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Faudra faire attention aux coups de pioche après coup, oups l'etincelle !Pour le pendage 2 possibilités : structural ou sédimentologique. Plutot la deuxième solution.

Bien vu ! Bon critère pour l'environnement de dépôts deltaïque dominé fluviatile et gilbert deltas, bathymétrie 0-3m, lire les détails : http://www.jstor.org/stable/3515813?seq=1#page_scan_tab_contents

Pour vérifier l'hypothese, regarder si il existe une seule famille de fractures et regarder si l'orientation est homogène sur le site ( et perpendiculaire à la pente.

Elasmo, Ampullina ?

Discuter avec les description de cette notice : http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0333N.pdf

Joli bolet fossilisé... En fait je crois plutôt à une roche sédimentaire ou cristallophylienne pour la partie sombre. La partie qui est claire pourrait être un remplissage microcristallin de calcite. Il suffit de passer du vinaigre pour confirmer.

Oui j'ai vu tes articles et effectivement tu ne mentionnes pas de graviers bruns mais il existerait plus d'intraclastes carbonatés ? Dans le contexte sédimentaire exclure des éléments anté-cénozoiques reste à démontrer. Surtout lorsqu'on constate la richesse en altérites et dépôts de plaine alluviale antérieurs aux faluns. dans le cas présent la géométrie légèrement concave plaide en faveur d'un galet mou légèrement lithifié, avec un reste de forme mammelonné sous l'emoussé. Voilà un exemple de réponse pédagogique à apporter et je persiste dans l'argumentaire à apporter ( contenu minéralogique ) auquel j'ajoute l'élément phosphate à identifier. Sino j'ai vu des sites qui montre des coprolithes des faluns et en effet la probabilité est grande.

Dans ce cas pour vérifier regarder si l'objet raye le verre, si une effervescence apparaît avec un acide (vinaigre pour commencer), comparer la densité avec les autres graviers du même niveau, montrer des exemples et les critères de reconnaissance de coprolithes reconnus et donner une image du lieu de prélèvement. Compte tenu de l'emoussé il n'y a guère d'autre solution que de casser en deux pour être certain ce qui n'est pas l'idéal ...

Assez d'accord avec la suggestion d'Alain, à ce détail près qu'il pourrait s'agir d'une alterite granitique cimentée ou bien remobilisée avec un faible transport avant diagenèse.Pour distinguer décrire l'émoussé des grains (anguleux ou +/- arrondis) et chercher si une stratification existe. On en rediscute après les infos ajoutées. A première vue je dirais quand même "arkose", sous-entendu produit d'altération de granitoïdes et ectinites avec transport avant cimentation.

Un gravier (lithologie antérieure remaniée) pour le premier objet comme on en rencontre dans d'innombrables sédiments conglomératiques de cortèges transgressifs marins côtiers par ex, pas d'accord avec coprolithe. un osselet pour le deuxième Ok.

A l'extérieur de l'organisme il n'y a rien : juste une fracturation naturelle conchoïdale qui intersecte la stratification d'une roche micritique et un arrangement manuel probable en bas de l'image

Pas très optimistes en ce moment aux US : http://www.newyorker.com/magazine/2015/07/20/the-really-big-one Quelques phrases clé du texte : Every fault line has an upper limit to its potency, determined by its length and width, and by how far it can slip. For the San Andreas, one of the most extensively studied and best understood fault lines in the world, that upper limit is roughly an 8.2a powerful earthquake, but, because the Richter scale is logarithmic, only six per cent as strong as the 2011 event in Japan. Under pressure from Juan de Fuca, the stuck edge of North America is bulging upward and compressing eastward, at the rate of, respectively, three to four millimetres and thirty to forty millimetres a year. North America will rebound like a spring. If, on that occasion, only the southern part of the Cascadia subduction zone gives way, the magnitude of the resulting quake will be somewhere between 8.0 and 8.6. Thats the big one.

et comme il y avait une fonction rotative, ça explique l'extinction de l'espèce.

