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Une marcassite en grande souffrance !


maril15

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J'ai pas dis que toute les pyrites sont stables, je voulais juste dire que entre marcassite et pyrite on trouve quand même plus de pyrite stable que de marcassite stable.

Malheuresement, mes observations sont peut-être un peu faussées, car on trouve plus de pyrite en quantité dans le monde par rapport à la marcassite.

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Sinon j'ai vu un jour un speciment entierement coule dans de la resine incolore...

Je trouve que c'est cher paye pour une marcassite mais tu regles le probleme des reactions avec l'atmosphere...

Cela ne resout rien, les ammonites pyriteuses ont été coulées dans la resine et cela n'empeche pas leur deterioration...

Il suffit juste que le processus soit démarré et elles risquent de toute facon de ce deteriorer.

j'a recupéré dans une vieille collection une marcassite trouvée vers les années 1870 (etiquette sympa), grosse crevasse et elle tiens plus ou moins bien...jusqu'a quand

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J'ai déjà eu l'occasion, dans un autre post, de parler des marcasites que je ramasse pés de chez moi.

J'ai signalé que près du lieu de ramassage il y a une anciène micro-exploitation d'or.

Ne pourrait-il pas y avoir un faible pourcentage d'or mélangé au FeS² que le stabiliserait?

La pyrite aurifère existe... Pourquoi pas la marcasite aurifère?

Cela expliquerait la tendance à ne pas s'oxyder.

J'attends vos avis.

Cordialement.

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De façon purement chimique, c'est possible.

Sachant que dans la cellule eucaryote (on trouve les mitochondries qui sont chargées de la chaine respiratoire qui inclut des transporteurs spéciaux) qui ont des centre Fe2S2 agencés en "carré" (entre autre).

Or, si on fait le compte, on a 2Fe2+ et 2S"2-" qui forment donc un assemblage viable.

Sachant que l'or Au peut former des ions Au2+ , on pourrait imaginer effectivement de remplacer un des 2 atomes de fer par un atome d'or.

Mais, c'est de la chimie un peu bête et méchante d'autant que je néglige le fait que Fe et Au n'ont pas la même taille. En plus, les centres Fe2S2 c'est in vivo et donc organique (les soufres sont apportés par des cystéines). Donc, ça pourrait être possible, mais je ne suis pas sûr que ça se passe comme ça (surtout qu'on est en chimie minérale).

Sinon, peut-être une liaison métallique entre l'or et le fer plutôt que covalente, ça apporterait des électrons aux 2 soufres. Pourquoi pas?

C'est ce qui me vient à l'idée pour stabiliser FeS2 avec Au, mais je peux absolument me tromper.

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:gratte-tete: Je vous crois sur parole!

Je ne suis pas calé en chimie comme vous...

Certains minéraux sont des "alliages" naturels, telle que la Sylvanite AgAuTe4 (j'aimerais bien l'avoir dans ma collection celle là! :clin-oeil: ).

Je me suis dit que ça pourrait aussi le faire avec la marcasite.

Pour en revenir au sujet du début de ce post, une idée m'est venue.

Si on enferme la marcassite dans un "bocal", bien au sec, dans une atmosphère 100% azote (plutôt facile à trouver), ça devrait empêcher l'oxydation..

Pas d'oxygène = pas d'oxydation!!

(il y a des chances que je débloque là :tease:, je suis pas chimiste! )

Cordialement.

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C'est envisageable en labo de conditionner la marcassite osus atmosphère protectrice de N2 , mais le faire chez soi ça devient beaucoup moins aisé.

Surtout qu'il faut s'assurer d'avoir une boite strictement hermétique et je pense que remplacer à 100% n'est pas vraiment réalisable chez soi.

D'autant qu'il faut être sûr que la marcassite n'ait pas emprisonné de l'O2 quand on l'introduit dans la boite.

Théoriquement, effectivement sous N2 à 100% on protège la marcassite de l'oxydation.

Pour l'hypothèse de l'alliage, c'est ce qui me venait à l'idée dans mon commentaire précedent. Mais on ne peut rien affirmer.

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autres idees qui peuvent peut-etre marcher pour eliminer le dioxygene sans pour autant enrober la marcassite avec une resine polymere:

-boite remplie a l'azote mais aussi...

-glace seche (glace carbonique), qui se vaporise pour emplir la boite de CO2 (chassant l'air du meme coup car plus lourd)

-combustion de laine de fer dans la boite, consommant l'O2 disponible

-boite remplie avec une huile incolore

pour une boite parfaitement hermetique prevoir un joint avec du gel de silicone

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J'avais pensé à l'huile incolore, mais qu'elle reste incolore avec une marcasite qui trempe, ça me paraît peu probable à cause de la croute d'oxyde de fer qui généralement couvre l'extérieur de l'échantillon...

