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Next50MY

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Tout ce qui a été posté par Next50MY

  1. oui si ce n'est pas métamorphique, c'est limite conglo ultra compact très enfoui avant exondation => il faut une diagenèse (enfouissement expulsion) assez poussée pour faire une tell borne ! Sinon un truc du genre silcrète pourra éventuellement te générer des ciments siliceux, mais j'y crois pas trop.
  2. intéressant résumé des questions soulevées. Pour faire le lien entre les éléments soulevés : on apprend sur ce sujet d'une part que les polymorphes de la pyrite et de la marcassite comportent un aspect semblable, que en effet les sulfures de fer se forment en conditions particulière en domaine marin, et enfin que la marcassite est plus instable que la pyrite (ça on l'a tous constaté dans nos vitrines). Effectivement je connais la craie Champenoise et aussi un minimum l'hydrogéol meme si ca data un peu. Donc la dessus certes j'ai des trucs à réviser. Mais ce que j'en retiens pour le sujet, c'est les zones vadoses et donc zones de battement de nappes dans lesquelles varient l'acidité et l'oxydation du milieu (épigénisation des marcassites en pyrites ou au contraire transformation en limonites). Donc pour résumer, la question que je soulève est : Est-ce que ce que signale André sur les variations minéralogiques de ces fameuses concrétions ne seraient pas dues à une zone vadose liées à des battement de nappes et/ou à l'interférence avec les nappes de surface (ou les paléo-biseaux salés) de l'Eocène inférieur ? Et pour etre encore plus précis: peut on avoir à l'origine de la marcassite dans un "stock disséminé" qui soit épigénisée en pyrite pour des raison X liées à une zone vadose sous forme concrétionnée ? => voir ta question sur le rôle de la diagenèse, et examiner si les zones crayeuses à marcassites ont pu été enfouies sous des sédiments tertiaires enriches en M.O. (c'est connu pas très loin). Je pense que ça a du joué sur les pH des nappes fossiles à l'Eocène (zones de sables et lignites) en contact avec la nappe de la craie. Voir l'analyse similaire publiée récemment pour la dolomitisation de la craie sous chenaux Yprésiens. Et voir la richesse en sulfures (pyrite) et sulfates dans les lignites acides surmontant la craie. Mr Forézien, la question ne concernait pas uniquement les battement de nappes actuelles, mais aussi ce qui a pu se produire depuis la fin du Turonien (période au cours de laquelle se sont déposé des restes d'organismes à l'origine des niveaux phosphatés dans la craie - je t'envoie le papier sur le lien entre les deux si tu veux ). On a tendance (moi compris Cedrick), à oublier que l'aquifère lambda l'a été depuis plus longtemps que ce qu'on l'imagine au 1er abord. Hors la craie Sénonienne a été faillée et fracturée au Paléocène et dans les secteurs qui comportent des niveaux à marcassites. Il a été publié récemment qu'un biseau salé datant de l'Eocene (et probablement même avec une extension marine Thanétienne importante vers le Sud) a profondemment influencé la diagenèse et modifié les compositions et textures pétrographiques de la craie, en profondeur. Fatalement les niveaux à marcassite ont connu des variations Redox et pH important. Voila le fond de ma pensée pour ce qui est du volet hydrogéologique mon cher Le Forezien. Je suis bien d'accord avec toi que pour le démontrer avec des arguments bétonnés, ça dépasse largement le cadre d'un forum, en commençant par vérifier le contenu ioniques des nappes actuelles et celui que l'on pourrait pressentir au Paléogène ! petit aparte, euuuh : tu as entendu parlé de la Society of Sedimentary Geology ? voir l'extrait mentionné sur leur site. si c'est de la Pseudo association ni de la pseudo publication ça, tu doit être vraiment un super pro de chez pro pour sortir un truc pareil. Ce n'est pas une insulte, juste un constat... Mais bon tant qu'on a pas vu la ref. Je poserai la question à la SEPM pourquoi ils mettent des pseudo pulications sur leur site web. L'objectif évidemment de rester sur le sujet c'est (désolé Cedrick) bien entendu de répondre à des questions que chacun d'entre nous intéresse. Chacun est libre de ses propos, et chacun appréciera les contributeurs et les perturbateurs.
