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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Ambre Jaune

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Tout ce qui a été posté par Ambre Jaune

  1. ET, démonstration est faite que des organismes vivants peuvent coloniser la résine !
  2. Sinon, le conte de fée donné, revenons aux plumes. Pour recentrer le débat sur les plumes, voici encore une image « d'un délire complètement abstrait et non scientifique » = citation de vari ! Cher Vari, c’est juste une belle plume. Et, pourquoi publier de telles images ? C’est ce genre d’images, je crois, qui fait rêver un jeune public plutôt que ces PFD (payants) rédigés en anglais où les représentations sont souvent agrémentées de dessins tristes et de photos d’insectes montés en lames minces... Pourrions nous revenir à l’étude de la proto - étrangeo - plume crétacée ? Merci à vous.
  3. Selon Vari, qui se mêle de commenter et critiquer sans cartouche, le développement d’organismes vivants dans l’ambre serait un conte de fée ! Tournons les pages de ces travaux abstraits, « d'un délire complètement abstrait et non scientifique » = citation de vari,(ceux d'Ambre.jaune) mais, accessibles à chacun ! Commentons cette photographie présentée ci-dessus. Dans un même fossile d’ambre, sur un moustique somme toute assez commun, plusieurs amas de moisissures présentes aux pattes suivent le flux d’ondes de la résine, laquelle, coule sous l’effet de la pesanteur en étirant les filaments vers le bas et la gauche de l’image comme cela est visible en A2. Mais, chose REMARQUABLE, sur le dit moustique (qui apparaît flou sur le bas à gauche de l’image, -excusez le cliché, l’image souhaite surtout montrer les moisissures-) la patte médiane au point A1 montre une moisissure qui semble s’être développée de façon radiale, -dans toutes les directions- en ignorant les forces de la résine !!! C’est comme si ce développement de moisissure ignorait le fluage surtout efficient au point A2. Alors pourquoi un tel paradoxe ? Le développement radial d’une moisissure qui gagne le milieu piège dans un axe de croissance non-conforme au fluage (d’ailleurs enregistré par les mêmes moisissure sur le même insecte) suggère une chronologie des évènements où l’organisme vivant qu’est la moisissure semble avoir colonisé la résine encore plastique mais immobilisée sans doute dans les roches encaissante du dépôt. Ce fossile qui existe en tant que tel, où deux directions apparaissent pour la progression des moisissures, est une preuve que des organismes vivants peuvent coloniser la résine pendant le fluage et quelque temps après. Preuve est donnée par cette référence intéressante que des organismes vivants peuvent se développer vivants dans la gemme (avant induration). Oui, des moisissures peuvent croître dans la résine tendre, qui, bientôt durcie par la diagenèse bloque tout développement de croissance. Certains ambres colorés (anormalement) semblent avoir été imprégnés par des pigments d’organismes colonisateurs (algues bleus, pigments de champignons). Le panache d’une moisissure qui traverse les flux d’ondes de la résine ignorant le fluage antérieur fait penser un peu aux racines d’un arbre qui transpercent les couches sédimentaires profondes éventuellement déformées du sol. Le panache de moisissure A1 s’est développé après l’effet fluage (déformation lente par la contrainte du mouvement fluide) et a profité des liquides vicéraux de l’insecte. Le développement d’un organisme vivant dans le milieu piège est donc démontré par une lecture taphonomique sur un fossile. Nous ne sommes pas ici au niveau de l’hypothèse mais des faits. Raconter le fossile dans une lecture taphonomique n’est pas une hypothèse, c’est un exercice de pure logique. La résine antique que l’on pensait une matière piège étouffante, (actualisme oblige) a laissé croître des organismes vivants dont la progression est occasionnellement significative dans une lecture taphonomique! Ce fossile très utile à la démonstration atteste que des organismes vivants peuvent coloniser une gemme encore tendre à l’origine de l’ambre. Ce fossile bouleverse nos idées dogmatiques du milieu piège de l’ambre. Je suis surpris que l’on n’apporte pas plus d’intérêt aux lectures logiques des indices taphonomiques des inclusions organiques. Les travaux publiés se limitent trop souvent aux descriptions morphologiques des types nouveaux. Mais, des choses simples comme les positions des objets sont souvent ignorées. Et, il faut une redoutable précision optique pour aller chercher les moisissures diaphanes dans des ambres conservés en volume 3D. Si vous débitez les ambres en lames minces, vous risquez de passer à coté de belles découvertes. Certaines algues aquatiques, des moisissures aériennes semblent avoir été capables de coloniser les résines antiques. Cette découverte complète le travail de lecture de certains auteurs qui admettent enfin des « perméabilités biotiques » (certes limitées dans le temps) à des organismes dénués de force physique mais qui apparaissaient parfois profonds dans la gemme ! Attention, croissance, ne veut pas dire présence! Trouver une inclusion organique couverte de moisissures ne permet pas forcément de dé&montrer la croissance post-mortem! Une seule référence parmi une centaine d’observations permet de développer la démonstration taphonomique. Cqfd, Vari, pourquoi critiquez vous autant ?
