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  1. La preuve, en images, avec le huitième échantillon. Nous sommes ici en été devant un bras secondaire de le Loire. Durant l'automne, l'hiver, et le printemps précédents, ce bras était en eau et la Loire y coulait. Puis, la belle saison arrivant, le niveau de la Loire a baissé et ce bras s'est transformé en mare au fond de laquelle des algues ont proliféré sur les galets. Le niveau de la Loire continuant de baisser, la mare s'est totalement asséchée. Le soleil a alors blanchi les algues à la surface des galets ; c'est ce qui leur donne cet aspect velu. L'échantillon N°8 ramené à la maison. Puis après décrassage (une nuit dans l'eau chaude additionnée de javel, suivi d'un coup de jet). L'autre face. Le côté le plus plat, qui correspond à une coupe transversale du morceau de bois. Nous allons nous y attarder car la structure cellulaire du bois y est visible. Une première zone de cette face avec deux vues de plus près qui correspondent approximativement à ce qui peut être observé à la loupe X10. Une seconde zone de cette face, où, au microscope, peuvent être faites les meilleures observations. Et une vue de plus près qui là aussi correspond approximativement à ce qui peut être observé à la loupe X10.
  2. Comme promis, voici les réponses au petit exercice que je vous ai proposé la semaine dernière. Réponse en deux images pour chaque échantillon. La première reprend l'image de la semaine dernière sur laquelle j'ai ajouté une flèche indiquant l'endroit exact où se trouve l'échantillon de bois fossile. La seconde est une vue de dessus plus rapprochée. Premier échantillon. Deuxième échantillon. Troisième échantillon. Quatrième échantillon Cinquième échantillon. Sixième échantillon. Septième échantillon. Huitième échantillon. Neuvième échantillon. Dixième échantillon. Onzième échantillon. Douzième échantillon. Treizième échantillon. Quatorzième échantillon. Quinzième échantillon. La bonne question, que tout le monde se pose à ce moment là, est : "ce galet qui ressemble à un morceau de bois silicifié des alluvions de la Loire est-il bien ce à quoi il ressemble ? Rassurez vous, pour ces quinze échantillons la réponse est affirmative, et il est facile de l'obtenir. Il suffit pour cela de se baisser, de ramasser le morceau en question, d'en mouiller quelques endroits ( de préférence les surfaces fraîches qui semblent perpendiculaires à ce qui devrait être le sens du bois ), et d'observer avec une loupe X10. Si la structure cellulaire du bois est visible, au moins sur une petite surface, c'est qu'il s'agit bien de bois silicifié.
  3. J'ai eu l'idée de ce sujet il y a une dizaine d'années. En vue de sa publication sur ce forum, j'ai pris, à l'époque, les clichés de terrain nécessaires, mais ce n'est finalement qu'aujourd'hui que je passe à l'action ! Quelques remarques. - Vue l'étendue du bassin de la Loire, 1/5 de la surface de la France, on retrouve dans ces alluvions des éléments de tous les étages géologiques. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bassin_de_la_Loire - Les galets des alluvions de la Loire sont pratiquement tous de nature siliceuse (ou contenant de la silice) ; les galets d'une autre nature sont très rapidement éliminés en raison de leur dureté et de leur résistance moindre. - Ces galets de bois fossile ne peuvent provenir que de sédiments continentaux ou de dépôts paraliques ; cela tombe bien car, depuis le paléozoïque, le Massif central est demeuré en permanence une terre émergée. - Nous parlons de bois, donc d'un tissu appartenant à des végétaux vasculaires ; les plus anciens échantillons de bois silicifiés qu'il nous sera possible de trouver ne pourront donc pas être antérieurs au début du Dévonien. - Les plus récents échantillons dateront sans doute de la fin du tertiaire. - Si vous pensez que ce sujet n'a aucun intérêt scientifique, vous vous trompez ! En effet il y a de choses merveilleuses à découvrir. - A titre d'exemples trois publication ; ne pas oublier que tout ce qui se trouvait au dessus de la surface actuelle de ces gisements fossilifères a fini dans la Loire. https://www.researchgate.net/publication/270476278_The_earliest_woody_plant_Armoricaphyton_chateaupannense_Armorican_Massif_France_xylem_structure_and_hydraulic_properties_documented_by_propagation_phase_contrast_X-ray_synchrotron_microtomography https://www.researchgate.net/publication/248554053_A_microfungal_assemblage_in_Lepidodendron_from_the_Upper_Visean_Carboniferous_of_central_France https://www.researchgate.net/publication/319948735_Turonian_flora_from_the_fossiliferous_flints_of_Chatellerault_western_France Ce premier