  3. Merci pour ta reponse sympathique, cool l'ami. Les marcassites dont je te parle sont dans la craie : "c'est la formation des nodules en milieu sédimentaire tels que ceux qui se trouvent en Champagne " je ne t'en veux pas non plus, juste sourire, il faut bien que tu fasses tes dents de jeune ingé.
  4. exact quelques petites variantes sur celui de Kayou : plus de minéraux d'altérations. Regarde celui d'esor qui lui ressemble plus, mais aux dernieres nouvelles il avait conclu autre chose que sedimentaire. pour ca qu'il y a d'autres hypotheses a regardé. En tout cas le "ciment" siliceux et compact ne fait guere de doute sur vos deux cas.
  5. pour celui d'esor : le sujet géo-poétique que tu as lu recemment. et ici http://www.geoforum.fr/topic/23865-pegmatite-ou-granite/page-6#entry400846
  6. Faisons un petit bilan Cedrick: qu'a tu apporté sur le sujet des marcassites de la craie ? Meme question que pour Le Forezien. Tu as sans doute fait beaucoup de terrain en Champagne et vers les falaises du grand Nord ? ou lu les notices ? Une question pour le mineralogiste que tu es (j'attends toujours ta definition de la mineralogie) : Qu'est ce que tu penses du fait que ce que tout le monde pensait etre de la marcassite serait (selon l'article de André ou d'autres) de la pyrite. Comment peut on verifier ceci sur de telles concretions fibroradiées sans passer par des analyses compliquées.
  7. idem mais méta-sédimentaire: voir l'echantillon d'esor et celui de Kayou dont on a récemment discuté. ton echantillon leur ressemble de maniere etonnante.
  8. En revanche pour recentrer le sujet (c'est certainement le principal conseil "positif" de Cedrick sur ce sujet), faire appel à André, l'homme providentiel c'est lui. voir le sujet traité sur le forum. : ce qui est absolument excellent c'est que les personnes qui critiques quelques liens sans pretention au depart, ces meme personnes ont transformé le sujet de depart en un sujet hydrothermal, metamorphique et j'en passe. Trop fort.
  9. Tu indique un graphique qui soit disons montre le lien entre le pH et l'était d'oxydo-réduction, or il s'agit d'un diagramme de stabilité des phases en fonction du pH et du potentiel Eh. Quel est l'intérêt, ceci n'apporte rien au débat?et bien toi qui connait ce sujet ; si tu lis les informations de André et celle apportées par + que 3 pieds /ss terrre, il semblerait qu'un lien existe, a toi de demontrer qu'il n'y a pas d'interet alors. Pense tu être assez compétent et renseigner pour pouvoir émettre l'hypothèse d'un lien entre les sulfures et des phosphatesil y a des publications sur le sujet , et sincerement ce n'est pas une histoire de competence (tu rentres dans le jeu de celui qui veut pourrir le sujet), juste une observation. A mon tour de te suggerer de consulter le sujet principal (marcassite sedimentaires) et de verifier dans les notices des cartes du secteur que je suppose que tui connais parfaitement pour discuter les competences de qq 'un. Donc sur Phosphates / marcassite, peux tu expliquer ce qui te surprends sur le liens entre phosphates et marcassite ? Tu mélange des notions de sédimentologie, d'hydrogéologie de surface, d'hydrothermalisme, de chapeaux de fer (gossan), de tectonique et de porosité pour expliquer un seul et même phénomène.Le sujet doit trouver des reponses dans la comprehension de beaucoup de parametres : conditions physico chimiques de formations de sulfures qui se trouvent dans differentes conditions , le fait est que partout ou les marcassites se rencontrent se trouvent une nappe phréatiques dans un reservoir fracturé. As tu exercer en hydrogéologie ? Essaie de prendre du recul , lis attentivement le texte que André, l'auteur du post et moi meme indiquons sur le sujet et les liens que tu n'as peut etre pas lu entierement, consulte Lacroix et respire à fond, et essaie de suivre les conseils de Cedrick a savoir reste sur le sujet des marcassite de la craie.
