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Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

enfin un texte clair sur les dérives de la pseudo "lithothérapie" par le figaro santé !


1frangin

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Le 16/11/2019 à 07:14, 1frangin a dit :

 

Salut 1Frangin!

J'ai transmis quelques liens au bureau d'Act Up Sud-Ouest!( du juridique, exemple: https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000421566, la présidente est juriste!) et hier, par mail, S... et F...... m'annonce que: "Nous l'avons signalé et l'ouvrage a été retiré des rayons.
On a pu le constater."

Ha? Le livre qui fait tousser, retiré des rayons de la Fnac, Cultura, Leclerc, Gibert Joseph,, et des boutiques en ligne???

https://www.lci.fr/sante/un-livre-largement-distribue-explique-t-il-qu-il-est-possible-de-traiter-le-sida-avec-des-pierres-2137816.html: "Une pierre qui guérirait du Sida, c'est ridicule", tranche Guy Trédaniel( l'éditeur.), qui "comprend la situation" et souhaite éviter toute "confusion dans l'esprit du lecteur". Il précise qu'il va contacter la maison d'édition originelle pour lui soumettre des modifications, et se dit prêt "à insérer un avertissement supplémentaire dans chacun des ouvrages", ainsi qu'à "supprimer dans les prochaines impressions toute référence au VIH".:gratte-tete:

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  • 1 mois après...
Michel Cymes : la lithothérapie ou l'arnaque des "pierres guérisseuses" Cette pratique prétend soigner toutes sortes de maladies mais n'a aucun fondement scientifique.
Michel CymesPUBLIÉ LE 31/01/2020 À 09:19
Alerte à l'arnaque ce vendredi 31 janvier. On entend de plus en plus parler de ces cailloux censés faire des miracles : la lithothérapie. Ces cailloux, donc, par la grâce de leur seule énergie, supposée ou réelle, aideraient à combattre le cancer ou à prévenir les crises cardiaques.
 
En réalité, les vertus supposées de ces pierres qu’on vous vend sur internet ne reposent sur aucune étude scientifique sérieuse. On est là dans l’univers des pseudo-sciences, de la démonstration abracadabrantesque, de la croyance aveugle, de la preuve par le verbe.
 
 
On vous promet un meilleur karma mais comment mesure-t-on le karma ? Avec un karmamomètre ? L’histoire de la médecine est marquée par le charlatanisme et j’ai parfois du mal à comprendre qu’il puisse encore faire des dégâts alors que quand on s’adresse aux scientifiques et qu’on leur parle de lithothérapie, ils sont à deux doigts de s’étrangler.
 
"Aucune interaction possible entre les cristaux et le corps humain"
 
Christian Chopin Partager la citation
Dans le Figaro, Christian Chopin, Directeur de recherche au CNRS, explique que le monde minéral est caractérisé par son inertie et qu’à la différence du monde vivant, il ne produit pas spontanément d’énergie (à l’exception des substances radioactives). Donc, dire que les minéraux ont des énergies bénéfiques ou qu’ils émettent des ondes spécifiques, c’est grotesque. "Il n’y aucune interaction possible entre les cristaux et le corps humain", certifie le chercheur.
 
 
Alors, le folklore des cailloux magiques au spa de l’hôtel où vous passez vos vacances, je ne suis pas contre. Mais de là à imaginer que l’améthyste va vous permettre de vous réconcilier avec votre patron, que l’émeraude renforce votre système immunitaire, que la cornaline va mater votre diarrhée ou que la calcédoine va vous débarrasser de votre bégaiement, il y a un pas que nombre de thérapeutes autoproclamés franchissent un peu trop rapidement à mon goût…
 
N’oubliez jamais que quand on vous parle de "pierres qui revitalisent", elles revitalisent surtout le compte en banque de ceux qui en font commerce…
 
Les cristaux : des pierres magiques aux vertus thérapeutiques ?

Lithothérapie

Les cristaux : des pierres magiques aux vertus thérapeutiques ?

Publié en ligne le 13 août 2013 -
par Jacques Bolard - SPS n°303, janvier 2013
Si, durant les dernières vacances, vous avez fréquenté les marchés estivaux, vous aurez pu y noter la présence quasi systématique d’étals où l’on vend des minéraux. Les vertus de ceux-ci, pour améliorer notre bien-être et notre santé, y sont vantées et précisées, des explications sont fournies, basées sur l’énergie qu’ils rayonnent et sa capture dans notre corps par l’intermédiaire de chakras. Voilà de quoi piquer notre curiosité !
La visite d’une grande librairie parisienne nous a, par ailleurs, fait découvrir, au rayon « lithothérapie », dix-neuf titres en rapport avec les pierres. L’un des auteurs avance avoir vendu plus d’un million de ses livres, toutes éditions confondues. Quant à la consultation d’Internet (minéraux, cristaux, santé, énergie, lithothérapie, effet curatif, cristal, etc.), elle a rapidement dépassé nos capacités d’assimilation.

