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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2024, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 26>30 juin 2024

Ambre Jaune

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Tout ce qui a été posté par Ambre Jaune

  1. Je souhaite répondre aux messages nombreux (pas toujours amicaux) de ceux qui s’interrogent sur la finalité d’une telle ténacité à discuter une inclusion. L’objectif de discuter une plume n’est pas la recherche de notoriété ou le lustrage de l’ego, pour reprendre les arguments. Non. La redondance d’observations banales d’inclusions conventionnelles (des petits moustiques, des belles mouches) n’est, je crois, pas le moyen le plus efficace d’espérer de grandes découvertes. Je m’explique. C’est en explorant les frontières inconnues, c’est en focalisant l’interprétation sur les inclusions étranges que l’on peut parfois ouvrir un pan de la connaissance. Souhaitant éviter la digression préjudiciable à la lecture du sujet, je donne, quand même, un exemple qui situera l’enjeu de l’exercice. Entre 1996 et 2000 des discussions (orales, par courrier et e-mail) ont sondé des inclusions noires étranges en forme d’étoiles. Les questions étaient toujours les mêmes. Est-ce animal ? Est-ce végétal ? Est-ce d’ailleurs même une inclusion organique plutôt qu’un artéfact, créé, par des polluants exogènes ? Lorsque certains ont définitivement opté pour l’artefact, d’autres ont, de façon dogmatique, affirmé l’origine botanique, alors que l’inclusion animale était constituait par des pigmentaires de vertébrés. Outre l’interprétation donnée, c’est vraiment le cheminement de la pensée qui est enrichissant. Et, suivant le développement des réponses, on comprend pourquoi certains s’empêtrent dans des hypothèses tandis que d’autres plus intuitifs découvrent l’interprétation déjà moins théorique et sans doute plus juste. En 2002, refusant l’idée de l’artefact ou de la portion végétale, j’ai écris (juin 2002, fig. 245) que les étranges écailles animales pouvaient être trouvées à maintes reprises. Et, ce sont juste des portions d’épidermes de vertébrés contenant des cellules pigmentaires !!! A cette époque, certains chez les spécialistes ne comprenaient pas la ténacité à discuter l’origine de petites tâches étoilées dans la résine. Aujourd’hui preuve est faite, la propension à préférer la facilité ferme les portes les plus intéressantes. Il y a dix ans, les scientifiques ont tergiversé longtemps sur les premiers pigments animaux sans les voir ! L’image est évidemment présentée sur Géoforum ! Voir ici : Aujourd’hui, cette inclusion crétacée (une étrange plume) est d’un potentiel comparable. L’idée consiste à interpréter le fossile, juste le fossile, rien d’autre.
  2. Oui, on "pinaille". Pour moi, c'est une "plume", et j'attends la contre expertise. Je ne peux pas quand même venir sans interprétation. Sauf expertise ou argument contraire, l'inclusion, pour moi, est proto-étrange-plume. Sinon, libre à vous de me démontrer mon erreur. Le titre que je donne à l'image résume à 99 % mon idée.
  3. Quels sont les indices qui finalement vous permettent de croire que l’inclusion soit animale, (étrangeo- plume) plutôt que végétale? Des inclusions végétales pourraient théoriquement être envisageables ? Oui, à vrai dire l’interprétation est ouverte. On peut se poser la question pour toutes les inclusions étranges. Lorsque l’on trouve une griffe, par exemple, tant que l’objet «griffe» n’est pas connecté à un animal effectivement reconnu, l’objet "pointe courbe" reste abstrait. La portion piégée dans la résine, ici, ressemble à des stades intermédiaires de plumes très anciennes. Mais l’objet n’est cependant pas situé sur une série logique connue. Seuls des indices fossiles (surtout présents sur les ambres baltes) peuvent parfois, je dis bien parfois, permettre de cataloguer les inclusions animales des inclusions végétales, (lignes de brisures conchoïdales, halo blanc de dégazage). Pour dire les choses brièvement sans digression, disons que ce sont surtout les inclusions animales qui marquent d’avantage les résines. La texture chitineuse semble assez stable au chimisme des résines et l’inclusion, si elle est en chitine, pourrait alors être animale. Mais, ici de toutes les façons, la résine est crétacée, et, les dits indices manquent. A ce stade, seule la morphologie peut guider l’interprétation. L’inclusion apparemment chitineuse semble, quand même, selon moi pouvoir être du type animal, d’où le titre que je donne à l’image. En creusant un peu et (votre réponse est donc fondée) peu de gens (ou encore personne) n’est capable de décrire l’organisme hôte. Est-ce que cette inclusion peut déplumer la théorie des plumes ? = humour. Et, si ce n’est pas le cas, alors à quoi correspond cette inclusion ? Au risque d’insister, c’est encore une inclusion extrêmement intéressante, car son expertise n’est pas réglée en deux lignes sur un coin de table comme celle d’un beau petit moustique.