  10. plutot tourmaline que grenat. La tourmaline devrait resister à l'alteration mais sur gangue, ça risque de ne pas etre tres joli. Mais pour l'instant on ne peux pas affirmer que tu vas en trouver : on est dans du melanocrate altéré et il faudrait montrer une roche saine pour preciser la composition
  11. Quoique certains mammifères peuvent surpasser la bête en question. Mais en fait je parlais de concours sur la plus grosse marcassite, sujet qui fait défaut sur ce forum. tiens un graphe sympa page 8 sur la relation entre Potentiel redox et acidité : http://earth.usc.edu/~dfarris/Mineralogy/14_Hydrothermal_Systems_II.pdf avec en primes les formes communes de pyrite et quelques marcassites plates à vérifier, mais pas nos marcassites nationales. Voir aussi le sujet sur Gossan ayant l'air assez sympatique également et qui peut faire tilt sur l'idée de l'influence de l'aquifère de la craie sur : - une zone supergène - une zone hypogène avec concentration des Fer ferriques (milieu Redox oxydant) au dessus de la limite et fer ferreux (sulfures qui nous intéressent) sous la limite. Pas encore lu de chose expliquant en détail la formation des marcassite avec l'hydrogéol, sauf ceci trouvé par plusketroipiésoutair http://www.geoforum.fr/topic/27182-formation-des-nodules-de-pyrite-et-marcassite/page-2#entry463694 mais à mon avis l'hydrogéol doit pouvoir apporter quelques éléments de réponse pour nos cas crayeux, l'exemple que je connais sur site à côté de Chalons s/ Marne est connu des minéralos et se situe dans les couloirs de fracturation de la faille d'Omey (la craie est surtout un aquifère fracturé à microporosité importante). Le sujet des précipitations existe dans le Bassin de Paris sur les silicifications des sables stampiens (aquifère Oligocène), pour les oolites ferrugineuses : idem au toit de l'aquifère dans les zones de battement de nappes du Cuisien, et d'autres encore... En conséquence de quoi on peut noter l'intéret de s'intéresser au filonien pour ce sujet spécifique ceci pour dire à qui veux jouer que une biblio bien trouvée sur le net en qq clics ça mérite d'avoir l'expérience de terrain nécessaire. Je clos la ce type de debat sans interet pour le sujet
  12. C'est certain qu'une bioturbation sulfureuse d'1.87m, ça va être dur à battre. Alors le scoop d'en[fer] qu'on lit serait que les concrétions fibro-radiées seraient de la pyrite. Les boules.... Merci Mr Lacroix pour l'info cretes de coq dans les lignites Tchecques. Et finalement que dit la minéralogie bureaucratique sur l'orthographe de marcassite : 1 ou deux s ? Mon Cher Phenacite et moi on est du camp francophone, sinon 1 s ça fait marcazite. Bien d'accord avec toi sur ce qu'est une roche. Purée, les latérites si c'est pas des bons cailloux. Et les associations malachites, azurites etc. Vive la géologie de terrain et ceux qui y vivent.
  13. Effectivement c'est ce que mentionne André. Lire aussi ce qu'il écrit ici : http://www.geoforum.fr/topic/7005-pyrit-aggregates-are-not-marcasite/ Une petite dent contre Lacroix, mais on ne lui en veut pas (à Lacroix).
