Le gros gag, c'est que , où je me trompe fort, où le plus risque à Salau pour les intervenants sur le chantier est le pyralène des transfos restés au fond, bien avant l'amiante et le radon (qui ne risquent d'ailleurs pas grand chose pour les habitants autour). Pour le radon, je suis un peu surpris, la granodiorite n'est pas spécialement fertile en uranium, en plus une bonne aération et on en parle plus !
Un des problèmes possibles en France, les miniers me contrediront peut être, c'est que les recherches seront faites par des juniors avec un cahier des charges à respecter (pour Lussat en Creuse, travaux souterrains, pas de MCO, pas d'autre exploitation prévue que celle de Lussat-Villeranges), mais cette recherches sera vendue à une senior qui négociera de nouvelles conditions avec l'état et qui ne sera pas automatiquement engagée par les normes précédentes (je ne sais pas si je me suis bien fait compris!).
Quelqu'un aurait-il un lien ou un rapport indiquant, la nature, l'origine et la localisation de cette fichue amiante dont tout le monde parle, parce que là, on est pas à Canari ou à Asbestos !
Serge