message est à visée didactique ; puisse-t-il susciter des vocations ! Quant à ceux ont une expérience sur ce sujet, je les invite bien évidemment à participer. Je commence donc par un jeu de terrain : quinze clichés montrant ce que l'on voit devant soi lorsqu'on est sur une grève de la Loire. Regardez les bien. Sur chaque cliché il y a un morceau de bois silicifié, il s'agit d'un galet, et il vous faut le trouver. Pour certains clichés c'est facile, pour d'autres c'est plus difficile ... Et la semaine prochaine je posterai quinze autres clichés pris de plus près en vous indiquant éventuellement où se trouve l'échantillon de bois silicifié. Premier échantillon deuxième échantillon Troisième échantillon Quatrième échantillon Cinquième échantillon Sixième échantillon Septième échantillon Huitième échantillon Neuvième échantillon Dixième échantillon Onzième échantillon Douzième échantillon Treizième échantillon Quatorzième échantillon Quinzième échantillon
  4. Toutes ces planches son autant utiles qu'elles sont belles. Félicitations ! et
  5. De passage à Paris en 2017, je n'avais pas manqué de faire un tour par le MNHN. J'ai pris des clichés ( de mauvaise qualité ; les conditions n'étaient pas idéales ... ), mais ce qui m'a le plus impressionné c'est la manière honteuse avec laquelle est conservé tout le patrimoine accumulé en ce lieu ... Le contraste est saisissant quand on compare les images qui suivent avec celles que nous présente Théophraste ! NB : j'avais capturé ces images pour comparaison, car dans la Montagne Noire une paléomalacofaune très comparable est présente.
  6. Ceux là je les aime bien ! Ils font partie des rares espèces qui possèdent un opercule. Et puis ils ont une tête vraiment particulière ! Mais comme ils sont craintifs, leur tirer le portrait n'est pas forcément facile.
  7. Nous sommes ici. Côté sud. Vue sur la grande bleu (grise). La plage est à 100 mètres. Temps magnifique ! Ambiance de folie ! La suite s'annonce paradisiaque ! Photos des potes suivront.
  8. De bien belles images d'une région très agréable. Mais du Pont du Diable aux remparts de Carcassonne, il y a une sacrée distance ! Et encore plus de choses à voir. Et encore plus de choses que vous n'avez pas eu le temps de voir. Ce sera sans doute pour les prochaines fois ...
  9. Ce jeudi 6 septembre 2018 à midi un gros orage s'est abattu sur la bordure nord ouest de l'Etang de Berre. A 16 heures le soleil était revenu ; condition idéales pour faire sortir les petites bêtes dont il est question dans ce ce sujet. Je suis donc allé faire un tour au fond de mon terrain pour voir la souche d'abricotier où ils aiment se réunir ( voir mon précédent message ). Hélas, arrivé sur place : rien ! Rien de visible, à part ce qui ressemblait à quelques crottes d'invertébré indéterminé. Un peu dépité, je me suis accroupi pour mieux voir, et me suis rendu compte que l'une de ces "crottes d'invertébré indéterminé" se mettait à bouger. Quelques instants plus tard il était évident que toutes ces "crottes d'invertébré indéterminé" n'en étaient pas car toutes bougeaient. Je suis donc revenu vite fait à la maison pour prendre APN et paire de lunettes. Images : Petite précision : plus grande dimension des coquilles = trois millimètres. Ceci explique cela !
  10. Bien sûr, il est plus facile d'y assister si l'on habite à proximité. Donc, avis à nos amis belges. ->https://www.news.uliege.be/cms/c_10234113/fr/les-cyanobacteries
  11. J'ai bien noté. Jusqu'à présent j'en voyais souvent, j'en photographiais de temps en temps, quand la scène me plaisait, mais je n'en récoltais jamais, ou presque. Mais je penserai à votre recherche quand je tomberai sur quelque chose d'inhabituel (enprincipe du 13 ou du 34).
  12. C'est vrai que cela aiderai à répondre correctement. Par exemple si je vous dit que les BIF ( https://scholar.google.fr/scholar?q=banded+iron+formation&hl=fr&as_sdt=0&as_vis=1&oi=scholart ) signent le passage de la fin de l'archéen au début du Protérozoïque, est-ce que cela vous parle ?
  13. Automne 2015. Même lieu que pour mon message du 16 août 2018, mais pas sur le mur. Sur la souche de ce qui fut un abricotier c'est la cohue.
  14. Celui-là est vraiment bien. La nature est pleine de surprises !
  15. Nord ouest de l'Etang de Berre, Bouches du Rhône. La plaine de la Crau est bordée par des affleurements de calcaire coquillier du Miocène dont les parties basses furent cultivées. Sur un muret de pierre sèches qui limitait l'une d'elles : Helix melanostoma. Facile à reconnaître car l'intérieur de l'ouverture de la coquille est coloré en brun. D'où son nom. Mais cela ne se voit pas sur les clichés suivants ...