  14. Sur la feuille 1/50.000 de Mâcon, le Trias peut correspondre pour une partie du descriptif mais il faut confirmer par observation macro + détaillée qu'il s'agit bien de feldspath. Sur le secteur de Cluny, il y a "un peu plus de choix" avec par exemple des microconglomérats polygéniques paléozoïques et aussi les même type de grès arkosiques du Trias dont n'affleurent que des "Complexes sablo-argileux à pisolithes ferrugineux (alios) dérivant du Trias gréseux". et effectivement la description est assez compatible avec l'ensemble de tes images, qu'il faut voir plus en détail. Vérifier aussi avec les stratigraphes et sedimentologues si lâge des concretions ferrugineuses ne pourrait pas être du Crétacé terminal ou de l'Eocène.
  15. Le mieux est sans doute d'interroger les stratigraphes et sédimentologues du secteur. l'Université de Dijon par ex devrait t'indiquer les bons interlocuteurs. http://ufr-svte.u-bourgogne.fr/formation/master/master-2eme-annee/master-2-geobiosphere/187-m2-parcours-sedimentologie-paleontologie.html D'après vous, serait-il possible que les deux types de grès proviennent du même secteur ? Là tu prêches un convaincu puisque cela correspond à ce que je te suggère plus haut, origine proche du granite pour le grès arkosique et le grès à ciment ferrugineux. Fais tu des lames minces ?
  16. Antully : voir sur le net les doc archéo sur Antully qui mentionnent "Le granite à deux micas" et "les moellons du parement interne" ... "originaire des carrières de Couhard", ... "et des carrières du plateau d’Antully" ... "arkoses grises du Trias" (...)
  17. Oui j'ai vu aussi roches carbonatées uniquement sédimentaires. C'est pour ça qu'ils a été créé la cas particulier "carbonatite" qui existe sans doute depuis aussi longtemps. On est bien d'accord. C'est juste une question de langage mais ça ne retire rien à l'intérêt du sujet et à la comparaison à établir entre marcassite sédimentaire et marcassite filonienne des carbonatites. La plupart du temps je suis d'accord avec toi, ici par ex: http://www.geoforum.fr/topic/20437-vos-questions-a-la-moderation/page-4#entry461505 oups, fonction ignorer membre et la lecture devient fluide... André, moi aussi je suis passé au milieu des années 70 au cap Blanc Nez chercher ammonites et marcassites (même période que les marcassite champenoises d'ailleurs). Et de mémoire les niveaux productifs se situent au même niveau. Qu'est-ce conclut ton article ? Y - a t-il beaucoup de restes de poissons ? Mais je suppose que la malacofaune peut déjà expliquer la M.O. Ce Lacroix il avait tout de même saisi pas mal de chose en plus de son expertise minéralo ! Pour les marcassites champenoises et du cap Blanc nez dans les deux cas il existe des formes allongées qui peuvent correspondre à des remplissage de terrier. info qui complète le texte de l'article.
  18. Le message est passé. Je passe a autre chose
  19. extrait de "Chapter 9. Ichnologic Controls on Early Diagenesis and Secondary Mineralization" - auteur inconnu sur web Iron Mineralization Occurrences of secondary iron oxides, sulfides and carbonates often are associated with trace fossils and zones of intense bioturbation. Iron oxides usually are results of late diagenetic, if not surface weathering, phenomena. In many cases limonite, goethite and/or hematite serve as a weak cement between grains in various kinds of sandstones. Ophiomorpha often has limonite or goethite concentrated in the pellets that line the burrow (Frey, Howard and Pryor, 1978). Ichnologic occurrences of hematite are rarer; typically this is the staining component of elastic redbeds and exhibits no correlation to biogenic structures. However, red, nodular limestones (e.g., the Jurassic Ammonitico Rosso of the western Alps) are heavily burrowed, differentially cemented, diagenetically condensed facies in which the nodular ichnofabric is hematite-stained (e.g., see Jenkyns, 1974; Garrison and Kennedy, 1977). Iron sulfides apparently crystallize in highly localized chemical microenvironments that are poor in oxygen and rich in carbon, iron and reduced sulfur. Thus, pyrite commonly occurs alongside black, carbonaceous material in a burrow, representing chemically reducing conditions around an organic concentration (e.g., excrement or decaying corpse). Loring and Wang (1971) interpreted long, curving, carbonaceous and pyritic concentrations in the marginal tube of some Devonian Zoophycos as the decomposed remains of the burrowing worms. Iron sulfide occurs in chalk as totally pyritized, fine-grained burrow fills (Bromley, 1967), as finely disseminated pyrite in sediment surrounding paramoudras (Bromley, Schultz and Peake, 1975), as pyrite coatings associated with hardgrounds (Hallam, 1969; Bromley, l975b), or as apparently inorganic spherical marcasite concretions.
