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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

CLERGUEMORT

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Tout ce qui a été posté par CLERGUEMORT

  1. entièrement d'accord avec grenat66, un autre exemple en PJ, voir la petite phrase concernant les collections des "Musées de France" FORMULAIRE_PROPOSITION_DE_DON_musees_et_archives-1.pdf
  2. Premier chef de mission CEA sur le Lodévois, géologue, découvreur avec Adeleine et Joyeux du gisement de Rabejac, le 2 décembre 1957, premier indice d'une longue série... on connait la suite. Je l'ai bien connu notamment lors de la rédaction de mon livre sur l'U du Lodévois. C'est aussi un grand spécialiste des fossiles du Permien. j'ai encore correspondu avec lui il y a 2 ou 3 ans, depuis je n'ai plus de nouvelles. Concernant Henriette il n'a jamais été dit qu'il n'y avait pas de phosphates à Henriette, ils étaient seulement peu fréquents et très proches de la surface (-15m)
  3. oui cette pièce est étonnante, les cristaux sont tout ou partiellement epigénisés en stibiconite, lorsqu'ils le sont totalement la terminaison est squelettique, lorsqu'ils ne le sont que partiellement ou en surface on retrouve la terminaison classique de le stibine. ce faciès semble assez caractéristique de ce gisement (voir mindat)
  4. Stibine/stibiconite - Mine de Montagnola Senese (Toscane) Italie. Ex collection G. Garbari (1863/1917)
  5. petit souvenir de Munich, retour au pays de cette axinite de la Piquette (Pic d'Eres lids) près de Barèges (65). Très ancienne pièce, peut être fin XVIIIe tout au plus début XIXe. Avec sa description - étiquette collée au fond de la boite.
  6. une autre scheelite (cristallisée) provenant d'un skarn, autre gros gisement potentiel de tungstène pyrénéen, celui de Costabonne (Pyrénées Orientales)
  7. Un échantillon brut de minerai type de la mine de Salau avec pyrhotite, scheelite et calcite vue en lumière naturelle et UV (en rose la calcite et en blanc/bleu la scheelite)
  8. Skarn à scheelite de la mine de tungstène de Salau (Ariège), carotte de sondage sciée, vue sous UV on distingue la scheelite quasiment invisible en lumière naturelle
  9. bon un peu de sérieux. Les congés ça sert aussi à mettre de l'ordre et à répertorier ses dernières découvertes Quelques découvertes faites dans les tas de terre des travaux du bassin de récupération des eaux de pluie de l'autoroute près du pont de Barost en 2016. un joli béryl jaune qui aurait pu faire un effort lors de sa formation pour prendre un peu plus de transparence... trouvé dans la terre un autre qui n'a pas raté sa couleur... trouvé dans la terre son petit frère mais malheureusement cassé en deux lors de son extraction d'un gros bloc, donc recollé un petit tout blanc avec d'autres mais dont les faces cristallines sont peu visibles enfin y a pas que le béryl, aussi un joli cristal de microcline, également dans les tas de terre.
  10. sans doute une petite soeur ayant appartenue au Colonel Vésignié
  11. Bon OK je suis démasqué, je sors.... c'est quand même la colline de Chanteloube au fond à droite. en fait j'essaye avec un leurre pour attirer les autres béryls dans mon jardin... comme pour les palombes quoi
  12. bonsoir j'hésitais entre le post barytine et le post étiquettes historiques voila une dernière acquisition sympa une barytine historique d'Auvergne de la Cote d'Abot ayant appartenu au minéralogiste bavarois Adolf SCHOLZ (1893/1950) et sans doute avant lui à un autre collectionneur allemand plus ancien mais anonyme . 1,8 kg.
  13. bonjour je confirme, le BRGM alors actionnaire via sa filiale COFRAMINE, de Chéni (propriétaire de l'usine des Farges) avait utilisé les installations de l'ancienne usine de traitement de minerais d'or des Farges près de Saint Yrieix pour installer un pilote de traitement et mettre au point les procédés de traitement en laverie à Salsigne, cela se passait dans les années fin 1970/début 80, j'avais visité les installations en fonctionnement.
  14. pour moi il y a les erreurs involontaires et les erreurs délibérées, l'autunite de Rochessadoule fait partie de ces dernières et l'opale pourrait bien y ressembler, dans ce cas NON NON ce n'est pas de l'humour.. Encore heureux que cette personne vende parfois des échantillons avec une provenance exacte... (c'est le monde à l'envers)
