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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

fperinet

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  1. fperinet

    Le jiggage

    Pour ceux qui sont intéressés, la page Placers et minéraux lourds du site AFM est consultable ici http://www.micromineral.org/Placer/index.html Et la note sur le jiggage y figure en ligne : http://www.micromineral.org/Placer/JIGGAGE.pdf Serguen maîtrise le sujet à fond! Il va nous argumenter la mise au point de son procédé. A+
  2. Pour revenir au leucoxène … Je me suis intéressé au sujet pour le domaine des sables dans la mesure où je ne trouvais pas de réponse satisfaisante dans les bouquins de minéralogie. Les deux espèces peuvent former des cristaux courants à la morphologie identique. Cela a donné l’article Les pseudo cubes d’hématite et d’ilménite (2009) publié dans le cahier des micromonteurs N° 104 pp. 65-71 Par rapport à cette distinction, le leucoxène montre la présence du titane et par conséquent conduit à différencier les cristaux d’’ilménite (lorsqu’ils sont altérés) de ceux d’hématite. http://www.mindat.org/gallery.php?min=6174 A défaut de visualiser la présence de titane par le leucoxène, le choix peut être fait de considérer les échantillons comme étant de l’hématite en sachant qu’ils peuvent aussi bien être de l’ilménite. A+
  3. Oui, et il est cristallographiquement intéressant. La modélisation figure dans la page Placers et minéraux lourds du Site AFM au chapitre 6 – Cristaux modélisés : Modélisation d’un cristal de zircon http://www.micromineral.org/Placer/modelis...istalzircon.pdf Bonne lecture
  4. Bonjour Papyfred, C'est un cristal hexagonal tabulaire pratiquement collé sur le zircon. Hématite ou ilménite. a+
  5. Un peu à l’ouest du Puy-en-Velay, entre St-Arcons d’Allier et Prades, tu as une série de ruisseaux qui descendent du Devès pour se jeter dans l’Allier : La Fioule, le Merdançon, le ruisseau de Guissou, le ruisseau de Métou, … Ils donnent du sable à gros grains dans lesquels les olivines à minima sont bien visibles et les zircons localement aussi (Métou). http://www.mindat.org/gallery.php?cform_is...cf_pager_page=1 Bonne prospection
  6. Voici des extraits de ce que l’on peut lire sur le rapport entre les sables de l’estuaire de la Loire et ceux de la côte atlantique dans : DEBYSER J. VATAN A., BOYER F. (1955) - La sédimentation sableuse sur la côte atlantique entre la Loire et le Bassin d’Arcachon, International Journal of Earth Sciences, volume 43, number 2, december, pp. 406-425. Composition minéralogique des sables : La composition minéralogique permet de distinguer 3 provinces sédimentaires : 1 – un groupe breton, au N de la Loire 2 – un groupe Loire, entre Loire et Gironde 3 – un groupe Gironde 1 – Groupe breton : …Ces sables sont caractérisés par leur grande richesse en staurotide…. Il n’y a pas d’éléments volcaniques sauf, en très petite quantité, au voisinage de l’estuaire de la Loire…. 2 – Groupe Loire : Cet ensemble est caractérisé par la constance de sa composition qui est en somme celle des alluvions de la Loire à Nantes ou même plus en amont…. …Le corindon est rencontré à l’état de rareté…. …Une certaine quantité du matériel, sans doute assez faible, est cependant d’origine bretonne. 3 – Groupe Gironde : Dès qu’on a franchi la Gironde, en allant vers le S, la composition minéralogique des sables change de manière notable. ….La sillimanite devient beaucoup plus abondante…. Origine des Matériaux ….A leur arrivée en mer, les matériaux de la Loire sont repris par les courants de houle et transportés en général vers le Sud, les vents dominants ayant une direction NW. Une faible partie seulement, entrainée par les courants de jusant, gagne le N. des estuaires…. Toutes les observations de terrain montrent le déplacement des matériaux vers le Sud… Pour les saphirs : Dans l’estuaire, il y a des saphirs dans les petits placers de La Roussellerie à Saint-Michel-Chef-Chef http://www.mindat.org/gallery.php?loc=143357 Et puis en poursuivant vers le Sud, bien sûr, Brétignolles et plus au sud encore, Oléron. Un certain lien entre ces sites : nous sommes dans les alluvions du « groupe Loire », tel que décrit dans la note Debyser et al. JC Goujou (LRM) envisage plusieurs hypothèses sur l’origine pour les saphirs de Brétignolles, dont celle très lointaine du Massif Central. Il y a, c‘est sûr, des similitudes d’aspect entre les cristaux de Gien et ceux de Brétignolles. Pour l’instant nous en sommes là… François
