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Vente et achat de minéraux français et cristaux du monde sur Internet.
▲  Vente et achat de minéraux français et cristaux du monde sur Internet  ▲

CLERGUEMORT

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Tout ce qui a été posté par CLERGUEMORT

  1. Un peu d'indulgence Spathfluo, mrnono est un nouveau venu sur le forum, faut rester zen, tu reprendra bien un peu de roquefort, tu va voir ça calme
  2. les anciens de la région, faut qu'ils arrêtent le roquefort en intraveineuses...
  3. pas faux... juste pour mémoire, du coté mondial... Naica..
  4. Bonsoir le site ne risque pas d'être sous concession puisque l'exploitation du gypse, que ce soit à ciel ouvert ou en souterrain est exploité sous le régime des "Carrières", donc pas de concession, seulement une autorisation d'exploiter. Il me semble que la dernière société exploitante existe toujours, elle est propriétaire des terrains au droit des travaux. Il lui appartient juste de garantir l'inaccessibilité des travaux. Les obligations des carriers sont toutefois les mêmes que celles des mineurs dans le cas d'un délaissement quant à la sécurité. La DREAL et GEODERIS, dresseront alors une carte d'aléas, qui en fonction des enjeux (habitat, voies de circulation, ou autres) déterminera l'importance du risque. Selon le cas (présence d'habitat ou de voie de circulation) , la société sera obligée de consolider les terrains qui ne lui appartiennent pas. Elle déterminera de toute façon des servitudes de type A ou B qui réglementeront l'usage des terrains concernés. Si les terrains sont propriété de la société et si aucun enjeu n'est présent, elle ,ne sera pas obligé de remblayer, il existera seulement une zone de risque qui peut être clôturée.
  5. demande à Aldebaran66, il a une technique...
  6. Non ce n'est pas un éboulement, le dépilage correspond à l'action d'abattre et d'évacuer le minerai. De l'action de dépiler résulte généralement des vides plus ou moins importants, improprement appelé "dépilages" et qui correspondent aux zones exploitées du filon ou de l'amas minéralisé.
  7. Bonjour Donc, si je lis bien ton message, tu as déjà un apriori négatif sur la revue sans l'avoir jamais lue et les revues en général, je crois que le meilleur moyen de te faire une idée c'est de te fendre de quelques euros pour juger et je suis à peu près certain, si tu es connaisseur, que tu ne seras pas déçu. Je réponds à ton message car j'ai parfois (mais assez rarement quand même) été confronté à ce genre de situation. J'ai été pendant 25 ans auteur éditeur indépendant et pour bien connaître le RM je peux t'assurer que pour eux comme pour moi, si un lecteur sur 2 photocopiait les numéros pour les copains, il y a longtemps que plus personne n'aurait de revues ou de livres spécialisés sur la minéralogie ou l'histoire minière. Je pense qu'il en est de même pour l'astronomie et quelques "niches" de passionnés. TRENEN à très bien argumenté sur la notion de "petit" éditeur. Au delà de ça il existe aussi une loi sur la protection des ouvrages, revues et textes édités qui interdit toute reproduction sans autorisation de l'auteur et de l'éditeur. Je te renvoie au texte de loi suivant : CPI, art. L. 335-1 à L. 335-10. Je pense que personne n'essaye de te faire pleurer, nous défendons seulement une revue qui, pour l'essentiel d'entre-nous, constitue un lien et une source d'information remarquable. bonne journée à tous.
  8. bonjour sinon essaye de te procurer ou de te faire prêter l'inventaire minéralogique du Tarn, édité par le BRGM en 1978. Ce n'est pas récent mais il y a encore pas mal de sites décrits qui sont encore visitables.
  9. Salut Serge je n'ai rien d'autre que cette photo (pas terrible), cet échantillon est à vendre sur un site bien connu, oui de toute évidence c'est une stibine, j'étais seulement surpris d'apprendre que ce minéral était présent à la mine des Porres, mais on ne sait jamais tout, c'est la raison de ma question. Suite aux réponses, je ne mettrait pas 50 centimes d'euro dessus Je trouve seulement la coïncidence troublante avec l'azurite venant, sois disant, de Chessy (voir ma question sur le post de Chessy) que j'avais acheté en 2011 au même vendeur. Ce même vendeur propose également des or sur quartz de la Gardette pas très convaincants... CQFD
  10. C'est bien de l'azurite il n'y a pas de doute, c'est la seule certitude. Le vendeur est le même que celui qui vend une stibine de la mine des Porres (voir mon interrogation surt le sujet "mine des Porres" posté hier également) et qui a de ce fait suscité mon interrogation en chaîne sur cette acquisition plus ancienne mais du même vendeur et sur certains or de La Gardette également en vente.
