zunyite

pas tout à fait d'accord : les formations volcano sédimentaires font l'objet d'études pour leur intérêt métallogénique !! les dépôts volcaniques periphériques contiennent tres souvent des amas sulfurés ou des stockwrks minéralisés

Bonjour même si les faits présentés ne sont effectivement pas liés à un site minier ou une carrière , je note une demande de la part de l'UNICEM une proposition de partenariat : Étant des deux côtés je peux répondre en partie : qu'il y ait des inconscients (pour ne pas dire plus...) dans le monde de la minéralogie-fossiles c'est indéniable mais, comme partout, ils représentent une minorité Le problème essentiel est le manque de volonté de communication de la part des uns et des autres........c'est vrais MAIS : je connais de nombreux clubs qui ont "joué le jeu " et demandé des autorisations en proposant des rencontres pour respecter les bons gestes et la conformité des instructions de sécurité : réaction à peu près constante (à part quelques rares exceptions) : pas question de voir qui que ce soit ! -pas le temps -pas question de s’embêter" à voir des gens sur le site -peux pas donner d'autorisation ; le service des mines l'interdit -impossible : nos assurances l'interdise -impossible car il faudrait un accompagnant : ni le temps ni le personnel ni la volonté de lle faire etc..etc... Ces points ne sont pas faux et justifiés mais montrent aussi le peu d'empressement pour ne pas dire "rejet" d’accueillir du public sur les sites ! en réaction, les clubs ou prospecteurs individuels se disent que vaut mieux rien demander ! Mais il faut souligner aussi une avancée importante de la part de l’UNICEM (mais que partie grand Sud si je ne me trompe pas) de vouloir en discuter et faire quelque chose ! Il y a effectivement des possibilités pour faire des choses en commun et mieux faire apprécier l’industrie des granulats et extractions minérales qui en a bien besoin ! Je représente un groupe qui a déjà commencé à faire de la formation sécurité en mines et carrières (pour les carrières : respect des consignes habituelles comme le casque, les chaussures, les gants, les distances de sécurité vis-à-vis des fronts, des bassins de décantation etc…) Pour les carriers il y a des possibilités mais il faut une interprétation moins rigide des règles de sécurité et un minimum d'organisation : en effet, les points sécurité sont réglementaires (DREAL) mais aussi très variables en fonction des sociétés et leur origine ! Un exemple : suivant les organismes, il est demandé de ne pas s’approcher des fronts à moins de 5m, 10m, 20m !!! Dans cet exemple, l’organisme qui préconise le plus (20m) d’origine canadienne interdirait 80% des carrières françaises pour non respect des règles de sécurité !!!!! Pour conclure : je suis tout à fait disponible pour en parler au nom de mon groupe et convaincre d’autres groupes ou clubs d’y participer du moment qu’il y a la volonté de votre part de créer des partenariats Note : je remarque également que les carriers peuvent perdirent des indications importantes par manque d’observation détaillée et connaissance minéralogique/structurale que les « prospecteurs » ont généralement faites (présence de fractures, polluants minéraux etc……….)

tout simplement qu'on parle de n'importe quoi dans ce domaine, la CRIRAD en premier !!! (les exemples de "plaisanteries" sont nombreuses comme les "pollutions" radioactives d'origines naturelles ) -un compteur n'a rien à voir avec un scintillomètre ! - le scintillomètre mesure la globalité des choses et ce n'est pas parce qu'un échantillon est "radio actif" (tout est relatif suivant la distance) que l'environnement est radio actif !! le scintillomètre est un instrument qu'il faut savoir utiliser (comme tout autre) et il n'est pas fait pour mesurer CONTRE la roche (ce qui a manifestement été fait dans ce cas) contrairement à ce qui est dit dans la description les mesures doivent être faites dans la globalité de l'emprise du bâtiment et non pas centrée (comme par hasard) sur la fissure minéralisée qui est DEVANT le batiment et non pas SOUS le batiment par contre, dans le secteur il y a bien des zones non exploitées fortement radio actives (dont une à qq km de là plus bas et terrain de jeux favoris des minéralogistes (il n'y à qu'à voir le trou dans le grillage......) et où les niveaux sont un peu équivalents à ce qui est indiqué et vrais dans ce cas

les poulets sont tranquilles !! mesures au scintillo tout autour y compris sur les fissures minéralisées....rien d'extraordinaire pour le secteur ! le bruit de fond est à peu près équivalent à du granite