  4. Il est tres difficile d'attribuer une sorte de duvet à un dinosaure. OUI ! D'ailleurs voici une référence qui pose un BIG problème ! Pour relancer un peu le sujet des plumes de l’ambre (malheureusement fermé sur un autre post du forum), j’ai, cet après midi, composé un récapitulatif très incomplet du sujet, qui développé, amène finalement à inspecter des objets crétacés. L’inclusion crétacée ainsi découverte, et inconnue de la science, est surtout TRES surprenante car elle ne rentre dans aucun référant logique. Lorsque certains vous pondent des théories bien ficelées, présentons cette inclusion qui déplume (c’est un jeu de mot) un peu la théorie. http://ambre.jaune.free.fr/page_plume_ambre.html Cette inclusion, s’il s’avère que c’était une plume crétacée, devrait se situer sur un nouveau phylum...
  5. Mes réponses qui sont des apartés à l’exposé (et nuisent à la bonne lecture et à la compréhension du sujet) sont des réponses rigoureuses et argumentées aux attaques en sous marins de ces personnes qui débroussaillent la concurrence pour préparer leurs publications au label de la grande institution. L’un d’eux est d’ailleurs épinglé justement par ces divagations. Alors pas si divagations que cela ! Par contre les injures, ne sont fondées sur rien ! Next50MY : les états d'ames et autres on s'en Br... Oui, MAIS PAS LE PIRATAGE !
  6. Next50MY : Maintenant je commence à comprendre l'intérêt de la photographie haute qualité. EN EFFET ce qui serait pas mal ce serait d'épurer ces sujets de toutes les divagations pour clarifier. Oui, épurer les divagations, les jugements à l’emporte pièce et les critiques gratuites. Ce message me fait plaisir car il est rédigé par le détracteur le plus pugnace dans la morsure gratuite , OUI rappelez-vous : 1 C'est impressionnant à quel point on peut écrire sur un seul sujet. 2 Si je t'ai bien compris Eric la seule chose que tu souhaites est de passer à la postérité ? 3 Une question, tu souhaites te faire conserver dans l'ambre plus tard ? 4 Eric Machin, tu corrèles des choses incorrelables, donc si tu parviens a trouver des pigeons admirateurs pour acheter ton bouquin tant mieux, ... 5 par ailleurs tu t'es fait une spécialité a déformer les propos de tes interlocuteurs Ici, j’ai utilisé le « copier coller » ! C'est impressionnant à quel point la critique fait volte face ! NOTE : Si ce message est modifié d’un seul caractère, par les modérateurs, j’arrête mes présentations et je rédige comme certains.
