Comme Lucailloux:
Un test précis de dureté serait un bon indice.
http://jade-jadeite-dans-le-detail.blogspot.fr/
C’est le minéralogiste français Alexis Damour qui a identifié au cour d’études scientifiques menées en 1846 et 1863 deux types de jades : l’un appartenant au groupe des amphiboles qu’il a appelé néphrite, et l’autre, un silicate de sodium-aluminium appartenant aux groupe des pyroxènes, appelé jadéite.
Ces deux minéraux sont donc des agrégats (poly-cristallins et cryptocristallins). Leurs propriétés physiques sont aussi différentes, la néphrite à une dureté de 6 - 6.5 sur l’échelle de Mohs, alors que la jadéite obtient 6.5 – 7. Quant-à Leur densité elle est de 2.9 - 3.03 pour la néphrite et 3.3 – 3.38 pour la jadéite.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Serpentine_%28min%C3%A9ral%29
La plupart des serpentines sont opaques à translucides, légères (densité 2,2-2,9), tendres (2,5-4), infusibles (elles se dégradent, elles ne fondent pas) et peuvent s’avérer acides
http://www.geoforum.fr/topic/16414-un-lieu-de-la-mineralogie-musee-de-lecole-des-mines-de-paris/page-4
Posté 29 septembre 2011 - 18:57
Néphrite (plaques sciées, transparence) http://fr.wikipedia.org/wiki/Jade A propos d'Alibert... On découvre, dans la salle Fischesser, les trophées et sculptures en graphite de Jean-Pierre Alibert, mais également, au travers des objets et peintures exposés, le personnage extraordinaire qu’il fut, sa vie riche d’aventures et sa passion pour la Sibérie. Cette passion le conduit à découvrir en 1847, près de la frontière chinoise, une mine d’un graphite très pur. Il sera également le découvreur des jades de Sibérie. Le « graphite Alibert », le « crayon Alibert » vont devenir des noms familiers dans les milieux européens de l’ingénierie, de l’architecture et de l’art de la seconde moitié du XIXe siècle. C’est vers la fin du siècle que Jean-Pierre Alibert fait don à l’Ecole de nombreuses pièces : graphite, néphrite, lapis-lazuli etc…