Qu’est-ce qu’un minéral ?

Mais, tout d’abord, qu’est-ce qu’un minéral ? Un minéral est tout composé cristallin trouvé à l’état naturel. Une roche est une association de minéraux. Rappelons qu’un cristal est un solide dont la structure atomique est ordonnée et périodique dans les trois directions de l’espace. Les pierres dont nous allons parler sont des monocristaux. Dans l’encadré, nous parlons aussi de la cristallisation sensible obtenue par évaporation rapide d’une solution et qui conduit à des microcristaux.
La cristallisation sensible : le marc de café de l’agriculture biodynamique
Si vous évaporez une solution aqueuse de chlorure cuivrique, vous obtiendrez un faisceau d’aiguilles bleues. En 1925, Ehrenfried Pfeiffer observa que si l’on ajoute une substance organique à la solution, on obtient une texture différente : la matière incorporerait des forces qui lui donneraient un pouvoir de mise en forme. En analysant les structures obtenues, il serait possible de déterminer la qualité d’un aliment, d’une boisson, de détecter les pathologies d’un patient à partir de son sang. La méthode est utilisée en particulier par les partisans de la biodynamie, une approche de l’agriculture ayant beaucoup d’aspects en commun avec celle de l’agriculture biologique, mais prenant en considération, en plus, les cycles lunaires et planétaires. Ce système de production agricole est inspiré par l’anthroposophie, un courant de pensée créé par Rudolf Steiner au début du XX e siècle et qui cherche à développer en l’homme les forces nécessaires pour appréhender ce qui existerait au-delà des sens : monde éthérique ou monde des forces formatrices, monde psychique ou astral, monde spirituel.
La cristallisation sensible semble avoir atteint son apogée avec la tenue d’un colloque en 1998 sous les auspices du Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie1. Des scientifiques y débattirent de la manière d’obtenir des résultats reproductibles et d’analyser les images. Ils essayèrent de trouver une rationalité physicochimique aux effets observés. Des représentants du corps médical firent état de différences significatives ( ! ?) obtenues entre des sangs « bien portants » et des sangs « pathologiques ». Puis, sans doute comme conséquence des conclusions du colloque, le silence s’est établi et il est difficile sinon impossible de trouver des publications sérieuses dans le domaine. La communauté scientifique semble s’être désintéressée de la question.
Toutefois, en 2011, a été proposée une méthode d’analyse des images2 et en 2012 est paru un travail en « biocristallisation » sur la différence entre des plantes traitées par des doses homéopathiques de Stannum metallicum3. Les tenants de la méthode reconnaissent que la difficulté de l’analyse est liée au fait que les images obtenues pour une même substance ne sont pas strictement identiques et qu’analyser ces cristaux nécessite donc un apprentissage et de nombreuses données permettant la comparaison.
Le désintérêt quasi-total de la communauté scientifique n’empêche pas l’approche de trouver, d’une manière déconcertante, des adeptes convaincus et nombreux chez les viticulteurs et les agriculteurs bio. Ils nous livrent les informations obtenues sur les qualités d’un vin ou d’un aliment ainsi que sur son histoire, avec un luxe de détails ahurissant. La médecine non conventionnelle n’est pas en reste...
1 http://www.admi.net/industrie/corss...
2 http://asp.eurasipjournals.com/cont...
3 "Development of a biocrystallisation assay for examining effects of homeopathic preparations using cress seedlings". Baumgartner et coll, Evid Based Complement Alternat Med. 2012
Le pouvoir des cristaux est dans la tête, pas dans les cristaux
C’est la conclusion que tire le psychologue britannique Richard Wiseman au vu de l’expérience menée par son collègue Christopher French1 dont les résultats ont été présentés à la conférence de la British Psychological Society en 2001. Les 80 volontaires qui se sont prêtés à l’épreuve ont en général réagi conformément aux « indications » fournies par la « notice » du cristal qu’ils tenaient dans leur main (par exemple, dégagement de chaleur, concentration accrue, bien-être). Le problème, c’est que le groupe témoin à qui avait été donné un placebo (une simple verroterie) a réagi de la même manière. Les participants se déclarant sensibles aux explications paranormales en général se sont révélés être ceux qui ressentaient les effets les plus marqués. La suggestibilité apparaît être ainsi l’explication unique du « pouvoir des cristaux ».
Les lithothérapeutes d’outre-Manche ont contesté ces résultats, critiquant l’amateurisme des expérimentateurs qui n’auraient pas su choisir « le bon cristal adapté à la bonne personne ». Il faut dire que l’enjeu était d’importance pour eux : au Royaume-Uni, à cette époque, Sarah Ferguson, Lady Diana ou encore Cherie Blair, la femme du premier ministre, étaient présentés comme adeptes du pouvoir guérisseur des cristaux. Cette dernière portait un pendentif supposé la protéger des mauvaises ondes émanant des ordinateurs, téléphones portables, ou d’autres personnes.
J-P.K
1 « Hypnotic susceptibility, paranormal belief and reports of "crystal power », C. French, H. O’Donnell & L. Williams, Proceedings of the British Psychological Society, 2001, 9 n° 2.
Alors, qu’en est-il des pouvoirs des pierres, de leur efficacité, de l’explication scientifique de leurs effets éventuels ?