globalement d'accord ; il semble cependant que les discussions actuelles semblent élargir un peu plus le contexte et que , même si le facies n'est pas strictement identique , que tout les cristaux plats de la butte du virage en soit

uniquement celles d'une zone prècise (à coup sûr vis à vis des analyses ; je pense que pour les autres du secteur , à facies identique, même chose )

pour prèciser : pas beraunite mais Eleonorite

toute la zone a été amménagée dans les annes 60 puis 80 pour agrandir la periphérie de Toulouse ( sans compter les installations/desinstallations industrielles (petites unitées) dans les années 20-30

dans une zone comme la tienne (banlieue de toulouse) ; les déchets de fonderies sont très couramment utilisés pour remblayer des terrains et les rendre aménageables ! et il y en a beaucoup dans tout le secteur !

vis à vis de collectionneurs de mineraux "classiques" oui ! (autant que je sache , dans tout le chili : 4 !!!!!!) sites la plupart du temps déja connus/reconnus mais pas exploités effectivement .

Vierge!!!! que non : je ne pense pas qu'il y ait eu beaucoup de surface non prospectée au chili/Perou/Bolivie : ils sont mineurs depuis 2000 ans !!!! ils utilisaient aussi le quartz pour bijoux ou instruments divers

sacré question et problème !! -tout dépend des pierres ; en gros aucune pierre prècieuse ou semi prècieuse disponible réellement en france ! -si vous passez par un exportateur, peu de chances qu'il maitrise réellement le circuit de l'origine des pierres jusqu'à l'achat la seule solution pour cela est de connaitre les filières , de connaitre les producteurs ; pour la taille c'est plus facile (singapour , allemagne, indonésie...) mais globalement c'est une activité à plein temps demandant une TRES grande expérience des pierres et des pays concernés !!! exemple : pratiquement impossible à faire sur la birmanie malgré l'ouverture du pays (les zones de production sont toujours gérées par les militaires et les mafias)

a l'extérieur , il y a de la place entre les deux ruisseaux , en profilant l'ensemble cela ne devrait pas poser de problèmes

cela n'aurait d'intérêt que si le process est à peu pres le même que le précédant mais cela m'étonnerait beaucoup !!! les techniques ont évoluées, le minerais exploité ne sera pas le même etc.... de plus travailler en sous terrain pour une laverie présente beaucoup d'inconvénients !!

pour le stéril de traitement, s'il est fait sous forme hydraulique (donc remplissage complet des vides ) et en tenant compte des vides déja exploités (environ 45% de la masse à exploiter) ça passe ! pour le traitement, il n'y a plus aucune raison de le faire en sous terrain (de toute façon plus d'inconvénients que d'avantages) ; des structures légères et chauffées peuvent tres bien faire l'affaire et globalement reviendront moins cher qu'en sous terrain

je viens de lire l'article en détail : -il y a de la part des auteurs une méconnaisance profonde de la géologie-minéralogie -industrie ce qui est gênant pour faire des prèconisations dans ce domaine ! -il y a une conclusion totalement fausse : l'amiante est interdite en françe ainsi que son utilisation en tant que tel dans l'industrie (isolant, fibrociment..etc.) MAIS cela n'a rien à voir avec le travail (quel qu'il soit) des roches en elle même !!!!! (fibres plus longues donc trop grosses ; moins concentrées etc.) il y a de nombreuses roches à amphiboles dans le monde y compris en france (environ 10% de la surface) et cela ne présente aucun danger (sinon il faudrait évacuer un paquet de monde!!!!) Il y a d'ailleurs un rapprochement dans le texte avec la silicose et c'est un bon exemple puisque c'est une source importante de maladies professionnelles ! He bien il suffit de regarder les expositions à la silice entre la période de Salau (70/80) et maintenant : il n'y en a pratiquement plus de par les surveillances et précautions prises ! petite anecdote : une grande part du balast SNCF est fait avec des roches "amphibolitiques" parce que plus resistantes mécaniquement que les autres ...............!! Globalement je trouve très hypocrite de continuer à utiliser largement des outils en acier "spéciaux" , des voitures , des objets de tous les jours mais de dire : pour les fabriquer allez voir ailleurs que chez nous (cela fait du bruit , c'est polluant, ça nous dérange etc.) pour les metaux et autres allez les chercher ailleurs mais pas chez nous ( cela fait du bruit, c'est polluant etc. etc.) pourvu que nous on puisse les acheter, le reste on s'en fout pourvu que ce soit chez les autres !!!!! si les "contre" toute activité dans la vallée à part le tourisme acceptent de vivre dans des cases en bois sans apport métallique d'aucune sorte et en utilisant que la pierre taillée (attention ni silex ni amphibolite) pour travailler le potager et l'élevage du bétail pour la nourriture........alors je suis d'accord. pour smoky : oui et non pour le refonte du code minier c'est tres largement réalisé et TRES contraignant (comme les carrières maintenant) apres on se pose des questions du genre : pourquoi ils vont chercher des matériaux en mer ou au sud (portugal) pour alimenter l'aquitaine ou le bassin parisien ? (remblais, béton, constructions, routes etc...) ben parce que la réglementation est telle que c'est plus facile d'aller chez les autres (qui eux ont le boulot bien sûr)

