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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

jph

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Tout ce qui a été posté par jph

  1. C'est une idée mais l'émail est resté brillant... jph
  2. Aspect "chagriné" comme relevé par un contributeur. Dent pathologique? jph
  3. Bienvenue sur le forum, jph
  4. Bonjour, Pas Exogyra non plus. Plutôt regarder du côté des gryphées. L'une ou l'autre photo de profil du bloc pourrait être utile. Bonne journée, jph
  5. Bonjour, Merci pour vos réponses et aussi pour le lien (Elasmo) vers l'ancien fil de conversation. Très instructif. Mon interprétation comme permien du sud de la France était donc bonne. Aucune idée de nom ou on en reste prudemment à "Lissamphibien"? Belle semaine à vous tous, jph
  6. Merci Kayou pour ce lien très intéressant. Qui illustre, si c'est encore nécessaire, l'importance d'une solide exploration bibliographique quand on aborde l'un ou l'autre sujet. Belle fin de journée à vous, jph
  7. Bonjour, Voici quelques photos de traces de pattes. Provenance inconnue. Reçu via intermédiaires. La pièce a appartenu à un géologue/paléontologue belge décédé, dont le nom a été gardé confidentiel. La seule information est « schiste houiller (époque indéterminée) Tableau N° 4 ». La mention « Tableau N° 4 » suggère que la pièce a été publiée ou du moins qu’il était envisagé de la publier. OK, en soi cela n’aide pas pour l’identification. L’imprécision de l’étiquette est étonnante de la part d’un géologue actif mais il s’agit bien d’une étiquette ancienne collée sur la boîte carton contenant la pièce. La plaque fait 24 cm sur 19 cm dans ses plus grandes dimensions. L’empreinte complète fait 4,5 cm du « talon » à l’extrémité du doigt le plus long sur 3 cm de plus grande largeur. La plaque est en fait une contre empreinte, les traces étant en relief. L’empreinte complète montre 5 doigts. Alors il y a deux pistes (même s'il y en a une seule sur la plaque...). Soit c’est effectivement houiller, les géologues et paléontologues belges ont, à une certaine époque, récolté et travaillé beaucoup dans les mines de charbon de Wallonie. Le géologue dont vient la pièce a vécu cette époque. Seulement les terrains houillers belges sont essentiellement noirs (en tout cas les « schistes houillers » qui sont en fait des pelites). Et, dans les terrils brûlés les matériaux sont effectivement cuits et rougis. Mais cette pièce n’a pas l’aspect ni le toucher des matériaux de terrils brûlés. De plus les géologues de l’époque récoltaient sur le matériel frais en sortie de mines voire carrément dans les mines. Elle ressemble beaucoup plus au permien des ruffes et des rougiers. Et là il y a la deuxième piste, le géologue en question possédait une maison de campagne dans le Périgord où il séjournait souvent. Pas loin du Rouerge… En farfouillant sur le net je trouve comme pistes (c’est de circonstance) possibles Merifontichnus thalerius ou encore Hyloidichnus. Mes compétences ne me permettent pas d’aller plus loin. Je m’en remets donc à la sagacité des experts du forum. Déjà un tout grand merci pour vos contributions. Bon week-end à tous, Jph
  8. Source très peu fiable donc, du vacuolaire aussi poussé.... Une exploration de cette source montre que les approximations et les traductions informatiques, sans vérification ni validation, ne les dérangent pas plus que ça. Bien à vous, jph
  9. Bonjour Kayou, Je ne sais pas quelle est la source de votre citation. Mais je note "500 millions de tonnes .../... pour 500 km³". 1 km³ fait 1 milliard de m³ de roches. 1 milliard de m³ ne pèseraient que 1 millions de tonnes. Il y a un bug dans cette source, non? Bonne journée à vous, Cordialement jph
  10. Peut-être un peu plus loin soit vers Saumur soit vers Loudun...?
  11. Ça au moins c'est du concret 🤣 🤑 Merci pour le bon moment, jph
  12. Bonsoir Amede, Je vois votre remarque sur les colonnes de résines en labo. Je suppose que c'est par rapport à la "perméabilité" ou "imperméabilité" des résines. Si je ne me trompe pas les colonnes de résines en labo sont principalement utilisées pour de la chromatographies ou alors pour de propriété de résines en échange d'ions mais pas spécialement comme filtre au sens classique du terme. En terme de perméabilité (surtout par rapport à O² et H20 quand on se préoccupe de fossiles pyriteux) les résines sont très variables. Par exemple la paraloïd B72, bien connu, et la cire Renaissance (mise au point par le British Museum; cire microcristalline neutre) forment des films imperméables à ces deux molécules particulièrement gênantes. Pour le traitement des ammonites pyriteuses de l'Aveyron (domérien, toarcien) ou encore de certains spots de la Drôme et des Alpes de Haute Provence (valanginien, albo-aptien) avant l’application du film protecteur il faut, comme d'autres l'ont pertinemment noté, être certain d'avoir bien séché les échantillons (en étuve sèche c'est sans doute l'idéal, un four de cuisine électrique peut aussi faire l'affaire à ceci près que la ventilation est moins bonne). Mais d'autres mesures sont utiles, voire indispensables. Élimination par trempage et séchage alternés de tous les éléments solubles (produits de l'oxydation qui agissent comme catalyseurs d'une dégradation plus avancée, la dégradation de la pyrite étant une réaction autocatalysée); stérilisation (pas simple désinfection) pour éliminer les bactéries qui font de l'oxydation biologique; neutralisation (les bactéries gênantes sont d'autant plus virulentes que le pH est plus bas). En fait beaucoup de manipulations nécessaires avec soin et rigueur, bref beaucoup de travail. Surtout quand on se trouve avec des centaines ou des milliers d'échantillons comme cela peut parfois être le cas dans les spots évoqués. Bonne soirée, jph
  13. Indépendamment de tout ce qui a été dit par ailleurs, celle-là je la trouve terrible. C'est l'air du temps, des droits et pas de devoirs, jph, vieux boomer ronchon
  14. Hello les pubs sont énervantes. Mais en fait il suffit de ne pas faire une fixation. Perso elles sont là mais je ne les vois pas parce que je ne les regarde pas. Il faut financer le forum pour qu'il vive et je suis d'accord pour que cela fonctionne ainsi. Ne mettons pas de charges et de soucis supplémentaires à ceux qui le font vivre. Par contre j'ignorais que le fait de mettre un bloqueur supprime pour le coup les recettes du forum. Je n'ai jamais mis de bloqueur par paresse. Maintenant c'est par décision que je n'en mettrai pas, ainsi mes visites peuvent continuer à financer le forum. Belle journée et excellent week-end à tout le monde, jph
  15. Comme Elasmo et Cardioceras, Je fréquente aussi chaque année ce secteur. Blocs de calcaires des horizons superficiels soumis à la pédogenèse et l'altération. Ce qui donne des formes "inspirantes" mais purement aléatoires. Bonne soirée, jph
  16. Bonjour et bienvenue sur le forum. Elle est déjà bien jolie votre collection. Merci pour votre présentation, Belle semaine à vous, jph
  17. jph