  4. Bon nous parlons désormais des moisissures qui peuvent se développer dans la résine, et avant de dire les spécificités pour : le sablais, (impatient), tenons le fil de l’exposé... Pour les filaments attachés à la dépouille de vertébré sur cette image, filaments que Gaël de Ploeg certifie être des fibres musculaires, (qu’elle ineptie !) je propose ci-dessous les réponses de trois spécialistes mondiaux. Et, Gaël, attention quand -même, à force de dire des bourdes aussi grosses, tu vas te faire jeter du musée ! Voici les réponses de trois chercheurs qui commentent l’image : -Dear Eric,The threads look like fungae mycelia. Best regards. Joerg Wunderlich. -Hi Eric,These look like fungal filaments to me. David Penney. -I think it is either fungal hyphae or filamentous bacteria, both being common on dead organic material. These filaments probably started to grow on the vertebrate remain and grew into the liquid resin for a while before solidification occured. Is this Baltic amber? With best wishes, Alexander R. Schmidt. Mais, si Alexander R. Schmidt, en reste à l’hypothèse, (hypothèse juste !!!) il est sans doute intéressant de trouver le fossile qui permet de donner la démonstration ! Et, -soyez patient- je prépare une rédaction (message suivant) pour vous la présenter au forum. Et, un confrère me disait récemment : Ce qui me sidère c'est que ceux qui n'ont rien à présenter, n'ont rien écrit ou photographié se mêlent de commenter et critiquer sans cartouches. C’est comme souvent "les cons osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît" (Lino Ventura).
  5. Vari :« As tu des références qui permette d'illustrer ton petit conte de fée? » Si le conte de fée concerne le développement d’organismes vivants dans la gemme de résine avant fossilisation, oui, des références existent. Mais à chaque étape -de mes explications, que je souhaite progressive- vous dégainer des attaques ! Cherchez bien, découvrez la chose par vous même. Des auteurs ont publié, mais sans preuve, (les suppositions étaient justes mais ils n’avaient pas le fossile). Sans doute plus chanceux je l’ai trouvé. Cherchez bien la biblio, cela concerne les toutes petites inclusions de l’ambre. C e n’est pas publié pas par moi, c’est donc sans doute assez vrai. (Rires) Vari : « difficile de te croire sur parole... » Je comprends, je comprends. Je vais vous donner l’image de démonstration, laissez moi juste le temps de respirer. Et, pour être précis, je ne veux surtout pas faire croire, je veux juste démontrer, et cela sera fait ! Démonstration faite en une seule image. Une image aussi percutante que le cheval de Troie. (Rires). Vari : « tu veux ton nom sur un insecte? » Ah oui, le i en fin de nom à la gloire des grands hommes ? Apposer son patronyme sur le nom d’une espèce constitue le rêve de certains ? Certains, parmi les scientifiques auteurs, apposent leur patronyme qui se termine par I pour passer à la postérité. La méthode a ses fervents partisans ? C’est une tradition, laissons vivre la tradition. Faut-il changer la chose ? Si oui, pourquoi ? Sans répondre, souvenons nous qu’Hitleri constituait un hommage au chef connu de tous. Concernant mon travail, cela donnerai Ambre.jaun(i) ce qui conviendait TOUT à fait ! (Rires). Vari : « désolé mais ta crédibilité à prit une claque... » Les claques m’ont été données il y a longtemps, lorsque je débutais. Si, si par ceux collés par le piratage. Je m’en souviens, c’est d’ailleurs le moteur de mes chevaux de Troie. Ma crédibilité vaut, par le piratage de mes travaux ! Sinon, pourquoi pirater le mauvais travail ? Je vais leur poser la question. Le piratage, n’est quand même pas abstrait. Soyons réalistes, qui perd sa crédibilité de ponte en jouant au pirate, d’ailleurs attrapés à plusieurs la même main dans le sac. Vari : « d'un délire complètement abstrait et non scientifique » Entendu pour l’argument. Permettez que je vous expose d’autres découvertes abstraites, non scientifiques, d’espèces inconnues (qui pourraient toutes porter un patronyme se terminant par i). Je vous présente des guêpes de feu de plusieurs gisements, ces insectes sont vraiment plus rares que les petites portions de vertébrés totalement délirante et sans intérêt. Voici une image totalement délirante, et très abstraite. Les spécialistes de l’ambre, s’il y en a parmi vous, apprécieront peut-être : Je remarque que vari m’impose des références, (comme si j’étais affilié à une sorte d’autorité scolaire) mais peut-être pourriez vous Vari exposer vos trouvailles, vos découvertes (même mal photographiées), ce serait sympa. Personne autour de vous n’étudie les ambres même opaques de ces lots que vous proposez à la vente ? Vous n’argumentez jamais par des travaux ? Pour le développement d’organismes dans l’ambre vous n’avez rien ? Bon sang, si vous n’avez rien, c’est donc un scoop ! C’est quand même toujours le même, qui, ici au forum présente, explique, argumente avec ses images, (certes de façon très maladroite), mais, j’essaie de donner le meilleur. Au plaisir. Sinon, à titre de jeu, oui… Et puis non,... je garde pour l’instant l’info. J’en parle pour le prochain épisode.
