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Bourse minéraux à Paris, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles à PARIS

ANDRE HOLBECQ

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Tout ce qui a été posté par ANDRE HOLBECQ

  1. Salut Serge et petraquadrata, k'min k cha va vouzott ? Vin deu diouss!!! Teu kono pa grin koss àch geographie deuch Nord Pas d'Calais ! In vo k'té pas d'ichi tizott. Les carrières de pseudo marbres comme celle de Leulinghen (voir Google earth) sont à la latitude de 50°49'18" et Lille est à 50°38'06" en ligne droite 21,6 km plus au nord; et la distance Lille Leulinghen en ligne droite du Est sud est vers le Ouest nord ouest fait 95,43 km Je confirme avec certitude absolue: ces pseudo marbres n'en sont pas, d'ailleurs même sur le musée figure des guillemets : "marbres" du Boulonnais, ce n'est pas pour rien. Ils n'ont pas été métamorphisés et selon la définition tirée de notre "bible" ROCHE METAMORPHIQUE DERIVANT DE CALCAIRES OU DE DOLOMIES PAR METAMORPHISME GENERAL OU DE CONTACT ; ça c'est le sens scientifique de marbre! et c'est le seul qui se doit d'être chez nous spécialistes du caillou. Cependant le sens commun commercial ou pour le profane: toute roche susceptible de prendre un beau poli ... le mot n'a pas de sens pétrographique précis (comme pour granit écrit sans "e") et cela même s'il s'adresse à des calcaires . Voilà pour la rigueur scientifique Qu'elle soit connue et respectée s'il vous plaît, merci. Bon allez j'vous pardonne cha confirm bien qu'au d'chu d' Paris , avec eul'brouillard in n'vo pu bin ch'qui s'pass, HEIN !!! Faut v'nir am barak vouszott, j'vous invitro à Bergue, in iro minger enn fricadell avec des frittes , ou bien enn tiott biloutt chez ch'boucher d' Bergues. Et après cha in iro vir ché carrièrres din l'Boulonnais; cha vous dis pas ? Pindin ché vacanss kin k'y a pas d'école ?
  2. l'oursin fossile peut avoir pris un coup de marteau accidentel car dans ces roches tendres quand on pique au hasard ça fait "crunch" sur le fossile qui "résiste + ou - bien (j'ai ainsi eu qqs surprises avec des gros clypeasters dans du sable) ce qui est "étrange" quand même, c'est la concentration et la disposition, mais il faut vérifier. Si maintenant on les trouve tous dans la même carrière dans le même terrain disons que le "péché" est véniel, mais pas "mortel" un petit coup de lampe à UV dans l'obscurité, ça aide aussi (colle fluorescente , parfois
  3. En réponse à "lesablais" : à ma connaissance je ne crois pas, sauf démenti par spécialiste archéologue qu'en France, il y ait eu une industrie paléo ou néolithique avec de l'obsidienne qui est particulièrement rare chez nous ; pour patienter voici une lame en obsidienne dorée taille récente, mais bel objet quand même. Il y a de l'obsidienne violette à noire dans le lahar inférieur des téphras cambriens des Coevrons du synclinorium de Laval voir page 242 du Volcanisme en France ches Masson, et dans les Rhyolites de la Gacherie dans les Monts Dore sur la D219 voir pages 182 et 192 En auvergne elles sont rattachées à la série miocène , elles sont rhyolithiques et connues en quelques points sous forme de filonnets dans la brèche andésitique du Cantal. Dans les coulées bréchiques à conglomérats mais dévitrifiées et transformées en pyromérides elles existent dans l'Esterel au Sud, dans le permien inférieur, voir carte p 18 du guide Alpes Maritimes Maures Esterel des Guides Géologiques Regionaux chez Masson Elles devraient provenir de Lipari en Italie où les collées importantes côtoient la ponce. Il existe aussi de gros gisements avec industrie