zunyite

les chnatiers "filaires" n'ont rien à voir avec les chantiers "batteries" !!! le type de groupe est dans le même contexte....le mieux , déjà , est de determiner le type/localisation des chantiers !!

le thermique : voir le poids !!!!!! pas raisonnable hors chantiers accessibles avec au moins mulets ! (utilisé au maroc ) le hilti est tres performant et resistant à l'usage (je ne connais pas le bosch sur le terrain) apres il faut le calibrer en fonction du types de travaux et le diametre de perforation utilisé (TE30 ou TE60) prévoir plusieurs batteries pour la durée du chantier.....(généralement cela veut dire à plusieurs : perfo dans un sac à dos , batteries dans un autre , autre matos dans un troisième )

dans le sud : tu as pensé à papiol !!? (plus de chances de récupérer des fluos fraiches

il n'y a pas que la pyrite : tout "mineral" contenant suffisamment de métal est conducteur de chaleur ou même electrique ( argent natif , magnetite etc...) c'est une propriété intrinséque du mineral qui ne veut pas dire , pour autant , qu'il y a interaction avec le corps ! ( comme lourd ou léger , dur , tendre etc...) pour comparer , cela revient à dire que poser un bout de tôle en acier sur le corps peut guérir le rhume !!!! les interactions possibles avec la biologie sont indirectes (fibres d'amiantes coincées dans les alvéoles pulmonaires, poumons colmatés par une tres fine poussière ) ou chimiquement assimilées sous formes solubles (arsenic, mercure etc...)

tout cela dépend de pas mal de critères !!!! ces concretions ont 60 ans et elles font plus d'1cm au vu de la photo ! En pratique je suis d'accord MAIS ne pas oublier que la recherche de mineraux , la récolte, l'environnement etc...cela demande de la pratique, de l'éxpèrience et ce n'est pas inné !!! - on parle de casser une concrétion à un naturaliste ou un spéléo , il va s'insurger -on parle à un mineur de réouvrir la mine , il va donc recalibrer la galerie et casser les concrétions ce qui est necessaire !!!! qui a tord ?????

le danger vient non pas du mineral en lui même mais de la taille des fibres !! autrement dit , des "amiantes" naturelles , à part les meuleur ou autres , il n'y a aucun risque ; pour que les fibres presentent un danger il faut qu'elles soient suffisemment petites pour se bloquer dans une alvéole pulmonaire (inf à 5microns !!) https://www.cancer-environnement.fr/Portals/0/Documents PDF/Rapport/Anses/Afsset/2009_Fibres courtes et fibres fines d'amiante - afsset.pdf

aucun problème si l'acces se fait en galerie mais si le puits est plein , il y a peu de chances que les galeries soient accessibles !!

la galène est tres souvent argentifère et peut faire l'objet d'exploitation pour le plomb ou pour l'argent (les mines grecques du laurion par exemple)

il y a quelques documents et informations sur le site du brgm (info-terre) : au nord de singles il y a le lieu dit joursac avec une mine de plomb argentifère ; il y a des documents en lignes dont le plan de situation et les caractéristiques technique de la mine

bonjour je l'avais pas vu celui là !!! il faut reprendre depuis le début : -sol sous la maison : limons -structure de la maison ????? (fondamental) C'est bien de s' intéresser à la nature , la bioclimatisation etc etc....................dans ces cas , il y a deux solutions : -soit s'adresser à des spécialistes (cela existe quoiqu'en disent une partie de ces "babacool" en quand je parle de spécialistes je ne parle pas de la criirad par exemple ) -soit on considère que l'on est entouré de "connards" et on fait tout soi même étant une des rare personne responsable et intelligente du secteur ! On peut effectivement stocker de la chaleur de cette façon mais c'est peu efficace (l'inertie thermique n'est pas tres bonne) et 2m de profondeur , ce n'est pas suffisant !