La première image avec les phyllosilicates : plan de faille possible qui doivent être multiples. Le reste présente un faciès bréchique avec une belle fractures ouverte puis comblée par du quartz (probable) blanc laiteux. En jaune-beige-orangé, on peut hésiter pour plusieurs minéraux dont des feldspaths, mais gros doute, ou bien une des roches des épontes car on ne distingue pas bien de clivage, vérifier quand même si il n'y a pas de calcaire. Sinon d'accord avec le sage plus haut qui demande des tests et qui doit être MDR. Sinon Marie, et bien ton secteur est fort passionnant et mérite d'être étudié en détail. Peux tu vérifier si tu vois une orientation préférentielle NW-SE ou NNE-SSW : les deux familles de failles sur la carte. Pour la pelleteuse, bon c'était pour rire mais on peut dire que on ne pourra pas aller beaucoup plus loin sans localiser précisement ton terrain. Quand même on peut aller plus loin simplement dans l'analyse en sciant cet l'échantillon que tu as mouillé avec une observation de détail. Si c'est bien une brèche de faille minéralisée on le vérifiera rapidement.

oui je regarde la notice et je verrais bien un remplissage de zone faillée associée aux faciès BTH : brèche tectonique hypersilicifiée. selon la notice de Luçon. on sent bien la croissance des cristaux perpendiculaires à une surface plane. il doit y avoir son frère jumeau en face... Le jardin sur la faille c'est bien visé, un ch'ti coup de pelleteuse pour y voir clair et on aura résolu le sujet. Du coup si ça pousse mal, plusieurs hypothèses à envisager y compris que toute l'eau s'infiltre dans la faille ouverte, voir si il y a deux domaines de végétation dans le secteur et l'image aérienne.

Si il n'y a pas de réaction avec du vinaigre à température ambiante, non ce n'est pas de la calcite. Si tu es bien dans la zone granitique, chercher du côté des filons ou des remplissages de faille ouverte pour le mode de cristallisation. de toute façon pour lever le doute il faudrait quand même un test HCl dilué et une image du site de provenance.

sinon voir du côté des moules en résines pour des objets industriels, ça peut être un essai raté jeté en décharge.

Comment on nettoie un exo-coprolithe fossilisé en gogotte ? http://www.geoforum.fr/topic/31002-fossile-trouve-dans-la-loire-aide-a-identification/ autre hypothèse que je laisse entre les mains expertes des Dr ès gogottes

Ca fait penser à un encroutement calcaire ou autre autour d'un tuyau. Sinon le fils du potier qui a fait ça voulait peut etre faire une blague à son instit collectionneur de coprolithes. Un test au vinaigre d'impose pour voir ce qu'en pensent les drosophiles.

un petit coup de tempête sur Mars vers la Terre, et hop des eolianites remaniées dans la Loire. on a déjà vu des foraminifères volants ailleurs.

Il y aura des paléontologues aussi qui chercheront pourquoi des exo-coprolithes se retrouvent dans la Loire : http://www.geoforum.fr/topic/31002-fossile-trouve-dans-la-loire-aide-a-identification/#entry534756

SI tu précises la commune on pourra facilement vérifier l'étage géologique et si un horizon précis est déjà répertorié. Ces niveaux de grès ferrugineux sont assez précieux pour les analyses séquentielles (discontinuité / base de séquence, etc).

Vérifier avec l'image de l'affleurement dans l'Aube => Albien gréseux et argileux. Possibilité que ce soit un sable glauconieux altéré sous une surface d'emersion -crétacée ou quaternaire- Dans ce cas précis il pourrait s'agir d'un sable grésifié sous un paléosol susceptible justement de livrer des Flores ou faunes continentales. Effectivement limonite mais sous forme de ciment dans un grès.

Si tu as trouvé tous ces éléments dans un seul niveau, il s'agit d'un individu unique. Ce qui n'a jamais été publié pour des niveaux du Lutétien. Cela rend le niveau remarquable et ce sera super si on pouvait discuter sedimentologie à partir d'images du site. Histoire d'orienter les futures découvertes.L'échantillon présenté est un calcaire à entroques du Jurassique (tiges de crinoïdes).

Un article sur l'évolution du climat au Paléogène dans le bassin de Paris. A partir des isotopes de l'oxygène issus des coquilles marines. http://www.researchgate.net/profile/Laurent_Emmanuel/publication/277718425_Palaeogene_climate_evolution_in_the_Paris_Basin_from_oxygen_stable_isotope_%28_18O%29_compositions_of_marine_molluscs/links/5572e14108ae7536374e1d9e.pdf?inViewer=true&disableCoverPage=true&origin=publication_detail