En ces temps là il devait y avoir des pins maritimes
aux branches assez longues
pour laisser tomber dans les eaux océanes
de belles perles de résine assez fluides
pour envelopper des bestioles marines
avant de durcir et puis se déposer dans un sédiment
qui en transmettrait le message jusqu'à nos jours...etc.
Ou alors un oiseau de mer d'époque aurait avalé des trucs marins, dont une ammonite de sub-surface,
puis les aurait régurgités maladroitement pour sa progéniture dans un nid situé sous un pin dégoulinant de résine,
et lors de cette opération de nourrissage une perle de résine aurait sauvegardé les bestioles marines... etc...
Ou alors...
Laurent a dit:
dans l'article d'origine ils soupçonnent que la résine s'est écoulée en bord de mer ce qui explique la présence de sable dans l'ammonite et l'ambre ...
On peut s'a Musset un peu ?!
Lorsque le pélican (d'époque) lassé d'un long voyage, dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux,
ses petits affamés courent sur le rivage...
Le scénario paraît bon, on a la mer, le rivage, le sable...il y a même des roseaux pour la déco...
Mais là il y a un problème, car il est écrit que: L'océan était vide et la plage déserte...
Alors d'où viendrait l'ammonite ?