  7. Bonjour Jonathan, Bel enthousiasme, beaux travail, beaux résultats pour de l’améthyste française. Juste un point : écrire « Le gisement de Pégut est unique au monde pour ses améthystes pseudo-cubiques » n’est pas exact. Pour le quartz, les deux rhomboèdres {10.1} et {01.1} s’interpénètrent pour former une pyramide à 6 faces. Souvent, un des deux rhomboèdres est moins développé que l’autre, ce qui à l’extrême amène à une pyramide à trois faces avec un angle au sommet proche de 90° qui à l’aspect d’un « pseudo-cube ». Sur les cristaux, la différence de développement des deux rhomboèdres est fréquente. La présence d’un rhomboèdre seulement est plus rare. Le gisement d’améthyste de la Bessière a montré des cristaux pseudo-cubiques. Lacroix 1901 mentionne d’ailleurs dans La Minéralogie de la France Tome III p. 75 que pour les gisements de la région « il n’est pas rare d’observer des cristaux à apparence cubique… » Les cristaux d’améthyste de Chatelperron, Allier, montrent également des terminaisons pseudo-cubiques. Et il doit y avoir bien d’autres points de quartz en France qui présentent cette caractéristique. Il existe aussi des gisements avec des cristaux biterminés pseudo-cubiques (ceux-là sont plutôt rares). Nous en avons au moins un en France : Les cristaux pseudo-cubiques de la grève de Porsguen en Plougastel-Daoulas (Finistère) – AFM - Cahier des Micromonteurs n° 2-2009 pp. 72-75. http://www.mindat.org/gallery.php?loc=157042 Sur ce site on peut trouver toutes les étapes depuis la bipyramide classique jusqu’au rhomboèdre simple. Donc, pour Pégut, il faut relativiser. François Périnet
  8. Papyfred, merci pour tes infos sur le trésor de Vaise. Le problème, c'est qu'il ne semble pas y avoir de corindons dans les bijoux de trésor http://www.culture.gouv.fr/rhone-alpes/vaise/ FPérinet
  9. Bonjour à tous, Serge (Trenen), je partage ton avis. Il est préférable d’indiquer une info de provenance exacte même si elle est peu précise plutôt qu’une info précise et inexacte. Saphir63, bien noté la provenance inédite de tes échantillons « à côté de Clermont ». A propos de photos de saphirs anciens, je remercie Christian Berbain qui m’a aiguillé vers un document que j’ai retrouvé dans ma doc : Il s’agit d’un numéro hors série de la revue A. F. G. consacré à l’exposition « Minéraux de France » au Muséum, H.-J. Schubnel, P.-J. Chiappero , J. Fabriès (1995). Il y a un court chapitre sur les gemmes p. 12, je cite : Parmi les (gemmes) plus recherchées par les bijoutiers et les orfèvres, le cristal de roche des Alpes et le saphir de le Haute-Loire se retrouvent sur plusieurs bijoux du IIe siècle (IIe siècle ou plutôt XIIe siècle ?). Le Trésor de la « Dame de Lyon » comporte un collier (Musée Gallo-Romain de Lyon) avec des saphirs bleus provenant du Coupet. Cité dans les lapidaires d’Albert le Grand et dans ceux dits du roi Philippe (XIVe siècle), ce saphir sera utilisé pendant tout le Moyen-âge et se retrouve aussi bien sur les croix processionnelles médiévales que sur le riche évangéliaire de l’Apocalypse offert par Charles V au Trésor de la Sainte-Chapelle (aujourd’hui à la Bibliothèque Nationale). Une photo présente un saphir de la Haute-Loire taillé au Moyen-âge. (2,3 x 19 mm). (Cl. H.