lithique en Turquie en Anatolie centrale Göllü dag Est... voir doc ci-dessous: Les fouilles de Kaletepe Les ateliers de taille du Néolithique précéramique à Kaletepe Les installations paléolithiques de Kaletepe Kömürcü Découvert en 1995 lors des prospections systématiques des gîtes de verre volcanique, Kaletepe fait l’objet des recherches de la Mission depuis 1997. À 1 600 m d’altitude, sur un replat dominant le petit village de Kömürcü, l’atelier s’étend sur les pentes orientales du Göllü dag, entaillées par des ravins (dere). Différentes périodes d’exploitation d’une obsidienne noire et translucide sont attestées sur cet espace de quatre hectares, jonché de restes de taille. Les plus anciennes traces de cette activité sont datées du Paléolithique ancien et la séquence du Dere 3 amont, étudiée de 2001 à 2006, constitue désormais la principale stratigraphie de référence pour le Pléistocène anatolien ; cette séquence du Paléolithique ancien et moyen est d’une très grande importance pour la compréhension des premiers peuplements de l’Europe. Jusqu’en 2003, la mission s’est attachée principalement à l’étude des ateliers du Néolithique précéramique, à l’origine des diffusions sur de très longues distances. Les analyses technologiques que l’on a pu conduire à partir de ces ensembles ont permis de caractériser les modes d’exploitation de l’obsidienne, les savoir-faire attachés aux différentes productions ainsi que la nature et la variabilité des produits prélevés par les artisans pour être exportés. Les exploitations les plus récentes sont datées du Chalcolithique vers 4800-4600 av. JC. et correspondent à des accumulations de 5 à 6 mètres d’épaisseur mêlant rejets de taille et colluvions (secteur du Dere 3 aval). Un riche atelier de taille bifaciale qui alimente certainement le Néolithique avec céramique de Çatal höyük (étapes 7-8, 7ème millénaire av. JC.) a également été identifié et sondé (secteur M). Les ateliers de taille du Néolithique précéramique à Kaletepe Touchant à différents aspects du système technique et symbolique, la diffusion de l’obsidienne constitue un élément important d’appréciation du degré de complexité des sociétés néolithiques. De plus, cette obsidienne constitue un témoignage de liens concrets entre le Levant et l’Anatolie centrale au Néolithique. Cette recherche touche ainsi à la question fondamentale de l’apparition du Néolithique dans cette région : processus autochtone ou conséquence de la diffusion du Néolithique ancien du Levant ? Les derniers travaux et les datations de l’atelier du PPNB par le radiocarbone, ont ainsi permis d’élaborer de nouvelles hypothèses sur les relations entre les deux régions dans le contexte de la néolithisation. Sur le plan méthodologique, cette opération permet d’illustrer de façon exemplaire les aspects systémiques de la production des outillages de pierre taillée et de rendre compte de la complexité de schémas conceptuels élaborés puis reproduits à l’identique pendant plusieurs générations par les artisans préhistoriques. Les rejets d’ateliers du Néolithique pré-céramique (PPN) sont bien conservés dans un secteur stratifié (secteur P), situé en contre-haut des veines d’obsidienne. Reposant sur une formation graveleuse, les rejets du PPNB ancien (8300-8200 av. JC.) constituent une nappe de 20 à 30 cm d’épaisseur qui s’étend sur une quarantaine de m². Cette couche est recouverte par un lambeau d’installation rapportée à la fin du PPN (milieu et fin du 8ème millénaire av. JC.) puis par des colluvions stériles en vestiges archéologiques. La nappe PPNB ancien regroupe plusieurs tonnes de