  7. A kesque "j-m-bien" ds l’ambe, c Que c boo ! Les plumes de l’ambre, y pas + TOP ! ambre-jaune : il "est-crit" tout bizar... = houmor
  8. Sinon, concernant les plumes de l’ambre, je poursuis. Ce qui m’a surtout intéressé (guidé) depuis les premières inspections passionnées ce sont les couleurs. Je m’explique. Depuis les travaux anciens, surtout ceux des années 1950, des auteurs de renom, et ils avaient sans doute raison, affirmaient que les portions de plumes antiques, roulées par le fluage de la résine collante, (on parle ici seulement du matériel balte) n’étaient pas exploitables pour une identification d’espèce. A cette époque où l’étude de l’ambre explorait tout (refusant la course à la publication sponsorisée) l’interprétation des plumes de l’ambre se limitaient (on travaille alors en optique traditionnelle) à la phrase : « C’est une plue d’oiseau ! Mais quel oiseau ? » « C’est un duvet d’oiseau. Entendu, mais de quel oiseau ? » Plume et duvet, comme inclusions de l’ambre, sont longtemps restés les élèves réfractaires bien indisciplinés des taxonomistes de l’ambre. Tandis que les entomologistes affinaient leurs inventaires par étages et par biotopes, dessinant déjà mieux la biosphère d’ambre, les ornithologues imaginaient le potentiel de connaissances qu’ils auraient eu s’il leur était possible d’identifier les plumes... Certains américains -très spécialistes- ont tenté à partir des plumes notamment originaires de la République dominicaine. (Collection de l’institut Smithsonian) de raconter la forêt d’ambre qui hébergeaient forcément des oiseaux. Entendait-on les chants des oiseaux dans la forêt d’ambre ? Et d’ailleurs dans quelle forêt d’ambre ? Les rêves des paléo ornithologues ont été alimentés surtout par le matériel colombien et dominicain. Ah ! Les jolies plumes ! Les auteurs de la grande époque qui ne travaillent eux que sur le matériel balte, s’étaient imaginé qu’en collectant suffisamment de références il serait loisible (possible ?) de résoudre les difficultés d’identification des plumes. Le plus éminents d’entre eux (je ne donne pas de nom pour éviter la polémique) a ainsi décrit 18 inclusions de plumes d’oiseaux déposée à Berlin, Königsberg (Kaliningrad) et Gdansk : «Certaines donnent l’impression d’avoir été soufflées sur la résine par le vent, collées puis recouvertes par l’écoulement suivant. Ce sont des plumes tectrices et une plume de duvet d’une beauté miraculeuse. Cependant, la plupart semblent indiquer que l’oiseau s’est heurté à la résine, puis violemment libéré. Les barbes et les barbules ont été dérangés et, dans certains cas, ce sont de deux à quatre plumes qui ont été arrachées avec leur rachis et dont les barbes ont été tirées brutalement dans une même direction.» Je suis très heureux de lire ce texte ancien (évidemment traduit) car, ici, l’esprit de l’observateur contemplatif interprète la taphonomie qui consiste à lire la position de l’inclusion par rapport au fluage, ce qui, dans une logique implacable permet de faire des démonstrations merveilleuses d’enseignements. Jusqu’à récemment, les spécialistes débitaient les inclusions, même celles de plumes, pour mieux atteindre les structures morphologiques utiles à la description taxonomiques perdant, avec l’ambre enlevé par la découpe, toute lecture de la scène taphonomique. Aujourd’hui avec le synchrotron on ne parle toujours pas de taphonomie. Les observations des plumes de l’ambre par le synchrotron, (fonctionnel depuis 1994), consistent à générer des faisceaux de lumière dix mille milliards de fois plus intenses que les rayons X des instruments de radiographie classique, comme le scanner médical, pour sonder les détails des structures incluses dans l’ambre. Et, ce qui m’émerveille (oh merveille ! ) c’est que les observations se sont encore améliorées en constatant que les échantillons d’ambre plongés dans un liquide donnaient de meilleures représentations. Outre la très légère diffraction optique, l'eau permet (je l’ai expliqué au forum) voir ici : de niveler les déformations des surfaces, gommer les imperfections en réduisant les fissures de surface qui perturbent la trajectoire des lumières. Ce qui est remarqué avec le synchrotron (et pratiqué depuis des années par certains photographes passionnés) peut être adopté sans aucun frais en