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EricT

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Tout ce qui a été posté par EricT

  1. Salut Jean-Eric, Le fait que ce soient des dépôts glaciaires n'est pas remis en cause. Mais l'indice G sans autres précisions indique qu'on ne sait pas vraiment à quelle phase glaciaire raccorder ces dépôts. Les quaternaristes développeront (ou corrigeront) s'ils le souhaitent mais si ces dépôts étaient reconnus comme faisant partie d'une phase bien définie (Riss, Würm, Mindel) , ils auraient été notés Gx, Gy, Gz (dans le désordre). Et même dans ces dépôts reconnus, on a des subdivisions Gxa, Gxb, Gya, Gyb-c etc etc en fonction du stade glaciare (maximum, minimum, post ...). Chacune des phases remobilise en partie en les remaniant les dépôts des phases antérieures, sans compter les débâcles intermédiaires: cela simplement pour dire, et pour essayer de répondre à ton questionnement, que ces blocs n'ont très certainement pas été toujours à cette place (c'est une Lapalissade quasiment !) et qu'à un moment donné de leur histoire, ils pouvaient très bien se situer en position sous-glaciaire, en moraine frontale ou plein d'autres configurations...en contexte glaciaire. Ce n'est donc pas leur positionnement actuel qu'il faut regarder mais la probable histoire polyphasée des galets et ça, c'est coton !! Eric
  2. En fait, le problème est que même s'il se situe aujourd'hui en bordure de moraine ou on devrait dire "frange actuelle des dépôts morainiques", son histoire et, par définition, ses déplacement furent longs, multiples et presque aléatoires, anarchiques voire chaotiques (fonction des reculs et avancées du glacier, de sa morphologie variable au fil des époques, des crues, des coulées de solifluxion, et même pourquoi pas de l'activité anthropique, du remembrement) ... Ils sont indicés G sur la carte donc finalement, on ne raccorde même pas ces dépôts distinctement à un cycle glaciaire bien reconnu...
  3. Bonsoir, Ces images sont obtenues (compilées de sources variées, de résolutions variées) par le NOAA (National Oceanographic and Atmospheric Administration, USA). Les différents types d'artefacts (acquisition, traitement) sont amplement discutés sur le site de l'organisme. Il y a des sites entiers (dont je n'ai plus les adresses) qui s'amusent à les recenser et à trouver les plus "bizarres" : certains sites un peu barrés cherchent même l'Atlantide via ces artefacts ! La première image semble montrer de tels "aberrations", la seconde montre effectivement des failles transformantes (longues) et des failles normales (chacune ayant une durée de vie brève avant d'être remplacée par une plus jeune en bordure de dorsale) comme a dit jjnom...Le fait qu'on voit leur rejet (pour les normales) doit être lié au fait que la sédimentation océanique est finalement très faible (épaisseur < 150m pour 85% de la surface océanique je crois), insuffisante pour cacheter les reliefs profonds (mais ça, c'est du feeling, y'a peut être plus judicieux comme explication)...
  4. Houla la la, oui Quat !! Je ne suis absolument pas géologue du Quaternaire, ni du glaciaire et encore moins géomorpho ! Donc c'est bien de reprendre mes approximations ! Pour moi, une moraine signifie à la fois la chose morphologique et la formation géologique à blocs et matrice éventuellement qui la constitue...Approx que doivent très souvent faire les moins initiés !
  5. Salut, Oui, c'est ce site, entre-autres. La ref d'origine c'est : Richard Forster Flint : Glacial and Quaternary Geology (1971), Wiley, New-York. Pour la morphologie en fer à repasser, dans le cas théorique ou cas d'école, ça fonctionne mais cette forme est quand même liée à une position très stable (qui permet justement le façonnement du caillou) à la fois dans la glace (supérieure) et sur la surface de "rabotage" (inférieur); ce qui est rarement réuni finalement. En tous les cas, ce sujet m'aura permis de lire et d'apprendre pas mal de trucs sur le glaciaire...sympa... Pour Next : je pensais que tu parlais du plan à gauche de la photo du message #8 qui semble être un plan de diaclase à peu près parallèle aux plans filoniens...
  6. Si je ne me trompe pas, la présence de tourmaline sert à caractériser les chemins rétrogrades du métamorphisme (et accessoirement, en fonction de sa nature et surtout de sa structure = renseignements sur les sources du bore et du lithium) mais effectivement à ma connaissance ne sert pas de géobaromètre ou géothermomètre (même si les canadiens testent l'applicabilité il me semble). Son champ de stabilité se situe, de mémoire (et donc largement à vérifier), sous 650°C et 3.5kb Peut-être faire une recherche dans ce sens...
