ANDRE HOLBECQ

ce "vitrail" vu au microscope polarisant c'est de la glace, si cela ne vous rappelle pas une lame mince dans une roche ... quoi d'autre ? Donc la glace est une roche. On la retrouve comme composant de minéraux au plus profond de la Terre dans le manteau, à ce sujet lire le livre Ce que disent les minéraux , de Patrick Cordier et Hugues Leroux, paragraphe 17 un océan sous nos pieds, de l'eau dans les mineraux du manteau... de l'eau dans la wadsleyite dont la structure est susceptible d'accueillir des quantités d'eau très importante; ce mineral pourrait contenir 3% de son poids en eau; il pourrait ainsi y avoir 10 puissance 24 Kg ; masse équivalente à l'eau des océans, dans le manteau. Et à cela il faut ajouter les minéraux de la croûte océanique ... serpentines, talcs, chlorites ... DONC OUI SANS HESITATION LA GLACE EST UNE ROCHE comment voter? on n'a le choix qu'entre sans avis et non, alors pour le oui comment faire ?

à votre avis qu'est-ce que c'est ?

Quand on présenta les poissons de pierre trouvés dans les montagnes du Liban actuel au roi Louis IX plus connu comme St Louis, on vit alors la confirmation du déluge qui aurait recouvert toutes les terres y compris les montagnes . Une interprétation en ligne direct avec la bible. Je me demande quel sort aurait été réservé à l'iconoclaste qui aurait eu le culot à l'époque de prétendre que ce sont en réalité les montagnes qui ont soulevé un ancien fond marin? Assurément... droit au bucher ! Voici ce qu'écrivait le sire de Joinville (1547), sénéchal de Champagne, ami du roi Louis IX: Tandis que le Roi était à Sayette ( aujourd'hui Saïda_Liban) on lui apporta une pierre qui se débitait en feuillets, la plus merveilleuse du monde, car quand on en enlevait un feuillet , on trouvait entre les deuxpierres la forme d'un poisson de mer. Le poisson était en pierre mais il ne manquait rien de sa forme, ni yeuxni arêtes ni couleur ni autre chose à tel point qu'on l'eût dit vivant. Le Roi demanda une pierre..."J'ai traduit en français moderne. Autre curiosité historique: le grand esprit éclairé de Voltaire avait cependant imaginé que les coquilles de Pecten fossiles trouvées dans les Alpes avaient été perdues par des pélerins se rendant à St Jacques de Compostel... Le summum de l'inexactitude farfelue est sans doute le prétendu Homme du déluge "Homo diluvii testis , de Scheuchzer. Une énorme salamandre du Miocène de 1,20m actuellement visible au musée Teyler de Haarlem en Hollande; son véritable identité: "Andrias Scheucher" découvert en 1725 Et les "glossopètres" ou langues de pierre ... C'est Fabio Colonna qui en 1616 reconnaît des dents de requins, diagnostique confirmé 50 ans plus tard par Nicolas Sténon qui dans la foulée énonce le principe élémentaire de la stratigraphie: un terrain est toujours plus jeune que celui au dessus duquel il est déposé. J'ajoute prudemment: "sauf inversion stratigraphique due à la tectonique" A ce sujet je recommande vivement le petit livre bon marché suivant

en effet avec ceci: One specimen is well known as part of the "figthing dinosaurs"discovery, in which predators sharp claws were found thrust into the tissues of the head and abdomen of a Protoceratops. l'histoire est résolue. Merci à tous.

que dit-elle dans ce document? Elle est- pour l'artefact ou non ?

Salut jnoun11 merci holdaf de remettre en mémoire tes belles photos , moi j'ai trouvé celles- ci :

difficile de trouver qqchose de très précis notamment des descriptions de marques sur les os... voici qqs photos pour fixer les choses un peu mieux:

c'est dans le livre de Philippe Taquet L'empreinte des dinosaures page 223 "et même si un article récent de nos collègues polonais semble remettre en cause une interprétation ausi dramatique de cette trouvaille (les deux spécimens auraient peut-être tout simplement été associés par hasard au cours d'un dépôt) , ces deux squelettes unis dans la mort donnent une image on ne peut plus saisissante d'un monde disparu. " nom d'un paléontologue polonais: Zofia Kielan-Jaworowska

autre vue du même échantillon

la rhodocrosite rouge de Mounana Gabon (j'ai un copain qui en a un gros bloc qu'il céderait ...)