  6. GdP : "ça c pas possible!" Ton patronyme est utilisé pour la science, pour désigner des noms scientifiques d’espèces. Que ce soit toi ou l'auteur qui l’ait "décidé - rédigé", que ce soit « une sorte de petit cadeau », peu importe de qui a déterminé quoi. Outre que le procédé soit prétentieux (rires !), cher Gaël, tu joues sur les mots, :grand sourire: (il n’y a pas déformation des propos , ni dans ce message ni dans les autres) par contre, sur les choses plus fondamentales, plus sérieuse et même graves : les travaux piratés, les ventes d’échantillons sous la table (oui, j’ai été démarché avec du matériel protégé par quelques confrères), les notions volontairement fausses ambre-copal-confusion, le montage systématique des échantillons en lames mince (exemple : cet alevin que tu souhaitais photographier après débitage), les photographies perfectibles, et, tant de choses comme le joli cheval de Troie, la grosse abeilles de René G Jeanel publiée sans références… pas de commentaires ? :grand sourire: Oui, pas de commentaires (Rires !!!) Pour l’ambre de l’Oise, et les images qui sont piratées à 90 % (avec comble du comble un cheval de Troie) faut-il contacter l'ORI (Office of Research Integrety) qui est une antenne américaine qui a pour objectif de définir les procédures à appliquer en cas de soupçon de fraude, pour mener puis superviser, une enquête scientifique plus approfondie ? Je parle de l'ORI, car les travaux piratés sont présentés aux E.U. !!!!!!!! ---------> Et, pour finir, au fait, pourrions nous revenir à la proto-plume crétacée, une découverte rappelons le présentée en 1999 à la grande institution sans la moindre audience. Encore heureux qu'Ambre Jaune ai réalisé l’image gratuitement. Merci à lui ! Merci à lui pour toutes ces infos.
  7. Citation : "et hop le tour est joué ! On confirme une hypothèse en émettant une autre hypothèse ! Là, ca me va pas !" NON, j'ai le fossile ! J'ai la preuve, la démonstration. J'ai attendu 6 ans de prospection pour ENFIN dénicher ce fossile. Je rassure la communauté des critiques, j'ai le support qui prouve, et l'image qui vaut pour démonstration. Et, NOTE, je ne suis pas le seul à maintenir cette réalité des choses, mais, là, il faut savoir suivre les travaux publiés. Dans le même fossile, sur le même moustique piégé, des moisissures bien développées suivent en (1) les flux d’ondes de la résine qui coule sous l’effet de la pesanteur (et, je dis bien, sur le même moustique, mais sur une autre patte) un autre panache de moisissure cette fois plus développé traverse en (2) les recouvrements de la résine dans une direction orthogonale. Cette mention fossile trouvée (un fossile qui existe, et n’est donc pas une hypothèse) fait alors penser un peu aux racines d’un arbre qui traversent les couches sédimentaires du sol. Le panache de moisissure (à l’image des racines de l’arbre) s’est développé après l’enregistrement des flux d’ondes de la résine. Le développement d’un organisme vivant dans le milieu piège est donc démontré par une lecture taphonomique. La lecture taphonomique est un exercice ou gaël –pas de chance- s’est fait coiffé sur le fil au concours organisé par le magazine La Recherche, sans doute par un plus logique ou plus dialectique que lui. Si, si je vous assure j’ai le fossile. L’hypothèse serait d’affirmer la chose sans le fossile. Raconter le fossile dans une lecture taphonomique n’est pas une hypothèse.
  8. :surpris: :surpris: Merci Gaël de ne pas confondre les post ! Le message #84 : GdP« fibres musculaires me paraît très convenable, tu peut maitre en évidence les fluages avec avec une lumière U.V ou polarisante. » n’a, je crois, aucune logique. C’est peut-être une réponse à un message privé ou une autre conversation sur Géoforum ?! Que vient faire la mention des fibres musculaires ???? Dans la conversation de l’ambre ?
  9. GdP : les résines sont anti-fongiques, c'est l'une des propriétés des résines! Les résines actuelles ! Ne transposons pas -par actualisme- les faits présents observés au passé !!!!!!!!! Sinon, ok, EXPLIQUE MOI, cher Gaël ALORS LE FOSSILE ! Explique moi comment et pourquoi le panache de moisissure traverse les coulées de résine ! CQFD, l'actualisme ne marche pas pour ce fossile unique, une nouvelle fois trouvé par Ambre.jaune!
  10. COUCOU ! Oui, dans cette conversation, nous allons de surprises en surprises, et, d’étonnements en émerveillements. Mais, certains resteront critiques ! J’en suis persuadé ! J'attends évidemment celui qui utilisera l'actalisme ! J’ai découverts quelques portions de vertébrés, des centaines de moisissures... Mais, une seule référence (dans mon travail long de trente ans) peut démontrer la croissance d’organismes vivants selon des axes qui ne sont pas ceux des forces exercées par la résine. Et, pour faire un peu d’humour : je vous assure que le fossile précieux n’est pas un artéfact ! (=Argument lapidaire utilisé par dieu le père et ses apôtres plusieurs fois pour jeter certaines mentions aux oubliettes).