-J. S.) La pierre se présente comme un prisme hexagonal irrégulier et court qui paraît simplement avoir été poli. Il semble y avoir dans ce texte, qui ne parle pas des saphirs du Riou mais seulement du Coupet, une contradiction avec ce qu’a écrit Forestier, à savoir que le Riou était le seul gisement connu dans les temps anciens et que le Coupet n’ a été prospecté qu’à partir du XIXe siècle. Pour le Morvan, j’avais fait un point doc en vue d’une prospection qui reste à faire : - pour le saphir : La variété bleue (saphir) a été signalée dans les sables du Mesvrin (LRM HS 2007 Minéraux du Morvan p. 104) - pour le rubis On trouve dans la thèse de Simonet www.kasigau.fr/pdf/part_i_4_metamorphic_deposits_b___anatexites_and_metamafic_rocks_pages_67_102.pd f Godard (1990) décrit des amphibolites à spinelle et corindon dans le Morvan. Ces roches se présentent sous forme de rubanements dans des serpentinites, et sont constituées d’amphibole magnésienne calcique (magnésio hornblende à pargasite), d’anorthite, de clinopyroxène et de corindon rose auréolé de spinelle. http://209.85.229.132/search?q=cache:j7XSmykQENYJ: pagesperso-orange.fr/jacques.delfour/eclogite.htm+corindon+Morvan&cd=33&hl=fr&ct=clnk&gl=fr Il y a là la localisation des amphibolites. François
  10. De telles pierres taillées d’origine française, ce n’est tout de même pas banal. On peut donc ajouter, suivant M Laurent Sikirdji de Gemfrance, le Sioulot (…localisation qui amène l’étonnement de certains connaisseurs !) à la liste très réduite des ruisseaux français qui ont fourni des saphirs taillés. J’ai cherché des documents photographiques d’autres saphirs taillés d’origine française. Le bilan est très maigre. Peut-être certains d’entre vous auront-ils plus de données ? D’après FORESTIER F.H. (1993) - Histoire de l’un des gisements de gemmes le plus anciennement connu d’Europe occidentale : saphirs, grenats et hyacinthes du Puy-en-Velay (43). Le Riou Pezzouilloux commune d’Espaly-Saint-Marcel, Cahiers de la Haute-Loire, le premier gisement de saphir français connu est celui du Riou Pezzouliou aux environs du Puy. Les textes portant les premières mentions des gemmes du Puy remontent au XIIIe siècle. Les « saphirs du Puy » figurent dans les trésors des papes, des rois de France et des grands personnages du royaume. Jusqu’au XVe siècle les saphirs du Puy n’avaient en joaillerie que peu de concurrents. La taille était sommaire, principalement des cabochons. Ensuite les pierres de provenance orientales ont supplantées les pierres du Puy. Je n’ai trouvé, ni de photo, ni d’indications spécifiques dans ma doc, pas davantage sur la toile sur les « saphirs du Puy »? Au XIXe siècle, d’autres gisements en sites volcaniques sont découverts en Haute-Loire, Le Coupet /Cizière près de Langeac, et dans les environs du Puy listés par Louis Pascal (PASCAL L. (1865) - Etude géologique du Velay, Eugène Lacroix Editeur) : Taulhac, Saint-Jean-de-Nay, Bilhac, Vialette, les Estreix, la Croix-de-la-Paille, Sainzelle, Mons, Ours. Pour le Coupet il y a une photo d’un saphir taillé (3 x 3,7 mm suivant l’échelle) de la collection Bayle dans le DEA d’E. Gaillou : http://www.gemnantes.fr/documents/pdf/theses/DEA-Gaillou.pdf Pour les autres, on ne sait pas grand-chose de précis semble-t-il ? La période d’intérêt pour les gemmes du Puy étant révolue, ces saphirs ont dû être décrits uniquement pour leur intérêt minéralogique. Au XXe siècle, la découverte des saphirs de la zone métamorphique du socle du secteur de Brioude n’a pas dû donner lieu à la récolte de saphirs gemmes. Et puis, il y a Chomelix, qui donne suivant Simonet des pierres aux tons pastel. Certaines pierres de ce site ont-elles été taillées ? Et puis aussi Chambon-le-Château ? … Et puis les rivières à côté de Clermont, suivant le dernier mail de Philippe. As-tu une photo du saphir taillé dont tu parles ? Que contiennent les collections des musées ?, le Musée Crozatier au Puy, le Musée Lecocq à Clermont, les Musées parisiens ? François Périnet
  11. Pour le disthène : C’est vrai que JC Goujou ne le mentionne que sur une photo. Comme c’est moi qui ai rentré les données de Mindat, j’ai revérifié dans mes boites, j’ai effectivement quelques (2) petits grains de disthène, il est rare. Pour les grains orange ou rouge-orangé, il faut plutôt y voir la staurolite, brune en cristaux épais, elle devient souvent orange avec la réduction de la taille des grains. Comme par exemple : http://www.mindat.org/photo-94676.html Pour l’andalousite, elle est plutôt incolore à rosée avec plus ou moins d’inclusions noires, un peu comme ça : http://www.mindat.org/photo-232763.html Pour les grenats : il est possible de trouver des cristaux cubiques et même octaédriques : http://www.mindat.org/photo-74062.html http://www.mindat.org/photo-74063.html Et puis il y a aussi un minéral non mentionné par JC Goujou en grains allongés le plus souvent vitreux vert plutôt foncé qui doit être du pyroxène, comme on peut en trouver un peu plus au Nord : http://www.mindat.org/photo-153839.html Pour être plus sûr dans les déterminations, il est préférable de faire référence à des cristaux plutôt qu’à la simple couleur des grains, mais bon c’est plus compliqué par ce que les cristaux peu érodés sont rares à Brétignolles ! F. Périnet