Les allégations des lithothérapeutes

Disons-le tout de suite, il n’y a pas d’étude prouvant que les cristaux ont un effet bénéfique sur la santé. Une recherche sur les sites des deux revues faisant autorité en médecine alternative 1, le Journal of Alternative and Complementary Medicine ainsi que Alternative Therapies in Health and Medicine, n’a pas donné de résultat... et pourtant à chaque cristal est attribué un effet curatif spécifique... différent selon le lithothérapeute !
Prenons en exemple les bienfaits de la cornaline. Selon les uns, elle régule doucement la circulation sanguine, pour d’autres elle facilite l’érection, peut supprimer les coliques, lutte contre les pertes de mémoire et est donc utile pour passer des examens ou des entretiens d’embauche. L’émeraude est efficace pour les maladies de la thyroïde, peut être efficace contre la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson. Il est ahurissant de constater que toutes ces assertions sont gratuites, qu’il n’y a même pas la moindre tentative de justification, de statistique. Tout au plus, C. Norman Shealy, dans une étude sur une centaine de patients dépressifs, toujours citée mais non publiée dans une revue à comité de lecture, aurait observé une amélioration de l’état chez 80 % de ceux qui portaient un collier contenant un cristal de quartz, au lieu de 20 % chez ceux qui portaient un collier contenant un morceau de verre 2.
En l’absence de toute validation de l’efficacité thérapeutique des cristaux, voyons si, malgré tout, il peut y avoir des bases scientifiques à leur action, cette action étant fondée sur l’interaction entre le cristal et le corps humain.

Cristaux et corps humain : quelles interactions possibles ?

Pour ce qui est du cristal, tous les écrits des lithothérapeutes, décrivent abondamment et avec précision les propriétés de symétrie des cristaux, propriétés bien établies scientifiquement : symétrie des réseaux cristallins à l’échelle atomique ou « système réticulaire », symétrie des structures à l’échelle morphologique ou « système cristallin ».
Puis ils passent à la structure « vibratoire » et c’est là que tout se complique. Pour eux, les cristaux possèderaient de l’énergie et émettraient des vibrations, électromagnétiques ou d’une autre nature, inconnue. Il est parfaitement licite d’analyser les vibrations possibles au sein des cristaux, que ce soit au niveau du réseau cristallin, ou au niveau des atomes ou des molécules constitutifs. On sait que toute vibration dans un solide peut être représentée comme la superposition d’un certain nombre de modes « normaux », les vibrations élémentaires du réseau, les phonons. Ceux-ci jouent un grand rôle dans les propriétés physiques telles que la capacité calorifique, la conductivité thermique, la conductivité électrique, la capacité à propager le son. Curieusement, pratiquement tous les lithothérapeutes ignorent la notion de phonons.
Cela étant, les cristaux peuvent-ils émettre des vibrations ? Comme toute substance, les cristaux peuvent le faire mais il faut leur fournir de l’énergie. Sans excitation externe, pas d’émission d’onde électromagnétique ! Les cristaux ne vont pas émettre un rayonnement de leur propre chef, grâce à une supposée source de puissance interne. Nos bioénergéticiens semblent l’ignorer. Un bon exemple est celui de l’émission laser : un cristal de rubis n’émettra un rayonnement laser que parce qu’il aura été préalablement « pompé » à un niveau d’énergie supérieur, opération qui nécessite beaucoup d’énergie.
C’est une règle générale, et qui n’est pas particulière aux cristaux. Ainsi s’applique-t-elle à la luminescence. Par exemple, les chiffres lumineux des cadrans de certaines montres du début du XXe siècle n’étaient visibles dans l’obscurité que parce que la poudre de zinc, dopée au sulfure de zinc, dont ils étaient recouverts, contenait également du radium radioactif.
Un charabia scientifique en guise de base théorique
Les cristaux entretiendraient des relations avec des « énergies subtiles » qui nous entoureraient. Leur impact énergétique sur notre organisme et notre psychisme reposerait sur une analogie structurale et ils agiraient selon leur type sur la « fréquence vibratoire » des chakras. L’onde spécifique de chacune des pierres permettrait alors une ré-harmonisation vibratoire du système énergétique du corps humain. Il leur permettrait de se caler et de se réguler sur la bonne fréquence ; mais par quel mécanisme ? Les couleurs des cristaux seraient, elles aussi, importantes. Chaque chakra est rattaché à une couleur, et les cristaux portant cette couleur influenceraient positivement le chakra correspondant. Cela étant, la couleur d’une substance résulte de l’absorption, de la réflexion, de la diffraction, de la diffusion de la lumière ambiante mais pas d’une émission lumineuse (incandescence et luminescence mises à part) ! Pour certains, le centriole de nos cellules (point de départ des microtubules constituant le cytosquelette des cellules animales) jouerait un rôle essentiel à cause du silicium qu’il contient. On peut lire que le centriole serait constitué par un noyau de silicium entouré de 38 000 molécules d’eau en vibration, que la silice se comporte en quartz piézo-électrique entre l’ADN du noyau et le cytoplasme. Pour d’autres, l’ADN de nos cellules constituerait un dipôle équivalent à une antenne radar, ce qui lui permettrait de recevoir l’information en provenance de l’univers « non manifesté ». Les pierres en contact avec la peau pourraient aussi libérer des ions qui passeraient dans notre corps par des récepteurs ioniques ou par réaction enzymatique, ce qui n’est pas totalement déraisonnable.
Une pierre peut, selon la lithothérapie, se fatiguer, se saturer et devenir moins performante, après avoir emmagasiné de mauvaises énergies. Il faut donc la recharger d’une « énergie », qu’elle échangera à nouveau contre celle des patients. Pour cela, les lithothérapeutes utilisent plusieurs méthodes, chacun défendant la sienne et décriant celle de l’autre. Parmi elles, il y a l’immersion du cristal dans de l’eau distillée ou de source, salée ou non, l’enfouissement dans la terre pour le purifier puis le dépôt sur un amas de cristal appelé « druse », en lumière solaire, lunaire ou stellaire, afin qu’il se recharge. Certains lithothérapeutes préconisent d’attribuer à chaque druse un usage particulier qu’il convient de « programmer ». À la lecture de tous ces préceptes contradictoires, le patient devrait être paralysé par la peur de neutraliser son cristal ou même de le voir retourner son action contre lui. Une pierre peut aussi être synthétique ou fausse, les deux possibilités étant extrêmement courantes. Son énergie ne peut pas alors avoir été accumulée au cours de millions d’années ; on peut se demander si le cristal est quand même efficace ?
L’émission de rayons gamma (un rayonnement électromagnétique) par désexcitation d’un noyau atomique résultant d’une désintégration pourrait toutefois se rapprocher de ce qu’avancent les lithothérapeutes : émission sans excitation externe ni modification apparente de l’émetteur. La différence est que le rayonnement gamma est détecté alors qu’aucun rayonnement émis spontanément par un cristal n’a jamais été mis en évidence dans toute la large gamme des fréquences analysées et de sensibilité des détecteurs. Les lithothérapeutes pourront toujours répondre qu’il s’agit d’un nouveau type de rayonnement, de nature inconnue. Évidemment, on peut toujours l’imaginer...