alors là smoky....chapeau !!!!!!! connaissant bien le sujet , tout y est et bien expliqué ! c'est aussi ce côté tres financier de la société qui me gêne car , même si , à la base ce sont des pros , ce n'est pas géré comme un société minière en tant que tel . Dans le cas d'Anglade , la maîtrise des fines ne pose aucun problème avec les techniques actuelles et , en rappel, les contrôles sont tres strictes ! je viens d'en faire justement pour la meure "poussière" sur nos sites avec des capteurs (mini aspirateur porté individuellement par chaque opérateur sur trois jours et en continu ! et deux fois par an)

c'est fréquent (comme partout) mais ce qui me gêne le plus pour la micro c'est le vidage de sac du gisement prècédant sur le site suivant ! je me suis déja retrouvé avec des échantillons de minéraux volcaniques (massif central à coup sûr........massif du mont dore) sur une mine du sud de la france ou , encore plus gênant ,sur des sites proches mais différents (phosphates sur une carrière avec un filon à galene-cerusite_pyromorphite )!!

celle çi devrait fortement intéressé la commune d'Auzat (ils ont une association historique qui étudie toute l'industrie metallique de la vallée )

soyons réalistes : en France il est pratiquement impossible d'être dans la légalité absolue (souvent par ignorance ou volonté de ne pas savoir ) ; en pratique il n'y a aucun terrain de "libre" ; il y a les terrains privés (une grosse proportion de la surface) les terrains communaux et domaniaux ; reste plus rien après pour les privés, encore faut 'il connaitre le proprio (une partie non négligeable sont à des personnes qui l'ignorent ou qui ne savent même pas où est la parcelle !! ensuite communaux et domaniaux, en principe, il est interdit de ramasser quoique ce soit (champignons, fleurs, mineraux etc.... en principe !!! il n'y a que dans les parcs nationaux où c'est rigoureux mais, il suffit de tomber sur un garde forestier un peux "spécial" pour vous mettre une amende pour avoir marché sur une fleure!!! si si (cas récurant en montagne) ensuite , comme partout il y a le droit et la tolérance !!! (certains carriers ferment les yeux par exemple même s'ils savent qui est dans la carrière et quand ! légalement il est interdit de donner une autorisation de recherches ou prise d'échantillons dans une carrière : interdiction DREAL) en pratique : de la prospection est possible à peu près partout (prélèvement de fragments au marteau) "l'exploitation dépend du lieu et n'a aucune régle systématique......voir avec les habitués de chaque secteur l'idéal est , apres prospection, de voir le propriétaire, maire, O.N.F etc....pour faire de plus gros travaux (je parle de plusieurs m3 remués ) si l'endroit est isolé, en pleine campagne , loin de sites touristiques, maisons etc...il y a rarement de problèmes.

erosion éolienne du calcaire noir dévonien du secteur Erfoud ; si c'est en touriste, zone probable de ramassage (hamada erfoud/merzouga)

malachite-chrysocolle : tres courant au chili ; dans les mines à ciel ouvert , c'est généralement un déchet (trop de silice pour être traitée )

pour la legislation c'est tres simple au chili, pays de mineurs : tout est libre du moment qu'on ne prospecte pas les mêmes choses sur un permis attribué !

c'est extrêmement variable suivant la nature du support, de l'intensité de la minéralisation , de la taille des minéraux etc.... on peut avoir un bloc de 2-3kg et donner une boite micro (28mmx28mm) ou un morceau de 50 gr donner une dizaine de boites !!!!

pour micromonteurs !! des blocs d 'un site, minéralisés , qu'il faut casser "trimmer" pour en faire ressortir les plus belles cristallisations à mettre en boite micro