  11. Réponse à Thanet et le sablais Présente avant ?! Et NON ! Pas forcément. C’est encore un AUTRE SCOOP ! Une moisissure peut se développer dans le milieu piège de la résine, (la résine encore tendre) ! J’en ai la preuve. Attention cette annotation qui pourrait sembler : « une affirmation très discutable » est rigoureusement démontrée par UN fossile (UNIQUE) de moustique. Un fossile de moustique que j’ai mis 6 ans à trouver ! Ce fossile de moustique (je le répète unique) est encore plus précieux que celui qui montre la belle moisissure sur le vertébré ! (Exposé ici au forum au message #72). Je m’explique, je vais rédiger simple... Dans un ambre, j’ai découverts un moustique dont les appendices déformés sont tous conformes aux lignes des coulées de la résine, tandis que l’insecte mort roulait sous les forces plastiques de la pesanteur. Jusque là tout est normal... Les pattes, les antennes et, oui, de fines moisissures présentes sur l’insecte sont étirées ensembles par la résine suivant la logique des forces exercées par les coulées. L’insecte partiellement recouvert de moisissure (avant piégeage) a été piégé par la résine et roule sous le jeu des coulées étirées par la force de la pesanteur. La position mortuaire de l’insecte est logique, à l’exception d’une seule moisissure qui s’est développé post mortem, alors même que la résine était figée -mais pas encore rigide-. La dite moisissure, le développement de la moisissure traverse de façon orthogonale les coulées enregistrées dans la gemme (aujourd’hui indurée). La résine que l’on pensait une matière piège étouffante, laisse se développer quelques temps des organismes vivants dont la progression est parfois significative dans une lecture taphonomique du fossile ! La lecture des positions tenues par les appendices de l’insecte n’est pas celle d’un panache (un seul panache) de moisissures lequel n’est pas celui des autres moisissures ! Dans le même fossile, sur le même insecte des moisissures ont des orientations différentes ! Alors que l’insecte tout entier est positionné selon une direction unique. Un tel fossile qui démontre que des organismes vivants peuvent se développer dans la poisse à l’origine de l’ambre est une pièce essentielle pour une démonstration qui bouleverse beaucoup nos idées du milieu piège de l’ambre. Je suis surpris que l’on n’apporte pas plus d’intérêt aux lectures logiques des indices taphonomiques des inclusions organiques. Les travaux publiés donnent souvent des noms aux espèces nouvelles mais, les choses simples sont souvent ignorées. Gaël de P. a donné son patronyme à une mouche et des coléoptères, mais, à coté des sacro saintes nouvelles espèces il existe des fossiles -sans nom- dont la valeur est surtout la lecture taphonomique logique. Et, il faut une redoutable précision optique pour aller chercher les moisissures diaphanes dans des ambres conservés en volume 3D. Et, si vous débitez les ambres en lames minces (comme Gaël de Ploeg !!!!!!), vous passerez à coté de belles découvertes. Le moustique qui démontre le développement post mortem de la seconde moisissure dans la résine (alors figée) est évidemment présenté sur mon site. Oui, des organismes simples peuvent alors vivre (coloniser) et même se développer quelques instants dans la résine. Le dire, est une chose. Oser l’écrire en est une autre. ET, TROUVER LE FOSSILE QUI DEMONTRE LE FAIT est VRAIMENT, VRAI-ME-NT un scoop ! A une certaine époque, quand j’évoquais les inclusions aquatiques (et une réponse bizarre de la gemme) on rigolait ! L’ambre, c’est sur les arbres pas dans l’eau ! Quel imbécile ! Mais, au final, il semble que certaines algues aquatiques, des moisissures aériennes aient pu se développer dans la résine. Oui, des organismes peuvent coloniser le milieu piège et progresser. "Montrez-moi le fossile qui prouve le phénomène de croissance " "Le voici je l’ai." Attention, croissance, ne veut pas dire présence ! J’ai une centaine d’inclusions couvertes partiellement de moisissure, et, une seule permet de démontrer la croissance !!!!!!!! Et, les détracteurs d’hier n’aiment (n’aimeront) sans doute pas ce nouveau fossile (en image) que je garde en scoop, à l’occasion pour répondre à une question posée comme celle ici TRES intéressante de Thanet ! Oui, certains ont supposé que … Et, d’ailleurs Monsieur X l’a dit oralement en réunion, et Y l’a alors écrit dans sa publication, (mais c’est du piratage). Ne supposez pas, ne racontez rien, mais, démontrez nous la chose ! Seule la première démonstration vaut pour référence ! Montrez nous l’image, la preuve de la croissance d’un organisme vivant dans la résine fraîche avant fossilisation en ambre. Oui, ok, j’ai l’image. (Je le répète, l'image est présentée sur mon site).
  12. Un spécialiste ! http://infographies.pagesperso-orange.fr/
  13. Sinon, après avoir dialogué en message privé avec André Holbecq, pour identifier la personne, nous n’avons pas le nom du propriétaire de cette inclusion crétacée, qui comme Gaël l’évoque permet de s’interroger sur l’affiliation oiseau ou autre animal. Cette référence discutée ici (Merci à Ambre.jaune d’avoir fait l’image !) est également un scoop. Cet objet, cette inclusion est ignorée de la science. Je passe le bonjour à Vari qui lit en ce moment le dossier.