  16. Bonjour. Nous sommes en mai 2018 Quatorze ans après les premières photos. Mais seulement trois ans après les notre dernière visite. Vous ne reconnaissez pas vraiment l'endroit ? C'est que, durant ces trois dernières années, le ravinement a été intense. Mais le genêt scorpion qui me sert de repère est toujours là. Par contre , notre os à disparu ! Il n'en reste plus que des morceaux qui migrent en suivant la pente. Les causes qui l'ont dégagé à la surface du sol et nous ont permis sa découverte ont immédiatement débuté sa destruction. Il y a bien sûr des causes physiques : la pluie, le vent, le gel, la neige, le soleil ... Mais les causes de nature biologiques sont peut-être encore plus importantes. Et les responsables extrêmement variés. De petite taille ; bactéries, champignons, algues ... De plus grande taille ; vers, arthropodes ... Ou même de grande taille ; Genêt scorpion et autres plantes à fleurs, vertébrés passant par là (en particulier les sangliers). Et pour une fois, Homo sapiens n'y est pour rien. Gros plan sur ces morceaux dont les plus grands ne font que quelques centimètres. Bien sûr, un oeil avisé reconnaîtrait immédiatement ce dont il s'agit. Mais quel oeil avisé passerait-il par là ? Fin de l'histoire.
  17. Encore un que, ni la chaleur, ni la lumière, ni le sel , ne semblent perturber. Il fait la sieste là, entre Les Saintes Maries De La Mer et l'embouchure du Rhône, sur les rochers de la digue qui sépare la plage du Crin Blanc du Canal Des Launes. C'est un milieu hostile et changeant où, à la belle saison, pousse principalement Echinophora spinosa. Son nom ? Otala punctata. Mais ce n'est que mon avis. Les plus calés que moi confirmeront ... ou pas.
  18. Une reconstitution s'impose ! Elle seule permettra d'y voir plus clair dans ce drame en désignant clairement les responsabilités. D'autant que la chose est facile à réaliser. Un détail toutefois ; je n'ai pas le principal suspect à disposition et ceux de mon jardin ne sont généralement visibles qu'au printemps, de nuit. Ainsi je crains fort que cette affaire n'ai à subir les lenteurs de la justice. A moins, bien sûr, que quelqu'un lisant ces lignes ne nous fournisse une image probante de Mr Lampyris crapahutant sur une surface boueuse en y laissant une belle piste. NB : Il y a peu, j'ai parcouru les archives de G, images ... En vain.
  19. Sec, et Salé. Ce qui n'a pas l'air de les gêner outre mesure ...
  20. Cela montre à quel point il est difficile de déchiffrer des traces ! Même dans l'actuel ! D'après ce que j'ai vu plusieurs fois, lorsqu'un Helix se retrouve dans l'eau, il tente d'abord de rejoindre un lieu plus haut donc moins humide en sortant au maximum de sa coquille ; à ce moment là il bouge beaucoup. Puis, s'il n'y arrive pas il bouge de moins en moins, et, toujours sorti au maximum de sa coquille, il se met à gonfler. Puis, lorsqu'il blanchit, toujours gonflé et sorti au maximum de sa coquille, c'est qu'il est mort. Cette succession d"événements peut durer 24 heures. Pour moi, ce que l'on voit ne correspond pas à cela mais plutôt à un Helix qui vient de se faite dévorer. Quand au témoin qui à pris la fuite, en regardant attentivement, on peut voir qu'il est entré sur la scène par le coin supérieur droit de l'image, qu'il en est ressorti par le coin inférieur droit et qu'il est passé à l'endroit même où l'on voit qu'Helix à commencé à s'agiter vigoureusement. Pour moi ce témoin est l'agresseur. Et pour moi, il s'agit bien d'un arthropode. Et, toujours pour moi, Lampyris est le suspect N°1. Si la piste est un peu curieuse de par son irrégularité, c'est sans doute que lui aussi a subit les effet des précipitations qui venaient d'avoir lieu. Peut être avait-il de la boue collée sur lui, peut être titubait-il un peu. Et, peut-être, son forfait accompli, avait-il du mucus d'Helix, voire des morceaux, collés un peu partout. Il ne faut pas non plus négliger les variations de consistance de la surface du sol. Mais je comprends que l'on puisse douter. Surtout en l'absence du suspect.