Le quartz, pierre angulaire de l’argumentation des lithothérapeutes

Le quartz (minéral constitué d’oxyde de silicium), et sa piézoélectricité, est la pierre angulaire des lithothérapeutes... et c’est de lui que provient le flou concernant l’émission des vibrations d’un cristal. Il est certain que sous l’effet d’une contrainte mécanique, un cristal piézoélectrique se polarise électriquement et inversement. Il est certain que le cristal, lorsqu’il est stimulé électriquement, entrera en résonance pour certaines fréquences spécifiques et oscillera, alors, à une fréquence stable. Mais il faut lui apporter de l’énergie. On ne peut pas dire que le quartz, et par extension tout minéral, est un émetteur récepteur de vibrations diverses qui fonctionne en continu. On peut encore moins dire que l’immense énergie ayant servi à la formation des cristaux se transforme en pouvoir curatif et spirituel.
Quant à la structure de notre corps en relation avec les cristaux, on est totalement dans le domaine de l’ésotérisme. On se reportera à l’encadré pour une brève description de la construction ésotérique proposée par les lithothérapeutes, en soulignant son absence de fondement scientifique.
L’ensemble des lithothérapeutes considère qu’une aura – un contour coloré – rayonne autour de notre corps et serait la manifestation d’un champ d’énergie. La photographie Kirlian permettrait de la mettre en évidence 3. L’aura serait composée de sept couches, l’action des cristaux se situant au niveau de la sixième, le « corps éthérique » (corps quantique, corps vital). Au niveau de cette couche seraient situés les chakras majeurs, points de jonction des canaux d’énergie, au nombre de sept. Pour certains, le corps éthérique est une structure vibratoire holographique composée de tachyons, des particules supraluminiques. L’existence de ces tachyons est effectivement avancée en physique théorique mais n’a pas été prouvée expérimentalement. Toujours est-il que les auteurs de science-fiction en font leurs choux gras, de même que nos lithothérapeutes qui reconnaissent que les techniques actuelles ne permettent pas de les apercevoir ou de les mesurer, et ajoutent que cela ne signifie en aucun cas qu’ils n’existent pas. Certes, mais cela ne permet pas non plus de dire que ce sont eux qui constitueraient le corps éthérique, si corps éthérique il y a.