  14. Merci, le sablais, oui, c’est exactement cela ! Merci d’énoncer des avis sur les personnes, que si et seulement si, cela concerne rigoureusement l’orientation effective des travaux. Ainsi on peut dire et écrire : « Ambre.Jaune, selon moi a surtout une orientation plus artistique qu’autre chose pour présenter ses inclusions de l’ambre, car, sa technique photo est, … bla bla bla, et je suppose ainsi que,… bla bla bla. » Les jugements sur l’orientation d’un travail -qui donnent un reflet- et évidemment une portée à l’exposé peuvent être formulés pour autant qu’ils soient en rapport avec le sujet exposé. Les sentences complètement gratuites sont, je crois, peu constructives. -------------------------------------------------------- Sinon, pour répondre à Gaël de Ploeg. -------------------------------------------------------- En message 65# lorsque je dis que je réalise une monographie qui examine les travaux publiés, voir cette image : j’explique que je cherche des « scoops » (des mentions jamais évoquées dans la littérature mondiale) pour préparer judicieusement plusieurs publications dont celle évidemment d’un livre (310 photos couleurs) qui exposera (et n’exposera) QUE les inclusions exclusives de ma collection personnelle. Le catalogue des « scoops » préparera la synthèse de ces nouveautés inconnues de la science. Ainsi : le copal bleu, le transport paléontologique des fourmis, un alevin, et tant d’autres références, comme celles du caméléon… Des scoops quoi... Ces découvertes ne sont évidemment pas achetées à des collectionneurs privés ou des institutions mais sont toutes révélées à partir d’un nettoyage de brut (comme expliqué au message #66). Cher, Gaël, j’ai personnellement déniché 16 portions de plumes dans plusieurs gisements. Et, si tu connais (ce qui est très bien !) quatre reptiles piégés dans les résines indurées, je connais (pour les avoir trouvées moi-même) vingt deux références de vertébrés dont cette mention (amenée ci-dessous en image) qui, SUPERBE MEGA SCOOP, présente le développement d’une moisissure, un fait tout à fait exceptionnel, ou dirons nous, très intéressant ! La belle moisissure a été révélée par une petite invention photographie (qui, à l’époque, sans les nommer a été fort dénigré -c’est un euphémisme- par tes confrères, pour des raisons qui, évoquées ici, seraient hors sujet). Voici quelques portions de vertébrés : http://ambre.jaune.free.fr/Reptiles_remains_in_amber1.jpg http://ambre.jaune.free.fr/Reptiles_remains_in_amber2.jpg Sinon voici l’image (qui vaut sans doute pour démonstration), l’image exceptionnelle d’une superbe référence, le scoop d’une moisissure sur une dépouille de vertébré : Je suis assez content (presque fier, je l’avoue) de quelques découvertes récentes, comme celles des mélanophores (déclarés de pollen et/ou d’artéfacts par certains grands spécialistes, 2002, un comble !!!!!!!!!!!!!!!!!!), des portions possibles de caméléons et ces moisissures sur des portions de vertébrés, sans oublier plusieurs bois contenant des résines et quelques Dermaptères forts intéressants... Je me demande si je ne réaliserai pas un joli PDF couleur (bien présenté, avec de belles images) un PDF évidemment gratuit, qui résumerait et énumérait les scoops jamais publiés depuis 2002. Sinon j’ai un autre scoop qui devrait surtout t’intéresser !!!!! Gaël, sais tu que 90 % des images Internet concernant l’ambre de l’Oise (le site que tu as découvert) correspondent à des références piratées (de mon travail) -par de nombreux sites et non des moindres-, qui, surprise pour eux, ont aspiré des chevaux de Troies. Regarde bien les copies d’écran des recherches d’images dans ce document. Le scoop le plus formidable concerne peut-être la façon dont la science publie ses travaux. Et, je ne parle dans ce document –évidemment- que de l’ambre de l’Oise ! SCOOP : L’ambre de l’Oise, sur la toile, est essentiellement articulé autour du piratage : http://infographies.pagesperso-orange.fr/Oise_Amber_piratage_WEB.jpg
  15. petite interruption, oui, une de plus. OUI. Je comprends vos propos. Je réponds d’ailleurs à chaque message du mieux que je peux, dans la limite de ma disponibilité. Veuillez m’excuser si mes propos sont vagues (mal rédigés) ou mal compris. Je veux juste insister ou faire remarquer que les « psychanalyses », les conjectures, les jugements d’orientations -certes possibles (et j’y réponds)- n’ont quand même qu’un intérêt assez secondaire par rapports aux faits assez exclusifs que j’essaie d’amener. Citation :"si l'on partage tel ou tel information, il faut savoir accepter les critiques" Oui, pas de problème. Et, justement le mot PARTAGE suppose que l’autre partie apporte des informations, des faits concernant la dite découverte. Venez apporter de VRAIES informations, -autres que des estimations, des jugements de valeurs-. Citation : « comment ça on ne pas pas donner de jugement, donner son opinion ? où vas t-on ????? » Je vous laisse aller là où vous voulez, soyez rassuré ! Mais je vous propose, je vous suggère d’argumenter vos opinions par des faits dissertés. Si je vous présente une mention rare de ce qui peut être une inclusion crétacée qui ressemble à une « étrange » plume sans référant connu, ou une possible portion de caméléon, la réponse qui consiste à dire : « je ressens une jalousie, bla, bla, bla » peut rapidement entraîner une réponse assez peu constructive, qui au final risque d’entraîner la conversation vers un hors sujet. Mais, évidemment libre à vous de participer avec vos critiques, qui soyez rassuré m’intéressent BEAUCOUP lorsqu’elles sont argumentées ! Citation : « c'est le but et même le jeu !!! » Critiquez ! Oui, c’est le jeu ! avec les références factuelles. J’attends alors les arguments des critiques ! Car, soyez précis que vaut une critique sans argument ! Argumentez, oui, cela me fera également progresser. Rédigeons tous de la même façon avec des critiques constructives argumentées. Et encore une fois : on parle, sur sa façon de parler. Et pendant cela on ne parle pas d’ambre. C’est assez usant à la fin.