petite remarque : suivant le but de ces coordonnées attention aux differents systemes utilisés et donc des différences de position !! exemple du même point sur google earth pro et geoportail ( je n'ai pas les coordonnées d'un gps "publique" et "topographique" qui sont encore différentes) 1 : 46° 08' 04,32'' N 3° 24' 19,62'' E google earth 2: 46° 13' 15,08'' N 3° 40' 54,49'' E geoportail soit 23,4 km de différence !!

aucun !! De plus , chapeau de fer implique plus probablement sulfate ....éventuellement oxyde ou carbonate suivant l'environnement du chapeau de fer !

dans ce cas pas assez d'infos pour pouvoir faire une determination ! (grossissement plus fort , autres caractéristiques................)

le plus logique : gypse

je crois qu'il faut remettre les choses dans le contexte -lacroix est avant tout un géologue ! ses travaux sur les l'herzolites et roches basiques des pyrénées est toujours une référence !! - on oublie souvent que les "références" mineralogiques de l'époque ne sont pas les mêmes que maintenant : exemple des zéolites ! Il décrit de façon enthousiaste certains échantillons qu'actuellement un collectionneur les regarderait de façon méprisante........................sauf , qu'à l'époque personne n'avait encore observé des zéolites indiennes -la géographie évolue !! certains sites sont maintenant sous le beton ou le bitume !!! les noms de sites ont beaucoup évolué.....j'ai recherché pendant un moment un site et me suis aperçu que le nom de ce site avait changé trois fois entre l'observation et maintenant !!!! (ce qui est logique : un sentier muletier à son époque qui a évolué par une piste "carossable" entre deux vallées puis en col goudronné reliant les deux vallées et des stations de ski !!!) globalement pour les pyrénées et le massif central , je n'ai trouvé aucune contradiction entre géologie/minéralogie sur tous les sites observés (sur qq centaines de sites)

il y a deux types de rentbilité : -mineral de collection : la taille importe mais moins que la qualité : un beau cristal gemme de 2cm sur quartz cristallisé vaudra bien plus qu'un cristal terne de 10cm san gangue -industriel : ce n'est pas la monazite s.s qui compte mais sa teneur par rapport à la gangue et sa teneur en element rares (Ce, La, Nd, Sm, Gd...) et leur extractabilité !!!!

Tous !!!!!

Etant issu du milieux professionnel , ce dernier texte est un dérivé de préconisations industrielles de manipulation de materiaux radio actifs de synthese et enrichis !! Donc complétement décalés ( peut être plus ou moins valables sur certains échantillons de mines africaines manipulés par lots de 500kg 1tone !!!) Dans le même contexte : -la préparation d'échantillons de roches/mineraux est dangereux et meritent des précautions en effet les echantillons contiennent une part importante de silice libre , tres dangereuse pour la santé ! il est impératif de ne le faire que sous hotte aspirant ou avec des masques à poussière au moins fpp2 , passage à la douche au final ; -la préparation si elle se fait avec du materiel comme trimmer , disqueuse etc...entraine des normes de sécurité que ce soit au niveau electrique que mécanique ( volets de protection , gants au moins EN388 , tablier cuir conseillé ..... -evidemment chaussures à coques obligatoires ainsi que des lunettes de protection norme en166 classe 2 au moins -protections auditives indispensables en synthese : ne le faites pas vous même et adressez vous à des spécialistes (si vous en trouvez...pas trop en europe) !!!!!

normalement il est possible de faire la balance es blancs sur l'appareil photo ! donc , peu importe perso je préfère 4 ou 6 lampes indépendantes diodes avec un tube opalescent comme diffuseur ; cela permet d'orienter la lumière "principale" pour accentuer le relief

quel genre de site ? carrière , sites de montagne , mine ? ; il y a des carrières "propres"/en activité , des mines accessible (à condition d'avoir le matos) et pas mal de sites naturels à quartz-albite anatase , brookite , epidote....... Apres c'est l'automne : faut prévoir la tenue adéquate!!! ( parka kway ....)

