trenen23

Il me semblait bien aussi. Mais je finissais par penser qu'il y avait eu deux géologues qui s'étaient succédés. Le pedigree de la pierre, cadeau de M. Pleynard à quelqu'un ?, récupération à partir de sa collection personnelle ?. Au feeeling il me semble que P. Pleynard n'était pas un géologue d'origine mais un très bon géomètre (Il a été aussi le géologue atitré de la mine d'or de la Petite Faye), qui dressait des plans très précis et détaillés. Du coup je le sens pas trop en collectionneur mais sans preuves. Serge

Aucune possibilité qu'il s'agisse de calcite ? Serge

Bon faudrait que je cherche mais il y a un truc pour être sur d'avoir le copyright (plutôt prouver l'antériorité) d'un bouquin, un copain l'avait fait pour un recueil de texte qu'il ne tenait pas particulièrement à éditer, un truc du style s'envoyer (ou envoyer à un service ?) l'ouvrage en recommandé avec AR, ne pas ouvrir l'enveloppe, la date de l'envoi faisant foi du caractère antérieur du texte pour d'éventuels plagiaires. Pas sur mais il me semble qu'il y a un truc comme ça. Il doit y avoir aussi la possibilité de publier sous une revue même locale, un exemplaire au moins est déposé. Bon avec précaution, à vérifier...... Serge

Ouais, mais les nôtres y sont plus beaux !, Na ! Ferche

Lionel, Très bonne idée d'autant qu'il me semble que question pédagogie, c'est assez inné chez toi (tant mieux pour quelqu'un qui passe l'agrég !). En plus même pour le concours, c'est un exercice qui me parait assez intéressant, même si ça ne remplace pas la préparation. Pour publier, c'est un peu comme tu le sens, comme pour moi tout travail mérite salaire, une publi sur support papier pourrait être une bonne chose (OK, ça ne te rendra pas millionnaire, une fois payés les frais d'imprimerie, de diffusion.....mais bon). Il y a aussi la possibilité de diffuser sous forme de fichier téléchargeable gratuit. En réponse à TomTomTom, c'est une excellente idée, mais ça sort un peu de la simple minéralogie. Je crois que là, il s'agit de mettre en place les notions de cristaux, de macles, de couleurs, de conditions de cristallisation. Connaissant un peu Lionel par le forum, il est assez fort pour passer de la description simple (le cristal est de telle couleur) à la description du mécanisme intime (parce qu'il y a tel élément) voire très hard (qui par l'intermédiaire de ses électrons de la couche superficielle rentre en résonnante avec l'électron du collègue d'à côté et émet une radiation de longueur d'onde lambda.....Un ch'tit délire le matin ça fait un bien, fou surtout après deux jours passés entre quatrièmes, premières S, secondes, un peu de licences pros et conseils de classe !!) J'essaierais de faire un petit truc sur ce thème pour géowiki (j'ai été un ami de la famille des archéos miniers) sachant que les informations ne sont pas si nombreuses que ça en particulier pour la prospection des anciens qui ne laissait pas beaucoup de traces. Deux références, Agricola (j'ai du croiser un pdf en français sur le net, sinon Y. Pujol sur orpaillageloisir a repris la partie or, gros boulot) et le livre de C. Domergue sur l'exploitation des métaux à l'antiquité qui reprend de manière assez synthétique les recherches des dernières années. Serge

Merci pour ces infos qui lèvent des voiles sur certaines interrogations que j'avais depuis longtemps (sans avoir pris le temps de faire des démarches pour le demander) Serge

Peux tu donner des précisions sur ce qu'on te demande ? L'intitulé du module est en effet super large !!! Serge