  16. Oui, mais, peut-être pas toujours les mêmes !!! Montrez-moi aussi quelques infos ? Merci. N’avez-vous pas des réalisations concernant ce groupe ? Les Dermaptères. Sauf si j’abuse, j’ai quand même l’impression de donner ici encore une « foultitudes » d’infos (et pas grand-chose en retour). Qu’en pensez-vous ? Merci d’animer le forum autrement que pas des demandes. Ce serait sympa de contribuer même à raison de quelques unes de vos réalisations personnelles. Je dis bien des réalisations, des découvertes...
  17. Concernant des inclusions rares, pourquoi Ambre.jaune trouve t-il aussi régulièrement des inclusions rares (et parfois uniques) ? En guise de réponse, une précision aux prospecteurs et collectionneurs. Si vous nettoyez des ambres ou si vous observez des échantillons insectifères (déjà nettoyé) dans la collection d’un confrère avec UNE référence en tête, (PEU IMPORTE LA référence) vous risquez FORT de passer à coté de l’essentiel. Je m’explique. Lorsque vous allez dans un salon d’exposition pour compléter votre collection d’insecte de l’ambre, ou, lorsque vous nettoyez des lots de brut, vous pensez certainement à une référence type qui vous ferait plaisir. Oui, avouez-le, c’est obligé. Vous imaginez une image, vous projetez à l’avance l’objet qui vous ferait plaisir. Et, C’EST BIEN LA le PROBLEME ! Dès qu’une image est installée dans votre esprit, vous ne voyez rien d’autre que ce que vous pré-«cherchez». L’image du beau moustique qui pourrait compléter votre collection encombre votre lecture des objets qui passent et défilent devant vos yeux. Je vous assure, c’est imparable. Le cerveau fonctionne ainsi. On ne peut identifier un objet que sur la base d’une comparaison avec une référence, et, tous les prospecteurs/collectionneurs (moi aussi) sommes sujets aux mêmes mécanismes d’observation. Il est EXTREMEMENT difficile d’examiner des échantillons d’ambre insectifères -pendant des heures- en faisant l’effort de vider sa mémoire visuelle pour intégrer réellement les apparences étranges qui défilent les unes à la suite des autres. C’est un conseil (fondamental !) si vous souhaitez repérer des objets insolites, il faut vraiment zapper la référence mentale qui encombre votre lecture des formes. Etant daltonien, je pratique l’exercice, et, j’ai un avantage certain et une prédisposition naturelle (réflexe) d’analyser les objets par leurs contours (plus que par leurs couleurs) comme c’est le cas pour une vision normale. Pour avoir jouer à analyser les algorithmes de perception visuelle que nous avons pour dénicher les inclusions de l’ambre (le jeu est simple et consiste à déposer une inclusion importante dans un lot observé par un confrère sans l’informer) je peux vous certifier qu’il est intéressant de discuter avec plusieurs prospecteurs des références qu’ils ont pendant qu’ils observent. C’est en débattant entre confrères passionnés que je me suis rendu compte de l’avantage que constituait l’effacement volontaire (mais difficile) des images qui encombre votre esprit lorsque vous examiner des lots. André Holbecq, le confirmera, à Fossilium, quelquefois 6 à 8 heures durant, j’ai examiné des échantillons au crible de la loupe. Cet exercice (qui consiste évidemment à trouver l’inclusion rare) est tout sauf un exercice passif. Pour voir, repérer l’inclusion étrange, (même sans l’identifier, le nom donné à l’objet viendra plus tard), il faut non seulement être disponible mentalement mais il faut effacer, en quelque sorte, sa mémoire visuelle immédiate. Je ne sais pas si les collectionneurs de minéraux me comprendront, l’idée présentée ici est assez abstraite, mais je vous assure que le principe est essentiel ! C’est pour ce qui paraîtrait un détail, que de nombreuses références posées dans les mains même de spécialistes (certes de la taxonomie, et pas de l’ambre) peuvent parfois passer inaperçues. En compagnie de Thierry Magnier, la photographe naturaliste qui m’a enseigné les rudiments de la macro, nous avons présenté des lots de quinze références à des thésards de l’Université de Lille I (section biologie) et, malgré nos alertes, les inclusions intéressantes (n’étaient pas repérées) car, volontairement nous parlions de GROS et BEAUX moustiques ce qui constitue évidemment l’image mentale qui encombre la bonne lecture des inclusions. J’aimerai beaucoup avoir (et lire vos commentaires sur ce point), jamais évoqué dans aucune publication de l’ambre. Comprenez-vous qu’il soit efficace de vider sa mémoire visuelle pour améliorer sa lecture des inclusions pendant une séance de prospection ? Au plaisir de lire vos commentaires.