  11. merci pour vos appréciations. La couleur est d'un beau bleu très profond, la forme cristalline est plus proche du rhomboèdre (avec des angles tronqués) que de l'octaèdre. Effectivement la brillance des cristaux est assez étonnante et si c'est réellement du Chessy, c'est top. J'ai quand même un doute sérieux qui se confirme aussi par le fait que la personne qui m'a vendue cette pièce, il y a déjà quelques années, met en vente d'autres pièces de provenances douteuses L'idéal serait de retrouver un collectionneur qui possède des cristaux similaire (Otto ? les Alains, ...)
  12. ok merci à tous, cela confirme mon doute quant à cette pièce mise en vente sur un site bien connu.
  13. bonjour j'ai acquis il y a quelques temps déjà, cet ensemble de cristaux identifiés comme provenant de Chessy, je me souviens avoir mis en doute cette provenance et m'être fait insulter... qu'en pensez vous ? le plus gros de 2 cristaux mesure 30 mm x 25 mm x20 mm merci
  14. bonjour à tous Petite question aux spécialistes de la mine des Porres dont je ne suis pas : Y a t il eu de la stibine dans ce gisement ? merci d'avance, bon dimanche
  15. Ils sont assez nombreux, je dirais même que je connais peu de "vrais" collectionneurs qui ne cataloguent pas leurs échantillons. Concernant la pérennité des informations, il reste aussi la bonne vieille méthode qui consiste à écrire la provenance sur l'échantillon (lorsque celui-ci le permet) ou de coller une étiquette. Beaucoup se détériorent avec le temps mais quelques unes ont survécu. Cette calamine de Sardaigne, mine de Monteponi, galerie Emmanuel, récoltée par Ed. Delessert en 1879 en est une preuve "survivante", de justesse, j'en conviens. Un autre exemple sympa, ce morceau de quartz à mispickel aurifère (très moche) de la mine du Châtelet (Creuse) avec toutes les indications qui vont bien, j'ai même pu situer, sur le plan de la mine l'endroit où il a été prélevé (grâce aux rapports hebdomadaire de la mine) en mars 1931.
  16. autre exemple avec cette cassitérite, voir également le poste 1086 sur la descloizite. Les collections Chervet, Hungemach, Bergakademie de Freiberg, parfois Deyrolle et Nérée Boubée, l'Ecole des mines de Paris, et bien des collections anonymes portent des échantillons numérotés reportés sur l'étiquette. De toute façon le manque de scrupules de certains margoulins s'applique aussi bien aux pièces anciennes qu'aux pièces actuelles. Certains n'hésitant pas à coller des provenances plus "vendeuses" nous connaissons tous des exemples. A chacun d'avoir assez de connaissances et de jugeote pour faire le tri et éviter de se faire piéger en se renseignant sur la qualité du vendeur et l'origine de la dite collection (1ere, 2eme, xe main !). Cette problématique est bien actuelle mais aussi très ancienne, j'ai souvenir d'un article publié dans le Journal des Mines aux alentours entre 1790 et 1810 où l'auteur, un minéralogiste éminent, se plaignait de certains commerçants anglais qui indiquaient, soit des identifications erronées, soit de fausses provenances.
  17. Certes c'est un risque toutefois il est important d'essayer de comprendre le trajet de la collection entre son créateur et le destinataire d'aujourd'hui. Si on prend le cas des échantillons de la collection Damour, cette collection a été en grande partie rachetée par Krantz qui a systématiquement numéroté l'étiquette de Damour (au crayon papier) en relation avec une étiquette collée sur l'échantillon et un même numéro reporté sur une étiquette KRANTZ. Voir exemple ci joint : Triplite de la Vilatte, numéroté 5681 au crayon par Krantz, n° reporté sur l'étiquette Krantz, lui même sur une étiquette collée sur l'échantillon. Rigueur teutonne exemplaire
  18. Non le quartz n'est pas TOUJOURS remplacé par l'U dans une épisyénite. L'épisyénite est un granite ayant subit une fracturation puis une altération hydrothermale aboutissant à la disparition du quartz et à la transformation plus ou moins partielle des feldspaths et des micas. L'épisyénite est alors une roche vacuolaire propice à la concentration de métaux comme l'U mais aussi comme le fer, l'étain ou le tungstène (Espagne, Maroc). Il existe aussi des épisyénites stériles.
