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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

icarealcyon

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Tout ce qui a été posté par icarealcyon

  1. Une petite araignée à très beaux yeux verts qui en transporte une autre, sur un mur crépi de chez moi, pour la déguster dans un endroit tranquille. Costaude la bête, pour trimbaler à l'aise ce poids sur un mur vertical.
  2. Merci à tous pour vos réponses (en m'excusant pour le retard). J'imagine donc les bébés bélemnites dérivant dans le plancton et/ou planqués dans les herbiers flottants Ce qui me frappe sur mes rostres, c'est que cette chambre initiale est toujours fossilisée dans une calcite d'un aspect différent du reste, plus claire et transparente, que les septa qui la suivent. Cela dénote une vraie rupture.
  3. Bonjour, sur le forum il y a ce topic qui répondra sans doute à vos questions (à copier-coller dans le moteur de recherche de Géoforum): Vos photos de formations minérales encore en place, avant l'extraction
  4. Une devise pour mai 2020: Traitement statistique: Evolution: Révélation: Porteurs sains (ou pas):
  5. Cette micro-faune de vertébrés toarciens des Causses était restée inconnue des spécialistes, c'est confirmé maintenant, et son étude scientifique va commencer. De quoi être encore plus occupée dans les mois qui viennent. J'en suis ravie ! Pour ma première sortie post-confinement, sur un sol bien rincé par les récentes pluies, j'ai déniché une 23ème lumachelle, qui promet. Située à la base de l'horizon à variabilis, sur quelques fragments centimétriques elle a fourni entre autres cette belle dent d'hybodonte (1 mm environ de hauteur pour 2 mm de largeur), et d'étranges denticules dermiques. Malheureusement, je n'arrive pas à photographier correctement ces derniers avec mon matériel plus que sommaire, leur taille étant inférieure à un demi-millimètre. Située environ 1,20 mètre en dessous de celle-ci, au sommet de l'horizon à semipolitum, dans la lumachelle n°21 : une très jolie dent d'orectolobiforme, cf. Annea (1mm environ) Par ailleurs, mes "dents-en-étoile" montrées plus haut ressemblent singulièrement à celles du Ginglymostomatidae Delpitoscyllium africanum du Thanétien... et cette famille n'est répertoriée dans le registre fossile qu'à partir de l'Albien. Peut-être un cas de convergence morphologique ? Une autre ressemblance troublante avec des représentants de cette famille, cette étrange dent coupante, du même niveau que les dents-en-étoile: Du côté des poissons osseux qui sont bien représentés dans ces assemblages, mes approches d'identification sont tout aussi ardues dent cf Dapedium (2.5 mm), h. à semipolitum. Cf Birgeria Pour ces dents élancées à l'émail profondément plissé, je "sèche" complètement, ainsi que pour cette forme en aiguille. Pour les premiers, je ne suis même pas sûre qu'il s'agisse d'un poisson osseux .
  6. Voici une pièce d'ambre intrigante: les inclusions sont une Haidomyrmex assez grande (environ 8 mm de longueur), aux pièces mandibulaires bien visibles, sur un lit de petits grains de sable, débris végétaux, et surtout un objet qui ressemble à un duvet d'oiseau mais bizarre, avec des barbules très espacés. Un duvet de dino ?
  7. Moi, je mettrais tout dans Hammatoceras insigne. Avant le diamètre d'environ 2 cm, la tuberculation près de l'ombilic n'est pas décelable, le spécimen 1 fait exception, mais il existe beaucoup de variations individuelles dans les formes juvéniles. Au-delà de 2.5 cm, tout ce petit monde se ressemble beaucoup plus.
