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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

CLERGUEMORT

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  1. Sur le site de la mine Henriette à la Crouzille, le chevalement porte à son sommet une plaque avec le nom du puits et sa date d'inauguration (juillet 1950), d'autre part l'estacade n'est pas couverte. ci dessous la photo du chevalement avec sa plaque. Le treuil est abrité dans une baraque "Fillol" en tôle. Sur le site de la mine du Cellier, le chevalement ne porte évidemment plus la plaque avec le nom, l'estacade est couverte par un abris en tôle ondulée à toiture arrondie (cette couverture qui ne parait pas sur les photos de 1961 a été ajoutée ultérieurement), et la baraque du treuil est en planches. Ci dessous le puits du Cellier dans son environnement plus large avec les débuts de la mine à ciel ouvert à ses pieds. Je pense pas que l'on puisse faire plus clair
  2. cette photo est bien prise au Cellier, la topographie des lieux, la végétation (il n'y a pas de pins ou de sapins sur le site de la Crouzille) et surtout la baraque du treuil le prouvent. Les photos que j'ai postées précédemment représentant le puits du Cellier sont issues du fond CFMU, il n'y a donc pas de confusion possible et j'ai d'autre photos plus larges qui montrent le puits dans son environnement.
  3. Chevalement du puits Henriette à la Crouzille en 1951 Photos du chevalement Henriette remonté sur le puits du Cellier (Lozère) en 1961 On remarque sur une des 2 photos le pont de l'atelier de réparation des véhicules légers... 😄
  4. bonjour désolé de paraitre comme redresseur d'information, mais ce n'était qu'une précision formelle sur l'histoire de la société CFM que je connais particulièrement bien ayant géré pendant 15 ans les archives de cette société, de CFMU et d'autres , je suis en outre le rédacteur des chapitres administratifs et technique des DADT cités et de plus d'une vingtaine d'autres concernant d'autres exploitations CFMU/CFM du Limousin, de Lozère et de Bretagne. Concernant la mutation de CFMU en CFM, je n'invente rien, ce sont simplement les rapports des conseils d'administration du groupe IMETAL qui le relate et qui sont plus fiables que n'importe quels témoignages oraux. Concernant le bob cat, effectivement nous n'étions pas d'accord, mais il me semble avoir reconnu par al suite que vous aviez raison, ayant retrouvé par la suite les traces de l'achat de cet engin dans les archives. mea culpa...
  5. il ne s'agit pas d'une renonciation mais d'une déclaration d'arrêt définitif de travaux (DADT), cette procédure acte définitivement l'arrêt des travaux mais pas forcément la renonciation à la concession. Les DADT n'ont pas été rédigés au moment de l'arrêt des travaux car les exploitants envisageaient toujours une amélioration du marché de l'uranium. Administrativement parlant, on ne fermait pas définitivement les mines dans l'éventualité d'une reprise. CFMU et CFM, c'est simple et compliqué à la fois seulement une histoire de fusion acquisition de sociétés comme il y en a des centaines par an dans le monde économique capitaliste, rien à voir avec le fantasme de raisons politico-écologiques. CFM = Compagnie Française de Mokta CFMU = Compagnie française des mines d'Uranium 1955 : Création par le CEA, SLN (Société Le Nickel), PENARROYA, PECHINEY, KUHLMANN, HUARON et ROTSHILD, de la Compagnie Française des Minerais d’Uranium (CFMU).En 1956, la CFMU entreprend des recherches sur plusieurs indices situés en Limousin mais aussi en Bretagne, dans le Morvan et sur d'autres matériaux que l'U (fluo, feldspath, matériaux industriels...) 1971 : SLN et PEÑARROYA s’unissent dans un holding nommé IMETAL. 1981 : IMETAL absorbe une autre compagnie qui opère dans le fer mais aussi dans l'uranium, notament au Canada, la compagnie MOKTA (ex Mokta El Hadid). Au sein du groupe IMETAL, la CFMU centralise alors tous les actifs uranium du groupe IMETAL dont ceux de la compagnie MOKTA qui est alors dissoute. Dans la foulée, la CFMU ayant changé de capital et de statut change aussi de nom et devient la Compagnie Française de Mokta (CFM) pour garder le nom de Mokta qui jouissait d'une excellente réputation d'opérateur minier dans le monde entier. 1986 : Rachat de CFM par COGEMA, CFM devient filiale de COGEMA avec ses propres actifs miniers, (dont Hyverneresse) 2011 : . COGEMA devient AREVA, CFM devient donc filiale de AREVA. 2018 : AREVA devient ORANO et CFM devient donc filiale d'ORANO. CFM reste toujours responsable de ces anciens travaux donc déclarant des actes administratifs qui concerne ses anciens sites miniers.Voila pourquoi la DADT d'Hyverneresse est faite au nom de CFM héritière en quelque sorte des actifs de CFMU. voilà 🤔
  6. oublié de préciser la dimension : arête du cube : 5 cm
  7. Campylite des Rosiers, sans doute étiquette DEMARTY découpée. Galène et blende sur quartz, pas de provenance précise, ancienne collection Sainfeld.
  8. Bonjour pour faire plaisir à Vincent, galène octaèdrique et blende et galène de la mine de Trèves
  9. pas de souci pour celui-ci, outre des lamelles microscopiques ça et là (si petites que je ne vois pas comment les coller manuellement, j'ai cassé le morceau en 2 et l'or est présent en plusieurs endroits sur la cassure, ci joint la photo.
  10. ATACAMITE, LIBETHENITE et HALLOYSITE mine de La Farola (Atacama) récolté en 1980 OR natif et chrysocolle Inca de Oro, Copiapo - Atacama récolté en 1984
  11. une petite pyro historique de Bad Ems Fridrichssegen
  12. Une vieille Dahu Ancienne collection de l'Ecole de Pharmacie de Lyon
  13. pour mémoire c'était exactement le même cas de figure
  14. bises et bonne année en retard à vous deux, mais quand même, par ces temps de m.... de la part du vieux mineur cévenol à fort caractère mais désormais retraité je vais peut avoir un peu de temps pour trainer devant l'ordinateur
  15. bonsoir La famille Krantz est une très vieille famille de négociants qui existe encore de nos jours voir https://mineralogicalrecord.com/labels.asp?colid=129 vous reconnaitrez la typo des étiquettes découpées. Cette pièce à sans doute été achetée à un autre collectionneur par Krantz fin XIXe et qui l'a revendue à celui qui découpe les étiquettes. Cette collection a été rachetée par un revendeur allemand dans les années 1990 qui l'a à nouveau vendu à votre vendeur. Vous êtes donc au minimum le 6e possesseur de cette pièce (il y a peut être encore d'autres intermédiaires ?? qui sait ? ) Oui c'est très commun de mettre une goute de peinture blanche ou de tipex et d'inscrire le n° d'ordre à l'encre de chine par dessus, afin qu'il soit plus visible, c'est une des méthodes, certains collent des étiquettes. C'est une méthode également pratiquée par les musées. Sans parler des nomenclatures de numérotation qui sont également très variées.
  16. bonsoir Arnaud le mieux est peut être de demander à la personne qui t'a vendu la pièce. Voilà donc une partie des réponses : B132 c'est le numéro de collection de la personne qui te l'a vendue L'étiquette marquée 1718 est en fait un assemblage découpé dans une étiquette du négociant en minéraux KRANTZ, et recollé sur un carton toilé. J'ai plusieurs échantillons anciens ayant une étiquette semblable, mais j'ignore encore le nom de ce collectionneur qui s'amusait à faire du découpage. L'étiquette manuscrite est sans doute l'étiquette originale récupérée par Krantz en même temps que l'échantillon. Ce négociant joignait souvent les étiquettes originales en plus de sa propre étiquette commerciale. Pour identifier cette première étiquette c'est plus difficile, elle n'a pas vraiment de signe distinctif et il y en a des centaines qui ont cette écriture .
  17. bonjour