j'avais lu ça quelquepart mais je ne me souviens plus où... il faut que je fasse une "fouille" dans mon abondante documentation; dès que je trouve je citerai la chose. I y en a pour un petit moment ... à + dans Dinosaures et mammifères du desert de Gobi livre dfu MNHN de Paris RInchen Barsbold prend parti pour un combat , cependant on peut lire p66 "paradoxalement la taphonomie selon Efremov refute substanciellemnt toute connexion passée entre les animaux trouvés simultanément dans les gisements. " Je cherche mieux ou plus ...

je viens de le visionner, manque de bol loupé le début qui pourrait me fournir copie sur cassette VHS ? J'essaye en vain de contacter la 5 pour savoir quand ça repasserait, quelqu'un sait-il si ça repasse ? Culture InfosGenre : DocumentaireDate de sortie : 2009Durée : 52 mnTous publics -------------------------------------------------------------------------------- Résumé : Venus de sept pays différents, des paléontologues de haut niveau se rendent au coeur du désert de Gobi, à l'initiative du professeur Lee Yung-Nam. Ces scientifiques montrent leur courage lorsqu'une succession de tempêtes de sable se déclenche. Ils ont pour but de percer les secrets des dinosaures qui ont vécu il y a plusieurs millions d'années sur le continent asiatique. S'étendant du nord de la Chine jusqu'au sud de la Mongolie, le désert de Gobi est surnommé le «cimetière des dinosaures». Les restes d'un énorme saurien fossilisé sont peu à peu extraits du sable chaud. Mais on trouve également des dents cassées et des fragments d'os provenant de la jambe d'un Tarbosaurus. Dans quelles conditions ces deux dinosaures sont-ils morts ? Casting : Réalisateur : Lee Dong-HuiCaractéristiques techniques : Année de réalisation : 2009 - Durée : 52 mn

dans wikipedia on peut lire à dinosaures que les squelettes emmêlés de velociraptor et de protoceratops sont une preuve de lutte, or il me semblais bien que l'on ait décelé là un artefact, à savoir deux squelettes transportés par un courant fluviatile puis emmêlés par hasard; qu'en est-il définitivement ?

