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Minéraux en Haute Ubaye


Thorin

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Ok Xavier, je ne voulais pas être agressif, c'etait surtout pour souligner que "la-haut" cela n'est pas du tout la même formation que la basse Ubaye et ces marnes porteuses de surprises en sulfosels. ;-)

Pour la pauvreté minéralogique tu as complètement raison de me reprendre car c'est tout à fait relatif, mais je n'ai fait que reprendre une indication qui est souvent donnée pour l'ubaye. Il le semble même dans la carte géol. De Barcelonnette.

En comparaison à l'Oisans ou à la Maurienne, par exemple, c'est aussi ce que certains peuvent se laisser à dire.

Mais c'est une vallée passionnante à plus d'un titre, et sa minéralogie en fait partie, je suis tout aussi passionné que toi je crois bien...

Il me tarde d'y retourner d'ailleurs, mais je reste davantage sur le bas de la vallée en prospection, pleins d'autres surprises possibles c'est certains.

@+

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Aucun souci, je ne l'ai pas pris de maniére désobligeante ou quoi que soit d'autre. Le Pelvat de Chabrières est un massif d'ophiolite recoupé de filon d'albite à épidote et chalcopyrite. Rien à voir en effet avec le secteur de St Pons. Et je pense comme toi, la minéralogie ressemble très fortement à du St Véran. Mais jusqu'à présent nous n'avons pas rencontré de cuivre natif. J'avoue que cela me botterai bien.

Au travers du siècle dernier, quasiment aucune information sur la minéralogie de l'Ubaye n'a transpirée dans les écrits. Même le père Alfred ne mentionne rien dans son œuvre magistral sur la minéralogie de la France. Les premières infos sont apparues dans les 70 avec les travaux de F.Cesbron et J.E. Dietrich.

Les épidotes de Chabrières ont été trouvé plus tard, mais j'ignore la date. On pense à tort que la vallée de l'Ubaye est " un désert minéralogique". Mais voila 9 ans maintenant que je la parcours, et à chaque fois, j'ai mon lot de surprises, sur divers endroits. Et pas seulement dans les ravines de St Pons. L'inventaire de la minéralogie de la vallée reste à faire.

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Les épidotes de Chabrières ont été trouvé plus tard, mais j'ignore la date. On pense à tort que la vallée de l'Ubaye est "un désert minéralogique". Mais voila 9 ans maintenant que je la parcours, et à chaque fois, j'ai mon lot de surprises, sur divers endroits. Et pas seulement dans les ravines de St Pons. L'inventaire de la minéralogie de la vallée reste à faire.

Tout est relatif Xav, et Amétix à un peu raison quelque part. Eut égard à la surface et aux volumes d'ophiolites (terme à utiliser avec parcimonie) il est vrai que la vallée est "pauvre" : quelques filons d'albite/épidote/quartz par ci par là, un peu de chalco avec des traces bleu vert, c'est bien peu, et si tu rajoute le reste de la vallée n'en parlons pas ...

Ceci dit le Queyras (non non pas Saint Véran) n'est pas plus riche, pour rentrer bredouille ou presque tous les ans je peux t'en parler ...

Dans les deux zones, il faut se donner du mal, au bout la qualité est là, une seule cavité suffit ...

(JED et F. CESBRON ont écrit sur St Pons en collaboration avec B. CERVELLE et MC. SICHERE dans le volume 17 du Canadian Mineralogist en 1979 exactement, c'est la première mention officielle du gisement découvert peu d'années auparavant. Pour les épidotes de Chabrières, je dois pouvoir te retrouver la date, mais ça n'a pas grand intérêt et je ne crois pas que cela ait été publié)

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A+

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Tout est relatif Xav, et Amétix à un peu raison quelque part. Eut égard à la surface et aux volumes d'ophiolites (terme à utiliser avec parcimonie) il est vrai que la vallée est "pauvre" : quelques filons d'albite/épidote/quartz par ci par là, un peu de chalco avec des traces bleu vert, c'est bien peu, et si tu rajoute le reste de la vallée n'en parlons pas ...

Ceci dit le Queyras (non non pas Saint Véran) n'est pas plus riche, pour rentrer bredouille ou presque tous les ans je peux t'en parler ...

Dans les deux zones, il faut se donner du mal, au bout la qualité est là, une seule cavité suffit ...

(JED et F. CESBRON ont écrit sur St Pons en collaboration avec B. CERVELLE et MC. SICHERE dans le volume 17 du Canadian Mineralogist en 1979 exactement, c'est la première mention officielle du gisement découvert peu d'années auparavant. Pour les épidotes de Chabrières, je dois pouvoir te retrouver la date, mais ça n'a pas grand intérêt et je ne crois pas que cela ait été publié)

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A+

J'avoue que j'ai du mal avec le terme "pauvreté". Je pense que cette pauvreté est relative elle aussi. C'est avant tout un manque de documentation qui établi cette relative pauvreté.