Des minéraux fascinants... pour d’autres raisons

On peut être fasciné par les minéraux, par la pureté d’un quartz, la symétrie de ses lignes et vouloir leur prêter des propriétés particulières. On peut alors trouver une justification à ce souhait dans les textes anciens, indiens ou égyptiens. Il ne faut pas, par contre, espérer trouver un appui dans la science contemporaine qui nie en bloc l’émission spontanée d’ondes par les cristaux, la structure vibratoire de notre organisme telle que postulée par les lithothérapeutes, l’interaction de ces deux systèmes et, surtout, la réalité des effets bénéfiques allégués.
1 Ces journaux se fixent pour objectif l’évaluation scientifique de pratiques complémentaires ou alternatives aux thérapies reconnues, pour évaluer leur aptitude à être intégrées dans la médecine scientifique.
2 Life beyond 100 – Secrets of the Fountain of Youth, C. Norman Shealy, (2005), éd. : Torchin/Penguin, New York, page 102
3 Nous renvoyons nos lecteurs à l’article de Science et pseudo-sciences n° 212, novembre-décembre 1994, consacré à ce sujet.
La lithothérapie est-elle une science ? (ou une bonne arnaque pour les gogos ?!)
 
 
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Dans de nombreuses expositions, style New Age, on rencontre des stands de « lithothérapie » dont les marchands vantent les mérites de santé de leur pierres et autres cristaux.
Là où cela devient intéressant c’est quand certains auteurs tentent d’accorder un caractère scientifique à une approche qui n’a jamais apporté aucune preuve scientifique (ne me parlez pas de la cousine du neveu de votre père qui s’est guérie, pitié ! Cela n’a aucune valeur)
Un certain M. Robert Blanchard a écrit un long texte « la lithothérapie, une science ? » qui tente d’expliquer le caractère scientifique de cette prétendue thérapie par les pierres (et cristaux).
Vous pouvez le lire à cette adresse :
http://ressources-plurielles.com/lithotherapie/
En tant que journaliste scientifique, j’ai annoté ce texte, en gras. Je vous en propose une relecture.
La lithothérapie, une science ?
La lithothérapie peut être une science si elle répond à la démarche expérimentale (observation, hypothèse, protocole de validation de l’hypothèse, expérience permettant de valider ou d’invalider l’hypothèse, publication dans une revue scientifique possédant un comité de lecture composé de scientifiques, possibilité de reproduire le protocole d’expérience par tout chercheur). L’auteur ce texte, un certain Robert Blanchard, va-t-il y parvenir ?
Le pouvoir des pierres naturelles
La thérapie par les pierres, ou lithothérapie, est considérée par certains comme une superstition venue du fond des âges. Personnellement, c’est ce que je crois. Mais en laissant la place à un doute, car la science n’a pas tout découvert.
Cependant, grâce aux travaux sérieux et rigoureux d’un docteur en philosophie des sciences, Robert Blanchard, la lithothérapie vient notamment de gagner en explications scientifiques.
Le problème c’est qu’on ne trouve nulle part la biographie de cet auteur pourtant prolifique. Je vais joindre sa maison d’édition pour savoir ce qu’il en est et disposer de sa biographie. C’est ça le travail du journaliste. Peut-être qu’il s’agit d’un pseudo ou qu’il n’a pas les diplômes qu’il prétend avoir. A suivre...
la lithothérapie vient notamment de gagner en explications scientifiques.
On va voir si cette prétention est validée.
Comme pour les plantes, on sait empiriquement que les pierres ont des effets sur l’homme.
NON, désolé on ne sait pas empiriquement si les pierres ont ou non un effet sur l’homme, autre que placebo. C’est d’ailleurs l’objet de son article que de le démontrer. Les plantes ont quant à elle des effets, c’est sûr.
Mais la plupart des savoirs traditionnels sur le pouvoir guérisseur des pierres sont aujourd’hui enfouis, presque introuvables. Admettons, mais pas sûr. C’est pourquoi la pratique moderne de la lithothérapie doit s’appuyer sur une connaissance fondé et scientifique pour être perçue comme adapté à une démarche de soin. Voilà une volonté d’approche scientifique.
Entre géologie et minéralogie, alchimie, oligothérapie et médecine énergétique, entre recherche de la pierre philosophale et pratiques anciennes datant de l’homme des cavernes, le lithothérapeute semble être un métier d’érudit. Pas forcément, la démarche scientifique s’abreuve d’observation, d’hypothèse, d’un protocole reproductible pour valider ou invalider l’hypothèse, etc. Donc pas forcément un "érudit".
La première chose à savoir est qu’un lithothérapeute sérieux ne fait pas de magie (bonne approche, sinon on reste dans la croyance aveugle), il travaille selon les propriétés physiques et chimiques des pierres (Admettons), leurs fréquences et leurs qualités «vibratoires»
Ah là on déraille en considérant sans le démontrer que les pierres ont des « fréquences » (?) et des « qualités vibratoires » (?). A mes yeux et jusqu’à preuve du contraire, les pierres n’ont pas de fréquence, (sauf en spectroscopie) ni de « qualités vibratoires ». Sinon il faut m’indiquer comment on mesure ces qualités vibratoires ? En quelle unité de mesure ? Comme toujours, c’est à celui qui affirme d’apporter la preuve.
ainsi que leurs implications. Cette démarche demande de solides notions historiques, culturelles et des savoirs divers tels que la chromothérapie, médecine énergétique, et bien d’autres savoirs complémentaires à la médecine occidentale.
Les pierres ne sont pas des corps inertes. Malgré leur apparence de stabilité moléculaire et d’immuabilité, les pierres sont comme tous les corps de l’univers : elles se caractérisent par des constantes physiques comme la masse (oui), la chaleur (non, elles ont la température de l’air ambiant), la radioactivité (oui, plus ou moins, notamment la bétafite), l’électromagnétisme (non, ce mot, ici ne veut rien dire scientifiquement).
