AMEDE

Bassin parisien, Gaël évoque les quartz évaporitiques des niveaux marnes et caillasses du lutétien de cette région.

Top ! découverte perso. ?

Merci

Je suis complètement d'accord.

Pour moi c'est brésilien (sans certitudes). Bon, par contre, le résultat des tests est prévisible avec une grande certitude : quartz.

Par curiosité : peut-on voir la pièce sur la quelle a été effectué le moulage ?

Toujours aussi belles tes balades, merci.

Soufre de Sicile pour moi.

Bonjour, 1 : ammonite et bélemnite (les sections rondes) 2: bois fossile 3 : tourmaline ? dans du quartz (refaire des photos) Par contre, les deux premiers sont des fossiles, pas des minéraux, donc ce n'est pas vraiment leur place. Ouvrir plutôt un sujet d'identification.

Merci, ça sera donc javel.

Pour le deuxième silex, ça pourrait bien faire pointe de flèche, mais c'est tordu. @gaeldeploeg ou @1frangin confirmeront.

Bonjour, je possède une pièce de Lantignié avec mimétite sur fluo et barytine. Elle est pleine de matière organique suite à exposition prolongée à l'extérieur. Est que la mimétite va supporter l'eau oxygénée ?

La pièce en question, et aussi ce silex, qui est trop petit pour tailler un outils dans la masse en enlevant le cortex.

Belle bourse, à voir pour moi l'année prochaine.

Quel type d'aimant ? Classique ou néodyme ?

Bah oui, je met de la limaille de fer dans l'appât Plus sérieusement, en fait c'est un aimant de pour rapporter les ferrailles qui se trouvent au font de l'eau, le problème, c'est qu'en Creuse, on est tellement peu nombreux qu'il n'y a pas grand chose ...

Je vais tester avec mon aimant de pêche (néodyme 200 kg) si ça marche sur les nodules altérés (si je les retrouve ).

Le verre "saphir" a la même formule chimique que le saphir : AlO3. Le "corindon" artificiel à donc la même dureté : 9. Le carbure de silicium a une dureté Mosh de 9,5, il raye donc les verres "saphir". C'est donc l'appellation "inrayable" qui est incomplète, on devrait rajouter "par les matières courantes".

Mais une pyrite qui prend à l'aimant c'est bizarre, en tut cas pas météorite.

Ok, donc inclusion, merci. Comme le dit Serge, les cordiérites pseudomorphosées en pinite par altération, sont assez classiques dans les granites du coin. J'ai ça que j'avais pris pour du quartz dans le cristal, mais peut être est-ce de la cordiérite non altérée. C'est probablement ceci qui a faussé la dureté. J'en ai conscience, c'est pour cela que je suis partis sur pinite malgré la dureté.

Merci, au même endroit, on relève des morceaux arrondis de roche métamorphique dans le leucogranite. On parle d'intrusions ou d'inclusions dans ces cas là ? Sinon, pour mon cailloux, je pense que je vais rester sur pinite.

La réponse parce que j'ai déjà essayé (avec de l'épicéa): Tu prends la résine (de préférence sèche), elle est opaque. Puis tu la met à chauffer, elle fond, et si elle est liquide, elle bout, dans ce dernier cas, la laisser finir de bouillir (attention, ne pas trop chauffer, juste de quoi la faire fondre, sinon, elle risque de s'évaporer). Attention, le liquide obtenu est très inflammable. Une fois que cette dernière étape est effectuée, couler la résine rapidement, car elle durcit vite. On obtiendra une substance semblable à de l'ambre (j'espère ne pas donner d'idées à des faussaires). Le principal problème de cette résine, c'est qu'elle se dépolie facilement au touché, et qu'elle contient très souvent des impuretés. C'est quand même plus simple avec une résine synthétique avec durcisseur.

Donc bien quartz (ou calcédoine). Je dis peut-être une bêtise, mais il me semble que la première génération de fluo en octaèdres inclus dans du quartz ou de la fluo est assez commune sur les filons fluorés français. Ensuite viendrait une deuxième génération en cubes (le premier exemple qui me vient en tête est la mine de la Barre).

Préférer la résine : pas besoin de chauffer, et ça ne risque pas de transformer la roche en chaux et de faire fondre les grains de sable inclus, c'est ce qui est utilisé pour les lames minces.