  21. Lorsque j'ai fait ces photos, j'ai pensé très fort à ce que l'on trouve dans le permien ou le trias, ou d'autres étages. Je me suis dit que si Helix aspersa ne s'était plus trouvé au bout de sa pistes ( dérobé par un autre animal, par exemple), je n'aurais absolument pas réussi à savoir ce qui s'était passé, ni à qui appartenaient ces pistes. Et là, nous sommes dans de l'actuel ! Alors, imaginez que chacune des premières images soit une plaque datant de quelques dizaines ou centaines de millions d'année ... En paléoichnologie c'est l'interprétation qui est ardue : il est très rare de trouver l'auteur en bout de piste, il est aussi possible que l'on ne soupçonne même pas son existence. Et plus les traces sont anciennes, plus ces obstacles prennent de l'importance !
  22. Bonjour. Moi, j'en vois de temps en temps. Surtout Helix aspersa. Dans une flaque, morts noyés après une forte pluie, comme hier. Ils sortent au maximum de leur coquille, gonflent, et blanchissent. Mais je ne sais pas si j'ai une image. Autrement, j'ai ça. Toujours après une forte pluie qui a laissé un dépôt d'argile au bord d'une vigne. Le lendemain matin. Une trace d'arthropode ... de plus prés. de plus prés. Une trace de lutte (sur la gauche de la première image). Une trace de fuite désespérée (sur la gauche de l'image précédente). La victime, inconsciente (sur la gauche de l'image précédente) : Helix aspersa. Apparemment décédée il n'y a que quelques heures. Une vue d'ensemble de la scène du crime ... le coupable présumé : Lampyris noctiluca . Dans cette petite vidéo glanée sur le net, vous pouvez le voir à l'oeuvre : https://youtu.be/JmLH3FZjjgk
  23. Merci à tous. Et, en ce qui concerne mon hypothèse d'une ponte qui suit immédiatement l'accouplement, est-elle juste ou est-elle fausse ?
  24. Quand nous nous promenons dans la nature à la recherche de cailloux nous rencontrons obligatoirement des animaux. Si la plus grande partie de ces derniers appartiennent au groupe des arthropodes, la seconde place revient aux gastéropodes, qui eux appartiennent au groupe des mollusques. Contrairement aux insectes, crustacés, araignées, et autres myriapodes, les gastéropodes se rencontrent surtout morts ! Les coquilles vides qui jonchent le sol de vos endroits préférés ne sont pas le but de ce sujet. Les gastéropodes sont des animaux discrets qui demeurent le plus souvent cachés. Mais parfois, ils se réveillent, tous à la fois, et si nous sommes là, nous constatons que leur nombre est considérable. Et généralement c'est par un temps pourri. Je commence avec Sphincterochila candidissima. Nous sommes dans le chaînon de La Fare, Bouches du Rhône. C'est le printemps, en 2014. Il pleut depuis trois jours et en ce matin du quatrième jour le ciel est encore chargé de nuages et il y a de la brume. Le lieu est situé en contrebas des affleurements du Barrémien calcaire, sur une pente plein sud. Au sol : du cailloutis avec mousse, sédums, et sous arbrisseaux de la garrigue, ici du thym. On remarque tout de suite que ça grouille. Les iules sont se sortie et il y a beaucoup de petites coquilles blanches de Sphincterochila candidissima. En se rapprochant il devient évident que beaucoup sont habitées. Ces deux là sont fort occupés dans une étreinte torride ! On comprend mieux la raison de leur nom avec l'image suivante. Sur les clichée, même pas particulièrement sur exposés ils apparaissent souvent comme des trous blancs. On a l'impression d'avoir photographié une ampoule fluocompacte éclairée. Là le cliché est sous exposé, mais au moins on voit les détails de la coquille. Non loin de là, un peu plus haut, sur les affleurements du Barrémien calcaire. Sphincterochila candidissima n'est pas un nerveux et il faut bien l'observer pour s'apercevoir que l'animal est dans sa coquille , c'est le cas du spécimen en bas à droite. Là je voulais surtout montrer les calcaires construits par des biofilms. Puis, pour une raison qui m'échappe encore aujourd'hui, j'ai eu la surprise de voir une toute petite araignée se positionner sous mon appareil. Puis un iule est arrivé, ce qui m'a donné l'image suivante ; il faut parfois avoir de ces réflexes ! Avez vous remarqué le petit gastéropode au repos, en haut,à droite, au dessus de la fissure ? Toujours dans le même coin. Deux Sphinterochila candidissima en plein travail. Travail de terrassement. En fait, ils sont en train de creuser un trou pour y déposer leur ponte. Je suppose que la ponte a lieu juste après l'accouplement ... Ce qui expliquerai le fait qu'ils creusent juste l'un à coté de l'autre ... Ce n'est tout de même le place qui manque ... Mais il ne s'agit là que d'une hypothèse ... Je sais ; ce n'est pas bien de déranger en plein travail ! Mais je voulais quand même en voir un qui soit un peu réveillé. Le même, de profil.
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