Il n’y a pas suffisamment de spécialistes.
En fait heureusement que des amateurs bénévoles existent.
Les images d’Elasmo, le site web (disparu ?) Demassieux, ce que fait le GERMC, et quelques collectionneurs :
toute cette iconographie peut être utile pour la révision d’espèces si on lui associe un âge précis (stratigraphie, position exacte dans la verticale d’une gisement : l’ideal serait une image du niveau pour chaque specimen), et des coordonnées détaillées, pour établir :
- un calendrier,
- les espèces contemporaines, et celles qui ont des morphologies variables
- les résistantes aux variations de salinités ou climatiques
proposer des phylogénies et prendre en compte les longues périodes de non dépôts dans le bassin de Paris... sauf peut-être entre le Lutétien moyen et le Bartonien basal. On peut se demander si le Lutétien superieur existe vraiment ou bien si il pourrait s’agir de facies laguno lacustres contemporain du Lutétien moyen voire même du Bartonien basal ?