gaeldeploeg

C'est du George.P et son addiction au sensationnalisme. ctrl/C, ctrl/V”Le sensationnalisme (appelé parfois journalisme jaune[ ]quand il concerne la presse) désigne l'exploitation systématique par une partie des médias du goût pour le « sensationnel » d'une partie du public (« ce qui produit une forte impression de surprise, d'intérêt, d'admiration »).” Sacré George, d'une brindille pourrie il te fait une salamandre. d'un échantillon pollué, Jurassique park. ETC

De CARBUCCIA Benjamin , le10 avr "C'est magnifique! ça vient de l'Oise? c'est une Archaeidae, et je suis en train de travailler sur cette famille en ce moment! J'ai un spécimen mâle en bon état de préservation, mais pas aussi complet que celle-là!"

Des diptères, des coléoptères, des hyménoptère.

Et dangereuse, l'abeille chapentiére.

comme lui¿ Un nouveau genre de bousier fossile du B.P. Coleoptera,Scarabaeidae.

Un sujet qui a sa place là! avec une question qui a également sa place la: ”Next50MY Quels étaient les hivers à la limite Paléocène - Eocène ? Est-ce que l'absence d'hivers rigoureux a favorisé le développement des insectes et des plantes à fleurs à l'Eocène ” des insecte couvert de pollens et inclus dans la résine, part centaines! encore un travaille à faire! il Thrips of the Family Uzelothripidae Suggest 53 Million Years of Morphological and Ecological Stability [Nous considérons que cette association d'arthropodes-champignons n'est pas accidentelle puisque ces champignons se retrouvent également dans des spécimens existants de ces uzelothripides, suggérant des interactions très spécifiques à long terme et une forte spécificité de l'habitat.] ÉTONNANT, NON ? Pas d'Hivers dans l'Oise! 2saisons: -Une chaude et humide courte. -Une haride et très chaude longue. PETM "l'important renouvellement de la faune de mammifères terrestres qui coïncida avec l'émergence de bon nombre des principaux ordres de mammifères actuels" OK mais c'est mal formulé! Les environnements spécifique des trois masse continental( Europe, Asie, Amérique du Nord)avec leurs ensembles de flores et leurs faune Paléocène, ont migré vers le `Nord sous la contrainte de la massive augmentation des températures jusque a des points ou les échanges Est/Ouest entre les trois masse était possible. Avec la baisse des températures et des translations vers le sud de nouveau viable, il y a eu dispersion plutôt qu'émergence, brassage a la place de renouvellement ! Le quart de mon objectif. à cent milles je synthétise et j'écris un livre

J'ai fais des folies d'expérimentations avec un matières bizarre dérivé de la craie , aux propriétés hydrophobes exotique!!! Et je me baigne, elle est glacial! mais en agréable compagnie. çà fait chaud au coeur (Chaud>Froid)la vie!

Voila! et je pence encore pouvoir faire mieux, j'en ai encore sous le pied droit mais quel boulot! Coucou. pas mal tes déterminations!

