En fait ce n'est pas de la terre mais de la pierre sous forme de gravier ou sous forme de poussière, c'est cette dernière qui amalgamée à l'eau prends une consistance d'argile. A cela se rajoute un mélange des matériaux plus ou moins prévisibles selon les endroits : sables, argiles, limons, ...
Ben c'est comme quand on fait un trou dans une planche à une plus grande échelle : un cylindre assez régulier, avec une tendance à s'infléchir (c'est pas souvent rectiligne un forage)
L'analogie est simple :
le premier cas c'est un peu comparable à un torrent en surface et ça fonctionne un peu pareil, à ceci près que parfois sous terre il n'y a plus d'eau, du coup c'est embêtant ...
le second est la schématisation d'une nappe comme on est censé la comprendre
Le raisonnement n'est pas juste, d'abord qu'est ce que "un fond" dans ce cas ? un changement de roche par exemple ?
La limite d'un forage ce sont (au delà du coût bien sur) les capacités des machines et du foreur, pas de grosse roche qui arrête la machine ... il existe des forage bien plus profond !
Le compresseur était seulement pas assez puissant pour aller plus loin !
Il y en a bien sur, c'est comme tout il faut juste savoir où chercher !
En plus nous on ne sais pas où c'est "le village" !
On en revient à la même question, c'est quoi "un fond" ?
Le seul fond que je vois c'est celui du forage ou le foreur c'est arrêté !
C'est bien à ça que sert un hydrogéologue, quand tout le monde se pose des question il a des réponses !!!
En fait la profondeur d'un forage ne dépends pas que de l'altitude, mais aussi de la géologie, du réseau hydrographique, ...
C'est normal, plus on se rapproche des limites des machines, plus le forage est compliqué
Une fois encore c'est à ça que sert un hydrogéologue, à réduire les interrogations !