  8. Une chose est sûre et certaine: tes bêtes sont bien des Hildoceras Il y a des variantes qui sont assez bien définies, et puis d'autres qui sont plus ambigües. les "espèces fossiles" n'ont pas la même définition que les "espèces vivantes". Je suis sûre que pour beaucoup sinon toutes ces Hildoceras épaisses présents dans la Z. à bifrons, on serait en fait en présence de morphes de H. bifrons. L'intérêt de ces morphes, outre la description, est parfois d'être restreints à certains horizons ou niveaux. les morphes épais sont plutôt présents dans la partie basse et moyenne de la Z. à bifrons. Encore qu'à deux occasions au moins, j'ai vu une H. sublevisoni (ou crassum), en tout cas un morphe bien épais à ornementation forte et "palmée" et sillon peu marqué en place dans l'horizon à semipolitum.
  9. Bonjour Chantal, OK sans problème pour la Harpoceras, une subplanatum sans doute, avec ces plis fins. Je n'ai pas tout suivi ces derniers temps, je suis toujours le nez plongé dans mes micro-restes de poissons toarciens, j'ai obtenu une semaine de rabiot bienvenue pour terminer ce travail à mon niveau, et surtout, suite à ma prise de contact avec un professionnel, les choses sont en train de se mettre en place pour leur étude scientifique. Pour caractériser H.sublevisoni: en Lozère, c'est une "forme épaisse, souvent de petite taille (moins de 2 cm), avec ébauche de sillon créée par la biconcavité des côtes (...) Le sillon reste "à peine discernable, quasi-inexistant"i . " source: R. JATTIOT et V. TRINCAL, guide des ammonites pyriteuses du Toarcien moyen et supérieur des Causses. H. crassum possède un "véritable sillon marqué, (avec) présence d'un bourrelet péri-ombilical."(même source) Par exemple, les auteurs ci-dessus considèrent le spécimen de la page 2 du guide du Club Millavois de Géologie comme un sublevisoni et non un lusitanicum. L'aspect des fossiles en calcaire diffère beaucoup des pyriteux, ils sont souvent plus grands pour une espèce donnée, et aussi proportionnellement moins épais que nos petites formes caussenardes.
  10. Pour moi, je pencherais pour Hildoceras Sublevisoni pour ces 3 exemplaires: leur sillon est peu marqué, créé par la biconcavité des côtes.
  11. Pour boomers avertis et les autres sont les bienvenus aussi
  12. Bonjour, rencontrant régulièrement au cours de mes recherches des rostres de bélemnites à divers stades de croissance, je m'interroge sur le fait que l'on n'en trouve pas en-dessous d'une certaine dimension. Ils "apparaissent", en quelque sorte, à déjà plus d'un cm de longueur. Et avant, à quoi ressemblait la bête ? A la base du phragmocône se trouve une petite sphère. Est-ce la loge initiale, une sorte de bulle ?
  13. Diamétralement opposées ces blessures ? Peut-on penser aux séquelles d'une morsure du manteau ? Cela ne ressemble pas aux coquilles cassées-réparées ordinaires que l'on peut observer sur des gastéropodes. Voici une dent de mordeur d'une autre époque: requin orthacodonte du Toarcien moyen, Causse de Mende, Lozère, avec une curieuse pathologie qui a rendu la dent bifide (1.3 mm de haut). Le fil coupant du côté opposé à l'excroissance a été un peu déplacé, rendant la section de la dent légèrement plus arrondie que la normale.
  14. Bonjour Chantal, cette bébête, ainsi que les 2 lozériennes postées plus haut me ferait davantage penser à des Maconiceras (microconques des Harpoceras) que Mercaticeras: ce dernier genre présente généralement une plus importante épaisseur/diamètre.
