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icarealcyon

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Tout ce qui a été posté par icarealcyon

  1. https://www.georisques.gouv.fr/plan-de-prevention-des-risques-naturels-previsibles-pprn
  2. Pour cela, il y a le sujet créé par Elasmo qui peut déjà beaucoup aider : Ensuite, il y a le hors-série IV de la défunte revue "Fossiles" consacré aux Vaches Noires, il doit peut-être se trouver encore en vente au Paleospace ou sur le net.
  3. Bon alors, on voit mieux la couleur des grains. Rendre du doré en photo, surtout en grains dispersés, est effectivement une gageure. Vu comme ça, cela ressemble maintenant à un grès quartzeux chargé de gains de chalcopyrite plus ou moins oxydés en malachite et azurite, mais je n'y vois toujours pas de "pyrite aurifère". Une provenance ?
  4. Un ensemble consistant en éléments de plaquage fin détaché de quartz très très légèrement fumé, cristallisé également au revers, avec chlorite très sombre, presque noire, albite et un peu d'hématite en lamelles. Une calcite sur le spécimen milieu haut de la première photo. Plan du Lac.
  5. Je me sens visée bien sûr, et c'est parfaitement justifié, n'est-ce pas, venant de vous. Je ne renvoie ni ne méprise personne, encore un propos bien paranoiaque exagéré de votre part. Vous, c'est l'hôpital qui se fout de la charité. J'ai posé une question toute simple à la demandeuse concernant la nature des sources, elle m'a répondu qu'elle n'avait pas l'intention de "cocher (mes) cases". OK. Je vous laisse à votre dialogue de sourds. En matière de gestion des risques naturels, ça s'est bien resserré ces dernières années. Les maires s'en plaignent assez quand ça contrarie leurs "projets structurants".
  6. Par l'absence de cloison qui s'observe sur le pourtour.
  7. Pour juger de la maturité d'une ammonite, il faut disposer de la chambre d'habitation qui indique le stade de croissance atteint. Ici, les deux exemplaires ont la chambre d'habitation: le début de celle-ci sur la plus grosse, presque un demi-tour sur l'autre. A 2 cm environ de diamètre, la petite est un individu immature ou un microconque (m). A 5 cm avec le départ de la chambre d'habitation, la plus grosse, une Quenstedtoceras praelamberti morphe épais, est soit un immature macroconque (M), soit un microconque (m). Pour déterminer avec certitude si un spécimen est m ou M, il est souhaitable de disposer de la chambre d'habitation complète avec l'embouchure. Chez les Quenstedtoceras morphe épais, les M montrent un resserrement de la chambre d'habitation et leur diamètre est supérieur à 12 cm, le plus souvent entre 15 à 20 cm. la coexistence de morphes minces, moyens et épais dans les Marnes de Dives rend les choses compliquées pour déterminer M ou m sur des petits exemplaires. On a eu tendance à attribuer le statut de macroconque aux formes épaisses, qui atteignent généralement de bien plus grandes tailles que les autres à l'âge adulte.
  8. Bel exemple de votre idiosyncrasie. C'est bien là le problème, votre "langage" très imagé sinon fantasque, en plus de vos raisonnements et observations rien moins que géologiques. C'est un forum de géologie, pas de littérature plus ou moins ésotérique. Vous voulez des réponses à vos questions ? Cela passera par d'autres questions. Votre "style" littéraire n'aide pas à l'appréhension de la réalité. Je remarque surtout (et à nouveau) que quand on rend les choses à leur réalité, on récolte une certaine animosité. Ce n'est pas votre affaire, c'est celle de la DDPP et de la commune. Si un risque naturel est réel et identifié, ils ne vous ont certainement pas attendue pour ça. Il y a vraiment beaucoup de ce type de relief en Occitanie... J'en ai un assez comparable, juste en face de chez moi, le Truc du Balduc, falaises de calcaire massif sur marnes meubles. Hé oui, ça peut tomber, de temps en temps, c'est pourquoi il y a des terrains rendus inconstructibles aux abords dans un périmètre précis et le boisement aide à maintenir les sols meubles. Il y a une évaluation raisonnable du risque qui est géré. Un glissement comme le Claps de Luc, ce n'est pas tous les siècles.