  20. Fonction ignorer, très utile... sinon aller voir ailleurs. Personne n'oblige à lire si on pense que les forumeurs ne t'arrivent pas à la cheville. PS1: par rapport à ce que tu as le culot de mettre en #33 : tu démontres toi meme ta malhonneteté qui se retourne contre toi, puisque tu ne connais pas le sujet que tu veux mettre en avant. Donc tes interventions sont hors sujet et uniquement destinées à etre nuisibles - cf tes dernieres interventions en spots et inutiles deja modéré plusieurs fois, juste histoire de te faire plaisir en solo, CQFD. PS2: "on parlera d’altération carbonatée, pas de roche." : tu me fais cf remarque de Phenacite et la mienne sur les latérites. PS3: pour les possibilités d'édition sous 48h. PS4: quel hypocrite : "Je suis intervenu uniquement sur l'aspect roche / alteration carbonatee." => tu es surtout venu ici pour pourrir le sujet comme tu l'as déjà fait sur qq sujets ou je passe. Pour la presence dans la craie champenoise :une piste à regarder du côté de la faune et de la présence de phosphates Sur la feuille de Chalons sur Marne, des niveaux Turoniens à poissons riches en marcassite. Un article russe montre la richesse en Sulfures de fer avec certaines faunes de poissons, mais au sujet des nodules phosphatés (les craies phosphatées sont fréquentes dans une partie du bassin - vérifier si ça correspond à des régions riches en marcassite). Sur pas mal d'article ne ligne, il est fait mention de d'oxydo-réduction et il semblerait que l'activité bactérienne sur des niveaux riches en M.O. reproduit des réactions qui existent dans des condition filoniennes hydrothermales. Un article pas mal mais en anglais semble répondre à une partie de la question précisée sur le cas specifique des craie senonnienne : http://scnotes.sepmonline.org/content/sepscich/1/SEC6/SEC11.body.pdf En tout cas une source d'idées sur pas mal de sujets de minéralisations accessoires liées aux bioturbations.
  21. Quel secteur de Bourgogne ? ou le nom de la feuille BRGM ? on peut regarder si tu as un massif granitique pas très loin, et des cuirasses ferrugineuses à proximité de ces massifs, les deux sont compatibles pour un même secteur. Tu étudies en ce moment les meules ?
  22. Essaie de donner une reponse precise à la question STP pour l'exemple.
  23. Il y a les skarns également comme roche carbonatée présentant des sulfures. Le cas d'une des mines exploitée en Utah, près de Milford, avec du sédimentaire paléozoique, On a fait le tour des cas de Lacroix et on explique à Fluopathe et Cedrick pourquoi on ne peut se restreindre au sédimentaire. Alors pyrite / marcassite quelle difference sur l'origine ?
  24. Est-ce que quelqu'un sait pourquoi la marcassite se forme plutot que la pyrite à certains niveaux ? et Lycée de Versailles ? Cedrick toi qui est minéralogiste ?
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