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amusant : les Chalcidoidea ont connu les dinosaures puis les poilus de l'Oise au Sparnacien. voir page 19 une revue des périodes à ambre. http://laboutiqueaja...cidien_Oise.pdf PS: pour Les Marnes de Lamrolaye, lire Lamorlaye

aux amateurs de 3D: http://www.ign.es/3D-Stereo/?sidioma=es&xy=516363,4685111,517883,4685959&SRS=EPSG:25831&lyr=1

sous les 15km http://www.ign.es/ign/resources/volcanologia/html/eventosHierro.html ça reste un vibreur géant. ci dessous, il y a moyen de visiter l'Ile en détails: http://www2.ign.es/iberpix/visoriberpix/visorign.html

qu'est ce qui est nummulitovore a ce point ?

ici: http://www.geoforum.fr/user/2334-otto-lidenbrock/

rappel de l'annonce pour les visiteurs qui viennent se perfectionner en langues et accessoirement en sédimentologie:

bel affleurement : détail des litages obliques, sans doute des grès peut etre : "grès à granulométrie variable et stratifications entrecroisées (350 m environ)"

AD.S, fais gaffe en traversant le 4 voies, c'est de l'autre côté que ça se passe, dans le Crétacé selon la carte BRGM 1/50.000. Pas Quaternaire, ni Pliocène.

extrait notice Narbonne pour le Crétacé : C3b-5. Turonien supérieur à Santonien. Conglomérats et grès. C'est un très puissant complexe détritique constituant l'essentiel du massif autochtone de Fontfroide. La monotonie des faciès, alliée aux difficultés d'observation résultant d'un couvert végétal souvent dense, rendent malaisée l'étude de ces terrains. La description, quelque peu synthétique, qui va suivre reprend l'étude de la série du bois du Vicomte—Sainte-Eugénie, exposée dans la thèse de P. Freytet (1970). — une formation détritique basale (60 m environ) comportant des grès grossiers rougeâtres (...) — une série détritique (90 m environ), composée d'une alternance de grès ferrugineux et de calcaires gréseux à intercajations de barres métriques de calcaires récifaux à Bryozoaires, Polypiers et Hippurites. (...) — une série marine supérieure, ensemble monotone de marnes rouges ou panachées et de grès à granulométrie variable et stratifications entrecroisées (350 m environ). (...) extrait notice Narbonne pour Alluvions anciennes : Fy. Alluvions anciennes. Limons, sables et cailloutis. Elles se relient souvent insensiblement aux alluvions récentes. Dans le quart nord-ouest de la feuille, ces dépôts incluent du Pléistocène (selon J. Barrière) (*), non différencié sur la carte.

Alain regarde sur infoterre

Au fait chose importante : un aquifere est un bien precieux a disposition d'une communauté. C'est evident pour la majorité. Mais on a parfois des surprises. Il y a plusieurs demarches a faire : dans l'ordre c'est declarer un ouvrage lorsqu'il y a une exploitation notamment intensive, le BRGM doit pouvoir t'orienter. D'autres administrations sont peut etre plus pointilleuses et casse bonbon avec la legislation. Lors des premiers debits, tu peux prendre un echantillon d'eau et le fournir a un laboratoire d'analyse qui theoriquement te fournit le recipient sterile et t'informe sur les precautions a prendre pour eviter la contamination (ca va tres vite). Ca permet de savoir ce qu'on peut en faire. En general a ces profondeurs et a notre epoque il est trop tard pour en faire de l'eau potable. Apres dans la duree il faut evidemment proteger l'ouvrage contre les risques de pollutions, sachant que des bestioles seront interessees pour une visite... fatale, avec tout ce que cela aura comme consequence pour la nappe.

Pour vérifier les caractéristiques du reservoir, tu pourras mesurer le niveau dynamique dans ton puits lorsque ton voisin pompe, noter l'abaissement (avec les moyens du bord mais l'ideal est une sonde qui s'allume des qu'elle est en contact avec l'eau) en fonction du temps de pompage et du debit et cela permettra de verifier si la nappe recharge rapidement, et en deduire le débit que tu peux espérer en tirer. Tu pourras aussi noter la remontee du niveau dynamique des que ton voisin stoppera le pompage. L'objet est d'eviter de se procurer une pompe immergée trop puissante ou l'inverse. Si le niveau dynamique ne s'abaisse pas trop, alors c'est gagné.

