elasmo

J'imagine que c'est l'épaisseur de la coquille qui varie, et ne permet pas d'être "collé" à la coquille, il se peux également qu'il y a eu de la matière organique à cet endroit On constate ce phénomène chez la plupart des moules interne

Belle stratification en tout cas, la partie supérieure sorte d'agrégats coquiller, et en dessous cela ressemble beaucoup à Vendrest, sable très riche en micro fossiles

Est ce que le calcaire de la coquille entre en jeux, ou bien est ce le calcaire dissous dans l'eau qui est le déclencheur, voir les deux ?

La plupart du temps ce n'est qu'une étape transitoire d'avoir les deux, les coquilles étant plus fragiles elles se dissolvent plus que les moules internes

C'est par remplissage des coquilles, et consolidation du sédiment, c'est un phénomène très fréquent Assez souvent la coquille finie par disparaître ne laissant que le moule interne, des sites comme Vigny du Danien en sont l'un des parfait exemple

Ce ne sont pas des éléments organique, juste un moule interne en sable ou grès Cela ressemble bien au Campanile auversiense, rarement complet et en bon état, faciès charrié oblige Les cas de fossilisation de la matière organique existent, et demeurent exceptionnel tout au moins pour les vertébrés

Quelques autres photos de Chama du Guepelle

Sujet intéressant Avec certaines dents de mammifères ont peut aussi appréhender ce phénomène de différenciation gendrique Chez certains requins et raies également, et probablement dans bien d'autres domaine chez les Chéloniens (tortue) c'est aussi visible (carapace en creux au niveau du plastron, pour les phases d'accouplements) Quelques cas célèbres à Messel dans le paléo lac de l'éocène ou des individus sont restés collés pendant l'accouplement Ci-dessous dents de Dasyatis des faluns de Touraine, à gauche la femelle et à droite le mâme

Chama papyracea du Guepelle sont assez caractéristique, présentant une forme avec de fines lamelles, pour les autres gisements je ne sais pas trop, car ceux dans lesquels j'en ai trouvé présentait le faciès des sables d'Auvers et étaient très usés, ce qui n'était pas le cas au Guepelle la plupart du temps.

Ce sont des Chama turgidula LAMARCK, 1806 Comme souvent c'est très roulé dans l'auversien, cette espèce prend parfois des formes très étranges

Deux dents de belle qualité pour ce genre de niveau transgressif du bassin parisien, même site que la précédente

Oui il y a des loges, pour les ouvrir, le mieux est de les compresser comme dans un étau, c'est le plus efficace, reste le problème de la taille, quand c'est très petit c'est pas simple

La forme lutétienne qui se trouve au dessus des niveaux du Cuisien formant par endroit la pierre à liard

Oui c'est rempli de glauconie verte, c'est pour cela que je l'ai prise en exemple, en fait sur les dizaines de milliers de spécimens que je trouve pendant le tri, certaines sont naturellement ouverte

oui, très probablement une Alveolina oblongua

Je voulais faire des clichés plus précis depuis longtemps ce post à relancé mon intérêt Ce sont les deux formes les plus communes et plus grosses sur ce gisement, les Nummulites constituent le fond de tamis de 4 a 2 mm, les milioles sont plus rares et surtout plus fragiles, le reste des foraminifères est très petits et pour le moment je ne l'ai pas trié

La petite soeur de la dent de pierreux

Quelques spécimens du cuisien de l'Aisne, associé avec d'autres petits fossiles

Joli ces associations de bryozoaires avec d'autres spécimens

Nummulites variolarius classique de l'auversien

Cela ressemble à un morceau de lave bien terrestre avec inclusions de Peridot

J'ai comme l'impression que cela monte d'un cran au niveau qualité et cadrage à chaque fois que tu post une nouvelle photo, elles sont à couper le souffle, notamment l'Alanite, magnifique