  19. bonsoir Une petite, voire très petite, pièce en rapport également avec la discussion du post "dernières découvertes" sur les calcites de Fontainebleau. Difficile de vous faire croire que c'est une dernière découverte mais plutôt une acquisition récente. Petit bijou de 2 cristaux maclés de calcite de Fontainebleau ayant appartenu au médecin zoologiste allemand Aren friedrich August Wiegmann (1802-1841) avec son étiquette.
  20. bonjour, regarde les dates des documents de référence de la fiche : 1973 à 1977 !! plus de 40 ans ! il a pu se passer des choses entre temps. Bien souvent les listes de minéraux ont été faites lors de missions d'études, de prospection ou d'investigations dont les moyens dépassaient celui du simple prospecteurs amateur. Les fiches ne spécifient pas toujours la taille des échantillons, si le cristal de tourmaline est observé en lame mince ou en section polie grossi xx fois, tu peux t'accrocher. Persiste quand même, la recherche réserve parfois de bonnes surprises, inversement, il arrive aussi de trouver des choses que les prédécesseurs n'ont pas trouvé ou plus simplement pas vu. Bon courage.
  21. OK merci, la gangue est effectivement du quartz, l'échantillon devient donc de ce fait un mystère lui aussi, même si je ne pense pas qu'il y ait eu mélange d'étiquettes avec d'autres, il n'y a pas de doute sur l'identification des minéraux et c'est la seule panabase de cette collection. Ceci m'amène à regarder un autre échantillon de cette collection marqué comme venant de Ste Marie avec chalcopyrite / quartz (sur l'étiquette) mais aussi un peu de cuivre gris (panabase ou autre) mais aussi, et ça me parait intéressant, un peu de fluorine violette. Qu'en pensez-vous docteur ? Est ce grave ?
  22. bonjour pour répondre à la demande d'Alain sur panabase de Sainte Marie, tout le monde en profite, voilà la photo avec l'étiquette, pas de date précise mais si j'en juge part les autres échantillons de cette collection, c'est entre 1900 et 1914. Si quelqu'un à une idée sur la provenance exacte d'après le faciès et l'association pyrite, je suis preneur car Ste Marie c'est grand... merci
  23. là ok on parle de la structure quartzeuse porteuse de la minéralisation et non d'un filon de stibine massive. De toute façon le principal intérêt de cette galerie réside dans son côté historique. Des coups de burins, il y en a eu, la stibine est en imprégnation et en filonnets millimétriques dans le quartz (pour ce que l'on pouvait encore voir il y a 15 ans).
  24. bonjour Concernant les échantillons trouvés vers le pont de Servières, ces morceaux proviennent des déblais et stocks qui restaient dans l'ancienne usine de traitement des minerais de la Cie Française des Mines de Dèze (régule et oxyde d'antimoine) située à côté du pont et qui fonctionna jusqu'en 1948. Il y a une quinzaine d'années les anciens bâtiments ont été rachetés pour en faire un magasin de matériel (agricole, jardinerie quincaillerie ) Photo du magasin en question installé dans l'ancien bâtiment de l'usine et à coté vue de l'usine en 1910 même façade. Les nouveaux propriétaires ont déversé tout ce qui était stocké comme minerais et autres débris dans la rivière comme le faisait auparavant les exploitants de l'usine avec les scories et déchets de traitement. Cette usine ayant traité des minerais des différentes concessions du secteur mais aussi de minerais provenant d'autres mines plus lointaines appartenant à la CFMD, du point de vue minéralogie pure il est difficile d'attribuer à l'échantillon une origine bien précise. Concernant la mine de Bissieux, pour avoir visité pas mal de mines d'antimoine (ce fut mon sujet de thèse) j'ai rarement vu un filon de stibine massive de 40 cm de puissance laissé en place par les anciens. Ayant visité la galerie en question avant sa mise en mise en valeur par l'association de Bissieux, je confirme qu'il n'y avait pas de filon de stibine massive de 40 cm d'épaisseur visible et que la plupart des échantillons trouvés proviennent des haldes.. Mr Pourquoi, je te donne en MP le nom du pdt de l'association tu pourras toujours le contacter.
  25. ben non et c'est pas faute d'avoir cherché ... Je n'ai pas encore examiné en détail ce que j'ai rapporté
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