Orlean

la croissance empêchée par un autre mineral comme la chlorite comprend toujours des inclusions du minéral lors de la croissance du quartz, il arrive que la masse de chlorite soit tellement dense que le quartz soit complêtement stoppé, alors le quartz n'a pas du tout la même forme que le quartz dissout, celle-ci dépend de la forme de la masse de chlorite qui peut laisser un creux dans le cristal si on enlève la chlorite, lorsqu'un autre minéral "plus soluble" empêche la croissance du quartz on reconnait souvent la forme du minéral, comme une aile de calcite, une baguette d'anhydrite.. quel minéral soluble pourrait empêcher la croissance du quartz sans être inclu dans ce même cristal et donner cette forme ? Cela me parrait impossible, en sachant que l'on connait la forme des cristaux de quartz peu dissout mais quand même un peu..il y a plusieurs aspects de corrosion, de léger à sévère

en fait j'ai un doute sur une éventuelle epidote/axinite de Chamrousse.. https://www.mindat.org/photo-1110409.html

oui plutôt clinozoïsite associée à un autre minéral (diopside) ou simplement une seconde génération rosée ? Connue dans le Val Di Susa

peut-être chercher sur les côtés, la zone de contact avec la roche mère, ou encore des filons annexes plus petits qui auraient plus de chance de contenir des poches

je pensais pareil, probablement la calcite qui fait penser à l'orthose

oui rutile pour moi aussi..à première vue

pourtant si on compare les formes des quartz alpins dissous..on est pas loin...ou alors les quartz ne sont pas dissous

je crois que les violettes ont été trouvées en profondeur dans un champs, recouvert actuellement, si mes souvenirs sont bons

pas mal de gypse dans les environs et un lieu dit les charbonnières, donc le noir serait un résidu carbonné

on comprend pourquoi certains l'appellent "peigne"

La résine époxy génère une grande créativité chez les vendeurs de lithoarnaque, ici le prétendu quartz n en a pas la forme mais il développera la chance en amour, sisi

bien la macle, et l'adulaire c'est pas courrant pour les Grandes Rousses il me semble

les deux blancs sont du quartz et les masses arrondies sont aussi du quartz mais micro-cristallin, de type silex

je pense que des tests doivent être faits (densité, dureté,..) la perovskite reste méconnue quand sa masse est importante, on ne peut pas comparer à de petits cristaux de rodingite, ou des masses opaques noires de Russie, on peut trouver des masses brune translucides par endroit, dans ce cas, est-ce qu'un effet labradorite ne serait pas possible ?

rare de cette origine

beautés congolaises et techniques en même temps !

beaucoup de chercheurs, préfèrent chercher que de collectionner, c'est une autre catégorie de personne, et il y a ceux qui font les deux

si il y en a, il sont généralement vidés, les vidéos avec des gros fours font rêver, mais il faudra commencer par du petit, se satisfaire de petits quartz puis gagner de l'expérience, à basse altitude c'est possible mais caché par la végétation et cela dépend dans quelle région. Au mont Blanc c'est assez élevé +3000, dans une région des Hautes Alpes il n'y a quaziment plus rien au dessus de 1600m..

google lens a bien fonctionné, juste la pub associée qui foire, pyrite limonitisée (oxydée au point de ne plus être de la pyrite mais un oxyde de fer)

plus d'infos: De Ascençao Guedes, R. (2005) Singularités minéralogiques,paléontologiques et historiques du Trias évaporitique pennique de Savoie. Le Règne Minéral, 61, 5-27

le cuivre dans lez zones sédimentaires du trias ce n'est pas rare, je dirais arrivée hydrothermale dans les fissures, la malachite est généralement un dérivé de chalcopyrite qui cristallise relativement tard dans la paragénèse

gypse métamorphisé

j'adore, avec les quartz à âme en prime, de belle qualité

on peut se demander si il y a vraiment 25000 collectionneurs en France, d'où viennent ces chiffres ? ..si il y en avait, de ceux qui avaient l'habitude de lire, beaucoup ne sont plus là, dans certains clubs on parle plus de "la famille", que de minéraux, je me souviens d'un "concours" où les membres devaient reconnaître des minéraux, et leurs gisements, le niveau était très très bas... et presqu'aucun d'eux ne lisaient les magazines à disposition... si ils les avaient copiés, s'aurait été positif (j'ai commencé comme ça, avant de m'abonner) aujourd'hui on perd son temps et sa concentration sur un smartphone, hypnotisé.. lire un magazine devient difficile En France/ Belgique, il y a une génération (25-35 ans) de prospecteurs qui lit rarement.. il n'y a pas de relève de collectionneur chez les jeunes, très peu d'enfants ou d'ados dans les bourses, les prix sont exorbitants, comment tuer l'envie d'acquérir, à peine apparue

ça fait mal, il y avait encore des choses à dire et à faire, sans compter l'inconnu qu'ils révélaient ... personnellement ce sont les articles sur les minéraux alpins qui font référence, qui ont menés de nombreux collectionneurs sur les lieux, et derrière ce partage de connaissances, Roger De Ascenção Guedes à qui l'on doit beaucoup