La glace sèche remplace l'air par du CO2, mais il y a bien du O2 dans le CO2 non?

Sinon le gel silicone pour rendre hermétique le joint c'est la bonne idée.

Cordialement.

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non, le dioxyde de carbone CO2 n'est pas un melange de carbone et de dioxygene, c'est une molecule a part entiere car le carbone est lié aux atomes d'oxygene (par des LIAISONS CHIMIQUES).

C'est bien pour ca que tu ne peux pas respirer le CO2 alors que tu peux respirer l' O2. D'ailleurs, l'air que tu respire est un melange de CO2 de N2 et d' O2, c'est a dire que tu as des molecules d'O2, des molecules de N2 et des molecules de CO2 melangées (mais pas liées) entre elles (un peu comme si tu melangeait des billes de trois couleurs differentes), et tes poumons font le tri n'absorbant que les molecules d'O2.

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Le CO2 n'est pas vraiment une bonne alternative pour conserver une marcassite.

En effet, notre cher ami est sous cette forme <O=C=O> (il est linéaire) avec 2 doublets d'éléctrons non-liants à chaque O (représenté par les chevrons).

--> Les problèmes du CO2 :

1- Il possède des doubles liaisons, sachant que les 2 liaisons qui la composent ne sont pas équivalentes : il y a une liaison sigma très difficile à casser et une liaison pi beaucoup plus "fragile" et donc réactive.

2- L'oxygène est le deuxième noyau le plus éléctronégatif de toute le tableau périodique (avec le Fluor en premier), il va donc attirer les électrons du carbone vers lui : les deux atomes d'oxygène récupère des charges électrique partielles négatives (notées q-) en "s'appropriant" les électrons de la liaison qu'ils établissent avec le carbone. Le carbone quant à lui, obtient une charge partielle positive de 2q+ (car lié à deux "voleurs" d'électrons).

Cela a pour effet que les oxygènes auront tendance à devenir encore plus nucléophiles (ils sont polarisé négativement et donc il cherche des polarisations positives à qui se lier), mais cela est un effet négligeable par rapport au carbone central de la molécule.

Le carbone central subit 2 effet de polarisation et donc devient électrophile (ses électrons lui ont été "volés" et du coup il est polarisé postivement, il cherche à récuperer des électrons ailleurs).

3- Pour se stabiliser le CO2 a une solution assez simple (c'est la plus courante), il trouve une molécule d'eau H2O qui a très envie de lui donner des électrons et donc on a le C qui récupère un groupement -OH et des deux autres O qui récupère le deuxième H de la molècule d'eau. On obtient H2CO3 (l'acide carboxylique) et comme tout bon acide il ADORE donner ses protons (le proton est un Hydrogène à qui il manque un éléctron --> H+) à toutes les molécules qui en veulent autour de lui.

4- Comme par hasard il se trouve que l'atome de Soufre S (dans FeS) est un grand fan des charges positives et qu'il a plein d'électrons à mettre en commun (doublet non-liant) et donc il va se lier avec les protons qu'emet notre acide et pouf plus de marcassite...

Bref, le CO2 c'est mal.

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Connaissant pas trop mal le Cap Blanc Nez et du coup nettoyer beaucoup de marcassite (nodule et sperkise) de ce site j'ai remarqué ceci :

1 - suivant le type de craie la marcassite résiste plus ou moins bien, avec une craie plus poreuse et plus altérée la marcassite résiste moins qu'une autre dans une craie plus saine. D'où l'idée d'une altération déjà débutée lors de la collecte

2 - certaines bactéries décomposent le souffre, ne pas oublier de tremper la marcassite dans de l'alcool à brulé, cela l'assèche et tue au moins en partie ces bactéries

3 - l'utilisation de certains vernis et du paraloïde ne permet pas d'être sûr à 100% de conserver le spécimen, de plus je trouve que ça l'assombris et fait perdre une partie du brillant. Je ne l'utilise plus et préfère répéter les bains de dithio + alcool jusqu'à stabilisation du spécimen.

4 - si ça ne marche pas une seule solution : JETER !!! c'est triste mais pas le choix j'ai du être obligé de jeter un nodule (de 3kg) avec un micraster pyritisé au centre en guise de "noyau" pleurer.gif

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La question de la conservation des marcassites et autres sulfures de fer a déjà été (très) abordée sur le forum, il y a de quoi lire en cherchant un peu.

2 - certaines bactéries décomposent le souffre, ne pas oublier de tremper la marcassite dans de l'alcool à brulé, cela l'assèche et tue au moins en partie ces bactéries

C'est vrai, il s'agit de ce genre : http://microbewiki.kenyon.edu/index.php/Thiobacillus Ce sont des bactéries qui synthétisent une enzyme capable d'oxyder les ions métalliques pour leur métabolisme. Dans l'exemple, Thiobacillus métabolise le Fe2+ et produit du Fe3+, il existe j'imagine une/des espèce(s) qui font de même avec le soufre (d'où le préfixe thio-..).