Excellent ! 350 Euros de matos, tu peux en faire de la geothermie a ce tarif, ca sera vite rentabilisé, mais il faudrait que l'aquifere soit bien fracturé localement. Qu'est que tu veux en faire dejà ?

C'est bien, bonne ROP = 0.5m/h grosso modo avec une materiel qui n'a pas l'air tres cher (quel prix l'ensemble ?). As tu trouvé l'aquifère ? et prévu le tubage crépiné ?

L'animal aime les rongeurs, entre autres... fais gaffe ça aime peut etre les spéléos. Pour le reste, des graviers probablement calcaires émoussés et arrondis a sub-arrondis par un transport assez long. Il existe des écoulements importants dans cette grotte ?

100 Millions de tonnes ca fait beaucoup: Avec une densité de 2.65 (silice pure) et une "porosité" théorique de 33%, cela représente une épaisseur exploitée de 50m sur 1 km2. ou si tu préfères une épaisseur de 5m sur 10km2. Mais c'est très relatif, à comparer avec le volume de sédiments charrié dans le secteur par les courants côtiers et la Somme.

interessant. Quel est le volume de galet (+/-) extrait depuis l'origine ? Quelle était la distance de la D102 la ligne de rivage lors de la construction de la départementale ?

Tous ces feldspaths sont émoussés et arrondis par l'action sédimentaire. C'est la seule transformation que l'on puisse noter avec les éléments a disposition. Tu peux envoyer par MP la localisation sur la carte geologique et on te dira si ça correspond a quelque chose de cohérent avec la description.

Tres bien Maitre Quat. Et y a-t-il du marin parmi ces grès ? Je n'ai pas le dico de geol sous la main, quelle definition donne-t-il pour la molasse ? http://www.geowiki.f...p?title=Molasse turbidites incluses selon Geowiki: Je pense qu'il y a une confusion avec les flyschs. Faudra faire un sujet special molasse un de ces 4.

Dans des temps reculés de la geologie a grand-papa, il a peut-être été possible de voir des horizons marins comme celui ci envahir une formation molassique. Ou alors un equivalent lateral et distal. Mais a présent je ne pense pas. Il faut voir, si tu as des exemples precis on peut debattre du sujet.

Non pas molasse qui est conglomeratique, deposé en domaine lacustre pendant une orogenese. Sans doute y en a t-il mais sur un mur c'est dur a dire. C'est un grès coquilier à ciment calcaire (ou plutôt un calcaire sableux), quelques graviers, des bivalves. Pas de gastéropodes ? les vertébrés ne doivent pas être très loin, au sidérolithique local par ex. => chercher sur le net avec ces mots clés. qui va nous trouver une doc sur la carriere ? en qq clics on devrait trouver a commencer par ceci: http://books.google....AAJ&redir_esc=y ca ressemble bien a notre calcaire grossier Lutetien national ! sauf que, on ne voit pas de nummulites alors pourquoi pas Miocene. recherche ...

Ciment calcaire ? (test HCL ou vinaigre ), coquilles marines... en effet on attend d'en apprendre plus sur le contexte.

ca ressemble a un os long. a coté tu as le reste ? bis !

C'est une vue en coupe ? Ton idee reste tres valable en certains endroits à certaines periodes ,mais ne s'applique pas a l'ensemble de la serie sedimentaire, epaisse de plusieurs metres, peut etre beaucoup plus. La preservation par capillarité rejoint l'idee de montee de nappe phreatique. L'evapotranspiration accentue le phenomene. Par contre le modele purement eolien et continental ne permet pas d'expliquer la presence de glauconie et la saturation en carbonates. Associee aux foraminiferes, et a une granulo grossiere tout converge vers du marin cotier et on n'a pour l'instant aucun argument probant pour du Quaternaire.

Merci pour le message AD.S., OK on va faire vivre le sujet. il y a des projets de blogs mais ca devient un metier a temps plein ou une activité de retraité a mi-temps Alain est-ce que tu sais si des forages d'eau ont été realisés dans la vallée ? ca pourrait nous donner une idee de l'epaisseur des alluvions.