Ce sont aussi, comme tous les éléments de la nature, des centrales énergétiques (non ce ne sont pas des centrales énergétiques !) faites d’atomes et d’électrons (évidemment, comme tout). Et c’est grâce aux électrons qu’elles échangent des ions avec les corps voisins (oui, elles peuvent par exemple s’oxyder), et dans le cas présent nous sommes voisins (voisin ?).
Toutes les pierres évoluent ainsi constamment en manifestant des oxydations, des réductions, des transformations en d’autres corps (les transmutations naturelles sont rares ! On peut transformer le carbone en diamant, mais à quelle pression !)…
Les lois de ces échanges sont décrites par la chimie physique oui. Les combinaisons d’éléments chimiques contenus dans les pierres sont aussi variées qu’il y a de pierres différentes.
Au delà de cette réalité technique, ce marché (ah oui c’est un bon marché pour les charlatans et les naïfs) se complaît dans le mythe (oui), les abus (oui, oui), les valeurs notables et les effets de mode (trois fois oui). S’appuyer sur un professionnel bien intentionné pour mieux comprendre leurs propriétés physico-chimiques est souvent vivement recommandé (justement, on se le demande)
Les scientifiques ont démontré que chaque pierre interagit avec l’extérieur par des échanges ioniques, thermiques, électromagnétiques ou encore radioactifs
STOP ! Chaque fois que vous lisez « les scientifiques ont démontré que » vous pouvez affirmer que vous êtes en présence d’une arnaque à la science, d'une pseudo-science. Les vrais scientifiques citent la source de leur affirmation. Il devrait être écrit « Machin et Truc, de l’université Untel, ont récemment publié un article dans la revue scientifique XXX N°zz, date, page xx, qui tend à démontrer que...»
Pourquoi ? Parce que cela vous permet de lire cet article, de trouver la source de cette démonstration. De regarder si les articles publiés dans cette revue sont soumis à un comité de lecture composé de scientifiques et lesquels.
en fonction de la plus ou moins grande présence d’aluminium, de lithium, d’iode, de brome, de silice, de nitrate, de potassium, éléments chimiques qui constituent le tableau du chimiste Mendeleïev.
Là encore, on voit la faiblesse scientifique de celui qui écrit : la silice (dioxyde de sillicium) et les nitrates (sels de métaux) ne font pas partie des corps simples figurant dans la table de Mendéléev ! Mais le pire est hélas à venir...
Depuis les travaux du Prix Nobel français Louis de Broglie sur la mécanique ondulatoire, il est admis que tous les objets matériels peuvent être définis par deux formes : une forme corpusculaire qui décrit leur apparence matérielle, et une forme ondulatoire.
AIE AIE AIE !
Là on tombe très bas ! Ce ne sont pas les « objets matériels » qui peuvent être décrits à la fois en termes corpusculaire et ondulatoire : c’est la lumière ! Ce qui effectivement la preuve de cette double nature qui a valu le Nobel de physique à Louis de Broglie (prononcer « de breuil ») en 1929.
En partant d’une affirmation totalement fausse, les conclusions ne peuvent qu’être erronées :
Chaque corps peut ainsi être vu sous l’angle de la matière ou de sa longueur d’onde. Par exemple, le fluor a une longueur d’onde de 977 cm, le chlore de 565 cm et l’iode de 214 cm.
Les longueurs d’onde recueillies par les spectromètres se mesurent sur la réflexion de la lumière sur un corps quelconque (une pierre par exemple) : les pierre n’émettent pas de lumière elles-mêmes (sauf si elles sont phosphorescentes)!
Qui plus est la longueur d’onde de la lumière réfléchit par l’objet choisi se mesure en nanomètre et non en centimètres !
La longueur d’onde réfléchie par le fluor éclairé est de 821,5 nanomètres, et non de 977 cm ! Celle du chlore présente des raies spectrales à 146, 148 nanomètres et non 565 cm !
Tous les éléments d’une composition chimique ont leur fonction d’onde et c’est cette dernière qui transporte l’énergie des éléments (cela n’est valable que pour la lumière!) C’est de cette manière que les pierres vont échanger avec nous l’information qu’elles recèlent (eh bien non!). Pour cela elles empruntent le chemin des canaux ioniques. (les canaux ioniques ne fonctionnent pas comme ça. Ce sont des protéines membranaires qui laissent passer (ou pas) des ions chimiques (sodium, potassium, etc.)).
Arrêtons là l’étude du texte qui, déjà, présente tant de contre-vérités qu’il ne présente plus aucun intérêt scientifique et ne saurait constituer une démonstration du caractère scientifique de la lithothérapie. Les seules émissions d’ondes que peuvent présenter les pierres sont celles de la radioactivité. Et l’on sait que cela constitue un danger, dont malheureusement Marie Curie a été victime, comme bon nombre de travailleurs de l’atome.
Une très saine lecture sur les arnaques à la science et les dangers de la lithothérapie :
http://menace-theoriste.fr/lithotherapie-1/
sans oublier les arnaques sur les pierres elles-mêmes :
http://www.julia-boschiero.com/les-pierres-trafiquees-ou-contrefaites-les-plus-courantes/
Bref, la lithothérapie a encore à apporter la preuve de ce qu’elle affirme pour se parer du mot « science ».
SPECTROSCOPIE - SPECTROGRAPHIE
Quant on lance un faisceau de lumière "blanche" (qui contient toutes les longueurs d’ondes) sur un prisme, celui-ci diffracte la lumière, c’est-à-dire étale toutes ses composantes en fonction de leur longueur d’onde (vibrations plus ou moins rapides), comme ci-dessous. La lumière n’est visible par l’oeil humain qu’entre 380 et 720 nanomètres (millionième de millimètre).
 