La faim des dinosaures Palais de la Découverte Du 10 décembre au 2 mai 2010 Des dinosaures grandeur nature Comment et que mangeaient les géants de la préhistoire ? Les dinosaures n'étaient pas tous des carnivores... un grand nombre d'entre eux étaient herbivores et se nourissaient de plantes... Et si on se faisait un peu peur ? Issue du Muséum d’Histoire naturelle de Londres et de la société japonaise Kokoro, créatrice des fameux animatronics : des robots animés et sonorisés de dinosaures, cette exposition a été enrichie dans son contenu scientifique initial par une large réflexion sur l’environnement, les différents types de nourriture et l’évolution même des espèces vivantes végétales aux différents âges où vécurent les dinosaures. Rebaptisée « la Faim des dinosaures », cette exposition trouve sa place, au Palais de la découverte, sur une surface de 800 m2, dans un décor spécialement conçu et orchestré par les équipes du Palais de la découverte et ses médiateurs scientifiques en géosciences, autour d’un véritable parcours et labyrinthe. Pour cette cinquième édition, avec la volonté de placer le visiteur en véritable position « active de recherche », le Palais de la découverte a opté pour une double orientation scénographique : - créer un cheminement délibérément « chaotique » pour la recherche d’indices paléontologiques tels que les chercheurs peuvent la vivre concrètement sur un terrain qui ne dévoile souvent rien à première vue, - replacer chacun des dinosaures présentés dans son cadre de vie le plus réaliste et le plus proche possible de ce qu’ils ont connu. Conçus à partir d’images de différents environnements naturels et végétation tels qu’ils existaient à certaines époques et que nous ne connaissons presque plus aujourd’hui, ces décors constituent une véritable prouesse technique nécessitant une recherche iconographique, à travers le monde, de paysages et végétations les plus approchants de ces périodes révolues ! Visite de l'exposition C'est dans une véritable reconstitution de l'environnement des dinosaures que le visiteur est amené à se promener : végétation, éléments de géologie, grotte... Tout est fait pour vous faire voyager dans le temps, il y a plus de 60 millions d'années, au Jurassique. Un temps ou les dinosaures étaient véritablement les maîtres de la terre... Des dinosaures reconstitués à taille réelle... Pour moitié squelette, pour moitié reconstituées en chair, ces têtes de dinosaures nous dévoilent de précieux indices sur leur dentition et sur la façon dont certains dinosaures se nourrissaient. Le Tyrannosaure Le plus célèbres des dinosaures carnivores qui vivait au Crétacé supérieur, entre 70 et 65 millions d’années. Véritable star de la préhistoire depuis le film Jurasik Parc. Il mesurait 13 mètres de long pour 4 mètres de haut et p ouvait peser jusqu’à 13 tonnes Il se nourrissait d’autres dinosaures de bonne taille…Ce qui explique la taille de ses machoires et de ses dents. Vous allez pouvoir voir de très près sa dentition ! L'iguanodon Il vivait en Europe du Nord au Crétacé supérieur il ya 100 à 150 millions d'années. Il mesurait 10 m de long et pouvait suivant ses besoins marcher sur quatre pattes ou deux ! Malgré son aspect plutôt agressif c'était un végétarien qui savait se défendre avec les griffes de ses pouces. Velociraptor Un petit dinosaure de 1.80 de longueur qui vivait il y a 70 à 80 millions d'années à la fin du crétacé. Bipède, le velociraptor devait presque atteindre la vitesse de 40 km/h quand il chassait. Il devait lacerer ses proies grace aux griffes retractiles dont ses pattes avant étaient pourvues. Un redoutable prédateur de la préhistoire... Des spécimens moins connus du public mais tout aussi etonnants ! Edmontosaure L’Edmontosaure, doublement dotée à l’avant d’un bec lui permettant d’attraper sa nourriture et de dents à l’intérieur des joues pour mastiquer ! Un dispositif montre l’imbrication des mâchoires pendant la mastication. Haut de 13 mètres, ce dinosaure pesait jusqu'à 4 tonnes... Végétarien, il mangeait des magnolias et des pins. Il vivait en Amérique du Nord pendant le Crétacé supérieur, entre 70 et 65 millions d’années. Baryonyx Gigantesque par sa taille de 8, 5 mètres de long, le Baryonyx tente d’attraper le poisson dont il se nourrit ! Sa morphologie lui permettait en fait de s’adapter au milieu aquatique. Son museau allongé aux allures de crocodile, ses dents pointues et légèrement courbées et des pattes avant dotées de griffes acérées, faisaient du Baryonyx un prédateur redoutable pour les poissons ! C’est à partir de l’étude de ses dents et par comparaison avec des animaux existants que les scientifiques ont découvert son régime alimentaire. Comment les scientifiques etudient les restes ? Sur le terrain le paléontologue utilise notamment des loupes très grossissantes pour trouver des fossiles. Avant d’attaquer l’extraction, il enfile un équipement protecteur contre les éclats de roches. Une fois l’indice repéré, le paléontologue procède à l’extraction en choisissant des outils adaptés : la masse est utilisée pour enlever de grands morceaux de roches, le marteau et burin permettent un travail moins grossier et le pinceau permet d’affiner. Voir aussi : Anthropologue, un métier Espace paléontologie Interactif et ouvert à tous, un espace permet aux jeunes visiteurs de découvrir le travail des paléontologues à la découverte des fossiles... Les outils du paléontologue Plusieurs mallettes montrent tous les outils utilisés par les paléontologues pour découvrir, déterrer, analyser les restes de fossiles de dinosaures. A vous de travailler ! Complètement informatisé, une table tactile permet de faire soi-même des recherches sur le terrain et de mettre à jour des ossements de dinosaures... Exposés sur les dinosaures Particularité du Palais de la Découverte, des exposés consacrés aux dinosaures permettent à ceux qui le souhaitent d'approfondir leur connaissance sur les dinosaures. Il suffit de suivre les traces de dinosaures au sol pour accéder aux salles où se déroulent les présentations animées par les médiateurs scientifiques. Comment reconstituer l'alimentation de ces géants ? Pour certains dinosaures comme le fameux T-Rex la question de l'alimentation ne se pose pas : sa dentition, sa machoire, sa morphologie en font un véritable prédateur carnivore. Pour d'autres dinosaures, les scientifiques étudient encore et encore les traces à la recherche des indices : un intestin ou des crottes fossilisées sont des preuves presque directes... ! Oviraptor L'Oviraptor garde tout son mystère puisque il subsiste encore de nombreuses questions sur son alimentation. A vous de faire vos propres déductions ! Il mesurait 1.80 de long et devait être carnivore. Il vivait en Mongolie au Crétacé supérieur Tas de crottes ! Les enfants vont adorer cet énorme tas de crottes de dinosaures. Ils vont même pouvoir le toucher... mais rassurez-vous, cette reconstitution est totalement sans odeur !