optique traditionnelle ! Démonstration est faite, les résultats sont esthétiques ! L’utilisation de l’eau permet de faire de belles images macro des inclusions de plumes !!!! Alors, voilà. Durant de longues périodes les chercheurs ont tergiversé sur les plumes de l’ambre. Si certains (et ils ne sont pas français) savaient exploiter la lecture taphonomique cette « option » est bâclée par ceux aujourd’hui qui publient sous le dogme de la haute autorité. Et, au final, montées ou pas en lames minces, les plumes conservées dans les collections institutionnelles sont restées longtemps assez muettes. Alors, compulsant l’ensemble des travaux publiés pour comprendre la matière et voir quels pouvaient être le potentiel des sujets ignorés, (monographie), je me suis finalement orienté vers la couleur. La couleur des plumes fonctionne par plusieurs mécanismes. Mais, problème, je suis daltonien ! Aussi, même si des plumes par diffraction dans la résine produisaient leurs couleurs iridescentes, il n’est t même pas certains que je puisse les discerner ! Bon sang ! Les plumes de l’ambre ennuient-elles donc tous les spécialistes de l’ambre ? Au final, lancé sur la piste des couleurs sans les résultats attendus, je me suis mis dans l’idée d’extraire les plumes de certains matériels, et, vous savez quoi ? J’ai eu quelques résultats, à déconseiller aux cardiaques tant l’émotion forte peut emballer le cœur ! Le dessin du momotus d’après Perrins, 1990 publié en 1992 m’a vraiment bouleversé. Les plumes peuvent raconter une histoire, il suffit juste d’aller la chercher. Voici des extractions de plumes, dont certaines ont été publiées (E.G. 2002), dans un travail de découverte qui frise l’émerveillement hallucinatoire ! Je veux bien que ceux qui travaillent aux os de dinosaures nous racontent leur passion (et quelle passion), mais (mon avis est surtout PARTIAL) ceux qui savent explorer la gemme d’ambre, motivé par la seule fibre contemplative, sont vraiment aux portes du paradis ! Une gemme d’ambre est beaucoup plus qu’un amas d’os (tout morts, =humour !) Une gemme de résine est une fenêtre ouverte sur un paysage extrêmement riche en indices merveilleux ! Ces paysages de gemmes ont été survolés par les oiseaux, y perdant parfois un peu plus que leur duvet... Les oiseaux des genres actuels ne vivaient sans doute pas à l’Eocène (40-65 M.A.). Les premiers sont apparus au Miocène. Il semble (même si des travaux prometteurs débutent) très difficile de déterminer avec certitude les oiseaux sur la base de quelques portions de plumes. Alors, les inclusions datées de 40 à 65 millions d’années dont font partie celles de l’ambre balte, ne peuvent qu’intriguer les paléo ornithologues... Alors que dire des traces crétacées !
  9. Les références connues des plumes dans l’ambre crétacé des Charente-Maritime sont toutes des inclusions, qui, au premier coup d’œil, sont originales, car peu fournies. Les plumes incluses dans l’écrin de résine, très aérées, sont composées d'un rachis filiforme fin auquel s'attachent de simples barbes espacées. Les barbes sont filamenteuses, longues, souples et sans barbule. Les plumes sont alors très light, ("déplumées", pourrait-on dire, pour faire un mauvais jeu de mot). Excepté le rachis, qui ici est large, la similitude d’organisation est très troublante. Le rachis qui porte des barbes (sans barbules) à de quoi surprendre l’observateur même attentif. Peu de plumes sont faites d’un rachis qui ne porte que des barbes, celles par exemple de Sinornithosaurus (le dinosaure à plumes chinois décrit en 1999). Ici, pour l’inclusion crétacée discutée, les barbes semblent apparemment rigides... Alors, poursuivons l’enquête.
  10. Pour les images supplémentaires, j’ai une vingtaine de plumes à disposition mais évidemment rien d’homologue à comparer à celle crétacée discutée ici. Les sujets les plus expressifs sont des portions extraites, et, d’autres encore figées dans la gemme subfossile. Sinon pour Longisquama, je l’ai incrusté dans l’infographie car il a été évoqué, composant juste un visuel pour fixer les idées. Nous ne sommes pas au labo, nous sommes au forum, et, ce n’est qu’un moyen, je crois, agréable d’animer la conversation autre que celui qui consiste à poster des jugements, des critiques (ou des insultes, déjà effacées par les modérateurs).