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On peut interposer un corps quelconque entre la source de lumière et le prisme : soit en traversant la matière (solution de sel ou d’iode, un cristal, par exemple), on parle alors de spectrographie par absorption.
 
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Soit en faisant se réfléchir la lumière sur un objet (la surface d’une pierre), on parle alors de spectrographie par « émission » (reflet)
 
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Ici, le réseau de diffraction est l'équivalent d'un prisme.
Ni la cuve contenant de la matière à étudier, ni le cristal du second exemple n'émettent quoi que ce soit : ils sont éclairés.
Dans les deux cas, la matière éclairée ne restitue pas tout le spectre lumineux : elle marque certaines longueurs d’onde (disparition ou décalage de fréquences par exemple). Ce sont ces modifications spectrales qui définissent les composant de la matière, qui "signent" la matière et permettent son identification. Idem pour l’analyse de la lumière des étoiles...
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C'est du placebo, quelqu'un qui a par exemple mal au ventre ou tout simplement un gros stress, le faite de croire au bienfait des pierres aide inconsciemment, elle soigne pas bien sur mais ça aide des personnes sur des petits problème plutôt psychologique que physique. Enfin bref chacun ces croyance je personne pour juger quiconque.

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il y a 12 minutes, Xertham a dit :

Enfin bref chacun ces croyance

C'est un droit! le droit à la crédulité:siffler:

vente de place au paradis c'est un placébo? La vente d-un-faux-medicament!

 

 https://www.legeneraliste.fr/medecins-generalistes-a-vous-la-parole/article/2019/05/24/placebo-cest-un-gros-mot-_318726

 

il y a 12 minutes, Xertham a dit :

juger quiconque.

charlatans.info/article39. :

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte portant code de déontologie médicale.

 

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C'est un peu de la provocation, mais dans le lien de @gaeldeploeg, on peut lire

"Le charlatanisme évoque un remède illusoire. Pourtant, différentes études considèrent qu’une partie des médecines parallèles aujourd’hui autorisées ne produisent pas des résultats supérieurs à ceux d’un placebo. Ne devrait-on pas en déduire qu’il s’agit de procédés illusoires, relevant du charlatanisme ? L’homéopathie est aujourd’hui reconnue mais sa pertinence scientifique reste largement discutée [22][22]Parmi de nombreux articles, l’étude publiée dans The Lancet en…. On ne peut pourtant nier que ces thérapeutiques présentent une certaine pertinence quand elles comblent une véritable attente, attente qui résulte vraisemblablement de la réaction de certains face à la technicisation croissante de la médecine contemporaine d’une part et de l’amélioration de la situation sanitaire et des critères de santé et de bien-être dans nos sociétés. De ce fait, parallèlement à la médecine traditionnelle destinée à soigner les pathologies plus « lourdes », les médecines parallèles semblent susceptibles soit de traiter des pathologies bénignes et d’améliorer ainsi la qualité de vie de certains, soit de trouver une place complémentaire aux côtés des thérapeutiques allopathiques."

Je ne vois pas de différence entre homéopathie et  lithothérapie ou d'autres pratiques de médecines alternatives, etc... 