Le truc c'est que ces bestioles ont besoin d'O2, elles sont aérobies, donc s'il n'y a plus d'air, on peut penser qu'elles meurent?..

D'après P. Chollet, le coup de l'alcool à brûler, ou tout autre antiseptique, n'est pas efficace. Je le cite, j'espère qu'il sera ok :super: :

La seule solution, c'est le chauffage prolongé des pièces suivi d'un confinement en milieu stérile. Chauffage de plusieurs heures à plus de 150°C - idéalement 200°C - et encore ! [...] Le problème c'est que pareil traitement, le plus souvent les pièces n'y résistent pas (chauffage à une température plus élevée que celle de formation : les micro-inclusions se dilatent au delà des conditions de formation, les phases gazeuses sont dissoutes, la dilatation continue et des micro-fractures apparaissent : le minéral "décrépite". Si un traitement définitif était connu, les musées l'utiliseraient ! Ce n'est pas le cas et des pièces majeures ont fini en poussière dans des vitrines prestigieuses (voir la pyrrhotite de Trepca dans les premières pages du post d'Azogue à ce sujet) (P. CHOLLET)

La dernière réflexion est intéressante, elle rappelle que les minéraux sont des entités chimiques stables sous certaines conditions physico-chimiques (l'exemple du graphite et du diamant est bien connu) : pression/température souvent, mais aussi taux d'humidité par exemple (cf l'autunite!). Ce qui est important, c'est de comprendre que dès qu'on le sort de ces conditions de formation, un processus de transformation s'amorce vers une forme stable dans le nouveau milieu (votre vitrine par exemple). Plus concrètement, le minéral va se changer, il peut se déliter, réagir avec d'autres composants du nouveau milieu, se dissoudre, changer son arrangement atomique etc...

Comme avec tout autre minéral, c'est ce qui se passe avec la marcassite : du moment qu'elle sort de sa craie (en fait, ça a sûrement commencé un peu avant mais bon..), elle interagit avec son nouveau milieu, pour nous elle "dépérit".

Du coup, ça n'a pas vraiment de sens de vouloir absolument protéger un nodule pyriteux, à un moment où à un autre, il va tomber en miettes ;)

Autant aller en chercher un autre qui tient mieux!

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Pour ce qui est de tuer nos bacteries (dont entre autres Thiobacillus ferrooxidans) avec de l'alcool, il faudrait deja verifier si cette bacterie y est bien sensible. Un bactericide specifique pourrait etre plus approprié.

De toute facon, il semble que ces bacteries ne soient vraiment actives qu'avec une humidité vers 95%, et donc n'auraient qu'un role limite dans les conditions d'hygrometrie d'une collection.

J'avais neanmoins pensé a l'alcool pur pour deshydrater la pyrite, mais l'alcool (qui contient d'ailleurs toujours de l'eau) ne risque-t-il pas aussi de laisser cette meme humidité derriere lui en s'evaporant?

J'avais egalement envisagé le chauffage, mais non seulement c'est risqué pour le specimen, mais surtout il faudrait savoir jusqu'a quelle temperature on peut chauffer sans risquer un quelconque degagement de SO2, ou une dilatation des grains qui rendrait la marcasite plus poreuse qu'elle ne l'est deja.

Le vrai probleme c'est avant tout la neutralisation de l'humidité, de l'acidite, et des produits de decompositions (sulfates de fer notemment) deja presents dans le specimen, puis de maintenir le specimen protegé d'au moins un, si ce n'est des deux produits qui entrent en jeu dans la reaction de decomposition, a savoir l'eau (humidité ambiante) et le dioxygene (l'air)

Mon sentiment est qu'il faudra combiner, et dans un ordre bien defini, divers traitements. Si je recapitule tous les traitements suggeres ici et la sur divers forums de mineralogie, et que je les organise dans un ordre coherent, ca donne ceci:

-nettoyage mecanique (brosse et eau savonneuse puis rincage a l'eau). But: desincruster les impuretés (produits d'oxidation, terre...). Si des encroutements poreux couleur noir de pois (et odorants) sont presents, il faut aussi les eliminer, ce qui peut necessiter un travail a a l'aiguille.

-bain (6h) dans une solution de bicarbonate de soude (dissoudre 110g dans un litre d'eau), puis rincage a l'eau. But: neutraliser l'acidité avant le traitement au dithionite.

-bain (12 a 24h entre 18 et 25°C) de dithionite (avec solution tampon), puis rincage a l'eau et sechage complet. But: elimination des oxides et hydroxides de fer.