déchets de taille. Quelques témoins qui ne sont pas liés à la production lithique proprement dite renseignent indirectement sur les activités de subsistance des tailleurs pendant leur séjour sur place : armes et outils finis, indices de combustion... La localisation de l’atelier à environ 1 600 m d’altitude, dans un paysage fréquemment enneigé d’octobre à mars, permet de considérer d’emblée les activités d’acquisition et de taille de l’obsidienne comme saisonnières et ne nécessitant probablement pas la construction de structures pérennes. Outre les myriades de restes de taille qui correspondent à l’ensemble des tâches de dégrossissage des blocs et de mise en forme des nucléus, une dizaine de milliers de déchets hautement caractéristiques des différentes méthodes de taille laminaire ont été recueillis dans cet amas. Deux chaînes opératoires aux objectifs radicalement différents y sont représentées. Toutes deux requièrent des nucléus de géométrie très précise, dont la mise en forme est affaire de spécialistes. Nucléus Une production de lamelles prismatiques est réalisée par pression, technique pour laquelle l’obsidienne constitue un matériau de prédilection. Cette façon de faire nécessite un dispositif très stable d’immobilisation du nucléus à débiter. Les produits obtenus sont de fines lamelles à section trapézoïdale et de dimensions standardisées (de 7 à 8 cm de long et de 10 à 12 mm de large). Le décompte des déchets de taille caractéristiques et les remontages permettent d’établir que chaque nucléus avait la capacité de produire une soixantaine de ces lamelles. L’analyse des restes de taille indique que ces lamelles standardisées, produites ici par milliers, font défaut sur l’atelier qui ne livre que des rebuts. Et en effet c’est bien sous la forme de lamelles prismatiques que l’obsidienne circule le plus souvent vers le Levant. À Chypre, l’industrie de Schillourokambos illustre une distribution complémentaire des restes lithiques entre sites producteurs et sites consommateurs : la série de pièces en obsidienne cappadocienne découverte à Schillourokambos durant le PPNB est pour l’essentiel constituée de lamelles de plein débitage, celles là mêmes qui manquent à Kaletepe. Le village de Dja’dé (Syrie), également contemporain de cet atelier, livre des pièces d’obsidienne identiques provenant du Göllü dag Est, mais aucun déchet de leur fabrication. Les analyses des outillages du Néolithique pré-céramique d’Anatolie centrale indiquent sans équivoque que les lamelles débitées par pression sur les ateliers du Göllü dag Est ne sont pas destinées à une consommation locale, elles seraient entièrement vouées à une diffusion lointaine, dans le contexte du PPNB levantin. Nucléus Le débitage de pointes sur nucléus naviformes est réalisé avec une habilité exceptionnelle. L’exécution des détachements à partir de deux plans de frappe opposés, comme la conduite du débitage, présentent de très grandes difficultés qui n’ont pu être contournées que par des artisans ayant atteint un très haut niveau de savoir-faire. La question des techniques mises en œuvre pour ces détachements (percussion ou pression ?) n’est cependant pas encore totalement élucidée. Le produit recherché est une lame aiguë, ou pointe, de 12 à 15 cm de long et d’une quinzaine de mm de large, à section médiale et distale triangulaire et base ogivale mince. La partie apicale (aiguë) est mise en forme par deux enlèvement laminaires divergents balayant parfois toute la longueur de la surface de débitage. L’extraction d’une lame nécessite plusieurs coups préalables, d’exécution parfois très difficile, et