 

L’améthyste évite l'ivresse, d'après wikipédia ,"Bacchus, frustré, décrète alors que quiconque boira dans une coupe faite de cette pierre ne pourra pas savourer l'ivresse de son vin. Et la pierre prit en outre la couleur du vin."

C'est aussi pour les catholiques  "les évêques, traditionnellement, portent un anneau épiscopal orné en améthyste qui vient en aide à toute personne qui la baise, cela apporterait la sagesse et nous purifierait des mauvaises pensées, d’où son autre surnom : la pierre d’évêque…"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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il y a 22 minutes, jean francois06 a dit :

C'est un peu de la provocation,

Doit‐on et peut‐on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur physique ou morale? Pour les hypocondriaques? https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00663369/document

Le placébo est il remboursable par la sécu? On peut imaginer rembourser un placebo?¿

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il y a 11 minutes, gaeldeploeg a dit :

Doit‐on et peut‐on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur physique ou morale? Pour les hypocondriaques? https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00663369/document

Le placébo est il remboursable par la sécu? On peut imaginer rembourser un placebo?¿

C'est juste le choix des gens rien de plus

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il y a 9 minutes, Xertham a dit :

C'est juste le choix des gens rien de plus

Pas le choix, plutôt les croyances. Toutes ces médecines alternatives ne soignent pas. En aucun cas des pathologies graves. Un rhume, un coup, une inflamation, avec ou sans medecine ça passe. On peut ajouter des pierres, des  oscillococcinum etc..., tant qu'il n'y a rien çà marche. Et le temps, même sil nous apporte des rides, ça marche. Litho, homéo, etc.. ne soignent que les gens bien portant. 

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il y a 7 minutes, gaeldeploeg a dit :

:mortderire:De quels gens parle tu? Les 7 milliards d'humains? et de quels choix? tu fais allusion à: https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/droits-de-l-homme/liberte-de-religion-ou-de-conviction/:siffler:T'es monté en boucle?:huh:

je peux avoir un avis ? 

il y a 5 minutes, jean francois06 a dit :

Pas le choix, plutôt les croyances. Toutes ces médecines alternatives ne soignent pas. En aucun cas des pathologies graves. Un rhume, un coup, une inflamation, avec ou sans medecine ça passe. On peut ajouter des pierres, des  oscillococcinum etc..., tant qu'il n'y a rien çà marche. Et le temps, même sil nous apporte des rides, ça marche. Litho, homéo, etc.. ne soignent que les gens bien portant. 

J'ai dit la même chose

 

"C'est du placebo, quelqu'un qui a par exemple mal au ventre ou tout simplement un gros stress, le faite de croire au bienfait des pierres aide inconsciemment, elle soigne pas bien sur mais ça aide des personnes sur des petits problème plutôt psychologique que physique. Enfin bref chacun ces croyance je personne pour juger quiconque."

 

Bien sur que ça soigne pas

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Je 

il y a 6 minutes, Xertham a dit :

je peux avoir un avis ? 

J'ai dit la même chose

 

"C'est du placebo, quelqu'un qui a par exemple mal au ventre ou tout simplement un gros stress, le faite de croire au bienfait des pierres aide inconsciemment, elle soigne pas bien sur mais ça aide des personnes sur des petits problème plutôt psychologique que physique. Enfin bref chacun ces croyance je personne pour juger quiconque."

 

Bien sur que ça soigne pas

Je crois qu'on a le même avis sur le constat : ça ne soigne pas.

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Le meilleur remède contre le rhume c'est le chapeau !

Prenez un chapeau, rond de préférence, et mettez le au bout de votre lit.

Allongez-vous et regardez le chapeau tout en sirotant lentement mais sans modération le breuvage suivant:

- Un bon tiers de citrons pressés avec la pulpe, (de préférence bio bien sûr)

- un petit tiers de vrai miel d'apiculteur (pas une saloperie chinoise), un bon miel toutes fleurs de montagne est parfait, 

- un tiers d'eau bien chaude mais pas bouillante

- un très gros tiers d'un bon rhum blanc à minimum 50-55°

(je sais ça fait 4 tiers, mais ce n'est pas moi qui ai inventé le concept !)

Quand vous verrez 2 chapeaux, vous serez guéri. 

Ça marche à tous les coups

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il y a une heure, Michel de Champigny a dit :

Le meilleur remède contre le rhume c'est le chapeau !

 

- un petit tiers de vrai miel d'apiculteur (pas une saloperie chinoise), un bon miel toutes fleurs de montagne est parfait, 

 

Pour le miel, je conseillerai plus un miellat de pin, de sapin, un miel de lavande, en mp je peux donner une adresse d'un apiculteur!

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j'aime bien tout ces acides moi, ils font du bien à mon corps. :siffler:

 

PS : pour le miel de la décoction de Michel, j'ai la chance d'avoir un apiculteur parmi mes collègues de travail...

        On peux pas faire plus court comme circuit : du producteur au consommateur.

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