Je pense que beaucoup d'entre vous connaisse le cas "Haroun Tazieff" beaucoup mieux que moi, qui ne l'ai jamais rencontré, n'hésitez pas à corriger Il me semble que nous avons trois personnages de compétences très différentes avec un point commun, un fort caractère: Un volcanologue de terrain avec une grande connaissance des éruptions (attention, il me semble que Tazieff n'est pas le seul volcanologue au monde à avoir une grande connaissance des éruptions à ce moment là (je crois avoir croisé des noms de volcanologues américains de grande classe), mais j'ai toujours l'impression que Tazieff est le seul volcanologue de terrain au monde et dans certaines interviews, post Soufrière il est vrai, il donne assez cette impression ) Un pétrographe spécialiste des roches volcaniques, Robert Brousse. Par contre je ne lui connait pas de grandes activités sur volcans en éruption Un géochimiste, Claude Allègre pour qui aussi je ne connais pas à cette époque de grandes activités sur volcans en éruption (ni après d'ailleurs sauf si on considère mon ministère de tutelle comme un volcan prêt à exploser. Par contre, R. Brousse et C. Allègre sont parfaitement intégrés au système universitaire/recherche de l'époque, j'ai toujours eu beaucoup de peine à cerner le statut de Tazieff et de son équipe (si quelqu'un peut m'expliquer ?). Clairement, sur cet épisode, Tazieff avait raison J'ai bossé au voisinage du labo de volcanologie de Clermont, avec comme patron un monsieur discret mais très intéressant, P.M. Vincent (Pour moi une classe certaine du point de vue humain*, pas d'effets de manches), pour qui M; Kraft manifestait une certaine déférence et quand il évoquait tous ces personnages avec ces étudiants de DEA, il avait toujours beaucoup de recul. Serge PS: il me semble me souvenir que Tazieff avait préconisé la levée de l'interdiction d'accès au Mont St Helens qui avait commencé par des éruptions phréatiques sans présence de magma juvénile (ce qui n'aurait pas été monstrueux compte tenu que ce type d'éruption n'avait jamais été observée). Est-ce un délire de ma mémoire défaillante ou est-ce vrai ?

Ben dis donc, si j'avais su qu'on pouvait sortir des trucs comme ça ? Serge

Apparemment, mais les Frangins et les autres bretons connaissent mieux que moi, on arrive à trouver quelques points d'or à la batée dans les sables les plus foncés que l'on trouve en haut de la plage (les minéraux les plus denses sont pré-triés par les vagues), mais rien d'extraordinaire. Perso quand j'y suis passé les tracteurs avaient tout remué (sans doute pour enlever les algues) donc pas de sables noirs. Par contre à la Pointe du Bile, j'avais loupé les grenats et les tourmalines..... Serge

Sauf que ça n'est pas à tout le monde. Je suis en train de préparer un cours où j'ai pioché des photos vite fait à droite et à gauche sans regarder les copyrights, Ben je demanderais aux étudiants s'ils le veulent de le conserver en privé, sachant que même comme ça je ne suis pas tout à fait dans la légalité. Sur des affiches sur une bourse, c'est du domaine public, cette réponse n'était pas adaptée et même une grosse bêtise du point de vue légalité. Serge

Si c'est une géoforum,(clique dessus et tu verras la page d'origine) c'est juste par référencement ce qui ne change rien au copyright. Si c'est sur une autre page, c'est un autre problème. Serge

Pas de souci, je laisse mon message légèrement modifié parce qu'il était avant tout une explication de ce que peut être Infoterre et les travaux de levé des cartes géologiques. Joli quartz et calcédoine Si les autres sont d'accord je transférerais bien ces messages sur sur un post "condition d'établissement des cartes géologiques". C'est bon de savoir comment ça a été fait et pourquoi. Plusieurs forumeurs ont d'ailleurs une bien plus grande expérience que moi sur ce domaine. Ca permettrait de conserver ces informations sans trolliser le post "Corse" Amitiés à tous, Serge