qui correspondent à autant de déchets très spécifiques abandonnés sur l’atelier. Le caractère récurrent de cette séquence de taille multiplie encore les difficultés. La très forte standardisation des déchets de débitage (caractéristiques métriques des nucléus épuisés, dimensions des négatifs d’enlèvement des pointes, dimensions et caractères géométriques constants de quelques restes spécifiques) illustre bien une maîtrise hors du commun des méthodes de taille et permet sans équivoque de parler de spécialisation artisanale. L’analyse des déchets de taille caractéristiques abandonnés sur l’atelier permet de considérer que chaque nucléus offrait la possibilité de produire un nombre assez réduit de pointes (probablement pas plus de sept). Plusieurs centaines d’entre elles, issues de ces nucléus naviformes, ont cependant quitté l’atelier, à l’exception de rares pièces brisées en cours de débitage. La destination des pointes en obsidienne est pratiquement inconnue, si l’on excepte quelques éléments fragmentaires découverts en Syrie. Leur diffusion locale, en Anatolie Centrale, n’est pas mieux documentée. Seule la similitude avec les productions en silex du corridor levantin est possible ; les pointes issues de nucléus naviformes constituant les supports privilégiés des pointes à base retouchée ou pédonculée, sont caractéristiques des équipements du 9ème millénaire av. JC. Dans plusieurs sites du Proche-Orient les analyses de traces liées à leur utilisation montrent leur caractère multi-fonctionnel et l’intensité de leurs usages, indiquant d’une certaine façon la valeur qui leur était accordée. Le statut particulier de ces pointes en silex est parfois illustré par leur contexte de découverte (caches telles que celle de Jerf-el-Ahmar, bâtiments exceptionnels tels que la « maison des morts » de Cayönü). Ces objets étaient-ils également impliqués dans des pratiques cérémonielles ? Affichaient-ils le statut de leurs détenteurs ? Les installations paléolithiques de Kaletepe La Mission a permis d’établir la très grande ancienneté de l’exploitation des obsidiennes du Göllüdag pour la fabrication des outillages, avec la découverte et l’évaluation du site de Kaletepe Deresi 3 dont la chronologie recouvre une partie du Paléolithique inférieur et moyen (depuis l’Acheuléen, probablement antérieur à 500 000, jusqu’au Moustérien, dont une étape est datée vers 150 000). Le site est localisé dans un vallon (dere), dont l’activité érosive a mis au jour les niveaux archéologiques. La fouille s’est articulée sur la réalisation de deux transects distants d’une quinzaine de mètres et livrant 19 niveaux archéologiques sur une puissance d’environ 8 mètres. À la base des dépôts la surface fouillée atteint une trentaine de m2. L’analyse de l’industrie des différents niveaux, totalisant environ 4 000 restes de taille et outils, a permis à L. Slimak d’identifier trois phases principales : Phase 1 : Moustérien et/ou Acheuléen supérieur (niveaux II’ et III) Phase 2 : Acheuléen (niveaux IV, VAm et VIAm) Phase 3 : Acheuléen (niveau VI’Am) Selon les contextes les différentes roches disponibles pour la confection des outillages (obsidiennes, andésites, rhyolites, basaltes) sont diversement sollicitées. La faune n’a été conservée que dans un des horizons moustériens, il s’agit de restes d’équidés.
  4. le brai peut aussi être obtenu par distillation des houilles grasses, et je pense même qu'il fut utilisé comme liant pour confectionner des boulets d'anthracite (poudre d'anthracite pressée et collée par du brai) normal que l'boyo rouch deuch Pas d' Caaalais i di kek koss, hein !