    je possède des échantillons de stibine lamellaire et des échantillons de quartz avec quelques très fines paillettes d'or libre (millimétriques) mais bien visible sur des échantillons sciés

    cordialement

  18. Bonsoir la lecture de ces "petites phrases perfides" que l'on retrouve fréquemment m'inspire cette réflexion : pourquoi, sur ce forum, ne tire t-on pas autant à boulets rouges sur les ruisseaux qui naissent, ravinent, et s'échappent réellement dans la nature et sans contrôle, depuis les mines métallifères des Malines, de St Félix de Paillères, de Cap Garonne, de Pontgibaud, de La Plagne, de Charrier, ou encore de Vialas, du Bleymard, de Villefort, de Montmirat... pour ajouter quelques sites lozériens, sujet de ce post ... (la liste est beaucoup plus longue que celle des mines d'U !) pourquoi donc s'acharner sur les effluents des mines d'uranium qui eu sont maîtrisés et certainement moins nocifs que les eaux qui charrient Pb, As, Cd, Sb, Zn, Al... dans ces ruisseaux et dont les teneurs atteignent parfois plusieurs dizaines de fois la norme maximale admise par l'OMS, comme à Pontgibaud au sein même de la ville. Etrange non ? La réponse est pourtant évidente : certains donneurs de leçons pseudo écolos disposent d'une bonne dose d'hypocrisie pour sélectionner leurs combats, ben oui, on ne va pas prendre le risque de discréditer son propre terrain de jeu ou/et celui de ses petits camarades qui constituent l'essentiel des participant de ce forum, les uranifères étant largement minoritaires. ben oui.... ce serait embêtant . Exemple admirable d'approche sélective de l'environnement par ceux qui s'en prétendent les défenseurs. Pour info, la photo du soit disant ruisseau publiée par Kayou n'est pas un ruisseau qui nait sur le site mais un fossé collecteur qui rassemble les eaux de ruissellement du site pour les acheminer vers la station de traitement dont le rôle est avant tout de ramener le pH de l'eau un peu plus acide que la normale à un niveau proche de la neutralité, les teneurs en U et Ra étant conforment aux normes imposées et contrôlées par la DREAL, l'ARS et l'IRSN (voir le lien vers le site de la DREAL /bilan environnemental).
  19. merci à ceux qui m'ont répondu, j'ai trouvé. La modération peut éventuellement clore ce sujet bonne journée à tous
  20. cette réponse est pitoyable.... moi aussi ça me défoule... l'année commence bien... bienvenue ADRI... le 2e échantillon ressemble bien à de la fluorine mais bien malin qui peut dire sa provenance.
  21. bonjour je suis à la recherche d'une ammonite de grande taille (au minimum 25/30 cm) de préférence esthétique, peu importe l'espèce c'est pour offrir à un jeune qui est fasciné par ce genre de fossile. me joindre en MP si possible merci et bonne année à tous
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