Bonsoir Mecton,
Et bien je peux te dire que ce problème ne se posera sans doute pas, parceque les saint-bernards et les chiwawas sont varians très rares et que leurs faibles effectifs placeraient les possibles débris fossilisables en dessous du seuil d'incorporation dans les archives fossiles. Pas de fossiles.
C'est pour cette raison qu'on observe pratiquement jamais en haute résolution la spéciation allopatrique dans le modèle de Eldredge & Gould. Parceque les effectifs de la population stressée est très inférieure au seuil d'incorporation. On observe le produit fini, quand celui ci envahi avec succès de nouveaux territoires et vois sa population augmenter en flèche. A l'échelle géologique, on voit un saut morphologique, sous réserve qu'on puisse l'observer véritablement. Si cette nouvelle espèce, donc nouveau génotype n'exprime aucun nouveau caractère sur la partie fossilisable, et bien, tu ne vas rien observer du tout, pourtant une évolution rectangulaire à bien eu lieu.
Ceci dit, il ya sans doute une forte proportion d'espèces fossiles décrites deux ou plusieurs fois, sur des morphologies entrant dans le cadre de la variation interspécifique. Comme pratiquement tout les écomorphes d'espèces flexibles. Personnellement, je pense par exemple que la liste faunique des ammonites du Crétacé peut être divisée au moins par trois ou quatre.
JP