  11. Je reformule la dernière réponse très intéressante de Vari et propose un visuel pour recentrer le sujet : Vari : Veuillez, m’excuser, mais, je suis obligé d’intervenir en précisant qu’il serait très étonnant que l’inclusion crétacée de l’ambre puisse être la signature d'Archaeoptéryx, A, tout simplement, par le décalage important des époques géologiques. L’ambre Cénomanien charentais, (crétacé supérieur, 93.5 - 99.6 M.A.) présenté ici, -si le gîte de découverte est confirmé par le propriétaire- est au moins 50 M.A. plus récent que l’époque de vie des Archaeoptéryx. Oui, merci pour le rappel à propos de Longisquama D dont Alain Bénéteau a fait surtout de belles illustrations, rappelons-le. Sinon, pour suivre et guider surtout la pensée d’ambre-jaune : tous les organes du vivant n'ont par forcement d'utilité ni de fonction, (confer la théorie synthétique de l'évolution). Attention donc à l’écueil de vouloir expliquer les structures d’un organe ou d’un tégument ! L’hypothèse de la plume reste encore la plus "probable" et il faut surtout porter la focale sur les potentialités du site charentais pour situer (si cela est possible) le fossile dans une série référencée cohérente. Je vais essayer de retrouver les photos des plumes de l'ambre charentais B. En général B la plume est composée du calamus puis du rachis qui soutient l'ensemble des barbes. Ces barbes sont les premiers stades ontogéniques de "la plume", proto-plumes ou autre, ensuite viennent les barbules de deux types, à crochets ou à sillons qui permettent l’imperméabilité... Bref, à priori pour l’inclusion présentée ici, on ne dépasse pas le stade de la barbe soit un caractère relativement primitif. Il faudrait absolument comparer cette mention avec d'autres références plumes homologues du cénomanien... Je poursuis mes recherches également sur les "poils" C de certains psitacosaurus et autre ornitischiens qui, pour l’instant, constituent une simple piste d’exploration. (Rédaction reformulée par A.J d’après les propos de Vari) J'espère ne pas avoir trop déformé la pensée de Vari, (je peux de toutes les façons corriger) mais une récap visuelle de ce genre, permet, je crois, de mieux suivre le sujet.
  12. Oui, attention : quand m'aime alors tôt grapfe. humour. Ce qui m’étonne et ma fais plaisir, c’est qu’après avoir refusé mes services (évidemment gratuits et désintéressés) pour faire un site web, GdP, se décide à alimenter géowiki. Mais, c’est une bonne chose, On d'intéresse aux technologies de l'information, c'est bien. Pour rappel : j’avais émis l’idée d’imaginer la mise ne place (gracieuse) d’une passerelle collégiale sur laquelle, outre les plus belles inclusions rares et étonnantes de l’ambre, il aurait été possible de fédérer des travaux (passionnés et passionnants) pour retrouver les bases d’Internet, à savoir, relier les équipes pluridisciplinaires dans un domaine, ici l’étude de l’ambre. Mais, ok, va pour géowiki. Si vous souhaitiez des images ou des belles infographies pour alimenter les sujets de Géowiki, (à moins que gaël les ne les propose) je peux vous en préparer quelques-unes...
  13. Bonjour monsieur. Bon sang ! Soyez remercié ! Voilà, nous sommes au message N°197 et, enfin des informations concernant l’interprétation factuelle de l’inclusion que je réaffiche, volontiers, ci-dessous : Oui, ce qui me surprend énormément dans l’inclusion que j’ai photographié en 1999, c’est l’apparente structure du rachis, plein vers l’arrière, mais, finalement creux vers l’avant ! (Un organe dual ? ). Comme une pneumatisation des « os » ou des structures, c’est ce que vous dites ? Oui pour moi j’ai visuellement l’illusion d’une sorte de coupe papier (double biseau) dont l’axe serait à la fois rigide mais vide, comme ayant une fonction. J’avais alors pensé à un organe de ponte, pouvant se planter dans le sol et agir comme une pompe par insufflation d’air. Planté dans les sédiment, l’organe se gonfle pour élargir le sol, puis par dégonflement peut s’enfoncer d’avantage avant de reproduire un nouveau gonflement. L’organe qui gonfle puis se rétracte est utilisé chez les diptères pour pénétrer le sol sur des profondeurs qui peuvent dépasser le mètre. Mais les poils, ici, apparemment rigides n’auraient pas d’utilité. Bref, je n’ai pas de comparaison -référent même approchant- dans le registre des structures entomologiques, et, à force de chercher, je délaisse progressivement le domaine des arthropodes. Monsieur, merci beaucoup, beaucoup ! Pour votre message !