  7. Bonsoir, En recherchant la signification exacte du mot "till" pour un autre sujet sur le forum, je suis tombé sur le net sur ce document ... ça strie à mort dans ces domaines et en réalité, il y a la charge (pression) nécessaire (pour les tills de fond compacts) dont je doutais dans un message antérieur ... Notez que les stries ne sont non strictement parallèles et même se croisent ... Par rapport à ton message #14, je pense également qu'il faut sérieusement envisager la piste naturelle (sur laquelle je n'aurais pas misé beaucoup au départ ... comme quoi, on apprend tous les jours !) (Till = dépôts morainiques à matrice sablono-limoneuse)
  8. Bonsoir, La Bulstrode creuse son lit dans les roches méta-sédimentaires ayant été largement impliquées dans les orogenèses taconique et acadienne (nappes internes des Appalaches). Ce sont essentiellement des schistes ("phyllades"), quartzites, volcanites, dolomies, marbres etc appartenant aux groupes de Oak Hill inférieur (Protérozoïque terminal à Ordovicien), de Sadwell et des Schistes de Bennett (Cambrien inférieur à moyen), réputés particulièrement pauvres en fossiles (voire azoïques pour la grosse majorité exept° ichnofossiles) : les milieux de dépôt sont ceux d'un vaste pro-delta sur zone d'effondrement active évoluant latéralement à un delta profond et à des flyschs. Les tills (=synonyme de moraine à matrice en France) (ainsi que les eskers et kames) sont formés des mêmes types de roches (puisque en dérivant directement) - L'origine des tills pouvant être fort lointaine de leur zone d'accumulation, on peut y découvrir des faciès de roches (dont magmatiques) dont les affleurements se situent très en amont ... Je crois que ce que la photo montre ne sont pas des nodules mais de magnifiques galets de nature variable, roulés et façonnés (glace + torrentiel). Comme Gratophil, je pense que la probabilité d'y découvrir des fossiles est nulle...Mais, au cas où, en fendre quelques-uns pour être sûr ... Eric
  9. Intéressant ce lien : je n'avais jamais vu ce genre d'objet naturel si strié (et surtout avec des stries si profondes) en relation avec du glaciaire (ou post-glaciaire gravitaire) et donc mon message (#4) n'a pas lieu ... Le lien sur les plough mark de Quat est intéressant également : cela me rappelle des (rares) blocs entreposés autour de domaines cultivés ou anciennement cultivés qu'on avait vu au Ghana à l'époque, et qu'on avait rangés dans "façonnage humain" par facilité et parce que ça paraissait assez évident à ce moment là. Les blocs montraient de une à quelques stries très peu profondes et des traces de chocs (pointe) : une version archaïque des tas de pavasses posées en bordure des champs actuellement labourés mécaniquement A coté des ces blocs, il y avait également, en Afrique, pas mal de sites de polissage sur les "dos d'éléphant" dont certains toujours en utilisation. L'idée de Next sur une surface de fracture (naturelle) pour base de la pierre est judicieuse...
  10. Zone pastorale = donc défrichée non ? (à quelle époque est une autre histoire...) - Pas de labours mais dégagement "humain" des blocs par reptation - soulèvement - reptation (éventuellement par moyen de leviers) ... ceci-dit, même ça, je n'ai pas vu sur des "murs" plus récents (défrichements fin moyen-âge) élaborés par empilement de blocs enlevés des "champs". Le dessous de la pierre semble très naturel - Le détail de la base (#9) montre bien des aspérités linéaires typiques de ce que l'on voit couramment sur des blocs morainiques ayant été soumis alternativement à la glace ou au passage des eaux de fonte. A mon sens, pas d'intervention humaine là...Fracturation également naturelle axée sur deux petits filons de roches claires (aplite? quartzo-aplite ?) qui restent en relief (#8) ce qui est normal car plus durs et résistants : cette face de la pierre et sa base (#9) semblent d'aspect naturel ... Eric
  11. "On trouve de nombreuses pierres plus petites (10/50 cm) issues de la moraine qui portent ce type de trace." Peut-être traces de frottements bloc à bloc lors du(des) déplacement(s) morainique(s) mais ce serait étrange pour un phénomène naturel et pour ma part, je n'ai jamais observé cela sur des blocs morainiques : il faudrait une très forte pression, continue et durable pour imprimer de telles marques... J'espère que vous aurez la(une) solution...
  12. Salut Jean-Eric, Pierre dressée, c'est quasi sûr (sinon la gravité aurait fait son œuvre sauf exception)... mais ça peut-être récent à très récent non ? Comment datez-vous l'épisode de levage d'une telle pierre ? Pour moi, les traces en creux ne ressemblent pas à des stries glaciaires qui ont la particularité de former des lignes très parallèles entre elles sur une large surface des blocs avec abrasion forte des aspérités naturelles (évidemment on peut avoir plusieurs systèmes qui se croisent mais c'est assez rare). Etrangement (ou pas ?), ça ressemble assez à des marques qu'auraient pu laisser des engins "modernes" de débroussaillage ou des traces de friction laissées par son déplacement récent (= humain) ... J'aurais un doute pour des gravures dans le sens ou ça paraît assez anarchique quand même (ou alors, on peut prendre le truc à l'envers : c'est anarchique donc humain)... Vous avez d'autres indices sur le site, sur l'âge? Est-elle isolée sur le plateau ou a-t-elle des petites sœur ?