  15. Merci Chantal, pour les précisions sur les Aveyroniceras/ Reynesoceras. Cela me fait un peu penser à un clivage artificiel macrocoque/microconque, non ? Pour les Schistes-cartons, l'abondance des ammonites dans certaines concentrations est parfois incroyable, quel dommage qu'elles soient aplaties. Tes spécimens montrent encore le pseudotest. Certaines bestioles (des lytocéras) pouvaient atteindre des tailles respectables, mais on les trouve toujours disloqués dans les éboulis Les bélemnites des schistes-cartons sont aussi très intéressants. Une forme creuse en particulier peut atteindre une longueur de 30 cm au moins. Pas encore eu la chance d'en trouver une complète. Pour ça, il me faudrait traquer tous les travaux publics entaillant les schistes-cartons, seule chance d'obtenir des dalles assez grandes et cohérentes.
  16. Non, c'est du débris de bois carbonisé qui se trouve à proximité. Ce bois est courant dans la L1. Les dents de mes lumachelles sont généralement isolées, quelques cas de regroupement sur un ou plusieurs centimètres de distance, laissant penser que le propriétaire a perdu plusieurs ratiches en même temps (sphénodus: 4 dents proches dans la L 21 mais bloc malheureusement disloqué, Annea: 2, L21 aussi.)
  17. Voici une des dernières dents étranges trouvées dans l'horizon à semipolitum. Elle mesure environ 0.7 mm de long , a un aspect de "molaire", en tout cas une dent vraisemblablement broyeuse. Pour une meilleure perception de son relief, voici des photos prises sous des angles divers. Elle présente des similitudes avec les plus petites dents broyeuses d'un pycnodonte récemment décrit (2017) à partir de dents trouvées en Poméranie, Grimmenodon aureum toarcian pycnodont.pdf
  18. Elle n'est pas complète, car la partie présente (zone un peu "roussie", d'une conservation un peu différente) occupe moins d'un demi-tour. Elle devrait faire au moins un demi-tour pour être complète. Je confirme, pour la Lozère, le même constat que Chantal sur les Phylloceras domériens : très petite taille, 1 cm ou moins.
  19. Le Derolytoceras aveyronnais domérien constitue une belle rareté Alors, les Aveyroniceras sont redevenus des Reynesoceras, il faut suivre...Moi je ne suis plus... et le terme Aveyroniceras m'allait d'autant mieux que je n'en ai jamais trouvé le bout d'un seul en Lozère. Les tours initiaux de ce genre remarquable sont cadicônes, vraiment plongeants. J'en avais trouvé plusieurs beaux, très semblables aux tiens (mais sans pathologie !), du côté de St Paul-des-Fonts dans les années 1980, mais ils ont dû attraper la maladie de la pyrite depuis car je ne les retrouve pas dans mes casiers . Mes Arieticeras ont fait preuve de plus de santé ! Peu nombreux quand même en collection, voici tout ce que j'ai à ce jour ! Cela confirme que tes spécimens ci-dessus sont bien des Arieticeras. Seul celui du haut de ma photo ci-après provient de l'Aveyron. Il montre un peu plus d'épaisseur relative par rapport à ses collègues lozériens, qui proviennent tous d'un mince niveau, épais d'environ 3 mètres dans le Domérien de chez moi, correspondant vraisemblablement au Domérien V de Mattéi, mais curieusement dépourvu d'amalthées. Il est impossible de coller un nom d'espèce fiable sur les spécimens d'un diamètre inférieur à 15 mm, tant le polymorphisme est intense (premiers tours lisses, jusqu'à un certain point variable, au delà duquel apparaissent côtes, puis sillons péri-carénaux). J'ai découvert un unique grand individu de 43 mm, belle surprise d'un lendemain d'orage. Une Amauroceras pour moi: le dos est légèrement caréné et les reflets indiquent sur cette faible carène des ondulations de type amalthée .
  20. Bonjour Chantal, chouettes trouvailles et très belles photos: ces agrégats de blende marmatite, et on distingue bien la ligne blanche parallèle à l'axe d'allongement des tablettes de baryte transparentes. Peut-on qualifier cette ligne blanche d'âme, ou plutôt de fantôme ? Je pencherais pour le fantôme, mais pas vraiment d'argument, sinon qu'il existe manifestement au moins deux stades de croissance sur ces barytes.