    ici Paris

    Bienvenue sur le forum et merci pour la belle introduction, jph
  18. Bonjour, Quelques photos bien nettes sous différents angles pourraient motiver les connaisseurs de brachios. Bien à vous, jph
  19. Tout à fait d'accord avec caterpillar. Les cloisons du septaria (le "réseau capillaire") ont recoupé au hasard les cloisons de l'ammonite ce qui rend la lecture de l'objet moins aisée pour un néophyte. Belle journée à vous, jph
  20. Cela peut parfaitement faire penser à un dépôt de calcite en milieu karstique (grotte ou simple diaclase ouverte dans laquelle circule de l'eau formant un dépôt de calcite sur les parois). Ultérieurement remobilisé par l'érosion du massif. Effectivement test HCl sur les parties d'aspect "fibreux". Bien à vous, jph
  21. Merci Karoo pour ce lien particulièrement intéressant. Bonne soirée, jph
  22. Il est vrai que le pyre qui irite est une assez jolie pièce. Il est tout aussi vrai qu'on passe de bons moments sur ce forum, Belle fin de W-E à vous toutes et tous, jph
  23. En tout cas ça me semble bien pourri. Il y a deux masses différentes: dans le bas de la roche encore en place mais très fragmentée (pas massive du tout) surmontée par une masse totalement désagrégée dans laquelle il me semble même distinguer des racines. Ça ne tiendra jamais tout seul. Je ne m'aventurerais pas à creuser une galerie là-dedans. Sur votre photo on ne voit pas le haut. Au delà de l'encadrement de porte déjà maçonné quelle est l'épaisseur de terrain jusqu'à la surface? Pouvons nous avoir des photos avec plus de détails de la masse inférieure et de la masse supérieure, aussi une photo avec plus de recul pour juger de la hauteur du sol au-delà de la porte? Prudence et avis techniques indispensables. Bien à vous, jph
  24. C'est avec beaucoup d'intérêt que nous verrons quelques photos. Bonne soirée, jph
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