weedh'atao

détails, récoltes plus ou moins récentes. des pièces seront mises à l'échange, d'ici le mois prochain. (avant de rassembler et trier plusieurs fluos de la pointe ardennaise)

voici une nouvelle rentrée, certaines pièces à mettre en valeur.. ou encore à nettoyer un peu avant. collections d'amateurs (trices) ardennais et perso .

des quartz ardennais ! photo de la vitrine, sans vitre ! avant mise à jour de la collection. comme fluopathe, j'attends pour de meilleur condition d'exposition !

j'aime beaucoup le jardin de Simpson, avec un peu plus de sable, à la lumière, pour y tracer chaque jour un nouveau motif ! comme un semblant de "mandala", d'une seule couleur, éphémere dans ton jardin zen. si tu veux, tu peux trouver du sable de differentes régions, j'ai vu dans les Ardennes une trés belle collection d'échantillon de sable de lointaines provenances, ça fait toujours voyager !

Sur cette planète, je ne possède rien. Même mon corps, s'échappe d'entre mes mains! Ce n'est qu'un espace en mouvement. Et mon corps, ne suis plus le rythme. Je me détache de lui, mauvais ami! C'est donc cela, que de regarder , plus loin que nous-même... je le hais, si faible, enveloppe si charmante avec tout les maux écrit à l'intérieur de sa peau. Passés les monts et les rivières, à la recherche de la lumière, et de l'eau féconde, vaincu par la terre si apaisante, sous le vol d'un papillon, je me suis endormi... je me suis allégé de ce poids, devenu insipide et sans forme maintenant. Je n'ai rêvé qu'un instant, transporté plus haut, au dessus de la ville aux toits d'ardoise fixant le ciel. planant avec le grand aigle blanc, J'ai regardé, de plus haut, j'ai oublié ce que j'étais. Il y avait ce ciel bleu, si intense.. et, ces arbres en bas, qui tendaient leurs bras. Je ne voyais plus rien, qu'une grande clarté. Mes illusions étaient perdues et je m'ouvrais enfin ! Mon cerveau se repliait sur lui-même, et je parcourrai une dernière foi, en sens inverse, l'ensemble de mes souvenirs. Je me sentais comme envahit d'une douce chaleur. Je ne bougeais plus, comme la pierre, je reposai sur la mousse, face au soleil, en n'attendant rien d'autre, que le vent et la pluie.. Je rassemblai ma vie sur le point final!

un soir de printemps dans les Ardennes, crètes pré-ardennaises

pas trouvé de belles pièces comme Mickael, mais un quartz sympa que j'ai ramené d'une ballade au soleil. toujours des ardennes, proche de Monthermé, mais c'est en remontant le ruisseau de Le Lyre, direction le Roc La Tour, et non le ruisseau de La Pilette.

un samedi soir, sans notre moitié ! du temps à écouter nos sentiments. du temps à partager, pour écouler notre Amour! un Amour qui s'agrandi à mesure qu'il se déverse. ... Demain, je ferai un enfant. Il sera l'union de sentiments convergents. Aujourd'hui, je m'engage à suivre la roue du temps. /… / Il n'y a rien de charmant, quand demain, nous ne serons plus. Il sera comme nous, si nous ne faisons rien pour changer son avenir. Il faut l'emmener au-dehors de notre société, pour qu'il comprenne l'enjeu de la Vie. Cet enfant sera l'organisation chimique de deux êtres, faces à leur destin, unique, enroulés dans une spirale , où le temps est comme l'érosion sur la roche. Ce n'est qu'en avançant, porté par des énergies au-delà de nos croyances illusoires, que l'évolution naturelle existe. … /... je l'emmènerai plus loin que cet écran de fumée. Pour lui montrer la force du Soleil; et ce végétal qui lui tends ses branches, enraciné pour ne pas s'envoler. Il comprendra, que ce n'est pas que sur ses bras,qu'il devra compter . Sa force ne sera jamais égale à tout son environnement. Il n'y a que son enthousiasme qui fera vibrer le lien invisible qui le raccroche à la Terre. Je lui dirai la Vérité, celle que mes parents ne m'ont pas transmise. Seulement la réalité de notre existence, comme tout les mammifères savent enseigner. Wilfrid, -Wille Frieden-.

La poésie est faite pour structurer nos ambitions. Nous n'entrons pas dans le vif du sujet, nous le caressons, le frôlons à peine.. le sujet s'évite de lui-même, il s'agit de l'emmener à bonne destination, ne pas le perdre sur de mauvaises idées. … Notre esprit, est, dès plus capricieux ! Il n'y a pas de figure de style, de symétrie, plus nettes , que la faille qui nous sépare. …...... Ce n'est pas un poème, mais un pont pour nous réunir. Nous ne serons jamais semblables, par aucun mots. Il n'y a que la fusion de nos êtres , pour connaître la beauté parfaite. Aucune rime suffisante pour décrire nos dis-semblances. La poésie est là, pour choisir ses mots, trouver le miroir, où l'on projette ses envies, en petite touche, comme en peinture, pour mettre en valeur certaines couleurs. Comment définir par des mots, cette couleur mise en avant. C'est un ensemble de jaune, avec beaucoup de vert, il y a du rouge, avec, parfois du bleu au-dessus. Je ne saurai expliquer la poésie... ..ni une couleur, à un aveugle. Mais l'Amour présent tout autour de Moi, je l'exprimerai dans toute les nuances possibles, je ferai tomber les murs, qui nous privent de soleil. Pour que chacun puisse voir son véritable engagement. La poésie n'est pas là, pour faire jolie. C'est juste une demande, à aller plus loin !

je préfére les cristalisations naturelles, mais la main de l'homme peut parfois donner une autre dimension à la nature. plusieurs collections , avec celle d'André Rostenne.

détails

j'ai bien un avis, je voulais mettre une photo de ma vitrine sur les fluos de Seilles, mais je crois que je me serai encore fait avoir !

j'aime regarder ce qui sort de nouveau, et ça ce n'est pas récent ! voici un quartz sorti la semaine dernière un quartz des Ardennes FRANçAISE... Avis aux motivés, pour m'aider à "rivaliser" avec nos voisins belges! Rivaliser dans le sens : rapprocher les rives de Meuse et Mosa... sinon, prochainemant, je vais prospecter vers Couvin ( en Belgique) devenu aussi loin que Monthermé (photo) pour y accéder. Wille Frieden.