-cuisson au four a 60°C pendant 2 heures. But: deshydrater la pierre a coeur (mais le chauffage presentant un risque pour le specimen, on pourra preferer ignorer cette etape)

-bain (24h) dans l'acetone pur, puis sechage (attention l'acetone ainsi que ses vapeurs sont inflammables!). But: l'acetone dissoud le soufre libre (a noter que contrairement a l'idee recue, l'acetone ne deshydrate pas reellement, elle elimine juste un peu d'eau par effet de dilution).

-bains de monoethanolamine thioglycollate (toxique!) en solution (3 a 5%) dans un alcool pur (ethanol ou isopropanol). But: neutralise l'acide sulfurique et dissoud les sulfates de fer (de plus l'alcool desinfecte et deshydrate). Procedure: tremper le specimen pendant 1 a 4h: des que la solution devient violet sombre, rincer le specimen a l'alcool pur, puis repeter l'ensemble des operations jusqu'a ce que la solution ne change plus de couleur, terminer par un rincage a l'alcool pur, puis sechage.

-bain (24h) dans WD40 (de prefererence a chaud pour le fluidifier), puis sechage. But: chasse l'humidite et protege de l'oxidation.

-et enfin, on pourra terminer sur un traitement par impregnation/enrobage (huile chaude, ou vernis, ou polymere...). But: evite un retour de l'humidite et limite le contact avec l'air.

-stockage dans un lieu sec (par contre la conservation dans un recipient etanche sous atmosphere anhydre et anaerobie ca me parait tout de meme un peu excessif)

Bon c'est un peu laborieux pour un nodule de marcasite a la con, mais ca peut valoir le coup pour un beau specimen, qu'en dites vous?

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Bon c'est un peu laborieux pour un nodule de marcasite a la con, mais ca peut valoir le coup pour un beau specimen, qu'en dites vous?

Tu l'as dit! Faut vraiment que ça vaille le coup.

Avec la quantité que j'ai ramassé dans le coin, et tout ce qui reste certainement à ramasser, je vais pas trop me prendre la tête.

Mais il est vrais que j'ai de la chance d'en trouver qui tienne bien dans le temps. Elle n'est pas superbe mais ça agrémente ma collection.

J'ai eu ramassé de la radiée sur le même terrain, mais elle est partie en miettes en 2ans après l'avoir ouverte.

Un copain y a même ramassé un bébé de plus de 6kg, et il me l'a donné après qu'il l'a cassé en 3 morceaux (1 demi + 2 quarts).

Mais là point vraiment de marcasite! Je veux dire qu'elle s'est metamorphosée en vraissemblablement de la limonite ou quelque chose qui y ressemble (Ha, la chimie tout de même!!). Du coup la seule chose qui brille dedans, ce sont deux ou trois paillettes (Au ?).

Vous pensez bien qu'avec un poids pareil elle n'est pas dans ma collection, mais plutôt dans un carton...je ne sais où.

Si j'ai le courage de la retrouver je vous fais des photos.

A+

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Pour l'étape de séchage à 150°C. Il n'est pas nécessaire d'aller aussi haut. Un chauffage à 100°C permet assurement une évaporation de l'eau.

On peut même passer en dessous de 100°C, car l'eau (comme la plus part des liquides) s'évapore en dessous de son point d'ébulition et donc même à 60°C le rendement peut être interessant.

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Faut etre honnete. La marcassite c'est tres moche !

Et je dis ceci en toute objectivite ; )

Pas celles du Cap Gris nez (ou blanc-), sais plus trop.

Il paraitrait aussi que certaines marcassites n'en seraient pas: demander à l'expert qui a fait un article.

Il existe un sujet à retrouver sur geoforum.

Il y a aussi des marcassites qui restent stables dans la forêt d'Orient : cf sujet sur les boucles de raie et un autre sujet qui explique les milieux de formation... Sujet redondant sur un minéral fréquent mais encore bien énigmatique finalement !

Plutot que de torturer la sulfureuse copine de Maril avec des bains de ceci et des chatouilles de cela, chercher à comprendre comment certains congénères survivent naturellement !

Dans la rubrique très beau, il y avait des bois pyritisés exceptionnels sortie dans les 80ies... Vernis n'ont pas permis la préservation, et peut être était-ce de la marcassite?

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Dans la rubrique très beau, il y avait des bois pyritisés exceptionnels sortie dans les 80ies... Vernis n'ont pas permis la préservation, et peut être était-ce de la marcassite?

Certaines pyrites ont aussi des problèmes de conservation, j'en ai une dans de l'argile bleue (récolté au pied d'une avancée rocheuse sur la mer) qui avait commencée à s'oxyder violement là où elle était. Mais depuis qu'elle est bien au sec dans ma vitrine, elle est très heureuse et a arrété ses bétises.

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