  9. La grosse est une Quenstedtoceras morphe épais, typique des Marnes de Dives. La petite est plus évoluée vers les Cardioceras, elle provient probablement des couches de l'Oxfordien basal.
  10. Bonjour, point de pyrite aurifère ici, mais un nodule de péridotite en cours d'altération est une possibilité infiniment plus grande pour ce caillou.
  11. Bonjour, Euaspidoceras et Kosmoceras.
  12. Vraiment très drôle en effet . Pour ce qui est du terrain, au regret de vous contredire: je ne méprise rien ni personne, juste que je ne crains pas grand monde. Malgré cela, j'ai quand même beaucoup, beaucoup moins d'imagination que vous, ce sur quoi je m'inclinerai volontiers. Désolée d'avoir remué le passé. Vous évoquez des bombements de terrain, des sources qui coulent vers le haut, des structures géologiques atypiques, etc.... Tout un ensemble de choses extrêmement étranges, non étayées, sauf par des différences d'altitude que vous avez répertoriées en consultant diverses données et cartes. On vous a expliqué les origines vraisemblables de ces discordances qui ont tout l'air d'artefacts. Cela ne vous plait pas, et vous embrayez alors sur des observations "historiques" des plus capillotractées. Sur les images, je vois une butte-témoin, des terrains sédimentaires, éventuellement sujets à éboulements pour ce qui est des risques (pré)historiques ou actuels encourus par les riverains, et c'est tout. Absolument rien des fantastiques anomalies évoquées. Pour commencer, au plus simple si on recherche des originalités en ce lieu: y a-t-il des résurgences vauclusiennes répertoriées dans le secteur ?
  13. +1 avec Amédé, tout cela me rappelle l'épopée poétique de la "météorite"/"bétyle" odorante d'Antibes. Le fait que ce ne soit en réalité qu'une serpentinite usée en galet a fortement déplu à la découvreuse.
  14. Un test discriminant consiste à passer dessus un coton imprégné d'acétone ou d'alcool dessus en insistant un peu. Si ça colle ou se dépolit= résine actuelle ou synthétique. L'ambre ne bouge pas.
  15. Bonjour, pour moi, ce n'est pas de l'ambre, mais un produit transformé à partir de la résine naturelle de pin actuelle type colophane (utilisé par les violonistes par exemple), cassé en morceaux.
  16. Bonsoir, on peut l'utiliser autant de fois qu'il est efficace, ce qui varie avec tout ce qu'on lui a fait nettoyer auparavant. Plus il aura enlevé d'oxydes de fer, plus il sera "fatigué".
  17. Et surtout se dire qu'elles sont assez petites (0.5 à 1 cm)
  18. Lequel ? La dernière série de vos photos montrent une concrétion siliceuse incluse dans un bloc calcaire, de type chaille, chert ou silex (selon le degré de pureté de l'amas siliceux), ce n'est pas un fossile. On appelle de telles concrétions des "silex branchus" dans la craie, par exemple, où ils sont très nombreux.
  19. +1 pour micaschiste à andalousite
  20. Photo trop floue, faire les tests: dureté, densité, trace...et bien sûr une photo nette.
  21. La matière osseuse présente une micro-structure de surface et interne bien caractéristiques: périoste, tissu spongieux, conservées à l'état fossile, minéralisées ou non, totalement absentes ici.
  22. Bonjour, tout d'abord, il aurait été judicieux de numéroter chaque objet sur un petit papier posé à côté, le même numéro pour différentes vues du même objet. Cela éviterait l'effet "avalanche". Ensuite, au risque de vous décevoir, les 18 premières photos ne représentent aucun fossile, mais des concrétions siliceuses aux formes baroques pouvant superficiellement faire penser à des têtes d'os, fréquentes dans certains niveaux sédimentaires marins, des chailles. C'est confirmé par le dernier caillou, où la chaille reste incluse dans le calcaire. Il y a une photo de moule externe de trigonie (bivalve) et le nautile n'en est pas un, mais une ammonite, trop abimée pour une identification plus précise, possiblement une denckmannia si c'est bien le Toarcien.
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