une 10zaine de dinos animés sur le thème de leur alimentation au Palais de la Découverte du 10 décembre a 2 Mai renseignements 0156432020 www.palais-decouverte.fr L'exposition "La faim des dinosaures" en pratique au Palais de la Découverte . Adresse : Av. Franklin-D.-Roosevelt 75008 Paris - France Horaires d'ouverture : - du mardi au samedi de 9 h 30 à 18 h 00 (fermeture des caisses à 17 h 30) - le dimanche et les jours fériés de 10 h 00 à 19 h 00 (fermeture des caisses à 18 h 30) Fermé le lundi Tarif Plein tarif 7 euros Tarif réduit 4.5 euros Accès : Bus : 28, 42, 52, 63, 72, 73, 80, 83, 93 Métro : Ligne 1 - Franklin D. Roosevelt Ligne 1 - Champs-Élysées - Clemenceau Ligne 9 - Franklin D. Roosevelt Ligne 13 - Champs-Élysées - Clemenceau Le site du Palais de la découverte

bonsoir, et merci de vous être creusé les méninges, mais voilà du nouveau : voici la densité : 5 (4ml/20g ) or la fluorine est entre 3,1 et 3,2 Aï ! :coucou!: ça ne va pas dans le bon sens aucune fluorescence ni en courts ni en longs. Je rappelle la dureté estimée à 4, 1 ou 4,2 bien rayée par l'apatite(5) d'après le couplage densité dureté, on se trouve dans la zone de l'adamite mais cela n'en a pas du tout l'aspect , l'affaire se corse A première vue rien ne correspond à cela, d'où toujours mon idée de synthèse.

Bonjour à vous trois très éminents sélacienologues donc vous contestez la datation du Bruxellien = lutécien inf de la couche 6 ? ainsi que la datation dela strate N° 7 Lédien = lutécien sup. ? couches qui sont à la base des monts Cassel et des Recollets ou bien vous identifiez ces dents comme quoi ? j'ai une connaissance qui en a d'autres; il faut que j'aille faire des photos chez lui; il en a de meilleures ; affaire à suivre et à élucider donc, à bientôt. :coucou!: je vais lui demander où il les a extraites. C'est une très vieille histoire, ces lieux de fouille ne sont plus accessibles.

j'en ai des petits échantillons d'Allemagne (Eifel) à l'échange si ça te dis ... provenant de Mendig très petits cristaux bleus, vite scannée paragénèse: Nosean, Sanidin, Titanit, Magnetit, Leucit, Nephelin Tu vas consulter: Mineralienatlas Lexikon - Mineral Data - [ Traduire cette page ]Die meisten Hauyne sitzen als angeschmolzene kleine Aggregate und als .... 3,8 x 3 cm très nombreux détails

aurais-je soulevé un gros lièvre cristalloigraphique ? Je n'ai pas de quoi calculer ici la densité, je vais essayer de le faire ce soir dans mon labo. Si j'avais pu le faire il y a bien sûr longtemps que je l'aurais fait. Mais je m'étonne toujuours d'entendre parler d'octaèdre, alors que le bout clivé qui a sauté est un TETRAEDRE

un cristal de "pierre de lune" provenant du Chili. cadeau d'un ami géologue roumain ayant travaillé là bas