  12. Echange de propos intéressant ! Pour être complet, il faut signaler aussi un travail de Maitrise de J. Rochault qui a précédé le travail D’E. Gaillou. J’ai passé un temps certain à trier et observer les minéraux du Sioulot. (Les minéraux du Sioulot, secteur d’Olby, Puy-de-Dôme dans le Cahier AFM Spécial Sables n° 104, 2-2009) ; et aussi http://www.mindat.org/gallery.php?loc=106751 Cela dépend évidemment de ce que l’on cherche ! Mais il est certain qu’il est inutile de se ruer sur le ruisseau et de prélever des kilos de concentré. Pourquoi faire ! J’ai effectué un tri systématique des saphirs à partir de deux litres de concentré, pas plus. Cela suffit pour obtenir un éventail des formes possibles ici. D’un point de vue cristallo géométrique, les plus intéressants sont inframillimétriques avec le rhomboèdre{10.1} bien développé. http://www.mindat.org/photo-239032.html ou même la morphologie élémentaire rhomboédrique {10.1} rare http://www.mindat.org/photo-239052.html. Le plus gros cristal observé fait 4mm. Les cristaux plus gros et acceptant la taille sont donc effectivement des raretés et je conçois qu’il faille alors remuer beaucoup plus d’alluvions ! Il serait intéressant de voir des photos de tels cristaux centimétrique. Et puis, dans les sables du Sioulot, il n’y a pas que des saphirs. Pour les autres minéraux (les cristaux de cassitérite en particulier) le tri patient (mais très chronophage) de quelques cuillers à soupe a permis d’avoir une bonne idée des espèces présentes. F.Périnet
  13. Bonjour, La photo du grain rose sous microscope, c'est plus sûrement un grenat qu'un rubis. Le rubis, à ma connaissance n'est pas conu ici.
  14. Tu trouveras ici : http://www.mindat.org/gallery.php?loc=11426
  15. Bonjour, Tu vas trouver sur la page placer de l’AFM http://www.micromineral.org/Placer/index.html ou sur MINDAT http://www.mindat.org/lsearch.php?from=nse...mp;loc=morbihan Bonne chance
  16. Merci pour tes infos, Pour les titanites de manière générale, oui c’est juste, l’aimant néodyme de les sélectionne pas. Par rapport à certains tris que j’ai pu faire, j’ai constaté malgré tout des « cas particuliers » qu’il faut sûrement attribuer aux inclusions, en particulier pour le Couze de Chaudefour http://www.mindat.org/loc.php?loc=204432 où des titanites viennent à l’aimant ferrite et aussi dans le ruisseau de Ricolas http://www.mindat.org/loc.php?loc=204447 où là j’ai récupéré quelques titanites au néodyme. C’est vrai aussi pour le ruisseau de Chareire http://www.mindat.org/loc.php?loc=134920. Par rapport aux espèces d’Auvergne, d’autres espèces à la susceptibilité magnétique faible (suivant Parfenoff) viennent au néodyme également par rapport aux inclusions contenues, comme les pyroxènes de la série diopside-hédenbergite. F. Périnet
  17. Bonjour à tous, Pour faire suite au post d’Eric : la quête de l’or… en salon… Effectivement l’aimant ferrite classique permet de retirer la magnétite du sable à trier, mais seulement. D’autre aimants sont disponibles à l’achat sur internet pour quelques euros seulement (sur Google saisir « supermagnet »). Ces aimants au néodyme-fer-bore ont une force d’attraction beaucoup plus considérable que les aimants classiques. J’ai utilisé un barreau 40x20x10 de force magnétique 25 kg. Une « sacrée pêche ! » : avec un concentré de type Sioulot, contenant de la magnétite, celle-ci se précipite sur l’aimant dès qu’il est amené à 5 ou 6 cms de distance. Ce type d’aimant permet d’attirer d’autres minéraux à moindre susceptibilité magnétique tels que hématite, ilménite, grenat, titanite, pyroxènes (augite, diopside), hornblende, olivine, tourmaline, biotite,… C’est intéressant, par exemple, pour limiter le volume à examiner et ainsi faciliter la recherche des corindons qui, eux, sont diamagnétiques. Pour l’or, aussi. Certains d’entre vous utilisent-ils ce type d’aimant ? François Périnet