Elle, l'a fait, Clochette. Avoir un collier rouge avec un grelot attaché dessus! Elle, l'a fait, Clochette. Faire giling-giling, miauler et se faire caresser! Elle, l'a fait, Clochette. De la place de l'église, descendre la route de l'ancienne manufacture, suivre le ruisseau. Laisser la Houillette, et grimper dans les bois jusqu'à l'ancienne carrière de fluorine... Découvrir les lieux, s'aventurer dans chaque espace , le plus petit possible, souvent creusé par des géologues curieux*. Se régaler d'un bout de sandwich, sélectionné dans le meilleur morceau. Remercier le donateur pour cela, en lui faisant comprendre qu'elle est près de lui , quoi qu'il fasse. Se frotter contre lui, se mettre au chaud sur lui, finir par chercher un endroit qui bouge moins. S'installer et regarder les cailloux voler, les compter, et partir dans ses rêves... Redescendre vers la ville, ressentir le goudron, être fatigué et s'allonger. Se faire porter et ronronner. Avoir peur d'une joggeuse, s'enfuir. Souffler un peu, récupérer de ses émotions. Se blottir dans ses bras et ronronner. Retourner place de l'église, miauler le plus fort possible. Se faire remarquer, se faire caresser. Regarder partir son compagnon d'un jour! Ne plus être dans son histoire, chercher ailleurs sa place... …. à la fée Clochette, (*Le géologue est souvent atteint du syndrome du poinçonneur des Lilas, il faut qu'il fasse des trous partout , agrandisse chaque fissure entre deux roches)

bien sympa tout ça ! à chacun son style, ses matériaux pour s'exprimer.. un moment à prendre pour partager ses sentiments. simple comme un crayon et une gomme bien dure parfois à reprendre le travail ! + 2feutres et photofiltre pour les couleurs, voilà ma recette pour aujourd'hui...

j'aimerai bien voir cette expo ! et André , aussi co-voiturage à partir de Givron, Ardenne française, possible..

tout cela pour conclure, que l'"homme" a pris le temps de regarder son environnement depuis bien des années, et encore bien avant ! il a du prendre exemple sur les oiseaux, tels des jardinniers qui appréhendent la nature et y observent des "portes", qui ne vont nulles part, si ce n'est ailleurs dans le temps, juste un peu plus loin, pour que la gande merveille qu'est notre biodiversité s'étale en couleur , une couleur qui fends l'unité bleuté de l'infini ! pour en revenir à nos péruvien, il y a beaucoup de routes commerciales/artisannales et de tout ce qui suit, qui se sont éteintes dans une jungle inestriquable de siècles, et de prédominance européenne...

http://www.dailymotion.com/video/x72bng_les-pyramides-oubliees-de-caral-1-s_tech

hoy, je croyai une chasse au trésor lancé par Smoky, avec des indices pour nous diriger sur quelques sentiers choisis où nous pourrions suivre les traces de nos ancêtres ... c'est le cas, moins indiana jones que prévue, mais tout à fait palpitant ! comment vivaient-t'ils avant? comment nos ancêtres percevaient-ils le temps , comment organisaient-ils leurs journées, comment ils se rétribuaient chacunes des taches pour que le groupe survive jusqu'à nous? si je parle de groupe, c'est que tout seul, c'est plus risqué... surtout que les cailloux ne nourissent pas l'homme... à l'époque, je parle améthyste par exemple, elle ne vaut que par son étrangeté par rapport aux autres cailloux qui bordent nos chemins ! le sel est une des rares minéralisations à avoir un grand interêt physiologique pour nous ! ... vous me direz qu'il y a fallu sensitivement prendre conscience d'un tas de substances pour en avoir encore aujourd'hui quelque unes dans nos assiettes.. mais de quand date cette gustation? nous mangions bien avant d'être ce que nous sommes.. c'est à dire que nous connaissons bien mal par là où nous sommes passé pour ressembler à ce que nous renvois rétrospéctivement les médias ! je m'écarte un peu des péruviens, de ces civilisations pré-colombiennes, pour aller un peu plus loin dans le temps... je me suis souvent écarté du sujet, car le sujet n'est pas moi, il n'est qu'une prolongation d'une vie surgie il y a trés longtenps; depuis, il me semble que nous n'avons pas créer une seule vie, juste la transmettre en héritage...

sympa les cristaux sur les bouchons de bouteille... vinpierre d'épernay : oui, c'etait sur un super gros "bouchon"

super sympa ta découverte Nicolas

faut y'aller au Pif pour trouver le bon coin.. bravo Hercule

quels anciens mondes derrière cette porte? à+

la prairie du mont d'Haurs se met à l'ombre d'un petit bois qui n'en ai pas vraiment un, il est étrange ce lieu nous arrivons sur un bastion d'une ancienne fortification, et sans s'en rendre compte nous nous retrouvons dessus le chemin de garde.. les ramparts, sont recouvert de végétation