Mais au final, et comme je le mentionnais par MP, je trouve ce manque de littérature génial!!!

Vous imaginez l'éventail des possibilité de découvertes ! Alors certes ce n'est pas l'Oisans (et heureusement d'ailleurs !!!!!). Mais il y a du potentiel!!

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J'avoue que j'ai du mal avec le terme "pauvreté". Je pense que cette pauvreté est relative elle aussi. C'est avant tout un manque de documentation qui établi cette relative pauvreté.

Mais au final, et comme je le mentionnais par MP, je trouve ce manque de littérature génial!!!

Vous imaginez l'éventail des possibilité de découvertes ! Alors certes ce n'est pas l'Oisans (et heureusement d'ailleurs !!!!!). Mais il y a du potentiel!!

Non non c'est le manque de découvreurs qui publient ... qui fait tout

Aujourd'hui la mode est à la publication, il y a 20-30 ans c'était le contraire ... (il y a 30 ans : 1 seule bino dans tout le 06 !!!!)

A+

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Le gisement de Chabrières s'est fait connaître par une publication justement..d'un découvreur un peu naïf qui détaillait sa découverte à condition de ne pas y aller pour vendre les épidotes...raté..on a pas tardé à voir des pièces sur des bourses avec des prix excessifs.

Une publication qui ne s'est pas faite dans LRM mais dans un bulletin de club de minéralogie...

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Salut Orléans,

Peut-être voir ce que disent les publications (thèses, articles, notice de la carte géol) sur ce secteur ?

Les grenats peuvent aussi apparaître dans les marbres, serpentinites, méta-radiolarites (quartzites-micaschistes), chloritoschistes, etc.,

comme produit du métamorphisme, puis dans les fissures tardives...

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(...)

Au travers du siècle dernier, quasiment aucune information sur la minéralogie de l'Ubaye n'a transpirée dans les écrits. Même le père Alfred ne mentionne rien dans son œuvre magistral sur la minéralogie de la France. Les premières infos sont apparues dans les 70 avec les travaux de F.Cesbron et J.E. Dietrich.

C'est très juste, et ce n'est pas vraiment un hasard:

on se trouve là (géologiquement parlant) dans un trou de la ...Ligne Maginot :debousole: des Alpes qui, en matière de métallogénie, s'appuie sur les ouvrages de résistance, les fameux Massifs Cristallins Externes :lire2: (Mont-Blanc-Aiguilles. Rouges, Belledonne-Oisans-Pelvoux, Argentera-Mercantour). Je schématise bien sûr, mais c'est vrai que ces MCE sont un gros réservoir de "gîtes", à commencer par plein de cuivre-plomb-zinc-fluorine-arsenic...

Alors, dans ces trous, il y a les nappes dites justement de l'Ubaye-Embrunais qui se sont engouffrées, mais qui ne portent que des fentes alpines à minéraux très particuliers,

et puis il y a eu les lentilles d'ophiolites qui ont été arrachées au plancher océanique de l'Océan de la Téthys (mais je ne sais jamais où cette déesse grecque met son (sa) HACHE...) grâce à quoi nous avons eu à nous mettre sous la dent Saint Véran, sa bornite massive, son cuivre natif, ses aiguilles d'amphiboles sodiques (comment ça s'appelle déjà?)

et puis il y a eu une chance: ces minéralisations des Terres Noires.

A ce sujet, je précise qu'en fait Jacques Dietrich et Fabien Cesbron n'ont pas été les "découvreurs" mais seulement les "identifieurs" (bien sympas et zélés). Ce sont les marcheurs infatigables comme les Jean et Annie Davoux, les Andréa Dalia, etc. qui avaient trouvé les premiers cristaux en crapahutant, et qui les leur ont soumis pour savoir ce que c'était (Yves Moelo a grandement contribué aussi, et il leur a cédé la priorité de la publication -je fus témoin- car ils le méritaient autant que lui).

Ces minéralisations n'étaient pas complètement inconnues :lasse: . Des géologues miniers comme mon ami Pierre-André POULAIN avaient retrouvé trace de leur existence dans les Archives Départementrales des Basses Alpes. Toute une ligne (comme celles de poudre blanche) d'anciennes fouilles pour le fer de la sidérite. Ah, fouiner dans les archives puis crapahuter c'est une vraie drogue

Il avait ainsi redécouvert, déjà, les indices de cuivre de Bréziers et ceux du Lac d'Embrun. Les moines de l'Abbaye de Boscodon :marteau: les avaient exploité.

