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Bourse aux minéraux et fossiles de Beauvais les 30 et 31 mars

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Ambre Jaune

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Tout ce qui a été posté par Ambre Jaune

  1. Les vertus des colliers d'ambre pour bébé, avec un peu d'humour c'est de la... C'est de la "chiotte" : http://ambre.jaune.free.fr/Ambre_faux_pouvoir.jpg Oui, LES COLLIERS d'ambre mis au cou des bébés SONT DANGEREUX et PARFOIS MORTELS ! http://ambre.jaune.free.fr/Ambre_collier_duperie.jpg Un résumé, une compilation best-off du sujet et des bêtises de l'ambre : http://laboutiqueajacques.com/Les_vertus_de_l_ambre.pdf
  2. Pour éviter les inclusions contrefaites, type lézard, il faut rechercher les traces originelles fossiles qui FORCEMENT existent toujours et doivent apparaitre sur la dépouille d'un vrai fossile. Il faut rechercher le halo blanc de dégazage qui nimbe l'inclusion: http://ambre.jaune.free.fr/Identifier_les_faux_ambres.jpg Et, pour vérifier que l'ambre (tout le volume) est originel il faut lire la réponse UV. Acheter une pièce d'ambre exposée dans un salon en réalisant une petite expertise pour éviter les faux, c'est simple, lire ici : http://ambre.jaune.free.fr/Les_faux_ambres.htm#faire_un_achat
  3. Oui, c'est incontestablement des objets (d'origine anthropique) sans doute constitués de résines coulées. Pour tester l'objet il faudrait passer le bout de la langue sur la matrice gemme (plastique jaune) et voir si la matière à un goût acre.... C'est souvent le cas des résines de synthèse (plastiques et mélanges). Un test en fluorescence (réponse négative en lumière noire uv) démontrera que la résine n'est pas fossile. Les surfaces peu corrodées semblent indiquer un mélange (polymère). Et les incrustations des chiffres en police carrée "informatique" démontrent l'origine récente de l'objet. Certains transformateurs éclectiques ont des pièces assez ressemblantes avec des composants isolés... Bref, c'est sans doute du matériel électrique d'un gros transformateur. La cargaison "poubelle" d'un bateau, (= humour) mais peut-être aussi des objets à balises internes pour faire des mesures dans la mer... Des expériences dans ce sens existent je crois. Je pense à des sortes de balises "courantomètre" et/ou érosion des sols avec dispositif radar - Doppler...
  4. Bonjour. Si je peux donner mon avis, les pièces présentées par M. penspart semblent authentiques. Et, pour la qualité, (la "transparence" surtout gemme) je dirais que ce matériel est sans doute russe... Oui, cela provient de lots récents proposés à la vente. La pièce exposée par M. penspart avec les nombreux pucerons (message N°4) correspond par exemple à une colonie (un essaim) d'insectes phytophages... Les insectes, installés sous les feuilles, voir ici un spécimen : http://ambre.jaune.free.fr/punaise_ambre.jpg venaient se nourrir sur une plante hôte (riche en sève). Le biotope de la capture de l'essaim est aérien, tandis que la larve du millepatte synchrone est d'avantage au sol. Pour vérifier l'authenticité (outre la lecture des inclusions) le test le plus probant est le contrôle en lumière UV. http://ambre.jaune.free.fr/Amber_UV_light.html Cordialement, Eric G.
  5. C'est pas vraiment des minéraux, mais c'est vraiment bleu. http://ambre.jaune.free.fr/Ambres_bleus_balte_dominicain_malgache.jpg
  6. _akwaba_ a ecrit : "Connaissez vous un lien net, pour avoir des infos actualisées sur les fluorescences / mineraux." Voici un lien concernant l'ambre: http://ambre.jaune.free.fr/Amber_UV_light.html Le sujet est en cours de rédaction.
  7. Voici une image qui présente les minéraux. Ces silicates montre des coulures, des inclusions en surface et des traces d’écorce comparables à celles que l’on peut examiner sur de vrais ambres. Cette référence a de quoi troubler des spécialistes de l’ambre. Je suis assez étonné (moi le premier) par cette découverte.
