Aller au contenu
Quelques-uns des principaux sujets de Géoforum.

Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

mr42

Membre
  • Compteur de contenus

    1858
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par mr42

  1. 4/5 On peut alors prendre une série de vues tranquillement en tournant légèrement la bague de correction dioptrique entre deux déclenchements. Vous verrez qu'une rotation à main levée de la bague de correction permet un décalage du plan de mise au point suffisant pour faire du stacking. Voici un exemple de vue réalisée avec ce montage : 12 vues successives assemblées avec combineZP, champ de 2,7 mm.
  2. 3/5 Vous accrochez l'appareil sur son pied et vous le positionnez dans l'axe de l'oculaire équipé de la correction dioptrique. Il faut un peu tâtonner pour trouver la bonne position de l'appareil : alignement des axes optiques, bonne distance et en même temps trouver le bon réglage de la bino sans toucher à la correction dioptrique... Une fois que tout est en place, que la mise au point est bonne, vous ne touchez plus à l'appareil sauf pour déclencher si vous n'êtes pas relié à l'ordinateur (dans ce cas, il est indispensable d'utiliser le retardateur)
  3. 2/5 La correction dioptrique, c'est cette petite bague placée sous un des deux oculaires de la bino qui permet de compenser les différences de vision entre les deux yeux.
  4. 1/5 Les cours magistraux, c'est bien mais c'est quand même plus facile quand on passe aux TD. Voici un essai simple à réaliser pour comprendre comment ça marche. Ce n'est pas tout à fait la méthode Tempo mais c'en est très proche. Vous avez besoin de l'équipement minimum pour faire de la photo de micro minéraux : - une binoculaire avec correction dioptrique (elles l'ont presque toutes) - appareil photo avec mode macro et mise au point manuelle - un pied. L'idéal c'est de pouvoir piloter l'appareil depuis l'ordinateur via un câble usb.
  5. Trop fort Gael ! Tu peux nous dire ce que c'est ? Professionnel, c'est un bien grand mot, il y a surtout des amateurs plus ou moins expérimentés. Il faudrait se renseigner sur ce qui se fait dans les labos de recherche, là où il est important d'être le premier à voir. Tout à fait d'accord. Personnellement, j'évite d'utiliser Thorough. Cette méthode est supposée corriger les défauts angulaires si entre deux prises de vues il se produit une rotation de l'appareil ou de l'objet que l'on photographie. La méthode Thorough est plus lente et surtout, il lui arrive de détecter des rotations imaginaires, le résultat du stacking peut alors être désastreux. Si l'appareil et l'objet sont bien fixés, on devrait pouvoir utiliser uniquement la première, Quick. Je fais en sorte que rien ne bouge et j'utilise uniquement la méthode Quick, en une ou deux passes si nécessaire.
  6. Quelques précisions: Les compteurs sont considérés comme faisant partie du réseau de distribution d'électricité et de ce fait ils appartiennent aux collectivités (les communes en général) qui en confient la gestion (à ERDF dans l'immense majorité des cas) par un régime de concession. EDF n'intervient pas en dehors du fait qu'ERDF en est une filiale. Le transport de l'électricité reste un monopole (on verrait mal la construction de nouvelles lignes parallèles à celles qui existent juste pour mettre un peu de concurrence) alors que la production et la vente d'électricité sont des activités ouvertes à la concurrence. Quant à la possible nocivité des champs électromagnétiques, c'est un sujet hautement polémique qui est déjà abondamment traité sur le net. Pourquoi l'ouvrir également sur Géoforum? Ce sera encore une de ces discussions sans issue qui vont plomber un peu plus la convivialité du forum?
  7. mr42

    Stégosaurus

    Merci JLOUI pour la référence au Grand Prix Zozo, je ne l'avais pas repérée. Notre ami Steg est en bonne compagnie même si les autres noms ne disent probablement rien à la plupart d'entre vous. Ce n'est pas mon cas et ce n'est pas une grande surprise tant cette discussion ressemble, le sujet mis à part, à celles que j'ai vécues. Que faire ? Sur le plan scientifique, tout a été dit et redit. Avec ses raisonnements bien à lui, Steg ne peut convaincre personne et personne ne peut le convaincre mais il semble trouver son bonheur dans cette discussion qui s'éternise. On ne peut empêcher les moqueurs de se moquer, c'est humain mais en l'occurrence inefficace, c'est un aveu d'impuissance. Cette discussion ne s'arrêtera que par lassitude ou par intervention d'un modérateur.
  8. mr42

