de dépannage se trouvant à une centaine de kms, je suis dans l'obligation d'économiser le peu d'accès qui me reste avec mon portable ( avec la 0,4G). Je continue mes recherches de terrain et celles-ci sont fructueuses. J'espère que la situation s'ameliorera dans le courant de la semaine prochaine, et que je pourrai partager mes nouvelles découvertes avec vous.
  14. Bonjour Gryph ! Voilà encore des types différents et nouveaux de radioles à ajouter à l'inventaire... Pour tes spécimens : ils datent du Toarcien terminal. Hélas, je n'ai pas trouvé de figuration de radioles des oursins toarciens dans la doc. Donc je reste dans le brouillard total pour identifier ceux, assez variés, dans mes diverses lumachelles, où les radioles sont un élément constant. Certaines sont très étranges: la radiole semble formée de 5 ou 6 tiges très fines rattachées autour d'un axe central et entres elles par de fins "ponts" de calcite. Souvent ces ponts se rompent et ces éléments se disjoignent, comme c'est visible sur cette photo, d'un échantillon de ma lumachelle n°9. Au niveau identification de mes dents, je fais du surplace. La plupart des articles du professeur DELSATE disponibles en ligne sont dépourvus de leurs planches . Pour le moment, j'y ai renoncé, faute de temps, et priorité donnée à la recherche et à la récolte des lumachelles. J'en suis à la n°11 C'est la seconde découverte à être essentiellement formée d'articles d'encrines, et elle appartient au même niveau que la première trouvée (horizon à vitiosa) qui ne se situe pas sur le même site. Malheureusement, je ne l'ai pas encore repérée en place; juste des petits fragments en éboulis qui me permettent de cerner la zone où elle se doit se trouver. Macroscopiquement, elle est fort jolie avec son semis de "petites étoiles". Les dents de poissons y sont présentes : 4 spécimens sur l'ensemble récolté. J'ai récolté tout ce qui apparaissait en surface et en éboulis pour la lumachelle n°9 (également horizon à vitiosa), prodigieusement riche en dents par rapport aux autres. Les moindres petites miettes ont pu donner des quenottes, et le filtrage des boues de lavage en a donné 6. Plus de 150 dents ont été détectées à la surface des fragments récoltés. C'est probablement, comme pour les lumachelles 1 et 2, le résultat d'une régurgitation d'hybodonte, comme le pense Gaël, ou bien de reptile marin trop glouton, à cause de la remarquable concentration en bélemnites. Mais aucun gastrolithe détecté dans celle-là, contrairement à la n°1 et la n°2 ! Voici un échantillon caractéristique, parmi les plus grands récoltés, pile et face, avec 7 dents repérées. La lumachelle n°10 est la plus haute à ce jour dans la série: horizon à Thouarsense. Elle se résume à 4 petits morceaux trouvée en éboulis, dont un contient une superbe dent trapue et multicuspide de 4 mm. Encore une de cernée, mais pas encore localisée. D De toute façon, le terrain reste très brouillé. Les pluies restent excessivement rares et n'on pas l'effet nettoyeur escompté. Le vent souffle comme dans l'Ouest américain...Voici un petit récapitulatif des 11 lumachelles échantillonnées à ce jour avec leurs niveaux.
  15. Certaines météorites (les hexaedrites ) ne presentent pas de figures de Wittmanstatten. Mais il y a toujours des lignes de Neumann.
  16. Bravo, belle série d'espèces infra-crétacées ! Les bélemnites étaient inventifs à ces époques-là !
  17. Il semble bien que ce soit le cas ici pour ma lumachelle n°1. Ces grains sont vraiment très particuliers. Leur taille varie peu, entre 1.5 mm à 2 mm, avec de rares exceptions pouvant aller jusqu'à 4 mm. A 90%, on a du quartz incolore à légèrement fumé parfaitement transparent, les 10% restants étant plus troubles, avec quelques rares grains de quartz blanc (laiteux) ou noirs (du quartz morion?), mais c'est toujours du quartz remarquable visuellement. C'est certain qu'il y a eu un tri/choix à l'origine. La surface des grains de quartz est si polie, brillante que leur éclat concurrence celui des dents. Donc, ce sont des gastrolithes plus que probables !