  14. Une fois de plus les modérateurs retirent mes réponses mais laissent les critiques, ce qui au final déséquilibre la compréhension. Alors répondons une nouvelle fois de façon sage : Certains, sur le site, me trouvent pinailleur, -querelleur presque-, mais, ceux qui souhaitent une co-publication, une vraie co-publication, une infographie sur l’ambre et/ou de belles images gratuites (de très belles images !) pour des publications peuvent les obtenir : gratuitement. Il suffit de vous exprimer, clairement sans surprise, sans passage en force, sans manipulation. Tout vol, toute influence illicite amène des surprises. Ceux au forum qui me testent (en messages privé), ne font que dégrader les présentations qui, je suis le premier à en convenir, frisent parfois le délire paranoïaque. N’ayant rien à vendre, j’accorde, à qui le souhaite, un travail original que j’ai souhaité surtout artistique. Je rejoins les propos de Thanet, toutes manipulations pré-presse pour améliorer un sujet de façon frauduleuse en aspirant des matières textuelles, techniques ou même iconographies risque de vous surprendre !
  15. L'humour il faudait le donner à ceux qui, justement, sont les scientifiques qui travaillent aux ambres français et jouent de mille astuces pour noyer le poisson ! Bon, je change une nouvelle fois la rédaction car les modérateurs effacent des passages tronquant ainsi les idées. Disons que les grands humoristes sont ceux qui jouent en cachette, derrière un masque. J'espère que cette tournure sera validée par les modérateurs.
  16. Message très utile ! Les plumes du momotus évoquées dans mon message sont une mention très sérieuse publiée dans l’excellent livre Les fantômes de l’ambre 1992. Mais, si après les digressions, les agressions, se mêlent maintenant les messages humoristiques, je sujet risque encore, .../... de perdre en qualité.
  17. Oh, PARDON ! Toujours dans les commentaires très très utiles, je vois. Mais, Ok, j'ai rétiré les grands caractères au message #37. Vos arguments à opposer sont pas très "ambres", mais bon. C'est comme cela. Sinon, sur la cartes, les caractères sont écrits plus peits, cela convient à Monsieur ? Les grands caractères, c’est fait, comme les cartes, pour passer des messages.
  18. En parlant de l’ambre français, Il se pourrait (nous parlons au conditionnel) qu’une publication sur les insectes du matériel de Charente (Fouras) soit en préparation. Je suis sollicité par des spécialistes pour mettre la focale sur ce matériel superbe, véritable trésor national. Attendons la suite.
  19. OUF = Rassuré d’avoir ses cristaux exclusifs (que nous n’auront pas en image), notre petit gaël s’en va ? Encore, un de moins ?! Ou, ce qui reviens au même, encore un de plus usé par le grand nettoyage et les commentaires tout azimut des pièces ? Bon sang ! C’est portant vous qui avez lancés à plusieurs les digressions. Salut Gaël, à bientôt sur d’autres rivages. Et, si nous revenions aux plumes de l’ambre. Dans le livre qui accompagnait l’exposition du musée d’histoire naturelle de Neuchatel, Les fantômes de l’ambre, de Ewa Krzeminska et Wieslaw Krzeminski, Jean-Paul Haenni et Christophe Dufour 1992 ont évoqué que des plumes de la queue d’un oiseau nommé Momotus (voir ci-dessous) auraient été retrouvées dans le matériel de la Baltique. Et, les plumes présentée sur l’oiseau déssiné en noir et blanc sont surtout intéressantes car le rachis est nu excepté à sa partie terminale formant alors une sorte de petit drapeau. Ces plumes ressemblent à celles de la queue du Loddigésie admirable. Et, une inspection de rachis étrange de l’inclusion crétacée -déjà commentée plus haut- pourrait être intéressante avec les plumes type Momotus- Loddigésie pour noter si les rachis sont mal plumés (ou déplumés, =humour) de la même façon. Voici l'inclusion crétacée à côté du momotus balte : Enfin, nous sommes revenus aux plumes et proto-plumes de l’ambre.