  5. Ok j'en prend note , let us wait and see ... et tant mieux pour les orpailleurs (qui eux ne font pas de dégâts dans les berges des rivières peut-être? simple question "innocente" Mais j'oubliais encore une petite question "perfide" toujours une question d'expérience : l'association Pierre de lune est elle concernée par ces interdits, pourra-t-elle vendre des échantillons, pourra-t-elle en prélever ppour renouveler son stock ? Ou bien s'est-elle autosabordée sur ce plan. C'est ce qui est arrivé au club ardennais avec les trilos du Mur des douanniers et qui va s'amplifier au sujet des fluorites du secteur à ce que j'ai pu entendre ces derniers temps. ça j'aimerais bien qu'on me réponde là dessus
  6. Après lecture de l'arrêté et rapidement: rien ne vaut en effet la lecture du texte tel qu'il est , et merci de m'avoir donné l'adresse: très instructif, voyez donc... Article 3 tout prélèvement est interdit (sauf autorisation pour p. scientifique avec avis de la commission...) je signale que tout récemment des étudiants désirant étudier une strate du Cap Blanc Nez ont demandé l'autorisation à la préfecture comme inscrit dans l'arrêté , en vain , on les a envoyé ailleurs et cela s'est perdu dans les méandres de l'Administration (voir Astérix et la maison qui rend fou) Article 6, 4°: "les activités sportives susceptibles d'endommager le sol et le sous sol notamment l'escalade sont interdites" on croit rêver non ? Très curieusement on peut lire dans l'article 6 3° "Les activités commerciales peuvent être autorisées si elles participent à l'animation de la réserve"Tien tien n'y a-t-il pas là des prémisses à une vente monopolisée d'échantillons ? Par ceux là même qui exècrent le business ? La question peut se poser et aimerait à être démentie. Article 7 3° alors là c'est le pompon: "il est interdit de transporter dans la réserve tout outil ou matériel destiné à creuser le sol, ou à effectuer des prélèvements ... Imaginez le paysan du coin qui transporte une barrre à mine, un burin, un marteau, une pioche : il va tomber sous le coup de la loi si elle est appliquée à la lettre !!!!!!! Article8 "Le campement ainsi que le bivouac dans quelqu'endroit que ce soit est interdit" C EST COMME CA QU ON RETIENT LES TOURISTES DANS UN COIN PERDU QUI NE VOIT DEJA PRESQUE PERSONNE ? : gratte-tete: ET LE SUMMUN DE L' ANTI RESPECT D' UNE DES FONDAMENTALES DEVISES DE LA REPUBLIQUE J' ENTENDS LA LIBERTE DE CIRCULATION DES HOMMES ET DES MARCHANDISES VOUS SAVEZ CE JOLI MOT QUI ORNE LES FRONTONS DES MAIRIES ... LIBERTE Je cite : "la présence et la circulation des personnes sur tout ou partie de la réserve peuvent être réglementées par le préfet"° Alors ça !!! "Aux armes citoyens" je cite notre hymne rien de plus, ça ne vous fait pas réfléchir? N'est-ce pas une atteinte aux libertés fondamentales ? Excusez une lecture critique et un peu de logique dans les questions qui peuvent démocratiquement et raisonnablement se poser, alors osons nous les poser et osons y répondre, cela mérite débat. Je vous écoute, et comme disait Lafontaine "avais-je pas raison" de me faire des soucis ajouterais-je ...
  7. Cher Ami, tant mieux si tout baigne dans ton secteur et de cela je m'en réjouis très sincèrement, mais ... Car il y a un MAIS ! Chat échaudé craint l'eau froide Ah! si tu savais TOUT ce que nous avons vu ici et en Alsace ... (demande donc à Théophraste, il a et moi aussi un dossier très épais) On sait comment ça commence , avec des limites raisonnables d'abord , puis ça se complique, c'est ce qui a été constaté moultes fois dans ma région. Tu comprends donc que le vieux singe, pour lui apprendre à faire des grimaces, c'est pas demain la veille. C'est bien pour cela que j'entends attirer l'attention , bien que de toute façon ces gens font ce qu'ils veulent en ne tenant aucun compte des collectionneurs de cailloux. Et mes amis "chtis"(+ des alsaciens et des vosgiens) et moi avons une longue et lourde expérience dans ce domaine, je le rappelle. Nous sommes donc devenus, et pour causes, "frileux" et réactifs. Bref l'avenir nous dira qu'en penser, mais de toute façon si ça dérape il sera trop tard (comme d'hab). Et j'ai un pif pour sentir cela, tu ne peux pas imaginer. Ce qui me permet de subodorer cela ce sont les réactions passionnelles négatives et "interdisantes" dont sont témoins deux amis personnels sur le terrain qui ont du rencontrer la même personne à laquelle Fred a eu affaire. Certes c'est du "pifaumètre" mais le mien fonctionnne vachement bien avec un indice de clairvoyance "infaillible" (jusqu'ici). Nous sommes donc au moins trois personnes averties et raisonnables à avoir été "surpris" sur place. Je ne souhaite qu'une chose: me tromper! Je reconnaîtrai alors publiquement mon erreur éventuelle comme je le fais toujours si le cas se présente; malheureusement "le cas" ne s'est pas présenté dans ce domaine de réflexion évidemment. Sans rancune et en toute liberté d'expression franche. Signé Cassandre (mon pseudo temporaire pour l'occasion) Je précise: il y a des gens biens partout, et des beaucoup moins bien aussi partout, dans les deux camps. Le problème est que " le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions" et il est plus que fréquent de découvrir de satanées surprises qui nous tombent dessus sans avoir su imaginer au départ la dérive protectionniste possible. J'en connais même un à l'origine d'un arrêté protectioniste qui m'a verbalement confié le fond de sa pensée et a regretté de constater , selon mes renseignements et témoignages de cas réels, des actions particulièrement "zélées" outrepassant les termes de l'arrêté (véritable abus de pouvoir). Cela est particulièrement gênant et bien entendu nous en avons pris acte et nous donne une certaine légitimité de penser à ce sujet.