  8. Et, ce qui est dit est fait. L’article publié par les journalistes est présenté ici : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/paleontologie/d/en-image-des-fossiles-pigmentes-dans-lambre_25662/
  9. Je partage les propos de Lionel-R : « Un mec qui débarque avec de l'ambre fossilisé... eh bien je suis sceptique, mais mon scepticisme n'a jamais résisté à des faits bien documenté voila. Je ne suis pas dogmatique... » Le premier personnage totalement halluciné par la découverte, je vous assure c’est moi. Un ambre, ou un bouillon d’autres composés, plus ou moins ambrionés sont (seraient) sublimés en verre de silice ? ! Bon sang ! Avec des inclusions piégées et partiellement piégées ? Je suis totalement halluciné par la découverte !!!!!!!!!!!!!! Heureusement que c’est moi qui ai observé le machin ! Sinon je me mets à la litho-ambrio- thérapie ! C’est trop gros ! Depuis 30 ans j’observe l’ambre (sous toutes les lumières) et ce silicate est le premier machin à me bouleverser vraiment. D’où mon incompréhension à voir certains à rester indolent, impassibles lorsque l’on ramène la découverte au labo. Je ne parle pas de silicates banals. Je parle de ces machins vraiment étranges qui pourraient s’appeler pélé-machin-ambre. Soyez rassurés, je suis le premier septique (également). Mais avec la publication faite et le tapage graphique et médiatique le personnage indolent les pieds dans ses chaussons, la bière à la main va peut-être devoir se mettre au boulot !!!! Non, il n’y a pas polémique. Il y a volonté tout azimut à progresser dans l’observation des richesses géologiques de la Terre. J’ai apporté un pavé dans la mare, une pierre sur la table du chercheur. Il n’y a pas polémique.
  10. Lionel-R : « Bonjour j'ai trouvé ceci en Martinique (localisation précise, photo du site, cadre géologique). » Oui, c’est gentil ! Merci de m’expliquer comment être sage et comment parler aux scientifiques. Réponse : j’ai encore fait plus simple. Voici mes propos : Bonjour Monsieur. Sur Internet un prospecteur m’a envoyé cette pierre. Qu’en pensez-vous, au moins pour les taches sombres étranges incluses. Réponse du scientifique : rien ! Par contre je venais de travailler trois semaines pour préparer une exposition pendant que Mooooonsieur buvait ses bières chaque matin. Oui, les spécialistes sont occupés à leurs travaux de recherche. Avouons que leurs réponses sont parfois « lapidaires ». La balle n’est pas dans mon camp. J’ai exposé une découverte, voilà tout.
  11. Je reformule pour expliquer ce que j’ai compris : Pour l'instant vous avez trouvé un matériau siliceux dans une zone où j'ai ramassé du jaspe, du granite, des gneiss, des galets d'aluminium, du quartz... enfin bon, tout un monde de petits matériaux connus mais évidemment étrangers à la zone et au processus étudié. 1) Pour l’instant le BUT c'est surtout de savoir ce que c'est, pas de prouver que c'est une archéo-résine "fossile" vitrifiée ou une autre matière. 2) Pour l'instant vous avez trouvé un matériau siliceux… Heu,… Non, pour l'instant j’ai surtout amené aux chercheurs (bien installés les pieds sous la table) des échantillons qu’ils n’ont pas daigné examiner plus attentivement. Cqfd -ce qu’il fallait démontrer- : vous devriez regarder plus attentivement les échantillons siliceux. Pourquoi avoir jeté (et le fait devient récurent) les pièces sur un coin de table en affirmant la banalité ? De mon point de vue : peu importe la nature de la matière à l’origine des échantillons. Il peut y avoir de la silice avec calcédoine, et, éventuellement quelques traces d’oléorésines sublimées et des portions d’un bois transformé, (peut importe le cocktail de genèse du Pélambre, ou pas Pélambre). Dans l’article, j’évoque même la possibilité que les matières originelles puissent être des pollutions industrielles. De mon point de vue, je ne me pose pas trop (à ce stade) la question des composés formant les échantillons. Je regarde. Je regarde seulement ce que j’ai entre les mains. Je regarde, j’observe. C’est SURTOUT la forme