  21. Merci à tous pour vos encouragements ! Ma progéniture s'est chargée de réaliser la plaque professionnelle apposée à l'entrée de mon antre: Plus sérieusement, les dents "forme effilée" ainsi que la deuxième dent en photo en haut de cette page semblent confirmer la présence de l'orectolobiforme Annea, mais une espèce différente d' Annea maubeugii. annea maubeugii description et dents.pdf
  22. Le tri continue sur le matériel accumulé, assez important. La période actuelle de confinement est mise à profit au maximum. En temps normal, comme vous tous j'imagine, quand j'ai un peu de temps libre je préfère le terrain au classement . En dégrossissant mes morceaux de lumachelle, je découvre sans cesse de nouvelles dents, c'est une histoire sans fin ! J'ai entamé un dénombrement par forme de dent selon les horizons de récolte. Il apparait que la forme "Dent-en-Etoile" est restreinte de l'horizon à semipolitum à l'horizon à phillipsi. La forme effilée avec cuspides latérales n'a pas tout-à fait une répartition temporelle équivalente. Celle-ci parait un peu plus étendue dans le temps, au début et à la fin, mais elle non plus ne franchit pas le passage au Toarcien supérieur, qui semble montrer une faune de sélaciens nettement appauvrie en nombre et variété. Photos de quelques nouvelles découvertes: Nouvelles "dents-en-étoile" à trois ou 5 pointes: Du type "effilé": Pour le plaisir: dent d'orthacodonte avec sa racine robuste, rarement conservée. La pointe principale de la dent (placée perpendiculairement à la surface du bloc), dépassait de 1mm; elles sont d'une résistance phénoménale ! Belle dent de synechodus à 8 cuspides Pour le contexte intéressant: dent à 6 cuspides associée à des fragments de bois réduits à l'état pelliculaire, et une gastrolithe. Dent "forme effilée" (à droite) avec gastrolithes (à gauche, et juste au-dessus de la marque bleue)
  23. Ah oui, plutôt ! Ces micro-restes ont tellement de choses intéressantes à nous raconter. On tient là un bon sujet . Des concentrés de vie... à mille lieux des modèles de fonds marins désespérément stériles, anoxiques, décrits partout pour la mer des Causses au Domérien et au Toarcien . Les oursins ne vivaient pas sur les radeaux d'algues flottantes et les troncs flottants à crinoïdes, pas plus que les gastéropodes, les raies et certains types de requins qui comptent pour une part non négligeable des dents trouvées, hétérodontes et/ou hémiscylliidés, au mode de vie lié au fond. Une bonne binoculaire est obligatoire évidemment, du temps et une patience de bénédictin aussi. La taille moyenne de la plupart des dents tourne autour d'un à deux millimètres. Mon maximum est à 1 cm (sans surprise, toujours du Sphénodus). Mes dégagements sous bino demeurent très prudents. Je trie les boues après lavage, elles donnent souvent des dents. Comme chaque lumachelle est unique, chaque caillou est marqué à l'encre bleue de l'emplacement des fossiles (ça aide pour les retrouver plus vite) , et du numéro de lumachelle (qui est l'ordre de découverte). Cela renvoie au niveau et au site d'origine sur un document tenu à jour. Je remercie Gaël et Caterpillar pour leurs conseils, toujours à la pointe de l'efficacité et l'érudition. A propos du dégagement à l'acide, l'acide formique ou l'acide acétique devraient respecter les dents et les restes osseux ? Combien d'acide et combien de temps pour manger des cailloux bourrés de calcite (coquilles, bélemnites, marne) qui pèsent en moyenne une cinquantaine de grammes ? Pour les dents multicuspides, elles seraient probablement disloquées par ce traitement, car leurs racines sont rarement conservées. Je suis complètement accro, au point de ne plus rien chercher d'autre sur le terrain: que de bonheur depuis ma première trouvaille, il y a deux ans ! En ces temps de confinement, je passe 6 à 8 heures par jour sur mes centaines de cailloux gris, les découvertes sont permanentes , tant de choses restent à faire, rien qu'à la maison !