  20. Oui, une précision encore importante : L’image que j’évoque (E.G. publiée en 2002) de ces cristaux qui se développent dans la gemme d’ambre en traversant la résine où les houppes de cristallites modifient le fluage est VRAIMENT exceptionnelle, car, j’ai oublié de la préciser que le minéral s’est développé sur un insecte ! C’est juste un peu plus rare (et esthétique) qu’un minéral isolé dans l’ambre... Pour mes publications 2002, j’ai surtout cherché (parmi mes 5.000 diapositives à disposition) les raretés !
  21. Je reprends pour les esprits peu rigoureux Ambre-Jaune : "J’ai, le premier (mais il faudrait vérifier) montré que des cristaux (des vrais minéraux) pouvaient naître dans la gemme d’ambre durant le processus de fossilisation. Et, chose superbe, les cristallites durant leur croissance traverse et modifient le fluage !!!!!!!!!!!! » Je dis bien : « traverse et modifient le fluage » Les nombreux points d’exclamation veulent insister sur le fait que les cristaux déforment le fluage de la résine. Je répète : LES CRISTAUX déforment le fluage de la résine, ce qui suggère (et démontre finalement) que la cristallisation est légèrement retardée. Pour des cristaux dans l’ambre, évidemment, on peut en trouver de beaux, des moches, des colorés, (calcite, pyrite, on peut VOIR comme tu dis en photographier : publication E.G. 2002). Mais pour être connus des Internautes, encore faut-il, qu’ils soient présentés dans des documents web accessibles (bien référencés sur Internet). Et, sauf erreur sur vos sites Internet respectifs, section Ambre, rubrique Cristaux (qui n’existent pas ?) je n’ai rien vu. Et, attention, jele redis, je parle SURTOUT de minéraux particuliers ! Un exemple : les deux images ci-dessous, sont des cristaux types, qui, trop petits ne déforment pas le fluage et, n’ont donc pas d’utilité dans la démonstration de la possible colonisation retardé d’éléments (minéraux ou vivants) dans la gemme fluide avant induration. Mais, gaël, rassure moi tu évoques bien (également !) des cristaux qui déforment (visiblement) le fluage ! Les cristaux qui, lors de leur progression, traversent les coulées et les déforment (les cristaux qui courbent la résine) sont rares ! J’espère Gaël que nous parlons des mêmes cristaux ! Sinon, une fois encore… En résumé, (pour La Sablais) : la colonisation de la gemme tendre (résineuse) avant induration peut se faire par des organismes vivants et également des éléments minéraux. Dans les deux cas, les preuves par l’image doivent RIGOUREUSEMENT démonter la croissance retardée. Je l’ai dis dans un message précédant ! Présence dans la gemme ne signifie surtout pas démonstration !!! Les cristaux qui démontrent le développement retardé sont rares, très rares, mais ils existent et peuvent être accessibles à chacun.