    Stégosaurus

    Pour vous faire gagner du temps, une aperçu des arguments que vous allez pouvoir échanger. http://www.sceptiques.qc.ca/forum/viewtopic.php?f=4&t=2433
  9. mr42

    Stégosaurus

    Steg, vous l'avez bien compris, je ne vous servirai pas du « cher Steg » à tous les messages mais ce débat avait pris un ton détestable, il fallait en sortir. On peut rester correct même si on n'est pas d'accord. Sur le fond, je ne suis pas paléontologue et je ne m'aventurerai pas dans cette discussion pointue. Renseignez-vous quand même sur le fonctionnement des ancres de marine. Pour ancrer un bateau dans du sable, il faut une surface importante. Les ancres à faible surface telles que les grappins ne peuvent pas s'accrocher à des fonds sablonneux. Les épines du stégosaure avec une surface encore plus réduite ne lui auraient pas permis de résister dans la position que vous décrivez. Mais vous avez certainement déjà trouvé la parade... https://fr.wikipedia.org/wiki/Ancre_%28mouillage%29 http://www.voiles-aventures.com/news/2013/04/les-differents-types-d-ancres-apres-l-humour-la-technique-2-partie
  10. Sur un T-shirt en plomb... Mais c'est une mine, ce vendeur : http://www.ebay.com/itm/Vintage-Nutex-Radium-Condoms-Rare-EXCELLENT-CONDITION-/331779441745?hash=item4d3f988451:g:JVwAAOSwCypWmyE7
  11. Le caillouteux comme tout chercheur peut se retrouver dans 4 situations. 1 - Il trouve ce qu'il cherche, 2 - Il ne trouve pas ce qu'il cherche, 3 - Il trouve ce qu'il ne cherche pas, 4 - Il ne trouve pas ce qu'il ne cherche pas. Les trouvailles du premier type sont excitantes tant qu'on ne regarde pas sur Internet ce que d'autres ont déjà trouvé. Mais c'est la meilleure école. Les trouvailles du troisième type sont certainement les plus jouissives. Même un petit truc que personne n'a jamais signalé, ce n'est pas une journée perdue et c'est moins rare qu'on ne l'imagine. La quatrième, c'est la béatitude, la promenade digestive alors qu'on serait mieux à faire la sieste... La deuxième situation est probablement la plus fréquente, alors il faut chercher, chercher et encore chercher. On peut enfin élargir le cercle : chercher des framboises et trouver des champignons, chercher des champignons et trouver des cailloux, chercher des cailloux et ne rien trouver, ne rien chercher et trouver des framboises... Bonne chance !
  12. mr42