  15. opale qui ressemble étrangement aux opales de Lachaux... je vois que l'étiquette ressemble beaucoup à l'étiquette de l'autunite de Rochessadoule... A Quistiave pour la gangue, la littérature mentionne essentiellement du quartz en peigne et parfois un quartz calcédonieux.
  16. bonjour les fluoactifs Décidément les sujets qui tournent autour de la terre de mes ancêtres fleurissent pas mal ces jours-ci. L'engouement pour les uranifères fait écrire n'importe quoi (je parle des étiquettes) que ne ferait-on pas pour vendre à tout prix à quelques acheteurs un peu naïfs. Le vendeur de cette autunite de Rochessadoule mériterait d'être clairement nommé et boycotté. Pour très bien connaître le secteur et avoir toutes les infos nécessaires, aucune ambiguïté n'est possible, je peux affirmer qu'il n'y a pas une trace d'U à 40 km à la ronde, même pas un petit grattage les terrains sont totalement improbables. Les indices radioactifs les plus proches (je ne parle même pas de gisement) sont situés aux alentours du Monts Lozère, vers le Bleymard dans des terrains granitiques pur jus, contrairement à Bessèges où nous sommes en plein sédimentaire et métamorphique. Sur Rochessadoule il y a surtout du charbon, de la baryte, de la sidérite, non loin de là, à quelques kilomètres, du plomb, du zinc, de l'antimoine et de l'or mais certainemet pas d'U. Quant-à la relation radon/Uranium, elle n'est pas toujours vraie, regardez la carte des départements exposés au radon, vous verrez que le Gard est très peu exposé mais qu'en revanche le Doubs l'est très fortement, cherchez l'erreur. Le radon est un descendant du radium et non de l'uranium, s'il y a uranium, il y a radium et donc radon mais l'inverse n'est forcément vrai, bien des prospecteurs en ont fait les frais, toute matière radioactive n'est pas forcément de l'uranium. Il y a des chats gris mais tout ce qui est gris n'est pas un chat... quant à confondre Bessèges et Bertholène, vu depuis la Bretagne peut-être, mais il y a quand même 170 km ! et pour trouver Rochessadoule faut vraiment aller le chercher. Pour revenir à cet échantillon d'autunite, je connais des échantillons portugais qui y ressemble étrangement, c'est peut-être une piste (sans garantie aucune)
  17. "territoire de la Crouzille" ne veut rien dire, soit on parle du lieu-dit "la Crouzille" (commune de Saint Sylvestre) - carrefour de 4 routes : Ambazac, Limoges, Razès, Compreignac - situé, à quelques centaines de mètres près, à équi-distance des mines d'Henriette, de Margnac, des Sagnes et de Fanay ; soit on parle de la division minière de la Crouzille (division administrative CEA) qui comprend près d'une quarantaine de sites miniers exploités et qui s'étend sur 30 km de long du Nord au Sud et 15 km de large d'Est en Ouest. Le mieux est de ne pas extrapoler en mentionnant le libellé exact des étiquettes, complété par un éventuel commentaire, quand on a pas la connaissance suffisante. Ma modestes expérience montre que la plupart du temps la mention "la Crouzille" désignait la Division minière (comme on peut trouver des échantillons marqués Ste Marie aux Mines, pour désigner moulte gisements de ce vaste secteur). Quant aux échantillons provenant d'Henriette avec certitude (pech et gummites la plupart du temps), ils sont généralement clairement identifiés "Mine Henriette", avec souvent la spécification colonne Henriette ou colonne Cantian.
  18. S'il y a peu d'échantillons venant d'Henriette c'est surtout que les secondaires d'uranium type autunite, torbernite et autres étaient très rares sur Henriette (descriptions de Geffroy et J. Sarcia), a 1,50 m sous la surface on avait la pech massive, et les zones d'altération ne comprenaient guère que des "gummites" et des produits "orangés" amorphes. Je n'ai jamais vu (dans les collections de référence) le moindre échantillon d'autunite cristallisé. Du reste ce faciès est typique de Margnac.
  19. le filon du Rouvergue est à Mercoirol entre Laval et St Florent/Auzonnet dans le Gard et non à Vialas en Lozère.
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