  8. deux petits tests avant d'affirmer sans preuve matérielle si vous permettez un bain de 48 h dans l'acétone, un chauffage dans la flamme du briquet, d'où soit une dissolution, soit une fusion de la résine et des odeurs très caractéristiques désagréables. Là on peut alors affirmer sans aucun doute.
  9. du miocène au pliocéne on trouve Isurus hastalis, les oursins Scutella paulensis du Burdigalien, S.faujasi du Helvétien; S.Lamarck oligocène au miocène inférieur, or , petit rappel : de - 34ma à -23,5ma c'est l'oligocène puis de -23,5ma à 5,3: le miocène. Le burdigalien c'est la fin du miocène inférieur l'helvetien: c'est le miocène moyen il suit l'étage précédent (le burdigalien) Donc si l'on considère l'extension de vie d'isurus hastalis il a en commun avec les oursins en question tout le Burdigalien + l'Helvétien et ces deux fosssiles sont donc contemporains cqfd Pour savoir si c'est un montage collé je préconise un bain dans l'acétone de 24 heures, le diagnostique sera évident: dissolution des colles. Il est vrai que cela semble trop beau pour être honnête. Mais qui sait... croyez vous au "coup de bol?" Allez une petite trempette dans l'acétone et on sera fixé!ou plutôt non , tous sera décollé
  10. essaye de la polire avec une meule sur une certaine surface et montre nous le résultat; y a -t-il des chondres, des petites flaques de métal brillantes comme l'acier ? Il faut au moins faire cela, après on en rediscute, ok ?
  11. "Mon père n'est pas un singe ?" par Cédric Grimoult edition Elipse Très remarquable ouvrage de 287 pages excellemment documenté montrant parfaitement à différentes époques les actions et les réactions. Un livre qu'il faut lire pour savoir de quoi on parle et ce qu'il y a dans ce mot "créationnisme". On s'y rendra compte entre autre que deux Papes catholiques ont accepté la théorie de l'évolution, Jean Paul II et bien avant : Pie7 en 1805 , excusez du peu, lors de sa visite au museum à Paris (ceci est peu connu et mérite d'être souligné), ceci dit pour rassurer ceux ou celles qui se sentiraient , à tort, choqués par mes précédents propos anticréationnistes. Ceci dit et précisé suite à une conversation récente entre géoforumeurs, dans laquelle j'ai persisté en disant clairement que si l'on se déclare créationniste, il faut obligatoirement accepter quelques contre vérités notoires que l'on peut voir figurer dans les musées créationnistes du genre : la Terre a 6000 ans, les dinos sont montés dans l'arche de Noé, il y aurait des traces de pas d'humains jouxtant celles de dinos, et d'autres faridondaines du même genre. Le pape Pie7 déjà avait accepté que les 6 jours de la genèse étaient en fait des périodes géologiques, ce qui montre déjà une immense souplesse dans la durée des temps en question. Ce fait est relaté par Ellenberger .
