Si le germe micro-mosaïque du sucre est bien issu d'un germe particulier de quartz de l'éponte, et si l'âme d'un quartz est bien le produit d'une faible cristallisation lente lors de l'éloignement des épontes, on a deux cas de figure qui ne sont pas incompatibles. Reste que leur croissance parait difficilement être simultanée, dans le sens ou je ne vois pas se cristalliser un chapelet de germes de quartz à âme au même moment qu'un germe unique micro-mosaïque (fait d'innombrables sub-germes). En outre, si les deux types (gwindel et quartz à âme) se retrouvent associés, c'est surtout le cas du côté de Talèfre, et moins ailleurs. Talèfre étant un secteur très fracturé et plus riche que la circonférence granitique du massif, les micro-fracturations ont pu nourrir les premières failles de tension au compte goutte.
Si je devais prendre une position, je dirais que les chapelets de germes des quartz à âme sont antérieurs aux germes micro-mosaïques des gwindels. Mais bon... C'est une position bien risquée à prendre