Davoux et Dalia sont arrivés sur Saint-Pons avant lui.

Je n'étais pas loin, toujours à l'affut!

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Tout est relatif Xav, et Amétix à un peu raison quelque part. Eut égard à la surface et aux volumes d'ophiolites (terme à utiliser avec parcimonie) il est vrai que la vallée est "pauvre" : quelques filons d'albite/épidote/quartz par ci par là, un peu de chalco avec des traces bleu vert, c'est bien peu, et si tu rajoute le reste de la vallée n'en parlons pas ...

Ceci dit le Queyras (non non pas Saint Véran) n'est pas plus riche, pour rentrer bredouille ou presque tous les ans je peux t'en parler ...

Dans les deux zones, il faut se donner du mal, au bout la qualité est là, une seule cavité suffit ...

(JED et F. CESBRON ont écrit sur St Pons en collaboration avec B. CERVELLE et MC. SICHERE dans le volume 17 du Canadian Mineralogist en 1979 exactement, c'est la première mention officielle du gisement découvert peu d'années auparavant. Pour les épidotes de Chabrières, je dois pouvoir te retrouver la date, mais ça n'a pas grand intérêt et je ne crois pas que cela ait été publié)

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A+

j'adore, la il y a de la poche de ouf!!!!!!

bravo

vincent

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trouver de la rodingite ça c'est nouveau pour le secteur (en principe rien d'étonnant vu la géologie mais dans les faits, on en voit quasiment pas, même s'il on trouve des grenats)

Non non c'est pas nouveau. Le fait est qu'elles sont rares (je n'en connais que trois occurences dans tout le massif) et suffisamment discrètes pour ne pas être cartographiées (extension à peine plus que décamétrique)

Alors, dans ces trous, il y a les nappes dites justement de l'Ubaye-Embrunais qui se sont engouffrées, mais qui ne portent que des fentes alpines à minéraux très particuliers,

et puis il y a eu les lentilles d'ophiolites qui ont été arrachées au plancher océanique de l'Océan de la Téthys (mais je ne sais jamais où cette déesse grecque met son (sa) HACHE...) grâce à quoi nous avons eu à nous mettre sous la dent Saint Véran, sa bornite massive, son cuivre natif, ses aiguilles d'amphiboles sodiques (comment ça s'appelle déjà?)

N'oublie pas, Jean, la tétraédrite dans la nappe de Champcella, à Barrachin et à Guillestre ... les aiguilles sont de la riebeckite (fort jolie d'ailleurs)

A ce sujet, je précise qu'en fait Jacques Dietrich et Fabien Cesbron n'ont pas été les "découvreurs" mais seulement les "identifieurs" (bien sympas et zélés). Ce sont les marcheurs infatigables comme les Jean et Annie Davoux, les Andréa Dalia, etc. qui avaient trouvé les premiers cristaux en crapahutant, et qui les leur ont soumis pour savoir ce que c'était (Yves Moelo a grandement contribué aussi, et il leur a cédé la priorité de la publication -je fus témoin- car ils le méritaient autant que lui).

C'est sur qu'ils n'ont pas fait le terrain (du moins pas au début), je n'évoquai plus haut que leurs travail de recherche scientifique et de publication. Je n'ai pas souvenir qu'Andrea ait été dans le coup avec Jean et Annie. T'es sur ?

A+

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Ah, tu as probablement raison, mais mes souvenirs sont flous car tout ceci ne nous rajeunit pas :debousole:

Exactement, je me souviens qu'il y avait "deux groupes" qui ont travaillé simultanément cette découvverte.

Jacques Dietrich de son côté, un jour de 1977 ou 1978, a vu débouler dans son labo de Valrose deux amateurs éclairés, R. Proal et L. Stève, qui avaient récolté des aiguilles qu'ils trouvaient bizzares. Il a pensé tout de suite à des sulfo-antimoniures (plus complexes que de la stibine). Mais comme la caractérisation des sulfoantimoniures de cette rareté nécessite toute une batterie d'analyses et d'examens pas toutes faisables à Nice, il a alerté Cesbron, Cervelle et Sichère à Paris.

Moi, de mon côté, j'étais dans l'organisme que tu sais depuis 1974, mais je descendais très souvent à Nice chez mes parents (et même cette année là, j'épousais une cannoise, lien supplémentaire pour revenir écumer ta région d'alors). C'est comme ça qu'un jour, Jean et Annie Davoux m'ont montré les bizarreries qu'ils avaient récoltées de leur côté (finalement, tu as raison, peut être Andréa n'était pas de la partie).

J'ignore en fait qui avait donné le premier coup de marteau :marteau: sur le terrain !

