En fait, à mon petit avis, pour les datations, faut aborder le problème autrement,
Premier temps, rien ne vaut la bonne datation relative sur observation, quels terrains recoupent les filons ? (de mémoire les arkoses des sources du Tambour et j'ai vu des cristaux en remplissages dans les calcaire à phryganes vers St Saturnin, merci Didier), ça à mon avis, c'est connu depuis longtemps.
Second temps, prendre les altérations des épontes et si c'est possible, dater les phyllosilicates associés (K-Ar ?). Bien sur après avoir vérifié qu'il s'agit de la même phase. Ca marche aussi avec les adulaires (on sait jamais, s'il y a néoformation.) Rémi et Etienne, ce sera pas faisable à Clermont ? (je ne connais pas les contraintes, c'était au début de mon temps et je n'ai vu utilisé la technique que sur des minéralisations aurifères hercyniennes)
De toute manière, toute connaissance sur les fluides minéralisateurs est bonne à prendre pour replacer dans le contexte géologique de la Limagne.
Au fait avez-vous des données sur les relations entre les structures à barytes miel, les aragonites de Gergovie, celles de Gimeau, les zéolites type Puy de Marman et les lussatites?
Serge