des échantillons qui retient mon attention. Comment diable des verres peuvent-ils trouver des conformations synchrones à celles d’échantillons avérés d’ambres fossiles à inclusions ? A mes examens, monsieur Flaugere a évidemment ramassé d’avantage de pierres et m’a surtout envoyé des silicates très normaux puis des géodes. Seuls quelques échantillons méritent une observation, -une lecture attentive des formes-, puis éventuellement une expertise chimique. Outre la conformation des coulées (par recouvrements concentriques verticaux avec effet marqués de la pesanteur) de belles traces enregistrées dans l’épaisseur des matières viennent nimber les verres rappelant les diffusions esthétiques des gemmes d’ambre. Vous m’interpellez en soulignant que le BUT est de savoir ce que c'est. Non, avant de tomber tête piégée dans l’identification des composés, je me pose la question de décrire ce que je vois. Comprenez-vous la nuance, la démarche ? Mon article est une simple description, une présentation. Je pose les vues esthétiques d’une observation. Les spécialistes vont-ils maintenant sortir les pieds de leurs chaussons ? (Humour).
  12. "Je crois vraiment qu'il faudrait une étude scientifique complète et rigoureuse avec un volet géologique et un autre minéralogique". Oui, il faut absolument faire une étude sérieuse, c’est d’ailleurs la conclusion de mon article ! J’ai, avant la publication, présenté les échantillons à un conservateur de musée, juste un peu indolent, ce qui m’a motivé à ne pas lâcher le morceau... Alors, au pied de la montagne Pelée on peut dénicher des verres à inclusions organiques. Concernant évidemment le « Pélambre » le débat est lancé. Se pourrait-il que ce verre né d’un contact volcanique (chaleur intense, forte pression, éruption et nuées ardentes) puisse avoir une origine végétale car contenant des inclusions éventuellement organiques? La question est posée. Remarque, la résine au contact du volcan n’était peut-être pas «totalement» fossile. Mais, le verre final apparaît par coulures concentriques et par recouvrements successifs, avec parfois des inclusions ! Avouez que c’est quand même intéressant. Résumons : Hypothèse 1 : Une résine (à inclusions) sublimée en verre par le volcan. Hypothèse 2 : Un silicate transformé par le volcan en calcédoine, qui, durant son processus de cuisson piègerait des inclusions en prenant toutes les caractéristiques dynamiques des résines (jouant son scénario taphonomique avec les indices parfaitement lisible de la pesanteur, etc.). La simple lecture logique des coulées est un exercice surtout fiable. Pas besoin d’outils sophistiqués. La logique implacable peut parfois suffire aux démonstrations. Hypothèse 1 ou Hypothèse 2. Mais je vois encore certains qui vont polémiquer. Selon moi, trouver un verre à inclusions mimant le piège vertical aérien de l’ambre est troublant. Le sujet consiste maintenant à expliquer le sujet.
  13. Oui, je comprends, je comprends vos deux réponses. En fait, une calcédoine bête et méchante… http://laboutiqueajacques.com/visu_cadre_sans_pub.html?pub_article.jpg Sur cette image, par le lien ci-dessus, à droite du personnage en combinaison, j’ai reposé le sujet qui me préoccupait beaucoup et m’a décidé finalement à écrire l’article. C’est cet échantillon problématique qui selon mes observations est intéressant car il contient des inclusions (d’ont celle-ci partiellement dégagée). Vous devriez mieux chercher sur place et éventuellement reprendre l’observation au moins avec des échantillons à inclusions. Qui selon mes observations, pourraient correspondre à des étranges portions de bois. Je suis content que cet article soit contesté par de nombreuses personnes. La critique est la meilleure lecture qui puisse être, puisqu’elle doit être attentive. La focale est donc posée sur ces verres à inclusions de « bois ». En fait une seule mention suffit, je crois, à produire un scoop. C’est comme le copal bleu malgache. Ce n’est pas forcément courrant. J’ai rédigé cet article à partir de sollicitations web.