je suppose un plateau manfroto : un point important , il faut maîtriser un pas regulier pour bien gérer la pile ! quel logiciel de stacking ?

c'est la grande aventure !!!! (j'ai commencé à peu pres au même age dans un club photo d'une MJC ( il y a 50 ans.....) en premier je dirais : ne pas se presser....ton reflexe est valable...commencer à apréhander la technique puis la maîtriser et la développer par la suite § pour la microphotographie , il est important de prèciser , à chaque fois, le champs car on n'a aucune possibilité de comprendre la taille de l'échantillon faute de repères ( arrière plan , repères de taille connue etc...) Il y a , comme dit géopass de mesuer sur la règle ; pour ma part j'utilise une autre technique du fait que j'utilise différentes objectifs, lentilles etc... -en considerant appareil poto-montage identique , je teste chaque objectif en faisant le point sur du papier millimétré et en faisant varier le tirage de l'objectif du mini au maxi ; j'obtiens un tableau me disant , par exemple : objectif x5 mitutoyo, tirage à 170 = champs de 26mm ; j'obtient un tableau pour chaque objectif ou lentille et je peux en deduire à chaque fois le champs photographie en lisant la graduation du tirage! -pour l'éclairage c'est le point le plus important et le plus délicat à reussir ! le mieux est de pouvoir disposer de sources identiques en température de couleur et d'intensité égale mais de façon à les régler en orientation et distance (4 ou 6 repartie autour de l'objet est le mieux!) - l'importance de la pile (nombre de photos) est important puisque chaque logiciel de stacking ne prend en compte que la partie nette de chaque cliché pour les cumuler en un seul ; s'il y a des détails qu'il ne perçoit pas entre deux clichés , ils ne ressortiront pas au final ! elasmo a raison 40 clichés est un minimum...ensuite tout dépend de la qualité de l'objectif et du pouvoir séparateur du capteur ! pour exemple sur un capteur 16mpx 4/3 et un objectif mitutoyo x5 : pour un champs de 3mm il faut au moins 70 cliches pour une profondeur de champs de 0,8mm

pour la première : éclairage trop violent ; globalement pas assez de photos dans la pile ; prèciser le champs photographié !!

j'ajouterais juste une remarque technique sur l'ensemble : avoir un dosimetre pour contrôler l'exposition globale des vitrines et/ou stock ok ! Par contre pour la prospection , l'extraction et même les manipulations je préfère utiliser un scintillomètre qu'un compteur ! C'est beaucoup plus sensible et plus prècis qu'un compteur ! L'avantage des boites c'est la conservation des etiquettes mais, ce n'est malheureusement pas toujours suffisant : j'ai du aller expertiser deux collections d'urinfères qui se sont retrouvée en décharges faute d'étiquttes , boites etc.... l'une avait été déballées sans aucune précaution par des "déménageurs" sans aucune idée de ce qu'ils manipulaient ( les boites avaient été récupérées et elles étaient correctement étiquetées !!!!) et l'ensemble s'était retrouvé en vrac dans des caisses et déclenché le capteur de la décharge!!

il faut être réaliste : collectionner des mineraux est trop dangereux pour la santé!!! mineraux radio actifs : - ne pas respirer dans cet environnement sinon cancer introduit par les poussières radio actives !!! -si transport ou collection de mineraux radio actifs...expositions aux radiations !!! prevoir des blindages en plomb mineraux "classiques" -ne pas s'exposer aux poussières (ne pas respirer c'est le plus sûr) risque silicose et autres -taper avec materiel comme massette , burins expose à de graves danger de blessures graves : ne pas utiliser -acheter les mineraux est moins risqué mais expose tout de même aux poussières et autres inconvénients (chocs ou bris en cas de chutes etc..) le mieux est de changer d'activité : photographier les fleurs par exemple...