  24. Mes tortues pas fossiles et bien vivantes (une hermanni boettgeri et une horsfeldi) sont des consommatrices exigeantes : petits cailloux de quartz blanc, graviers de marbre de Carrare, du calcaire très clair, des débris de ciment , des coquilles d'escargot, des coquilles d'oeuf. Pour ces deux deniers choix, la recherche de l'apport en calcium est évident. Pour tous ces trucs qu'elles arrivent à avaler, parfois ça relève de l'exploit, la couleur blanche ou très claire semble un critère fondamental. Radio de ma hermanni à 2 ans (elle en a 8 aujourd'hui)
  25. Bonne question, Nico ! Evidemment, ces petits cailloux n'ont pas été trouvés dans l'estomac fossilisé d'un requin ou d'un reptile marin. Donc les preuves qu'on peut avancer sont indirectes. Les 5 lumachelles à dents qui contiennent ces cailloux de quartz ( 5 sur 22, un peu moins d'un quart) sont aussi les plus riches en dents et coquilles diverses. Le type de grains de quartz ne change que pour la L12: grains plus gros, très arrondis, en quartz gris ou blanc majoritaire sur le quartz hyalin. La fréquence, elle, varie d'abondant (L 1) à assez fréquent (L3 et L20), avec L2 et L12 entre deux. Le degré de polissage de surface de ces cailloux, d'abord: ce n'est pas celui de grains de sable marins ordinaires. Il est d'un brillant qui concurrence celui des dents, et ce, quelque soit la forme du grain. Pour en arriver à cet état, les cailloux ont transité par le "tonneau de polissage" naturel que constitue l'estomac d'un animal qui avale sa nourriture entière (poissons ou coquillages) et des cailloux pour aider à la trituration et la digestion, avec l'appui de puissants sucs gastriques. Les plus gros grains, dont on peut penser qu'ils ont passé plus de temps à "servir" dans l'estomac d'un (ou plusieurs) hôte(s) sont aussi les plus arrondis de forme. Ils sont très peu nombreux, (sauf dans L12) ce qui me fait penser à un choix visuel lors de leur collecte par l'animal. Devant des formations similaires et chronologiquement proches en Lorraine ou Luxembourg, Dominique DELSATTE a émis l'hypothèse de régurgitations très étalées de requins hybodontes. Gaël a suggéré plus haut que ces vomis de requin assez compacts, avec rostres de bélemnites, débris de coquilles et gastrolithes auraient ensuite été transformés en biohermes, attirant et fixant de la vie marine sur le fond de vase marneuse. Ces formations sont sporadiques, très peu épaisses (1 à 2 cm en moyenne), sans continuité. Il s'agit de nappes, de quelques décimètres carrés, voire moins, à un à deux mètres carrés (pour celles que j'ai explorées à ce jour). Le contexte géologique , ensuite: les Terres Noires sont des dépôts marins remarquablement monotones du point de vue minéralisation, avec une épaisseur de l'ordre de la centaine de mètres par ici. Pas de niveaux sableux ou gravillonneux. Les fonds marins non vaseux, avec des sables de silice les plus proches devaient se situer à une dizaine de kilomètres au moins ! La limite du bassin de la Mer des Causses la plus proche se trouve à l'est, au-delà de la Cham des Bondons vers le sud-est et la plaine de Montbel vers le nord-est. Pour ces deux derniers sites, la condensation de la série avant le Toarcien terminal est très sensible. Une concentration par le jeu des courants marins ? Un dépôt d'origine éolienne ? Ce n'est pas compatible avec le contexte, la taille des grains et leur disposition, très souvent en petits groupes.
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