    Stégosaurus

    Cher Steg, je m'étais promis de ne plus intervenir dans cette discussion mais vous m'avez bluffé. Votre aisance à faire tourner votre sujet en rond et vos contradicteurs en bourriques force l'admiration. D'où vient cette sorte de plaisir à jouer la tête de turc dans la grande cour de récréation qu'est Internet ? D'où tenez-vous cette carapace qui vous permet de vous battre seul contre tous et d'ignorer les sarcasmes les plus mordants comme la raison la mieux affûtée ? Vous n'êtes pas un troll, un vrai troll ne laisserait pas de traces aussi identifiables. Pourquoi ne pas nous expliquer d'où viennent ces crues soudaines qui dévastent même les terrains plats ? Votre théorie givrée du déluge que vous aviez présentée il y a 10 ans sur un site québecois, pourquoi ne pas l'exposer également sur Géoforum ? Nous attendons avec impatience une grande fresque de vos thèmes favoris : après avoir résisté à l'impact de Chicxulub, Stegosaurus refuse de monter à bord de l'arche plus confiant en ses capacités d'ancrage que dans la pompe du père Noé et périt finalement lors de l'engloutissement de l'Atlantide... Et plus, à piocher dans : http://rm.gerard.pagesperso-orange.fr/ A bientôt, cher Steg
  13. La région, je n'y suis pas aussi souvent que je le voudrais et dans ce cas, priorité au terrain. Mes bases sont en région parisienne, pas de problème si tu viens jusque là. Sinon, aucune objection pour t'expliquer ce que je fais, ce qui marche comme ce qui ne marche pas.
  14. Ce n'est pas tout à fait ça. Le capteur est fixe, le boîtier est vissé sur le support. L'échantillon ne bouge pas. La lentille de tube bouge beaucoup (1 à 2 cm) et du coup, je sais pas si les bagues seront d'une grande utilité. L'objectif microscope bouge peu (moins d'un mm) Pour l'instant, ça semble marcher mais j'ai fait peu d'essais et les minéraux ne sont pas tous aussi faciles à photographier. Pour ceux qui ont le goût de l'aventure, je serai ravi de partager mais pour un résultat sans surprise, il vaut mieux rester sur le montage Tempo ou un autre.
  15. Suite aux conseils de Tempo, un test comparatif entre deux montages. Même boîtier, même objectif microscope, même traitement logiciel pour les deux vues. En revanche, pas évident de reproduire la même position et le même éclairage. A gauche le montage direct sans objectif photo. Le boîtier est fermé par un filtre polarisant. Le lentille de tube est un doublet achromatique (focale 172 mm, diamètre 31 mm) que j'avais gardé sous le coude. A droite le montage des messages précédents avec l'objectif macro de 90 mm sur le boîtier et l'objectif de 102 mm comme lentille de tube. Dans les deux cas, c'est la lentille de tube qui se déplace pendant le stacking. Le montage direct donne un champ de 2,3 mm comme prévu par Tempo. L'autre montage est calé ici sur un champ de 2 mm. Dans les deux cas, j'ai recadré pour avoir un carré d'environ 1 mm de côté. La comparaison n'est pas complètement équitable mais ya pas photo, le montage direct est plus net. Il présente en revanche davantage d'arte facts : différence d'éclairage ou conséquence de la plus grande netteté?
  16. On l'a compris, il y a plusieurs approches. Mimi74, ton système est plus simple du point de vue de l'optique. Le système de Tempo (je ne parle pas du mien qui n'est pas encore au point et qui n'est pas très différent) est en revanche plus simple du point de vue de la mécanique. Pour déplacer le plan de mise au point de 10 microns tu dois effectuer un déplacement mécanique de 10 microns alors qu'avec l'autre système, un déplacement mécanique de 1 mm suffit. Pas de grosse différence au niveau de la complication : une platine micrométrique contre une lentille, on ne va pas ne faire un plat.
  17. C'est exactement ça. Supprimer l'objectif de l'APN présente quelques inconvénients : - le champ est plus large, je n'arrive pas à descendre en dessous des 3 mm sauf en éloignant l'objectif micro au diable, - fort vignettage, - pas de possibilité de régler l'ouverture à partir de l'ordinateur. L'avantage c'est que le système optique est plus simple et la qualité d'image semble meilleure (à part le vignettage). Mais tout compte fait, une image plus nette sur un champ plus large, c'est jouable... A creuser. D'autre part, le 90 mm est un choix par défaut, il faudrait voir ce que ça donne avec d'autres objectifs mais je n'ai pas beaucoup de choix sous la main.