  18. Oui, une précision : Oui, un point. J’ai eu l’information concernant les caméléons (oralement) il y a fort longtemps, (dans les années 1990), par des prospecteurs venus à la bourse de fossilium. (Fossilium est une célèbre bourse aux minéraux dans le nord de la France à Villeneuve d’Ascq), une bourse que connaît parfaitement André Holbecq. Les prospecteurs m’avaient certifié avoir trouvé une portion très partielle de «nid» (un support sombre, avec des plumes), malheureusement en très mauvais état... Et, cette mention d’un caméléon (complet, environ 5 cm) dans un matériel apparemment vendu sur site à un conservateur d’un Musée (musée en Hollande). En pleine rédaction de ma monographie (un document de travail, huit volumes, à la base de mon livre référence édité en 2002), j’étais à la recherche de scoops... Et, pour ne pas collecter tout et n’importe quoi, j’ai longtemps mené l’enquête concernant ces mentions animales jamais référencées. Pour les plumes (des plumes imposantes), les prospecteurs disaient vrai ! Bon sang, sous la table, dans des lots réservés ! Que de beaux fossiles (Malheureusement hors de prix)... Il m’aura fallut 20 ans de prospection (avec cette mention en tête), pour effectivement trouver des plumes (sub-fossiles dans un matériel holocène) dans des lots comparables homologues et ce qui enfin peut (pourrait) correspondre à deux mentions de caméléons. Prévoyant (mais prudent), en 2002, j’ai simplement rédigé (le texte, donc pas d’image) le fait qu'il avait été mentionné des références de caméléons dans des résines subfossiles. Ecrire cela (en 2002) constituait déjà un scoop ! Montrer une image huit an plus tard, (une possible 1ère référence) constitue la récompense d’une prospection attentive toujours en marche. Dans les lots que j’étudie (lots homologues au matériel malgache), je n’en dis pas plus, les plumes sont typiques des références connues (photo d’art, déjà présentée dans ce post) et les portions de caméléon (si cela en est) sont différentes d’aspect de celle des lézards fossiles car (mais il n’y a là rein de scientifique) le tégument piégée dans la résine indurée est plus serré, plus dense et apparaît en plusieurs feuillets.
  19. Une jalousie, des ressentiments, des interrogations ? 1, 2 et 3 = ENCORE, encore des jugements persos ? Et, d’ailleurs, qu’en savez vous ? Le Sablais, modérateur sur Géoforum (je crois) n’a-t-il pas explicitement DEJA dans cette conversation (message #48) demandé que l’on évite les jugements, les opinions ? Pourquoi reprenez vous VOS opinions, vos avis, vos appréciations ? Encore une fois CHER VARI, vous interpellez, vous jugez ?! Arrêtez moi si je me trompe, j’ai publié en version papier (livres, magazines et articles) plus de 500 photographies d’inclusions de l’ambre dans la presse. Je ne parle pas de mes séries déposées sur le web (évidemment). Peu de personnes en France ont fait d’avantage. (Combien pour vous ?) Alors, je suis jaloux de qui, pourquoi ? Me concernant, il n’y a aucune compétition ! Surtout PAS !!! Mais, qui a publié plus de 500 photographies en France (de sa collection perso) ? Sinon, encore des jugements à la hâte ?! CHER VARI, vous exprimez vos avis, mais en quoi cela fait-il avancer le dossier des plumes ou autres inclusions ? Pour vous mettre dans la confidence (réconfortante ?), le scorpion colombien, première image de mon gros dernier travail publié (livre), est examiné en ce moment par des équipes suisses. Sisi, j'accorde des pièces, mais, il faut s'accorder ! Bon, veuillez, VARI, s’il vous plait (pour respecter la charte du Forum) comme le souhaitent les modérateurs vous limiter aux FAITS qui concernent ici l’ambre (et plus largement les sciences de la Vie et de la Terre). Pourquoi interprétez vous autre chose que les pièces présentées ? Tient, pour vous faire réagir, en commentant des découvertes, voici sans doute l’une des références à venir : Ne s’agit-il (oh, pardon, ne s’agirait-il pas, parlons au conditionnel !), de la possible et probable première trace mondiale d’un caméléon dans l’ambre (tous gisements mondiaux confondus ?) Oh ! Voilà une belle inclusion. Eh, voilà un scoop qui pourrait peut-être recevoir des commentaires autres que des perceptions, des avis, des sentiments, certes intéressants MAIS, au final TOUJOURS hors sujet. Si la « proto étrange plume » ne vous inspire plus, peut-être, Vari, la première mention mondiale d’une trace de caméléon ? Ah, il vous faut une échelle ? Oui, incrustée dans l’image, c’est cela ? (Rires). Au plaisir de vous lire avec surtout des faits touchant aux résines et aux inclusions (svp). Vos avis, les modérateurs s’en irritent.