  14. PELAMBRE, Extrait de ma publication : http://laboutiqueajacques.com/visu_cadre_sans_pub.html?pub_article.jpg http://laboutiqueajacques.com/visu_cadre_sans_pub.html?ambre_lot_comparaison.jpg Le pélambre est un silicate (un verre) formé à partir d’un ambre carbonné, ambre à inclusions. D’ailleurs une inclusion est conservée ! http://laboutiqueajacques.com/visu_cadre_sans_pub.html?ambre_lot_surprise.jpg
  15. Citation Vari : ok on peut voir la direction de l'écoulement... FAUX ! Justement non ! CQFD :les antennes ne répondent pas AU FLUAGE !!!!! Oui, je comprends l’allusion du hasard. (C'est juste une réponse pour revenir au forum) MAIS, c’est ICI évidemment tout sauf le hasard. Il faut comprendre qu’il y a un comportement la dessous ! LE COMPORTEMENT des insectes fossilisés dans l’ambre existe ! A coté de la taxonomie, il existe DONC le comportement, qui n’est surtout pas une expression du hasard. Ethologie <> Hasard !
  16. Ce qu’il fallait comprendre et expliquer c’est que la position étrange des antennes des papillons fossiles prouve (au moins ici) un comportement de perception (olfactif). Les antennes n’ont surtout pas une position née au fluage hasardeux des résines. Ce point est ignoré de la science qui étudie l’ambre.
  17. Bon voyant l’arrêt du sujet, (depuis exactement deux mois) voici la "solution", l’aboutissement de l’étude des fossiles.... Les insectes analysent les potentialités d’un site à partir d’investigation visuelles mais aussi olfactives en cherchant et en jugeant un bouquet d’informations utiles sur les ressources locales. A coté des abeilles connues depuis longtemps pour juger les situations visuelles, et, étudiées depuis peu, pour leurs perceptions olfactives des odeurs des résines (*) d’autres insectes comme les papillons évaluent surtout les composés volatils pour satisfaire leurs besoins primordiaux. Des micros papillons analysent les gradients d’odeurs dans un biotope en jouant une danse des antennes (surtout longues) dont le mouvement renseigne sur le gradient olfactif qui permet de localiser la source de la ressource ou de l’information malgré le déplacement de l’air. Les insectes arrivent donc (pour certains) volontairement aux arbres pièges. Les abeilles par exemple, mais également des papillons qui venaient se nourrir de champignons dans les fissures de l’écorce des arbres baltes producteurs de résine (E. Geirnanert 2002). Le piège forestier des résines est trop souvent considéré (surtout) des spécialistes comme un attrape mouche collant aux odeurs répulsives. La position des appendices des insectes (les antennes par exemple), les comportements intimes des spécimens ne sont jamais analysés de concert avec les propriétés des oléorésines, c’est dommage. Les travaux (publiés) de l’ambre ne voient que la sacro sainte biométrie des sujets (montés en lames minces) pour décrite la nouvelle espèce qui déjà porte le patronyme -terminé par i- de l’inventeur. Il est regrettable que personne n’ait encore exploité la position fossile des papillons antiques figés dans les résines indurées pour discuter les perceptions antiques des nuages d’insectes qui colonisaient les forêts à cette époque où la Terre ne connaissait pas encore l’homme. (*) Des abeilles sans aiguillons de Bornéo exploitent les bouquets olfactifs des résines et jugent les odeurs des sesquiterpènes pour apprécier la qualité des résines avec laquelle elles construisent leur nid. La résine est alors utilisée pour construire, entretenir et défendre le nid. Les abeilles analyses les proportions relatives de plusieurs terpènes des oléorésines fraîches pour apprécier la qualité des ressources végétales. (Stingless Bees Use Terpenes as Olfactory Cues to Find Resin. S.D. Leonhardt, S. Zeilhofer, N. Blüthgen1, Thomas Schmitt, 2010).