  13. Bonsoir, Désolé, je prends ça un peu tard... Oui, c'est bien cette étude (qui a donc 15 ans maintenant - diable comme le temps passe !!) que j'avais en tête. Et pour corriger mes bêtises écrites ci-dessus (ça pourra peut-être servir à d'autres un jour) : ce n'est pas Nicolas qui, au contraire, soutenait une altération 100% hydrothermale mais Aubert (1963 et 1966) et Keller (1975, 1976) qui pensaient à une altération météorique... Eric
  14. Bonsoir, Merci à tous pour les réponses. Entre deux candidats, ce n'est pas facile. En termes d'abondance et par rapport à ce que l'on connaît minéralogiquement concernant le secteur, une zoisite (déjà décrite dans les fentes affectant ce granite) reste le candidat le plus probable. Reste que cette section losangique laisse un peu perplexe... Merci, Eric
  15. Bonsoir, Oui, quartz en "grains" ou petits cristaux très fréquemment associé (antérieur) à la baryte dans les gîtes de Castelnau-Durban. La calcite est postérieure à la baryte dans ces gîtes.
  16. Je pense que c'est quelque-chose de triclinique. Le truc qui s'en rapproche beaucoup (couleur, touché, habitus, stries etc), c'est le gypse mais ça ne colle pas super bien avec les tests de rayures (si tant est qu'ils soient significatifs sur un bout si petit), ni avec les petites faces 3 et 4 (mais ce n'est peut-être pas rédhibitoire) ni avec l'environnement granitique de la découverte...Et il serait tout seul, ce qui parait un peu bizarre... Merci de l'aide.
  17. Le crob ne passe pas sur le message précédent ... le voilà ...
  18. Bonsoir, Merci de vos avis. Comme mes photos sont très nazes, je joins un petit crobard de ce que je vois : on visualise un peu mieux comment c'est fait ... Je ne suis pas équipé pour faire une densité d'un si petit truc, désolé. Pour la localisation : monzogranite du Massif de Cauterets, pluton occidental, val d'Azun Eric
  19. Bonsoir, J'ai besoin d'un petit peu d'aide pour identifier ce minéral (je n'ai pas le matos pour faire autre chose que des photos floues et pourries, désolé. J'ai chargé un peu l'accentuation sur Topoche pour faire voir les stries). Contexte : cristal 1cm unique détaché nageant dans de l'argile au fond d'une petite fentouille à quartz, albite, chlorite, calcite dans un monzogranite hercynien pyrénéen. Section losangique et faces striées selon le plus grand axe du cristal. Pas de test particulier car exemplaire unique et petit : pas de réaction HCl, raye l'ongle (enfin, la base cassée), n'est pas rayé par pointe acier. Touché soyeux... Je pense que ça doit être assez con à trouver mais là, je bloque ... Merci par avance pour votre aide... Eric
  20. Bonsoir, Attention quand même à ce qui est écrit dans ces articles (origine hercynienne des kaolins de Ploëmeur, basse pression, haute température au moment de la mise en place des leucogranites etc etc) : les équipes de l'Université de Rennes ont montré depuis au moins 5 bonnes années maintenant que l'origine de la kaolinisation était météorique (mesure des deltas O18 essentiellement); résultats qui confirment l'hypothèse et les observations structurales de Nicolas de 1957 déjà ! Cette kaolinisation a essentiellement eu lieu aux périodes chaudes de l'Eocène par conduite des eaux le longs des filons de quartz (altération per descensum). Une participation d'une phase précoce similaire au Crétacé n'est pas exclue... Je crois qu'une des utilisations les plus marquantes des kaolins de Plöemeur a été leur incorporation dans les plaques réfractaires du bouclier de protection des navettes spatiales américaines; mais cela demanderait à être confirmé... Eric
  21. Bonsoir, Merci beaucoup pour ces plans et ces petits croquis très explicites : on se fait une très bonne idée des choses... Sympa de partager ça ! Eric