  18. Magnifiques planches et exemplaires !
  19. Pour nous changer des dents de poissons, voici une autre particularité de ces formations rencontrées dans le Toarcien marneux. Cela fait quelque temps que je l'ai observée pour la première fois, sur des fragments de pectenidés, mais arriver à la capter en une photo correcte à la bino n'est pas un exercice facile. Les coquilles de mollusques dans ces lumachelles sont la plupart du temps fragmentaires ou déformées, mais dans certains cas, les motifs colorés des coquilles de bivalves ont été conservés. La partie conservée du bivalve ci-dessous mesure 4 mm de largeur. Mis à part les ammonitelles pyritisées, qui semblent n'être préservées que si une grosse masse pyriteuse se trouve à proximité (généralement liée aux bélemnites) les ammonites elles-mêmes, rares, ne sont pas bien conservées dans ce milieu. Ce sont des sortes de fantômes, évidés, non pyritisés, où la spirale et l'insertion des cloisons seules se devinent encore. Par contre, les aptychi sont des éléments constants, relativements fréquents. Ils sont de type lamellaptychus, et de très petite taille (2-3 mm). Et puis, il se trouve également ce type d'objet, dans le même ordre de grandeur, qui n'a pas tout-à-fait le galbe et la forme d'un aptychus "classique", (il est plus plat) mais c'en est peut-être un quand même ?
  20. Ce pourrait bien être dans certains cas le résultat d'une indigestion de belemnites. Étalé mais généralement peu étendu, le vomi. Mais qui est le goinfre coupable ? Dans deux cas, il aurait fallu qu'il avale une branche en plus. Est ce que les requins ou d'autres animaux marins ont des gastrolithes? L'aspect calibré et poli-brillant des grains de quartz présents exclusivement dans la lumachelle 1 (horizon a semipolitum) m'interroge. D'où proviennent ces grains de quartz étonnamment gemme ? Le rivage, éventuellement granitique, se trouvait à plusieurs kilomètres au minimum et l'épaisseur conséquente de sédiments calcaires ou marneux en-dessous sont dépourvus de quartz à l'exception de l'Hettangien assez minéralisé.
  21. Magnifique reportage comme toujours Gryph. C'est toujours un régal de se balader avec toi -virtuellement ou dans la vraie vie!
  22. Une lanterne d'Aristote ? Cela ressemble fort à la photo en tout cas ! La dernière lumachelle explorée (la n°9) se situe juste une trentaine de centimètres en-dessous du premier banc calcaire discontinu qui marque la transition Toarcien moyen-Toarcien supérieur par ici. Elle semble s'être formée par une accumulation de bélemnites, il n'y a pas de bois flotté. C'est de loin la plus riche en dents de poissons à ce jour: un fragment sur 2 présente au moins une dent à sa surface ! En voici des exemplaires. Dent tricuspide dont les latérales sont très écartées de la principale, très effilées à la pointe et très larges et épaisses à la base (2.7 mm de hauteur), avec un émail plissé. La racine est présente sur les 2 exemplaires trouvés .Elle est épaisse et forme un fort bourrelet du côté lingual. Dent de raie (?) 2 mm Ostéoderme de requin (0.2 mm environ)
  23. Merci les amis pour vos encouragements J'ai trouvé de quoi m'occuper pour des années...D'autant que la documentation ne montre pas trop des choses comme celles que je trouve... Ce type de recherche m'oblige à coller au ras du sol, tellement certains petits morceaux de lumachelle sont discrets quand ils sont en éboulis. Du coup, je détecte par la même occasion beaucoup de mini-fossiles dans la marne. Les petits gastéropodes, bivalves et les articles de lys de mer se taillent la part du lion dans ces trouvailles. Bizarrement, très peu de brachiopodes, généralement très déformés. Ces derniers sont également absents des lumachelles. Dans la partie moyenne de la zone à thouarsense (Toarcien supérieur), j'ai ainsi découvert une plaque d'oursin (8 mm), et un objet très certainement issu d'un échinoderme (c'était dans une zone riche en pentacrines, du même type de conservation ocre) que je ne sais pas identifier. Le voici pile et face: 9 mm de plus grande dimension sur 1.8 mm d'épaisseur. Si quelqu'un a une idée...
  24. Bonjour, il manque la photo.
  25. A Drigas, ces "blagues" sont malheureusement sont de plus en plus nombreuses. Tous ces "tas de cailloux" et l'absence de surveillance du site encouragent visiblement l'inspiration de certains "artistes". Le spectacle au sol en devient désolant.
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