  18. Ressemblant à de vieux tableaux dont les glacis et vernis auraient été abîmés par les outrages du temps, voici le détail A ) d'un copal insectifère craquelé en surface par l’imprégnation malencontreuse de corps gras et B ) un ambre balte, également insectifère, que le propriétaire a malheureusement recouvert d'un vernis polyuréthane en croyant à une hypothétique protection mécanique... Comme expliqué plus haut dans les messages, pour réaliser des petites observations et même des photographies à travers de telles surfaces -déjà abîmées-, il est inutile de décaper les échantillons (surtout avec un polish efface rayure qui détériore encore d’avantage les matières). Une solution simple et efficace peut consister à déposer de l'eau sucrée sur le plan d'observation dont l'effet grâce à un indice de réfraction identique à l'ambre sera de faire disparaître les rayures et brisures nées des mauvais traitement appliqués aux échantillons...
  19. Une nouvelle fois je suis interpellé par un collectionneur vendeur d’ambre qui croit me mettre dans la confidence en m’expliquant ses petits procédés secrets pour nettoyer des échantillons précieux qu’il va vendre à la bourse de Sainte Marie aux mines ! Après avoir nettoyé le brut à l'oxyde d'alumine, certains collectionneurs améliorent l’éclat des résines fossiles en utilisant les pâtes abrasives disponibles dans le commerce pour l’industrie automobile. L’abrasif du produit industriel (polish carrosserie - mirror pour voiture) est capable de polir une surface par frottement. Le résultat est une diminution effective de la profondeur des micro-rayures puis une disparition visuelle complète par le recouvrement de corps gras, (le rendu optique est parfait). Attention ces procédés sont surtout mauvais pour conserver durablement les échantillons fossiles. L’éclat d’une surface, le miroitement artificiel d’une zone nettoyée avec des matières inappropriées n’est surtout pas la garantie d’un lustrage permettant une conservation durable ou la prise d’une photographie nette des éventuelles inclusions ! Dans les autres procédés efficaces (mais mauvais) les solvants offrent également des résultats rapides ! L’acétone peut rapidement faire disparaître des rayures d’un échantillon de copal. Attention, les procédés polish anti-rayures qui rendent éclat et brillance aux surfaces sont souvent néfastes aux résines fossile et sub-fossiles. Oui, les stands vont briller de mille éclats !
  20. Merci de poster vos commentaires sérieux, non polémique et seulement scientifiques...
  21. Les modérateurs en pratiquant leurs effacements expéditifs -sans distinction, sans récupération des arguments- enlèvent des informations importantes. Remettons ces informations : L'inclusion surprenante d'un ambre d'âge aptien, restitue ici des portions d'un épiderme étrange formé de petits kystes réguliers surmontés d'une ouverture circulaire. Cette inclusion pourrait-elle avoir porté des téguments (ici détachés) comme des proto - plumes ? Oui, je vois déjà les spécialistes qui évoqueront les lézards Autarchoglossa dont la peau est parsemée de petites pointes. Mais, non, l'épiderme ici ne semble pas être celui d'un lézard antique pour plusieurs raisons... Alors, est-ce la peau d'un progénote des oiseaux ? L'attribution systématique est discutée en fonction des fossiles homologues de l'ambre (restes squelettiques de vertébrés et également proto-plumes référencées aussi dans l'ambre).
  22. Les proto-plumes existent ailleurs que dans l’ambre français. Trois références existent dans l'ambre turonien du New Jersey (Grimaldi et Case 1995 ; Grimaldi et al. 2000). Plusieurs traces ont été étudiées dans l'ambre aptien d'Álava (Alonso et al. 2000). Une mention de plume existe dans les ambres santoniens canadiens. Une plume est également étudiée dans l'ambre du Japon (Grimaldi et Case 1995). Une référence doit être évidemment mentionnée dans l'ambre albien du Myanmar (Grimaldi et al. 2002). Et, nécessairement, plusieurs syninclusions de plumes, d'une même espèce hôte, sont référencées dans l'ambre du Liban (Schlee, 1973). Aussi bizarre que cela puisse paraître aucun auteur cité n’a osé montrer ce qui pourrait être un support à ces proto plumes. L’inclusion présentée ici sur Géoforum (en exclusivité) a alors un intérêt primordial.