  20. Pour faire suite au message #52, en donnant un bel exemple par l’image, [sur le post (géoforum) consacré aux Dermaptères (=perce oreilles)] j’ai déposé (au message#3) une image vraiment efficace qui prouve l’utilité de l’effet d’effacement de la gemme autour de l’inclusion. L’image montre l’abdomen d’un perce oreille dont on peut observer les parties intérieures. Dans certains cas, il est possible d’examiner l’intérieur de l’inclusion. (Oui, je dis bien l’intérieur, comme s’il s’agissait d’une "radiographie")... Mais, ce procédé n’a évidemment pas été possible avec l’inclusion « Poto - étrange - plume » présenté ici, car trop "opaque". Et, en son temps, j’ai imaginé que l’objet « Poto - étrange - plume » pouvait peut-être correspondre à des cerques d’insectes comme ceux justement des perce-oreilles (parfois couverts de soies). Mais, cette hypothèse ne tient pas d’avantage l’expertise que les autres suppositions déjà énoncées. Oui, sinon, étrange ! Plus personne (rigoureusement plus personne) n’est sur Géoforum ? Plus de message ? Plus de commentaire ? Attendons…
  21. Voici l’image faite annoncée le 24 décembre : Comme expliqué (dans le site Géoforum) dans la page qui présente une étrange proto « plume » crétacée dans l’ambre, confer ce lien : un procédé d’effacement de la gemme par le jeu calculé des lumières incidentes permets -sur des ambres bruts- d’aller chercher des illuminations particulièrement fortes, lesquelles, révèlent des détails superbes comme cette aile de perce oreille... Une bonne maîtrise de l’utilisation des lumières sur des échantillons bruts (c'est-à-dire non découpés en lames minces) permet d’observer les inclusions fossiles comme si ces dernières étaient « radiographiées ». En maîtrisant la technique photographique macro de l’ambre, il est parfois possible d’aller chercher (sans la moindre méthode coûteuse) le contenu des inclusions. L’image formidable de ce perce oreille de l’ambre laisse ainsi apparaître les organes internes desséchés ! Les Dermaptères de l’ambre. Faisant écho aux comportements éventuellement grégaires (Engel) imaginé sur l’observation de quatre nymphes synchrones dans un même ambre crétacé, on peut se demander (GEIRNAERT 2000) si la perception chimique n’a pas -dans le passé- joué un rôle proto communautaire assez crucial, guidant peut-être l’évolution du groupe. Et, si tel est le cas, la découverte de progénotes ayant des soies aux cerques est évidemment du plus grand intérêt. Les soies insérées aux cerques sont un indice intéressant d’une possible perception chimique. Dans cette approche d’une focale posée sur les cerques (parfois poilus) des Dermaptères de l’ambre, il serait intéressant de compléter les (rares) séries étudiées avec une comparaison des soies parfois longues situées au niveau des cerques ou, de temps à autre, présentes sous formes des touffes de poils épineux. Plusieurs taxons qui restent ainsi à observer seront évidemment problématiques à classer du fait des critères taxonomiques différents utilisés pour cataloguer les représentants actuels du groupe. Quoi qu’il en soit, présenter des images de Dermaptères ayant des soies aux cerques est toujours une mention intéressante pour discuter plus que la phylogénie des ces insectes connus aujourd’hui pour leurs attentions maternelles très rares dans le monde entomologique...
  22. Oui ce lien est une page de mon site. Sinon, voici concernant le TRES beau bois fossile, deux mentions superbes qui constituent mes découvertes. Les échantillons (originaires d’un gisement que je souhaite garder secret) montrent, -et la chose n’est pas courante- la structure des canaux internes. Les tissus du bois contiennent de l’ambre, piégé fossile. Il ne s’agit donc pas d’un recouvrement ou d’une imprégnation secondaire. Il s’agit donc bien de l’arbre producteur.
  23. COPAL BLEU ! Oui, oui... Varitée unique publiée en 2002. Découverte, Collection, Photos : Eric GEIRNAERT.
  24. AH, BIEN ! Oui, la datation ! C’est l’une des questions que m’a posé Monsieur Goudet journaliste (pour un article à paraître sur les mélanophores). Voir sujet (et message#19) : Pour éviter de tergiverser sur l’affiliation de l’inclusion à tel ou tel gisement (avec des suppositions, des conjectures et des présomptions de fraudes) il suffit de dater les échantillons. Pour donner un crédit à une inclusion, proto-plume, ou proto machin (peut-être déjà plus intéressant qu'une plume), -j’avais d'ailleurs pensé à un organe de ponte-, le C14, ne marche pas. Autre solution : la morphologie observée des coquillages ostracodes et foraminifères, mais il faut avoir les roches encaissantes, et, l’ambre peut voyager d’une strate à l’autre. Reste alors les ratios isotopiques avec ratios de calcul (pour autant que le couple chimique soit dans une série linéaire où la vitesse de transformation des particules reste stable dans le temps, ce qui n’est pas toujours le cas et entraîne de vives polémiques.
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