  18. Bonjour Eric, Bravo pour la technique… et le résultat ! En plus de l’aimant ferrite pour la magnétite, est-ce que tu utilises un super aimant au néodyme pour attraper hématite pyroxène grenats olivine, … François Périnet
  19. Bonjour, Pour les classes de symétrie, la première notation morphologique est une expression de tous les éléments de symétrie présents. Ex : tétraédrite -3A4 4A3 6M’ (hémiédrie tétraédrique du système cubique) Ce qui correspond à : -3A4 Trois axes de symétrie inverse d’ordre 4 qui joignent les faces opposées du cube élémentaire 4A3 Quatre axes de symétrie directe d’ordre 3 (axes ternaires) qui joignent les sommets opposés du cube 6M’ Six miroirs qui passent par les sommets opposés du cube Cette forme est contractée pour donner la notation Hermann-Mauguin, par exemple dans Webminéral http://webmineral.com/data/Tetrahedrite.shtml H-M Symbol (-4 3m) Dans le BCG (ancienne édition au moins), il y a une page avec un tableau dans lequel figurent ces formes morphologiques d’écriture des classes de symétrie et leur forme contractée utile pour dessiner avec FACES par exemple. Tu peux voir cela sous une autre forme ici http://webmineral.com/crystall.shtml Pour la tétartoédrie cubique qui s’écrit en forme H-M 23 cela correspond à 3A2 4A3. Et pour voir un peu ce que tu peux faire avec FACES qui est un outil génial, (si tu aimes bien la géométrie avec la perception 3D et si tu as pigé les bases des indices de Miller), il y a un PDF là : sur le site AFM page Conseils aux débutants http://www.micromineral.org/index-fr.html Initiation à la cristallographie avec FACES (fichier PDF - 70 Ko) POURQUOI UTILISER UN LOGICIEL DE DESSIN DE CRISTAUX ? François
  20. La cristallo géométrique permet de comprendre en particulier la géométrie des cristaux Voici un exemple sur le site de l’AFM http://www.micromineral.org/Placer/index.html Exactement ici : http://www.micromineral.org/Placer/modelis...istalzircon.pdf Et tu peux voir quelques cristaux modélisés aussi sur la même page dans : 6 – Cristaux des alluvions modélisés o Apatite o Diopside-Hédenbergite Séries o Dravite o Hématite o Hornblende o Monazite o Olivine o Saphir o Staurolite o Titanite o Zircon Bonne lecture FPerinet
  21. Bonjour, La Loire draine jusqu’à l’Océan les alluvions du Massif Central. Et dans ces alluvions des corindons. Il y en a à mi-parcours dans le Loiret http://www.mindat.org/photosearch.php?frm_...bmit_mls=Search Egalement à l’embouchure immédiatement vers le Sud sur St-Michel-Chef-Chef http://www.mindat.org/photo-153836.html … et aussi plus bas vers le Sud. Il n’y a pas d’impossibilité à pouvoir en trouver à Ancenis. En attendant tes photos FPérinet
  22. Oui Serge, Olivine prisme droit, ça marche Voici un cristal qui a un air de famille, en un peu plus facetté http://www.micromineral.org/Placer/Olivine.pdf si on augmente la forme verte {001} on arrive à un aspect très ressemblant à la photo fpérinet
  23. Bonjour, Saphir43, A propos de ta première photo, cela a quand même l’allure d’un corindon corrodé. La lumière marque des formes triangulaires qui pourraient être liées au système rhomboédrique du corindon. Pour la seconde photo, le cristal semble être un prisme à section hexagonale très corrodé aussi. Les rares corindons que l’on trouve dans le ruisseau des Cizières en bas du volcan peuvent avoir un peu cette aspect, surface dépolie, solide à peine translucide, faible intensité de la couleur parfois un peu opalescent. http://www.mindat.org/photo-113238.html Pour la troisième photo, pas de formes significative ? L’olivine corrodée ne donne pas de solides comme ça, on y voit des traces d’oxydes de fer. La couleur verte peut être liée au corindon http://www.mindat.org/photo-62246.html Pour les feldspaths, je ne vois pas trop comment la corrosion liée au volcanisme pourrait donner ça. Mais bon … fpérinet
  24. Bonjour, Une bonne adresse : http://www.micromineral.org/index-fr.html Bonne lecture François Périnet
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