  12. l'obsidienne ? Y a qu'à demander en voilà une belle bien coupante
  13. ammonites prouvant la tectonique des plaques,(fond marin soulevé par la pression de l'Inde rencontrant l'Asie) provenant du marché de Katmandou Népal, ayant chuté du haut de l'Anapurna avec de la pyrite en petits cristaux dans l'ombilic. Blanfordiceras hymalaïtes Jurassique Pokhara Mukthinah au pied de l'Anapurna.
  14. de la Kertchénite (variété de vivianite) associée à un lamellibranche de Crimée et du silex dans unDosiniopsis fallax du Thanétien de Cuinchy - Violaines Pas de Calais et ammonites en pyrite de Mikhailov rivière Pronya Russie, et une ammonite malgache aux jolies lignes de suture en calcite
  15. UNE AMMONITE SCHLOENBACHIA VARIANS associée à la MARCASITE de Dannes
  16. et éponge Plocoscyphia meandrina avec pyrite de Dannes Boulonnais
  17. enfin qqs minutes pour faire ce que j'ai promis: marcasite associée aux fossiles de Dannes Boulonnais inocéramus crippsi avec marcasite
  18. Inespéré!!! Je cherche depuis longtemps un amateur ayant sur une même pierre un trilo avec de la chiastolite; because j'en avais un échantillon que je gardais "religieusement". Un jour pendant mon absence au collège un zigoto a réussi à forcer la vitrine fermée dans laquelle il était exposé tandis que bibi était à l'hosto. Pédagogiquement ce genre d'échantillon m'est extrêmement utile pédagogiquement. J'en ai chialé de rage, à l'époque. Bref serait-il possible d'échanger ou acheter ou obtenir un tel échantillon ? Tu peux me répondre à ANDRE HOLBECQ en message perso. Merci beaucoup.
  19. ouf ! Moi c'est surtout que le monde va échapper à cette urluberlue de S P qui représente une façon de penser de 55% des américains. Comment se fait il donc que ces créationnistes n'aient pas tous voté pour MC ? Simple ! Quand il s'agit de choisir entre des idées aussi fausses que farfelues et le pouvoir d'achat , les dettes qu'on ne sait plus rembourser, les maisons qu'il faut revendre, etc ... le calcul est simple; la preuve les amerlocs ont voté comme il fallait en faisant fi de leur créationnisme (pour certains en tout cas) Donc il y a de l'espoir, il sufit de savoir comment les prendre, et dans ce domaine très particulier de faire appliquer la constitution qui ne tolère pas le mélange du créationnisme avec la politique (vus les nombreux procès que ces zozos ont perdu systématiquement) Et bon vent à Obama, espérons qu'on ne lui mette pas trop de bâtons dans les roues. I had a dream... Il est exaucé!
  20. Que veux-tu ? C'est le NOOOORD et beaucoup aimeraient avoir en collection de si belles marcasites . Remarque au passage que ce minéral fut illustré par un timbre poste et que l'échantillon en question trône à Jussieu , alors ... sans rancune ! Oui montre nous ce que tu as de beau dans ton coin...
  21. oooooh! Prudence, ça ressemble bien pourtant à une septaria
  22. ANDRE HOLBECQ

    Qui n'en veut ?

    effectivement à part les lunaires ou les martiennes qui montent très vite , ça sent l'arnaque, comme le dit si justement Dellencrater. On peut savoir son identité ?
  23. le diamant c'est aussi une sorte de "fil à couper le beurre" pardon je veux dire à couper le "marbre" ici dans le Boulonnais Pas de Calais près de Ferques, Rinxent
  24. on les extrait de ces carrières en les découpant avec un "fil" diamanté
  25. encore quelques pseudo marbres du Boulonnais
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