Toujours est-il que mon sang ne fit qu'un tour; l'alertais immédiatement mon autre ami Yves Moelo (alors CNRS à Orléans) qui est le grand spécialiste des sulfosels de plomb et cuivre (si, si :bravo: et il venait d'achever sa thèse sur les sulfosels de l'indice des Cougnasses, dans le 05). Et le week end d'après, nous faisions une virée sur le terrain avec les 2 Davoux, Yves et mon ami et regretté "maître" Jean Vernet qui (à l'époque) préparait au Brgm l'inventaire minéralogique des Alpes de Haute Provence (le 04) dans la collection de Roland Pierrot, mais finalement qui n'a jamais paru.

C'est intéressant à le dire aux amis geoforomeurs: c'est la meilleure façon pour les amateurs (et même pour les pros) de fonctionner: dès qu'on trouve un minéral un peu bizarre sur le terrain, et qui ne correspond à rien de déjà décrit dans la littérature de ce gisement là (et aujourd'hui en plus, il y a Mindat... et le geoforum :clin-oeil: ) la bonne procédure, c'est de contacter plus calé que soit (à la Fac ou au MHN le plus proche). Les scientifiques font de même, et souvent ça débouche sur "la" découverte.

Moi, je n'avais pas de lien particulier avec Jacques (car en fait nous nous étions croisés à son arrivée à la Fac de Nice, car moi je venais d'en partir pour monter finir ma maîtrise de métallogénie à Paris (à Nice il n'y en avait pas, et le doctorat était de géol générale). (C'est Gilbert qui l'a bien connu).

Le rigolo, c'est donc qu'il y a eu ainsi deux équipes "concurrentes" :lunettes soleil: qui ont commencé à travailler (sans le savoir) en parallèle: d'un côté, nous à Orléans sur les échantillons des Davoux, et de l'autre côté Jacques à Nice et Cervelle et Cesbron à Paris

(ce dernier n'est venu à Orléans que plus tard) sur les échantillons de Stève et Proal.

Quand nous avons appris que les parisiens étaient sur le coup, Yves toujours sportif (la crême des Hommes je t'ai dit) m'a proposé de leur laisser la primeur de la publication, ce que nous avons bien à regret accepté :treve:(ce dont les parisiens nous ont chaleureusement remerciés en page 605 de la publication du Canadian Mineralogist que tu cites). Sic transit gloria Mundi

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Et non, ça nous rajeunis pas tout ça ...

J'ignore en fait qui avait donné le premier coup de marteau :marteau: sur le terrain !

Je pense qu'en définitive, ça n'a pas une grande importance ...

Toujours est-il que mon sang ne fit qu'un tour; l'alertais immédiatement mon autre ami Yves Moelo (alors CNRS à Orléans) qui est le grand spécialiste des sulfosels de plomb et cuivre (si, si :bravo: et il venait d'achever sa thèse sur les sulfosels de l'indice des Cougnasses, dans le 05).

Par hasard, y aurait pas moyen d'en avoir une copie :clin-oeil:

Et le week end d'après, nous faisions une virée sur le terrain avec les 2 Davoux, Yves et mon ami et regretté "maître" Jean Vernet qui (à l'époque) préparait au Brgm l'inventaire minéralogique des Alpes de Haute Provence (le 04) dans la collection de Roland Pierrot, mais finalement qui n'a jamais paru.

Dommage, il aura subit le même sort que celui du var finalement :clin-oeil:

En fait les publications existent pour beaucoup, la difficulté reste de se la procurer. Difficile pour les publications anglosaxonnes, impossible pour bon nombre de celles faites dans l'hexagone.

A+

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  • 1 mois après...

Super l'évolution du sujet effectivement !

Plein de précisions quant aux "découvreurs" de St-Pons, c'est vraiment intéressant.

Pour la pauvreté je peux relativiser mes propos, mais l'Ubaye restera une nappe et donc pas de socle cristallin.

Il ne faut pas s'attendre à découvrir des fours la gueule ouverte en veux-tu en voilà, par contre la qualité est là très souvent...quand on trouve.

Mais néanmoins je rejoins Xav sur le potentiel de la vallée.

St-Pons réserve énormément de surprises car la zone reste peu prospectée finalement tant c'est difficile et particulier comme recherche.

D'autres zones demanderaient davantage de temps de prospection...

Même la classique"sortie école" Pierre Carrelet reste peu explorée finalement, c'est sûr que si l'on s'arrête à récolter des pyrites d'à peine 1 cm on est vite lassé. Mais en cherchant bien, en donnant un peu d'énergie, on trouve des pièces qui méritent leur place en vitrine, au minimum pour la systématique de la vallée.

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