et oui ! INEDIT mais bien connu des chtis ! les coupes sont extraite de "Geologie du Nord de la France" Société géologique du Nord tomeLXXXIX 1969 écrit par Gérard Waterlot universitaire bien connu "din ch'nord" La géologie et paléontologie des Monts des Flandres Options Article Historique Les Mont des Flandres sont situés dans le Nord de la France, en partie un peu sur la Belgique. Histoire des dépôts Vers –65 Ma (millions d’années), à la fin du Crétacé, la mer qui déposait la craie, ce gigantesque « cimetière » à algues microscopiques (les coccolithophoridés) s’est retirée (=régression marine). Elle ne revient qu’une dizaine de millions d’années plus tard. Ensuite, pendant l’Éocène, et pendant une vingtaine de millions d’années, la mer effectue des va-et-vient pour déposer sables ou argiles sur une épaisseur de plus de 250 m . Vers –35Ma la mer régresse définitivement. On peut penser que les 100 premiers mètres (au moins) de sables et d’argiles ont depuis été érodés. Le ruissellement les a emportés. Mais, ponctuellement et notamment dans les Monts des Flandres, cela ne s’est pas produit. Pourquoi ? Vers –5Ma, c'est-à-dire au Pliocène, les sables et galets se sont cimentés avec une « rouille » naturelle. Cet oxyde de fer a donc chapeauté plus ou moins, selon les endroits, un peu à la manière des cailloux qui protègent les cheminées de fées. D’autres exemples comparables sont le relief de Mons en Pévèle au sud de Lille où des grès à nummulites protègent le substrat, ou aussi l’énorme butte de Laon (dans l’Aisne) elle-même protégée par la pierre à liards (un grès à nummulites que l’on peut observer au pied de la cathédrale, sur la route ascendante). Principe de formation Première étape, un fond de cuvette marine avec dépôts sédimentaires et dents de requin Megaselachus megalodon (AGASSIZ, 1837) (du Mont des Recollets). Deuxième étape, la mer s’étant retirée, l’érosion use plus rapidement les marges plus tendres et pendant l’exondation des lentilles de grès se forment dans le sable. Troisième et dernière étape, par érosion différentielle les grés apparaissent en surface. Contrairement aux on-dit, les grès ne remontent pas, c’est en réalité le sol qui descend et fait apparaître les grés qui affleurent et continuent à protéger les roches sous-jacentes, à la manière des célèbres cheminées de fées. Les fossiles des monts des Flandres Les « glossopètres » ou langues de pierre, sont les couronnes dentaires sans racines de gros requins : Megaselachus megalodon (et non pas Carcharodon megalodon comme on le voit encore trop souvent à tort). Dans l’argile de Cassel datée du Bartonien, à sa base un cordon de sable graveleux très chargé en glauconite forme la « bande noire » contenant des nummulites variolatus remaniées, des nummulites wemmelensis et des dents de squales, des pectens (Amusium corneus,) Corbula pisum. Au Lutétien supérieur, les sables fins doux et calcarifères légèrement glauconieux sont très fossilifères : Nummulites variolatus, Orbitolites complanatus, Ostrea gigantea, Chlamys plebeia, Myliobatis, Odontaspis, Lamna, Oxrhina, Carcharoclès, Echinolampas affinis, Tubes de Ditrupa strangulata, Terebratula kieckxi, Cerithium giganteum (moules internes), Nautilus burtini, Ostrea inflata, Bruxéllien ou Lutétien inférieur : Moules de Gladius (Rostellaria) baylei, Maretia omaliusi, Letina platellaris, Ostrea cymbula, Cardium porulosum, Meretrix (Callista)loevigata, Odontaspis macrota, Lamna vicenti, Nummulites laevigatus, Yprésien : L’acide formé à partir de la pyrite dans l’argile attaque les coquilles ce qui donne du gypse qui cristallise en donnant des macles. Les UV longs révèlent un entonnoir blanchâtre fluorescent. Les fossiles sont rares mais on a pu y trouver les crabes Xanthopsis leachi & X.bispinosus. A Mons en Pévèle, le grès de Pève est un sable à Nummulites planulatus elegans consolidé et daté de l’Yprésien supérieur

je répète le clivage du petit bout manquant est un parfait TETRAEDRE pas un octaèdre ! cela raye la calcite, la barytine, la fluorine mais est rayé par l'apatite nettement un scalénoèdre de clivage dans le système cubique, ça ne choque pas certains ? Ce sont bien des angles de 60 et 120°!!! Angles pris avec un rapporteur sur l'écran, c'est même précis, il n'y a pas trop de déformation optique oui cristal posé sur scaner donc pas de déformation des angles

le Gabon c'est aussi les superbes rhodocrosites rouges en scalénoèdres, j'en mettrai une bientôt.

et aussi: Maroc pour les premières Carcharoclès , la dernière est d'Anvers : Isurus? Pas sûr (denticules) peut être Carcharoclès et beaucoup plus rares des autentiques carcharoclès des monts des Flandres précisément du Mont des Recollets à côté de Cassel.

vus en bourse à Wasquehal cette année