Papyfred

100 châtaignes pour un kilo de sucre et un bâton (de vanille) devraient faire une bonne confiture… ( je donnerais les doses exactes le jour où j'écrirais la recette, mais telle que nous la faisons, les productions d'un confiturier de l'Ardèche racheté par une grande multinationale alimentaire peuvent retourner aux vestiaires…).

Un rapport avec le rallye de Corse ? Mais il y a sur son parcours plus de 100 virages…

2) A l'entrée. Porte = por lai ou lè? ni 5) Stimulant. Thé = te

Pour " se revancher " de la frayeur d'hier au soir, la caméra ne répondait plus, une petite image captée à l'instant :

Ou, une ultime génération de quartz limpide et incolore…

Merci pour le lien, qui vaut la peine d'être exploré (et lu !) de a jusqu'à z !

" Je m'enfonce, je m'enfonce, " dis-tu, mais pas tant que ça ! l'essentiel est dit : " une macle obéit à une loi cristallographique et il y a partage d'un plan particulier ", le plan de macle, miroir qui superpose l'image de l'un des individus à l'autre. La macle de la fluorite est une macle par interpénétration avec {111} (lire 1,1,1 comme Serge l'a fait remarquer) comme axe de macle, direction autour de laquelle l'un des 2 composants doit, par la pensée, être pivoté de 180° pour se retrouver dans la même orientation que l'autre. Un petit lexique pour bien nous comprendre : • L'opération de symétrie qui fait correspondre l'orientation de l'un des composants à celle de l'autre est dite loi de macle. Cette loi, établie sur l'observation répétée d'un nombre suffisant d'échantillons présentant la même particularité avec précision, assure la validité de la dite macle. • Il existe des macles par accolement (le plan de contact est souvent le plan de macle) ; et des macles par interpénétration, par pénétration des sub-individus maclés. • Une macle simple se réduit à 2 composants ou sub-individus. Les macles multiples, qui se répètent un plus ou moins grand nombre de fois, et regroupent un plus ou moins grand nombre des sub-individus, sont dites polysynthétiques ou polygénétiques.

Ce n'est pas ici la place pour en débattre, et je vous prie d'excuser ce trait qu'il convenait de prendre au second degré. Mais si vous le désirez, nous pourrions en discuter par MP… j'entendrais vos arguments, et soyez sûre que je vous exposerais les miens. À+

:coucou!: Très vite fait, mais pour ne pas te laisser attendre (et de mémoire) : Il était ingénieur des mines dans l'Alsace occupée (oh !) et il a étudié la Whewellite d'Urbeis (entre autres travaux) à la fin des années 1800, ou au tout début des années 1900. Il en a publié la cristallographie par le détail et d'ailleurs, dans le Lacroix, l'article whewellite est tiré de ses travaux et illustré de ses dessins. À+

OK, OK ! alors, tout d'abord :coucou!: Puis, à y bien réfléchir, il me semble que cette question aurait sa place sur le sous-forum " géologie " ! (Pour cela demander à un modérateur) Au passage, je me suis permis de reformuler un peu la chose… afin de tenter de la rendre lisible. Il te reste à nous poser ta question ! À+

Des chances… Mais fais-nous des photos bien nettes ! en général, les saphirs, même bien roulés conservent leurs formes cristallines… À+

Est-il besoin de confirmer ? Parmi les phyllosilicates, le sous-groupe de la serpentine regroupe 12 minéraux monocliniques, orthrohombiques, ou hexagonaux, à l'ntérieur du groupe " kaolinite-serpentinite ". Le sous-groupe de la kaolinite, compte 9 minéraux monocliniques, tricliniques, ou trigonaux. Il existe dans ce groupe de nombreux polytypes… Il est amusant de constater que parmi les 5 minéraux que comptait autrefois le groupe des serpentines, seul le parachrysotile fait partie du sous-groupe de la serpentine ; alors que l'antigorite, la lizardite, le chrysotile-2Orcl (ex orthochrysotile) et le chrysotile-2Mcl (ex clinochrysotile) font partie du sous-groupe de la kaolinite…

Merci pour le reportage et le gypse d'Australie. À+

Du mal à discerner le fond… opale un peu trouble pour la localité que je vais proposer sans trop y croire : Les Trois Termes, Estérel.

Oui ! une photo ! une photo ! Mais ta description fait penser à du quartz améthyste, en effet. Alors, tests , la dureté au moins ; et photo !

Manque de place à l'intérieur ! il est vrai que pour de vieux débis d'os non identifiés, mais attribués selon les besoins de la cause…

Oui, merci Hervé ! Et j'ai saisi une autre subtilité de wiki : les redirections (qui ne sont pas forvément volontaires, mais qui interviennent après un changement de titre…).

Je ne connais pas suffisamment (mis à part la présence d’abondants galets de sillimanite) la vallée de la Sénouire pour te donner une réponse valable. Je me permets seulement d’attirer l’attention sur la possibilité de co-existence des trimorphes d’Al2SiO5… Des cas sont connus, certains sont célèbres. Alors, pourquoi pas, tout bêtement, du disthène ? Ceci n'écarte pas la possibilité de cordiérite, mais… Quelques tests, pour voir ? Tu as dit " vaguement hexagonaux ", ce qui n'est pas en faveur du disthène, c'est sûr ; mais… À+

Les deux étant des homologues, et des minéraux du métamorphisme (et des roches éruptives pour les pyro. je pense). " En gros : " Dans une même espèce cristalline, l'angle dièdre de faces correspondantes est constant." Par exemple, quelles que soient les déformations subies par le cristal, l’angle entre deux faces du (même) prisme est toujours le même = x°… C'est une bonne idée que tu as là, mais, par expérience, je crois pouvoir dire qu'elle est réservée à ceux qui ont déjà une certaine pratique des minéraux… Sinon, l'équipement de base est celui d'Haüy et de Romé de l'Isle : calibres d'angles rigides et goniomètre d'application (un rapporteur avec alidade mobile) … mais qu'il est difficile d'appliquer partout… mais qui nécessite de savoir orienter un cristal…

" Les deux étant des homologues, et des minéraux du métamorphisme (et des roches éruptives pour les pyro. je pense). " Et je pense que tu penses bien ! Les pyroxènes cristallisent à une température plus élevée que les amphiboles. Donc, rien n'interdit de penser que les deux minéraux puissent être présents à Sériphos. Tout dépends de l'évolution du gradient de T au moment de la cristallisation…

Pas d'inquiétude, Laurent, je m'en suis apperçu, je ne sais pas supprimer… j'appelle le cousin !

Pas de problème, c'est en chantier… Et Géowiki est " participatif ", le résultat sera une œuvre collective à laquelle chacun aura apporté sa pierre !

Je profite de cette occasion qui nous est offerte pour rappeler que si le nom de " fluorescence " trouve son origine dans la fluorescence de certaines fluorites, (bien que la première forme de fluorescence, que nous connaissons aujourd'hui comme thermoluminescence, semble avoir été découverte à Bologne par Cascarolo), ce n'est pas le cas du substantif " fluorine " qui, lui, est inspiré de l'emploi comme fondant de la fluorite et de sa faculté de fondre plus rapidement que d'autres minéraux. La racine, " fluo " = je coule, en latin, du verbe " fluere "… À+

Bonsoir Jean ! Je n'avais pas vu tes 2 dernières photos… ressemblance frappante avec le matos de Rio Marina, en effet ! Juste un petit rappel : hématite, dureté 6 ; densité 5,3 ; couleur de la trace brun-rouge… À toi de jouer ! À+

Merci Cédrick !