  22. Bonsoir, Ce que tu demandes est un exercice difficile : pour les Pyrénées par exemple, on ne peut résumer les histoires de la chaîne (hercynienne : 300 Ma puis pyrénéenne : 40Ma) en quelques mots ... Si tu n'a aucun matériel, voici quelques trucs que tu peux tenter, sans préjuger de la qualité des trouvailles : Aux alentours immédiats de St-Lary Soulan, les roches sont d'âge dévonien (400Ma) à carbonifère (290Ma). Ce sont des roches peu ou pas métamorphiques (= pas transformées par la mise en place des plutons hercyniens - le plus proche étant le pluton du Néouvielle : 320 Ma) mais qui ont été intensément plissées puis fracturées lors de la constitution de la chaîne hercynienne. Ce sont des roches détritiques à dominante silico-alumineuse : grès, schistes... très peu de calcaires. En fin d'histoire hercynienne (300 - 290Ma), de grands systèmes filoniens se mettent en place en suivant de grandes fractures : ils sont riches en manganèse et ont été exploités dans toute la montagne d'Azet, du Louron, de Vieille-Aure et il y a un musée de la mine du Coustou (Vieille-Aure en montant sur Soulan). Si tu as la carte géologique à portée (via infoterre ?), regarde les indices notés Mn à partir du col d'Azet en descendant vers le Louron : on peut y trouver encore facilement de la rodonite et de la rhodocrosite massives roses. En vallée de Neste d'Aure, plus haut que St-Lary, en entrant dans la vallée du Rioumajou, la forêt sous le Pic de Tramezaïgues (Formation géologique des "Quartzites de Sia" notée d5-6b sur la carte) est un endroit propice à la découverte de quartz à âme de bonne qualité (mais secteur assez prospecté). Recherche préférentiellement les bancs compétants (= qui ont du mal à se déformer à froid = grès, quartzites) en pistant les traces de quartz : sans outil, ce n'est pas facile d'extraire des choses mais peut-être auras-tu la possibilité de ramener un ou deux petits quartz "flottants" (un couteau, un tournevis, une baguette de bois peuvent suffire parfois). Enfin, il est facile de ramener quelques grenats (ceux des roches métamorphiques calcaires = skarns en pourtour du Massif de Néouvielle) en faisant une petite (euh, grosse) rando vers l'Arbizon (à partir d'Aulon, au nord de St-Lary, en suivant le sentier classique du pic) : le haut est un secteur très riche en blocs épars farcis de grenats et que tu pourras ramener facilement. Bien sûr, il y a plein d'autres minéraux et plein d'autres endroits... Si c'est uniquement pour chercher des minéraux, préfère, pour ton achat futur, la massette Eastwing de 1.5 kg parce qu'elle a une bonne patate à l'impact. C'est sûr, un peu lourde pour les randos (surtout en fin de journée et après quelques centaines de mètres de dénivelé dans les pattes) mais diablement efficace sur le terrain. Burins longs (ciseaux et pointerole) toujours affûtés du mieux possible... Bonne chasse... Eric
  23. Salut, tu dois être une des rares personnes à demander ! Mais au moins, la réponse est maintenant précise. Pour ma part, j'ai toujours donné mon accord de façon verbale pour ceux qui me l'ont demandé (quels qu'ils soient) : c'est à dire, je pense en gros, une personne sur 20 qui utilisent les cartes que j'ai levées (qui appartiennent plutôt au brgm qu'à moi d'ailleurs, même si j'en garde la "paternité scientifique") ou qui citent, même sur le net, des pans entiers de notices... Eric
  24. Tu auras compris sans doute que l'image, c'était pour le fun et rappeler les basaltes qui forment l'ossature du truc : c'est la forme qu'elle a aujourd'hui qui est étonnante (simple jeu de la tecto et des cycles d'érosion) car la Rhune n'a pas la morphologie d'un volcan proprement dit et ne l'a jamais eu, même au moment du volcanisme (différent de l'Ossau ou de l'Anayet par exemple) : ce sont des coulées d'albitophyres qui ont "dégueuler" d'un édifice peu construit verticalement mais rayonnant sur une trentaine de bornes quand même. Ces basaltes sont interstratifiés (= concordance entre coulées et sédiments) dans les sables et conglomérats permiens...
  25. Bonsoir, Exactement pareil que Eric sur ce coup là : ça me rappelle quelque-chose mais pour ce que j'en avais gardé en mémoire (ou cru comprendre) ce n'était pas à la Rhune (ni dans les "Grès de la Rhune") mais dans le Trias gréseux (grès à Voltzia) proche du col d'Ibardin (juste à l'ouest de la Rhune)...ce qui ne colle pas bien avec la carrière (ou alors c'est une autre occurrence) ... Donc désolé, pas d'info pour la Rhune...Ceci dit, belle plaque ! Eric Edit après vérification sur infoterre : "Grès de la Rhune" = Grès à Voltzia (je pensais que les Grès de la Rhune étaient permiens...) : donc carrière + ce dont je me rappelle = même environnement géologique mais pas le même endroit. Ce qui est marrant pour la Rhune est que regardée avec le bon angle, elle conserve son allure de volcan (artefact, bien entendu...)
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