Lui, c'est un Psocoptères (psoques) New Psocoptera (Insecta) from the lowermost Eocene amber of olse, France A. Nel , J. Prokop , G. De Ploëg & J. Millet Pages 371-391 | Published online: 09 Mar 2010 Synopsis The Eocene psocopteran fauna from the amber of Oise is shown to be very diverse, with 10 recorded families, 11 species and four new genera. Psyllipsocus eocenicus sp. nov. is the oldest accurate representative of Psyllipsocus and, maybe, of the family, as the family attributions of the Cretaceous Khatangia inclusa Vishniakova, 1975 and ?Psyllipsocus banksi Cockerell, 1916 remain debatable. Thylacella eocenica sp. nov. is the oldest record of the Lepidopsocidae. The Recent representatives of this genus are known from the Afrotropical region and Central and North America. Its discovery in the lowermost Eocene of France shows that its biogeographical range differed in the past. The apterous form of the liposcelidid Embidopsocus eocenicus Nel et al., 2004 is described. The empheriid Eoempheria intermedia gen. et sp. nov. seems to be more similar to Baltic amber taxa than to the Spanish Cretaceous genera. Eorhyopsocus magnificus gen. et sp. nov. is the first described fossil Psoquillidae. As ?Psylloneura perantiqua Cockerell, 1919 is not a Pachytroctidae but an incertae sedis stat. nov., Tapinella eocenica sp. nov. is the only valid representative of this family in the fossil record. Tapinella is now known from Africa, Madagascar, India, China, Japan and Oceania. Its presence in the Early Cenozoic of western Europe suggests that it was more widely distributed in the past. The manicapsocid Eomanicapsocus melaniaegen. et sp. nov. is closely similar to the Recent genus Manicapsocus Smithers, 1967 (Rhodesia). Despite its similarities to the Recent Mexican genus ProctroctopsocusMockford, 1967 (Troctopsocidae), we provisionally include Eopro‐troctopsocus celineagen. et sp. nov. in the Manicapsocidae. The lachesillid Eolachesilla eocenica sp. nov. is closely related to the Recent Chilean species Eolachesilla chilensis Badonnel, 1967b. We describe a fossil that we cannot separate from Archipsocus puber Hagen, 1882, previously known from Eocene Baltic amber. It is the oldest record of the family Archipsocidae and the first known insect species present in both the French and Baltic ambers. The amphientomid Amphientomum parisiensis sp. nov. is very similar to the Baltic amber species A. colpolepis Enderlein, 1905. Le gros, c'est un diptère Brachycères! Une mite. très redondant ces petit papillons. Mon tout premier fossile dans la résine fossile de Chevrières. Un Névroptéroïdes Là! C'est du très trèèèès intéressant pour B Carbuccia. La N°7 aussi Because,,,,, Travaille en cours Il faudrait voir ces yeux Et les deux dernier. Des Hyménoptères.

Bonjours! Super! du travail pour le week end. En quelque sorte et c'était bien! pas beaucoup de cailloux mais pleins de belles image dans la tête.

Hello Marco! Le plus long, très probablement un métacarpien de cheval!

Citation de Télérama 3506 p23: "soyons têtus, ne nous laissons pas impressionner, choisissons toujours les chemins de la culture, de la rigueur et de la complexité."

Mention spéciale aux macles du Japon avec une fleur d'améthyste sur Quartz sceptre!! Gasteropode/émeraude

! Il doit y avoir d'autres morceaux, voir la bête en entier!

Calcédoine! echinocorys.

Socle pour pyrite!

http://www.histoire-pour-tous.fr/dossiers/84-prehistoire-/4328-lhomme-prehistorique-face-a-lours.html Une bauge d'ours?

Marchancia

Pour que les photos soient aussi flous, il devait allée vachement vite ce morceau de bois fossiles avec petits quartz

J'ai fais une petites recherche sur Morimus asper (Sulzer, 1776) et flûte .J'habite dans l'Oise!.

C'est çà Céramique ou faïence? Un beau déchetplien d'histoire et de sens.

En voila une=>

Il est possible que ce soit mon arrière grand-pére qui l'ai fais, il était lapidaire de profession, il a même tenu un comptoir de minéralogie à Rio! Photo mystére