Mais faut bien reconnaître que pour les amateurs (et même les pros, souvent), la mise en ligne de toutes les cartes géologiques avec leurs notices est un sacré outil (chacune était vendue une soixantaine de francs). Pareil pour les données BSS, elles ne sont pas toujours complètes mais elles existent et avant, il fallait aller chercher dans les délégations BRGM locales. Ca fait quand même une sacrée biblio !.Ne perdons pas de vue que à chaque fois qu'on consulte un inventaire minéralogique, c'est les mecs du BRGM (en fait ils sont basés sur les prospections et repris par les minéralogistes d'Orléans associés aux locaux) qui l'ont écrit et Dieu sait si les caillouteux s'en sont servis ! Bon, après les préoccupations (et la mission) du BRGM étaient de chercher à faire un inventaire des ressources minières du territoire , et pas un inventaire des minéraux. Quand les micromonteurs se mettent sur un indice, ça fait souvent enfler considérablement la liste espèces, surtout en minéraux d'altération. Pareil pour l'or, les orpailleurs relèves souvent la présence de paillettes nombreuses sur des indices non signalés, c'est tout simplement parce que l'inventaire se faisait en prospection stratégique à maille, chez moi on a loupé un joli indice à tungstène parce que le point de prélèvement était en amont. Les prospecteurs n'ont pas toujours passé trois jours à retrouver une ébauche de galerie de recherche vaguement effondrée dont ils savaient déjà qu'elle ne correspondait à rien d'intéressant du point de vue minier (mais qui pouvait contenir des minéraux intéressant pour nous collectionneurs) Bon c'est vrai que la position des indices sur les cartes c'est un peu aléatoire (je pestais là dessus déjà du temps des cartes papiers) rarement loin mais rarement dessus. Il y a aussi un principe qui veut que les coordonnées GPS ne sont jamais exactes parfaitement (apparemment pour des raisons stratégiques) Mais bon ça donne quand même de sacrées indications. Mine de rien (qu'il ne faut pas confondre avec gisement épuisé), sur la totalité de la surface du territoire, ça fait une sacrée banque de données. Pour avoir bossé avec les prospecteurs du BRGM (et d'autres boites minières), c'était pas spécialement des manchots ni des flemmards. Je crois que vous avez tous l'idée des mecs du BRGM, costard cravate dans les bureaux de La Source en train de constituer les dossiers de DRIRISATION, ça n,'est pas (ça n'a pas été ?) que ça. Pareil pour les facards, j'ai fait du terrain avec deux grands profs nancéens (qui n'ont font plus beaucoup pour cause de responsabilités professionnelles), ben ils assuraient grave sur l'affleurement. Pareil avec un des ingénieurs géologues du BRGM de Nancy (qui a levé pour sa thèse mon quartier), il fait du chemin et il a de sacrés bon yeux. C'était mon réquisitoire, sauvez les mal aimés de la géologie !! Serge

Non effectivement je n'avais pas fait attention mais ça y ressemble. Serge

Facile LeMorion est le seul à se promener une scorodite de Vaulry dans une main et une cassitérite dans l'autre !!! Physiquement on partage aussi une particularité mais je te laisse découvrir. François, je passerais surement mais je ne sais pas quand, en général plutôt le samedi. Amitiés à tous Serge

Merci, Serge

En fait j'aurais dis le contraire mais au ressenti, quoique .... Pour moi bouclier est stable depuis longtemps, apparemment le bouclier n'est pas recouvert de roches sédimentaire sinon on l'appelle plate forme. le socle peut être repris dans une chaîne de montagne récente, la définition de socle est plutôt spécialisée géologie pétrolière Serge

Claude, tu n'auras pas ces notions de bouclier et même de bassin sédimentaire (tout du moins utilisable pour ce problème) dans un manuel de quatrième, ni même de première S. C'est des notions de géologie descriptive qu'on n'enseigne plus en collège et lycée. Serge

Ben dis donc c'est déja pas mal ! Serge

Ben pour un début, c'est pas mal, bienvenue. Serge

Sympa les malachites. Montlarron c'est quel type de gisement ? Moi j'aime bien les pyrites de Messeix, j'y amenais les touristes du temps que j'étais beaucoup plus jeune et que je travaillais pour le Club Géologique, mais les nôtres étaient bien plus petites. D'ailleurs je me souviens de petites chalco millimètriques, de tétra à peu près sur mais pas beaucoup de pyrite. Pièce de mineur ? Merci, Serge

Fa, f'est fort !!!, c'est une des plus belle que j'ai vu (en même temps j'en ai pas vu beaucoup (époque de récolte ?). Serge

La notion de bouclier implique que ces roches soient stables sur de très longues durées (à ma connaissance depuis le Précambrien. Du coup il existe (en Afrique au moins me semble-t-il) des bassins sédimentaires précambriens sur des boucliers. Par définition un bouclier est stable donc très peu actif du point de vue tectonique. Un bassin sédimentaire est une région caractérisée par des dépôts sédimentaires pas ou peu plissés (quelques ondulations au plus). Certains peuvent être très peu sismiques (comme le Bassin Parisien). Pour les fossés comme le Fossé Rhénan ou la Limagne, ils sont beaucoup plus actifs tectoniquement. La notion de région naturelle est une notion de géographe et là, je ne maîtrise pas. Serge

Pour les champignons, rien à faire, ils sont au propriétaire du terrain (je suis creusois d'adoption et le cèpe est un sport national chez moi)). Moi quand je me fais virer (ce qui arrive assez peu souvent), je dis (sauf s'il est évident que le mec qui me vire est un autre chercheur, pas plus propriétaire que moi, ça arrive !!): désolé Monsieur, au revoir Monsieur. Serge