  22. Oui les résines anciennes sont différentes. L'inverse serait étrange ! Mais pour s’en convaincre il faudrait peut-être arrêter de focaliser les examens scientifiques sur la biométrie détaillée des insectes notamment pour annoncer la nouvelle espèce qui porte le i terminal de l’inventeur. Oui les résines anciennes sont différentes et peuvent expliquer autrement que par le fluage l’imprégnation profonde d’organismes dépourvus de force physique (et parfois de mouvement). L’écoulement vertical ou même par les racines n’explique pas tout ! Pour étudier les résines et leurs propriétés, il faut au moins considérer les gemmes (même celles vierges d’insectes). Et, dans le domaine, j’ai fais une invention extra permettant d’atteindre des indices fantômes (connus dans l’idées téhorique par des scientifiques) mais, à vrai dire, jamais photographiés dans le détail. L’invention est évoquée ici : http://laboutiqueajacques.com/Les_plus_belles_images_AMBRE.html
  23. Citation Le sablais, le 17 février 2011 - 23:05, Le sablais dit : « Sans chercher la polémique, j'arrive pas à accepter ton raisonnement ! Il faut dire que je suis un scientifique de formation ! Tu trouves un échantillon avec d'après toi des moisissures ! Là, je suis OK, c'est possible, mais tu émets l'hypothèse que ces moisissures se seraient formés après l'enrobement dans la résine ! Et comme évidemment ca semble invraisemblable, alors tu émets une autre hypothèse : … » NON !!!! Surtout pas ! Je n’émets pas d’autre hypothèse !!!!! Peut importe même le support ! Peut importe la résine (ancienne ou contemporaine) ! C’est la lecture taphonomique d’un évènement qui, traversant les coulées, indépendamment du fluage, démontre que la progression est retardée !!!!! Tenez, un exemple, tirez dons une balle de fusil dans un bloc de savon (comme dans les labos de balistiques). On comprends assez bien que le cratère et la galerie on été développés après la construction du bloc de savon ! J’ai, le premier (mais il faudrait vérifier) montré que des cristaux (des vrais minéraux) pouvaient naître dans la gemme d’ambre durant le processus de fossilisation. Et, chose superbe, les cristallites durant leur croissance traverse et modifient le fluage !!!!!!!!!!!! Les organismes vivant peuvent aussi progresser dans la gemme (partiellement) figée. Et, si j’utilise des hypothèses -dans ma première rédaction-, c’est que je réponds à Gaël pour ses notion d’actualisme. La preuve que je soutient (par démonstration) est essentiellement basée sur la lecture des données taphonomiques qui ne répondent qu’à la logiques des forces de la pesanteur (elles, identiques dans le temps). Le fossile en l’état (peut importe les propriétés antiques des résines ancestrales et/ou actuelles), le fossile, je disais se suffit à lui-même pour révéler que le fluage est parfois traversé par des organismes ici vivant (et parfois minéraux, sous forme de cristaux). SOYONS très PRECIS ! Ma démonstration ne transpose SURTOUT pas une hypothèse par une autre. Ma démonstration se base sur la logique des effets marqués de la pesanteur sur un fossile, indépendamment des notions physiologiques des espèces végétales !!! Et, pour les "AMBRIO-critiques", je peux évidemment donner un complément (image et texte) pour affirmer la nature vivante de l’organisme. Aucun problème ! Mais, Le-Sablais, n’allez pas affirmer que ma démonstration est infondée, ou mal tenue. Note :J’ai gagné le concours du Magazine scientifique la Recherche où le jeu consistait à exploiter les indices du fluage pour démonter des évènements dans un scénario probable. Ici, un seul indice examiné, et, une seule interprétation : le machin en fils tout "bizard" s’est développé après le mouvement des coulées. C’est imparable ! Ai-je été assez clair ? On peut développer d’avantage ! Aucun problème.
  24. OUI! L'ambre colle vraiment les bêtises ! Et, ceci dit, je reconnais, à André Holbecq, je vous le jure (sans humour), une qualité de rédaction qui est d’ailleurs à l’origine de mon travail passionné sur l’ambre. Cher André, parle nous encore de la litho-adolatrie des pierres, qu’elles soient minérales ou d’énergie ! On boit tes paroles ! Signé, Eric, ton Ambryon d’élève !
  25. Le sablais, concernant votre critique (assez légère, car, peu argumentée, fondée sur les faits) concernant la colonisation de l’ambre par des espèces vivantes, citation Le sablais : « Pour moi pas de preuve ; juste une photo qu'on interprète ». La découverte d’une inclusion dont la croissance est rayonnante (sur une dépouille animale déjà roulée par le fluage) constitue (je crois) une attestation IRREFULABLE d’un développement retardé. Des organismes vivants ont colonisé, l’ambre. Des publications allemandes confirment les faits. Et, Gaël de P. confirme l’orientation extrêmement intéressante de cette piste d’étude (présentée au message 144). Mais, Le sablais, vous n’avez toujours pas répondu à la question qui consiste à caractériser UNE PREUVE, la preuve. Qu’est donc une preuve pour une étude des inclusions de l’ambre ? Ensuite je vous commente les propriétés des gemmes, comme indiqué depuis longtemps.
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