geopas

Bonne année aussi à tous ! J'ai une petite idée, mais il faudrait un peu plus d'informations. Du vertébré ? (l'alignement des éléments pourrait faire penser à des écailles)

A la demande générale, voici le Stylophora vespéral (ordre des Cornuta). Proscotiaecystis melchiori Argilites du Floien Montagne Noire Largeur de la photo 37 mm

Un représentant de la classe des Soluta (famille des Minervaecystidae) Minervaecystis vidali Nodule du Trémadocien Montagne Noire Largeur 37 mm

Et, pour comparer, une Zeilleria du Pliensbachien dégagée à l'acide. Je ne sais pas si la terminologie que j'emploie est exacte, mais en partie basse on voit des perforations et eh haut des ponctuations. Hauteur de la photo 5.14 mm

Ça m'intéresse aussi.

Je ne sais pas trop. Quand le matériel est silicifié et dissout à l'acide on voit des perforations (mais c'est un autre genre : Liospiriferina) associées à des épines creuses.

Tu n'es pas le seul ! J'en ai raconté des bonnes aussi ! Et il ne faut oublié que nous ne sommes, en majorité, qu'un groupe d'amateurs.

Bonjour, Je remets ici une vertèbre du Callovien des environs de Dun-sur-Auron (Cher) qui a déjà fait l'objet d'une discussion : https://www.geoforum.fr/topic/55631-vertèbre-de-reptile-du-callovien/#comment-798263 Diamètre 70 mm

C'est la bonne réponse. C'est en effet une vue rapprochée d'une valve de brachiopode. Un Aulacothyris du Pliensbachien qui montre de nombreuses perforations du test, comme toutes les térébratules (au sens large), contrairement aux rhynchonelles qui ont un test non perforé. Voici une vue complète (hauteur de la coquille 30 mm). En agrandissant, vous verrez que la coquille est couverte de ces perforations.

Non, autre embranchement. Pas du corail. Non plus. La photo fait 1.9 mm de large Voici une vue plus large (5 mm de large). On est bien avancé avec ça !

Non, pas cet embranchement. Ce n'est pas du vertébré. Pas un mollusque non plus.

Je viens juste de voir cette réponse. Non, ce n'est pas du tout ça, ni peau, ni végétal.

Oui.

Bonsoir, Nouvelle énigme à résoudre. De quoi s'agit-il ? Je ne donne strictement aucune indication. A vous de jouer.

Bonjour, Je remonte ce sujet pour présenter quelques informations aux innombrables fans de stacking ! Mon ancien PC commençant à donner des signes de fatigue, je l'ai changé et j'en ai profité pour mesurer la vitesse de traitement de Helicon Focus (le logiciel que j'utilise pour stacker). Les deux config sont à peu près identiques (proc à 3.7 Ghz, plus de RAM sur le nouveau, carte graphique un peu meilleure et compatible avec Helicon). Un stack de 135 photos : - 55 secondes sur l'ancienne config - 23 secondes sur la nouvelle - 8 secondes sur la nouvelle en utilisant le processeur de la carte graphique (option dans Helicon) La différence est assez spectaculaire.

Exemplaire déjà publié ailleurs, mais il a sa place dans ce sujet. Les brachioles sont particulièrement bien conservés et montrent des détails du raccordement à la thèque. Rare dans cet état. Balantiocystis thorali Floien Nodule Montagne Noire Face 1 Hauteur de la photo 46 mm Face 2 Hauteur de la photo 46 mm

LA CHASSE - BLAGUE LIMITE-LIMITE - YouTube.url

Pas du tout, dans mon esprit, le nommage des fichiers en fonction du genre faisait partie du jeu !

Meuh non, il suffira de déposer 25 demandes dans des organismes divers pour régler le problème.

@Mt Ventoux Entièrement d'accord avec ton argumentation, remarquablement développée. Pour enfoncer le clou, je rappelle que le lac du Salagou (avec une majuscule) est une retenue d'eau artificielle. Combien d'hectares de ruffes permiennes ont-elles été englouties et perdues à tout jamais. Certainement plus que trois clampins donnant des coups de pioche tous les week-ends pour récolter de malheureuses pistes qui ne mènent jamais à rien (là, j'exagère à peine). Le titre de ce sujet en devient surréaliste, et créer un géoparc sur un site détruit par l'intervention humaine consiste à "se faire du vent sous la bite", comme disait un copain qui avait les pieds sur terres (ou, plutôt, ruffes).

A mon avis l'échangeur était à l'ouest ! Je mettrais ma main au feu (une seule hein) qu'il s'agit d'un Bourbonnella du Permien de Bourbon-l'Archambault dans l'Allier : même forme générale, même queue hétérocerque, même aspect du schiste avec ces couleurs rougeâtres.

Concernant la première photo du post précédent, je me suis trompé. Il ne s'agit absolument pas d'un Leptolepis mais d'autre chose. Et pour conclure cette série du Kimméridgien, un dernier petit. Largeur de la photo 34 mm

Orbagnoux. Quand on pouvait chercher. Suivant les niveaux, on avait de grandes différences d'aspect.

Et c'est reparti comme en 40 ...

Comme c'est la journée internationale du Leptolepis, en voici deux autres du Kimméridgien de l'Ain. On pourrait d'ailleurs se poser la question de savoir s'il s'agit du même genre que ceux du Toarcien (30 Ma entre les deux). Pour faire ressortir le contraste, les échantillons sont humidifiés. Largeur de la photo 44 mm Détail du précèdent montrant quelques dents. Largeur de la photo 1.8 mm Et un autre. Peut-être une espèce différente (la distance entre l'anale et la dorsale est beaucoup plus grande que chez le premier) Largeur de la photo 51 mm