de nuits genre poodle moth! La chenille fais très peluche

Pour le plaisir des yeux, j'ai regardé. et au milieu des hache Un outil préhistorique singulier: la molette sphérique Voici une curiosité locale qui mérite une étude particulière tant elle implique de savoir-faire techniques pour les populations préhistoriques qui l’ont conçue. Alerté par une première découverte à la fin des années 70 dans les granulats extraits de l’ancienne sablière de la Roche, en aval de Drevant, j’ai eu depuis l’occasion de recenser et de publier plusieurs objets lithiques présentant des points communs remarquables dont voici le détail. Le premier objet recensé se présente sous la forme d’une sphère parfaite taillée dans un bloc de granit. Sa surface usée montre encore des traces de bouchardage. Son diamètre est de 88 mm. Trouvé au même endroit, un second sphéroïde, taillé dans la même matière et mesurant le même diamètre, présente la particularité d’être amputé d’environ un tiers de sa masse. Toujours dans la même sablière, un ouvrier avait récolté trois sphères de granit d’un diamètre légèrement inférieur, que j’ai pu photographier il y a une quinzaine d’années. Toujours sur le Cher, entre la Perche et Urçay fut trouvé un objet ovoïde en granit, fortement marqué par des traces de boucharde, dont le diamètre extrême est mesuré à 88 mm. Près de Saint-Christophe-le-Chaudry, un agriculteur m’a confié pour étude un sphéroïde régulier de 88 mm de diamètre, en quartzite locale, sur lequel est visible l’empreinte d’un bouchardage violent atténué par un travail plus fin, un bloc de quartzite informe mais ayant servi de percuteur, et une lame de hache polie en roche verte auvergnate ou bretonne. Plusieurs points communs se distinguent. L’extraordinaire régularité des cotes relevées sur quatre objets montrent que leurs concepteurs disposaient au minimum d’un calibre, à défaut d’une unité de mesure. Les roches employées sont celles que l’on trouve à l’état naturel sur les lieux de découvertes, granits roulés par la rivière dans le lit du Cher et quartzite près de Culan. Le mode opératoire commun est le bouchardage, technique développée dès le néolithique pour le façonnage des lames de haches avant leur polissage et c’est bien au néolithique qu’on pense lorsqu’on évoque ces sphéroïdes. Dans plusieurs régions françaises, des sphères de pierre dure ont été retrouvées sur des gisements datant de la fin de la Préhistoire (en Bourgogne et Bretagne notamment). Dans la vallée du Cher, la plus grosse concentration a été observée près du Camp de César, site néolithique majeur. A Saint-Christophe, la hache trouvée à proximité d’une sphère est un indice intéressant à défaut d’une preuve. Observant la forme et la matière, nous avons émis l’hypothèse que ces sphères étaient une déclinaison particulièrement soignée d’un outil encore employée par certaines sociétés rurales des pays en voie de développement, à savoir le broyeur à grain, dit aussi molette. Disposant des céréales sèches sur une pierre plate ou légèrement concave, on brise et écrase les grains par friction pour produire des petites quantités de farine. Dans le cas qui nous intéresse, les sphères tiennent bien dans la main, tout comme la pièce ovoïde, et une simple rotation du poignet permet d’écraser très facilement des graines et des céréales, ce qui va beaucoup plus vite qu’avec un broyeur ordinaire. La choix de roches dures limite la présence de déchets minéraux dans la farine ainsi produite. Une expérience amusante a pu être menée après la découverte dans le lit du Cher, en aval d’Orval (18), d’une grosse meule dormante néolithique aujourd’hui déposée au musée Saint-Vic de Saint-amand-Montrond. Employant une des sphères retrouvée à Marigny, il a été possible, dans une démonstration en public, de broyer une grande quantité de blé sans effort dans la cuvette de la meule. Le lecteur aura noté que la possibilité qu’il s’agisse bien d’un outillage de la fin de la préhistoire implique que ceux qui l’ont produit avaient une technique pour mesurer précisément le diamètre de leurs outils, ce qui peut se concevoir à partir d’un simple demi-cercle découpée dans une planchette quelconque, comme certains gabarits de tailleurs de pierre plus modernes. Ce calibrage d’outil ne serait pas une première pour cette époque. De très nombreuses “livres de beurre” pressigniennes trouvées sur les anciens ateliers de taille de silex proches la vallée de la Creuse sont de longueur identique, comme si certains artisans d’alors avaient voulu rationaliser leur production de grandes lames, dont nous trouvons quelques traces dans le sud du Cher. Sachant, par expérience, que peu de préhistoriens se sont penchés sur ces sphéroïdes et que cet outil est mal connu, j’invite les lecteurs de cet article à la vigilance lors de leurs promenades ou parties de pêche: il reste encore certainement beaucoup de sphéroïdes à découvrir. C'est pas des molettes mais des bolas! Pour les haches, c'est pareille. l'habit ne fais pas le moine!