  18. Je ne suis pas certain de bien comprendre ta dernière remarque. Quand je parle d'un pas de stacking de 5 à 10 microns, il s'agit du déplacement du plan de mise au point qui est obtenu par un déplacement 100 fois plus important de la lentille de tube, soit 0,5 à 1 mm.
  19. Tempo, je crois qu'on reste assez proche de ta méthode. Oui, je pense que l'éclairage peut être considéré comme constant : le capteur, le caillou et les lampes ne bougent pas, l'objectif micro se déplace à peine, c'est la LT qui fait le plus gros du travail. Lorsqu'on déplace la LT, il y a une variation importante du grandissement et en pratique, on ne peut pas dépasser 150 à 200 microns de profondeur sur une série de vues, il me semble que c'est à peu près ce que tu avais annoncé. Il faut stacker en plusieurs étapes : après une première série de photos, je ramène la LT à son point de départ et je compense par un déplacement de l'objectif micro. Le pas de stacking est pour l'instant de 5 à 10 microns, ça reste à peaufiner. Pour répondre à Kayou, la distance entre le caillou et le nez de l'objectif est d'environ 10 mm. Pour JeF : l'impression 3D ? J'ai étudié la question et assisté à quelques démonstrations avant d'y renoncer. On n'aura jamais la précision souhaitée avec des imprimantes « grand public » : le plastique est déposé à chaud, il se rétracte, il faut nettoyer les bavures, on est loin du but. Seule la découpe laser me semble capable d'atteindre la qualité requise.
  20. Les clivages, ça ne marche pas à tous les coups. Pour l'orthose, le guide Delachaux précise: clivage 001 parfait, 010 bon et 110 difficile. Pas étonnant que tu n'observes pas le dernier clivage. Même le deuxième n'est pas garanti, il y a de quoi obtenir de belles cassures.
  21. Les supports sont en carton mousse pour maquettes, ce n'est pas très durable mais une fois en place, ils ne subissent pas de grosses agressions. Avec un peu d'attention, on travaille au quart de mm près. C'est suffisant pour la LT mais pas pour l'objectif micro. On peut vérifier l'alignement des supports en les prenant en photo sans la LT. Je contrôle les dimensions avec un pied à coulisse électronique au centième et j'ajuste au papier abrasif grain 500. Je ne le referai pas tous les jours. Il faudrait trouver un fablab équipé d'une découpe laser... Pour l'éclairage, j'ai testé plusieurs variantes et sélectionné les meilleurs résultats. Il semblerait que les photos claires passent plus difficilement le stacking... Le fichier raw permet d'éclaircir ou d'assombrir assez facilement, il y a là aussi des réglages à trouver dans le pré-traitement. La lumière est diffusée par des écrans de papier plus ou moins translucide. Bouger l'appareil, je l'ai dit, c'est une question de poids : ça fait trembler tout le reste, il faudrait désolidariser l'appareil ce qui rendrait l'alignement plus délicat. Quant au caillou, il y en a de toutes les formes, de toutes les tailles, je n'ai pas de support universel. L'objectif sur l'appareil ? C'est un anti-poussière...
  22. 3 – Quelques essais Les photos sont prises avec un champ de 2 mm mais il y a toujours du déchet sur les bords. Elles sont enregistrées en raw, passent par un petit décrassage dans Rawtherapee puis dans Combine ZP. Entre le dématriçage, le débruitage, le stacking... il y a de nombreuses options à explorer, je dois pouvoir progresser mais c'est déjà beaucoup mieux que ce que je faisais avant. Merci à notre photographe alpiniste d'avoir montré la voie.
  23. 2 – Le montage C'est du provisoire, j'attends d'avoir trouvé la bonne configuration pour refaire en dur. Un profilé en aluminium qui sert de banc d'optique. Deux supports pour l'objectif micro et la LT qui coulissent sur l'alu. L'APN est vissé sur l'alu et ne bouge plus. L'APN avec son objectif pèse près d'un kilo, je préfère stacker en déplaçant la LT. Une tige filetée (pas de vis 1 mm) avec deux molettes pour régler les positions de la LT et de l'objectif micro. Il y a un rapport de 100 (à peu près) entre les déplacements de la LT et du plan de mise au point. On peut focaliser avec une précision proche du micron. Quelques LED pour l'éclairage.
  24. Mise en pratique de l'enseignement du professeur Tempo. 1 - Le matériel Un objectif Amscope 10x corrigé à l'infini. En guise de lentille de tube, un très vieil objectif photo avec une focale de 102 mm. Pour l'APN, c'est toujours le même EOS 500D qui doit approcher des 100 000 déclenchements avec un objectif macro Tamron 90 mm.
×
×
  • Créer...