  23. L'image de l'inclusion, présentée en conférence en 1997 et commentée oralement comme portion végétale, (puis aussi vite oubliée de la science par les auteurs) semble être une portion animale. L’inclusion étrange d’un ambre d’âge aptien, restitue des portions d’un épiderme étrange formé de petits kystes réguliers surmontés d’une ouverture circulaire. Cette inclusion pourrait-elle avoir porté des téguments (ici détachés) comme des proto - plumes? Oui, évidemment, certains pensent déjà à des lézards Autarchoglossa dont la peau est parsemée de petites pointes. Mais, non, l’épiderme ici ne semble pas être celui d’un lézard antique pour plusieurs raisons... Alors, est-ce la peau d’un progénote des oiseaux? L’attribution systématique est discutée en fonction des fossiles homologues de l’ambre (restes squelettiques de vertébrés et également proto-plumes référencées aussi dans l’ambre).
  24. Avec Vari, ça vari. Au début c'est NON . Ce n'est PAS une proto plume et, après 20 pages de critiques .../..., c'est OUI. C'est une proto plume ! Le non varie en OUI !
  25. Citation TOUJOURS bien critique de Vari : Le problème reste le point de départ l'indentification du spécimen, sans info géol et sans échelle, cela laisse grande place au hasard Oui, j’aime bien ce genre de citation idiote !!! MERCI ! Réponse 1 Ambre.jaune : Pourquoi Vari, me repprochez vous de travailler sans échelle ? Je pratique pourtant rigoureusement la méthode de travail du DOCTE docteur René Gabriel Jeannel, Directeur du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris (commandeur de la Légion d’honneur !) qui rappelons le, publie ses inclusions de l’ambre en couverture de ses livres de paléontologie sans échelle, sans nom et sans datation ! A voir ici : Moi, ici, avec cette nouvelle mention, au moins, je vous donne la datation !!!!!!! C’est de l’aptien ! C'est marqué dans le corps de l'image. Vari : "encore de l'ambre 3-4 photos de (CENSURE)" Réponse 2 Ambre.jaune : Encore Une fois je prends sur moi pour vous expliquer !!!! Je vous montre (preuve par l’image) que des cellules pigmentaires existent dans l’ambre aptien ! Oui – oui ! Dans l’ambre aptien, depuis certaines découvertes réalisées et présentées en conférence en 1997 !!!! Les pigments de vertébrés conservés dans l’ambre aptien existent depuis des découvertes faites en 1997 ! Ce sont donc des portions d’épidermes très anciens (partiellement colorés) de vertébrés qui auraient, hypothétiquement, pu porté des téguments rigides comme des sortes de proto-plumes ! Cette image, c'est juste une photo de (CENSURE), mais d'un TRUC SUPER IMPORTANT ! Et, pour répondre définitivement et fermement à Vari (qui souhaitait faire des publications en dessous de table), cher VARI pour avoir la légende, le nom du propriétaire, une échelle, il faut évidemment aller sonner à la grande institution !!!! Car cette inclusion (oubliée de tous), est entreposée dans les tiroirs d’une petite salle perdue, dans l’ignorance la plus totale ! Je suis surpris, que personne n’ait encore utilisé ce fossile pour publier un sujet sympa. Cette référence n’est pas une pièce de ma collection. Mais, VARI me lance toutes les critiques... Cher Vari, je remets à la lumière ce fossile, pour, expliquer que des épidermes ayants possiblement porté des téguments (genre proto plumes ou autre) existent dans les collections (au moins) institutionnelles !!!! Et personne ne le sait !!!! Oui, il faut savoir lire les fossiles de l’ambre ! OUI, j’affirme qu’il faut savoir lire les fossiles !!!!! Même sans échelles !!!! Vari a-t-il compris ? Vari va-t-il demander à Gaël de Ploeg de retrouver le fossile ? Je rigole ! Pourquoi diable les scientifiques ont ils réalisé cette image sans échelle ! Quelle honte ! (surtout pour eux!)
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