C’est clair, ils ne pouvaient pas faire abstraction des questions économiques.
Quelles étaient les ressources critiques ?
Pour les pierres, les géologues ont bien cernés les possibilités d’approvisionnement. Peut-être peuvent-ils dire si les carrières permettaient une production en grandes quantités.
La main d’oeuvre peu qualifiée ne semble pas avoir manqué, encore que cela pouvait impliquer des logistiques de nourriture, hébergement, etc. pas forcément simples.
Il fallait également de la main d’oeuvre spécialisée. Tailleurs de pierre, géomètres...
Et les grandes inconnues du débat sont les outils. De quels matériaux étaient-ils faits ? Probablement pas de métal, plutôt de la pierre mais laquelle ?
Cette histoire de géopolymère fait plutôt penser à une marotte d’un spécialiste pointu qui aimerait placer sa science au sommet de la pyramide. Au contraire, on a de toute évidence besoin d’une approche pluridisciplinaire. L’archéologue doit avant tout être le coordinateur d’un ensemble de compétences.